Messages 199Date d'inscription 30/07/2013Age 30Vos personnages Elënna GlaëwenHumeur Bouillante Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu..." Je trouverai un chemin, ou j'en ferai un... "Le jour se levait sur les terres du Naldor, éclairant le monde d’une clarté fraiche, comme si elle signifiait le renouveau, la naissance d’une nouvelle journée. C’était ainsi qu’allait la vie. Chaque soir, le soleil sombrait à l’ouest, mourant noyé dans les mers occidentales agitées, abandonnant l’univers dans une profonde noirceur qui pouvait cacher bien des choses. Et chaque matin, la vie reprenait son cours, retrouvant son souffle dans la lumière de l’astre diurne. Si l’on disait que le bien trouvait sa source dans le rayonnement et le mal dans l’obscurité, il y avait certaines personnes qui ne s’en souciaient guère, le bon et le mauvais se trouvant, à leurs yeux, dans le cœur des gens et non dans les différents moments de la journée…Une brise douce et légère filait entre les arbres de la forêt d’Erys, sifflant dans les troncs, frottant l’écorce et faisant frémir les épais feuillages de cette forêt dense. La région elfique était connue pour l’importance de la flore et de la faune qu’elle abritait ainsi que de la magie qui y régnait. Ils n’étaient pas rares ceux qui s’aventuraient ici en quête de réponse, en quête de pouvoir ou de choses dont personne ne pouvait soupçonner l’existence. Heureusement, tous n’étaient pas tous semblables. Les elfes vivaient ici en harmonie avec la nature, acceptant et côtoyant un des clans de silrïndiens qui peuplait leurs terres. Les deux races ne demeuraient pas ensemble mais c’était une relation amicale qui les liait. Et puis il y avait celle qui avait partagé son cœur entre ces deux peuples Elënna. Cependant, à ce jour, elle avait décidé de quitter les elfes, non pas pour rejoindre son clan natal mais pour découvrir le monde qui l’entourait. Maintenant seule, elle parcourait les terres elfiques, cherchant à connaître son continent avant d’aller à la rencontre des autres présents dans le faisait plusieurs jours que la jeune femme avait laissé derrière elle le village d’Edoras ainsi que ses parents adoptifs. C’était donc en solitaire que la belle explorait les terres qui l’avaient vu grandir et qu’elle en apprenait un peu plus sur elle-même jour après jour. Elen réfléchissait beaucoup, pensant à son passé, ce qui avait pu se passer dans sa vie et surtout, à son avenir, ce qu’il adviendrait d’elle lorsqu’elle aurait exploré le monde ou même ce qui pourrait bien lui arriver lors d’une de ses expéditions. Si la peur aurait dû lui peser, lui faire comme une boule au creux de son ventre, il n’en était rien. La tête haute et le buste bombé, la brune avançait fièrement à la rencontre de son destin, son sourire ne quittant pas les traits fins de son visage. Pour le moment, elle n’avait rencontré personne et c’était mieux ainsi. Elle se surprenait à parler seule ou même rire de ses pensées, de ses souvenirs. La solitude commençait à se faire pesante, elle qui n’avait jamais ressentie ce sentiment à part la nuit où ses parents avaient été une journée de marche éprouvante, Elënna s’était tapie dans des fourrés, attendant qu’un animal pointe le bout de son nez. Son arc en main et le soleil qui se trouvait dans son dos et se couchait ne pouvait que l’aider, éclairant les bois comme pour lui indiquer ou regarder. En effet, après quelques minutes d’attente, un cerf aux bois imposants apparut de derrière un arbre au tronc trop épais pour être une jeune pousse. Mâchonnant de l’herbe, l’animal ne semblait se douter de rien, l’air nonchalant et serein. La chasseuse banda son arc, retenant sa respiration pour ne plus bouger et lâcha la corde d’un coup sec. La flèche ne rata pas sa cible et alla se planter directement dans le cœur de l’herbivore. Attrapant la dague qui trônait à sa ceinture, la jeune femme se redressa rapidement, bondissant vers le cerf pour achever ses souffrances et lui trancher la gorge. Posant sa main sur les yeux de la bête, Elen ferma les yeux et remercia Era, comme à son habitude, pour la nourriture qu’elle lui offrait. Puis elle prit soin de découper les morceaux de viande qu’elle pourrait manger, laissant la carcasse sous un tas de feuille, qui finirait certainement rongée par des loups ou autres carnivores qui pourraient se trouver dans le coin. Enroulant les pièces de chair dans des tissus qu’elle avait dans son sac, la belle finit par se relever, reprenant son chemin à la recherche d’un endroit où dormir maintenant que la lune commençait à se dresser dans le ciel…La silrïndienne marcha encore durant quelques minutes, sa vue perçante lui permettant de voir un minimum dans cette nuit qui commençait à se faire bien présente. Ses pas étaient souples sur l’herbe de la forêt mais ils rencontrèrent bientôt un sol rocheux et froid. Donnant un coup de pied dans un caillou, l’écho qui résonna ne fit que confirmer ce que penser la brune. Elle se trouvait à l’entrée d’une caverne. Avec un peu de chance, elle ne serait pas occupée et dans tous les cas, elle n’avait pas le temps de vérifier, il lui fallait se reposer pour reprendre sa route le lendemain matin. Elënna posa ses mains sur les parois qui se trouvaient devant elle avant de trouver une cavité qui l’abriterait pour la nuit. Ce fut ainsi que la belle se roula en boule au creux de la pierre, posant ses armes près de son corps, à portée de main. Un mince sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’elle fermait les yeux, dormant une seule oreille…Mais la nuit fut calme et douce. Si le vent semblait chanter contre la roche, il ne réveilla pourtant pas Elënna qui dormit comme une enfant, comme elle n’avait pas dormi depuis longtemps. Le jour se levait enfin dans cette lumière à la fois éclatante et paisible, la jeune femme ouvrant les yeux en harmonie avec l’aurore. S’extirpant de sa cachette, elle s’étira tel un chat, sa fine et petite silhouette se contorsionnant face à ces quelques étirements qu’une personne peu agile n’aurait pu faire. La belle bailla une dernière fois avant de lever la tête pour observer le paysage qui l’entourait. Etrangement, même si elle se trouvait dans une caverne, le soleil était bien présent. La bouche bée et les yeux grands ouverts, ce fut avec un émerveillement certain que la silrïndienne découvrit ce qui l’entourait. Face à elle, sur un promontoire, se tenaient des ruines immenses faîtes de pierre mais recouvertes de mousse épaisse par le temps. Elen replaça ses lames et son arc dans son dos, glissant son sac sur son épaule avant de s’avancer doucement vers les vestiges qui semblait trôner là depuis de nombreuses années…Laozeto > " Diane fait de l'excellent RP... " Bisous ♪♫ Messages 233Date d'inscription 25/07/2013Age 31Vos personnages Asmaroth, Jëbryel Svorda, Isilthorn Brancemar, AntarèsHumeur Ardente L'air. Le vent. Le ciel. Asmaroth fut envahit par un profond sentiment de nostalgie quand il sentit le contact rafraîchissant de la brise tout autour de lui. Depuis combien d'années avait-il dormi? Il ne le savait pas lui-même mais cela importait peu pour lui. Il se sentais revigoré par ce long sommeil, près à en découdre avec les obstacles qui se dresserait sur sa seul véritable problème qui se présentait au dragon était celui de sa destination. Le dragon n'avait cessé d'errer sans but depuis son réveil, il était temps pour lui de choisir un cap. Il n'avait pas posé les yeux sur le Naldor depuis tant d'années et brûlait a présent de voir comment le monde avait changé durant son sommeil. Après mûres réflexions, Asmaroth choisit de se laisser porter par les vents jusque dans les terres elfiques. La traversée de la Mer Nordique ne lui prit que quelques jours et se fut avec beaucoup de plaisir qu'il s'abîma dans la contemplation des rivages verdoyant d'Enelis. Le dragon se savait proche de la cité elfique d'Edoras. Cette pensée fit resurgir de vieux souvenirs dans la mémoire d'Asmaroth. Alferia et Tarwin Enalion, les elfes jumeaux. Les deux premiers elfes qu'il avait rencontré et qui lui avait donner le sobriquet qu'il affectionnait même en avoir conscience, Asmaroth retourna à la rivière où il les avait rencontré et y fit de nouveau une halte. Peut être inconsciemment rêvait-il de les revoir? Le dragon savait que cela lui était proscrit. Il ne pouvait pas prendre le risque d'approcher de trop près des habitations sous peine d'éveiller l'intérêt de quelques chasseurs de dragons. Aussitôt eut-il fini de s'abreuver il repris son envol en direction du l'altitude vertigineuse à laquelle il volait pour passer inaperçu, Asmaroth ne pouvait s'empêcher d'observer le paysage qui défilait sous lui. Les gigantesques forêts d'Enelis paraissaient immenses même vue des cieux. Rien ne l'étonnait plus que l'Arbre Nelia qui surpassait tout les arbres alentours par sa taille titanesque. Le dragon n'avait jamais pu l'observer de plus près quoiqu'il n'aurait pas dit non si on lui avait proposer de piquer un somme à l'ombre de la canopée de l'arbre. Pour autant, Asmaroth ne s'attarda pas non plus, et continua ses pérégrinations dans le ciel des terres n'est que lorsque la faim finit par se réveiller que le dragon argenté se posa de nouveau. La forêt l'environnait de toute part se qui rendait sa progression plus lente que d'ordinaire et ne l'aida pas lorsqu'il se mit en chasse. Asmaroth avait avisé un cerf imposant à proximité d'un cours d'eau et qui faillit lui échapper. Après une bonne minute passée à sinuer entre les arbres pour attraper la créature paniquée, le dragon parvint à mettre le cerf à portée de ses flammes et grilla la bête sur place, carbonisant au passage le tronc de quelques arbres, sans pour autant les embraser. L'odeur de chair brûlé attisa sa faim aussi après son habituelle prière envers la bête qu'il venait de tuer, Asmaroth s'empressa d'engloutir son repas. Une fois repu, le dragon plongea sa tête dans le cours d'eau pour nettoyer les traces de graisse sur sa gueule et pour se désaltérer. Il fut cependant arrêté par quelque chose qu'il aperçut du coin de l’œil. L'entrée d'une curiosité l'emporta sur la prudence et il décida de s'approcher de cette grotte pour y jeter un œil. D'énormes ruines lui faisait face, illuminées d'un éclat émeraude dû aux mousses qui les recouvraient et le tout contrasté par la lumière chaude et orangée du crépuscule qui filtrait au-travers de crevasses présentent dans la voûte de la caverne."Des ruines dans une caverne..." marmonna Asmaroth en dragon n'hésita pas une seule seconde avant de franchir le seuil de la caverne. Les ruines étaient érigées sur un promontoire rocheux séparé par une rivière souterraine. C'est à la nage qu'Asmaroth rejoignit l'autre rive. Maintenant qu'il était au pied de ces-dernières, il mesurait pleinement l'ampleur du gigantisme de l'ouvrage. Même lui qui pourtant n'étais quelqu'un de petit était largement dominé par les grandes arches qui trônaient devant lui. Se promener au milieu de ce décor fit perdre toute notion de temps à Asmaroth qui, constatant que la nuit était tombé, finit par choisir de passer la nuit dans ces réveil se fit en tout douceur, dès lors que les rayons du soleil se mirent à frapper ses écailles et le réchauffer. Il se sentais frais et dispos pour la première fois depuis son réveil des terres gelées tant et si bien qu'il laissa échapper un bâillement qui se répercuta en échos sur les parois de la caverne. Bâillement qu'il stoppa net quelques instants plus tard, quand une odeur familière lui chatouilla les naseaux. C'était une odeur humaine, du moins en était-elle proche car à celle-ci se mêlait les effluves plus puissantes d'un regard du dragon se reporta aussitôt vers la seule voie de sortie de la caverne et y aperçut une silhouette humaine. Toute retraite furtive était impossible. Asmaroth maudit son imprudence qui l'avait conduit à cette situation. Reculant pas à pas, le dragon se tapit dans les ombres des ruines et pria silencieusement pour que son bâillement ait ôter l'envie de visiter les lieux du cœur de l'inconnu..."Aussi loin que se porte mes souvenirs, jamais je n'ai vue les hommes en paix. Je suis persuadé que ce n'est pas dans leur nature... Et c'est justement pourquoi ils devraient s'évertuer à la préserver." - Asmaroth Messages 199Date d'inscription 30/07/2013Age 30Vos personnages Elënna GlaëwenHumeur Bouillante " La peur... Une arme primitive mais efficace... "Les rayons du soleil pénétraient dans la caverne comme s’ils s’agissaient de la lumière divine elle-même qui honorait le monde de sa chaleur. La nature était belle, la nature était tout simplement merveilleuse. Plus les jours passaient et plus Elënna paraissait s’en convaincre. Elle l’avait appris lorsqu’elle était enfant mais aussi en grandissant parmi ces êtres aux oreilles pointues et aux traditions diverses et variées. Chaque nouveau regard posé sur la végétation abondante d’Enelis apportait du baume au cœur de la jeune femme. Si elle avait quitté sa famille adoptive, elle savait qu’ils la suivraient partout où elle irait, la surveillant par le biais de cette mère nature qui faisait de tous les paysages une beauté incomparable…L’horizon se dessinait devant la silrïndienne, s’il n’était pas lointain, il était éblouissant. Là encore, Elen n’en revenait pas ses yeux. Les ruines aux courbes elfiques trônaient avec grâce et élégance, n’ayant perdues aucunement leur prestance avec les années, et luisaient sous les lumières de l’aurore, la mousse verte qui les recouvrait par endroit leur permettant de se fondre toujours plus dans le décor. Si le fin duvet vert se confondait avec la végétation tombante des cailloux de la caverne, les vestiges de pierre semblaient faits de la même roche que celle qui composait l’immensité qu’était la grotte. L’harmonie était telle qu’elle paraissait avoir été choisie par les dieux et déesses en personne. Il faut dire que la race elfique avait toujours su se différencier des autres grâce à son architecture noble et élégante. Il n’y avait aucun doute, ces quelques morceaux de murs encore debout avaient été bâti par le peuple qui vivait sur ces terres même si cela semblait faire de nombreuses et nombreuses années que personne n’avait remis les pieds s’était rapprochée des décombres mais il restait encore une grande distance qui l’empêchait de pouvoir poser une main sur cette pierre qui semblait à la fois lisse et douce mais froide et saisissante. En effet, les ruines verdoyantes se trouvaient sur une petite île, encerclées d’un court d’eau qui ruisselait lentement à travers la caverne. Un léger clapotis résonnait contre les parois de l’abri naturel, l’eau douce glissant sur de petites roches qui avaient dû se détacher du plafond qui était à d’innombrables mètres au-dessus. Toute forme de vie était totalement inexistante et le seul bruit de sa respiration donnait l’impression à la chasseuse d’inhaler de l’oxygène comme après une course son sac en peau sur son épaule, la belle prit dans ses mains son arc et ses épées elfiques. Elle ne voulait pas risquer de les abîmer lorsqu’elle entamerait la traversée. Levant le visage légèrement comme pour humer les environs, il ne semblait y avoir rien d’anormal alors elle s’avança toujours plus. L’eau était fraîche, ce qui surprit la jeune femme mais elle ne se laissa pas démonter pour autant. Plus elle pénétrait dans ce liquide vital, plus les parties de son corps étaient anesthésiés, seuls quelques picotements se faisant ressentir aux extrémités de ses jambes. Elen serra la mâchoire, s’empêchant ainsi de claquer des dents face au froid mordant de l’eau. Tout le bas de son corps était maintenant immergé mais elle n’était pas encore arrivée. La femme-panthère grogna doucement, s’injuriant intérieurement d’être aussi curieuse et d’avoir tant voulu aller voir de plus près. Dans tous les cas, maintenant que le trajet était commencé, il ne servait plus à rien de reculer. Levant ses bras au-dessus de sa tête pour protéger ses armes, la demoiselle laissa échapper un hoquet lorsque tout son buste fut noyé dans ces eaux glaciales. Etonnamment, elle accéléra l’allure et retrouva rapidement le sol qu’elle affectionnait tant. Après tout, elle était une silrïndienne terrestre et non aquatique, sinon elle l’aurait certainement apprécié ce petit ses affaires sur la rive, Elënna s’ébroua comme l’animal qu’elle était au fond d’elle, se tapotant sur le corps pour avoir l’impression que son sang circulait de nouveau. Retirant rapidement ses habits trempés, la jeune femme les posa sur une pierre qui avait la chance de dorer sous les rayons matinaux du soleil. Elle s’enroula dans sa cape en peau, attendant patiemment que l’astre lumineux réchauffe ses vêtements. La silrïndienne s’assit, collant ses jambes à sa poitrine et les enroulant de ses bras, se balançant légèrement pour sentir de nouveaux toutes les parties de son corps. Quelques secondes passèrent, voire quelques minutes et le silence qui régnait en maître sur la caverne fut brisé d’un coup, d’un seul. Un grondement venait de s’élever dans la grotte, le bruit rebondissant sur les parois et formant un écho qui rendait le son encore plus effrayant. Aussitôt, la jeune femme bondit sur ses pieds, saisissant une de ses lames et se mettant sur la défensive, pointant son arme vers un ennemi invisible. D’où venait ce rugissement et qui avait bien pu faire un tel bruit ? Un rictus s’était dessiné sur les doux traits de la belle qui ne bougeait plus, scrutant les environs et guettant un quelconque signe de vie. La sortie n’était pas très loin. Il suffirait de prendre ses affaires et de courir vers l’entrée qui se dessinait non loin, sans oublier l’eau glacée avant. Une fois de plus, Elen se silence revint doucement, les échos du rugissement se calmant peu à peu. Pourtant, cette absence de bruits n’était plus reposante et sereine, au contraire. Elle avait maintenant quelque chose d’effrayant, qui ou quoi pouvait bien se dissimuler dans cette caverne qui pouvait abritait un village entier. Elënna regarda son attirail qui n’avait même pas eu le temps de sécher un millième de seconde. Etait-il prudent de laisser toutes ses biens ici ? Ronchonnant, la belle laissa tomber sa cape sur le sol, dévoilant son corps nu l’espace d’un instant alors que celui-ci se transformait déjà . En à peine quelques secondes, une fourrure couleur ébène recouvra la silhouette qui se penchait vers le sol, se retrouvant à quatre pattes alors que la colonne vertébrale de la demoiselle se tordait pour lui donner son aspect animal. Seuls les yeux couleur noisette d’Elënna trahissait maintenant qui elle était. La belle jeune femme avait laissé place à une panthère noire au corps élancé mais aux crocs acérés et aux griffes aguisées. Si elle devait rencontrer quelqu’un qui s’y connaissait en faune, celle-ci remarquerait certainement qu’elle était légèrement plus grande que les panthères les muscles du corps de l’animal étaient tendus, prêts à réagir si le fauve devait bondir et s’enfuir rapidement. Chaque pas de la bête était si discret que l’ouïe d’un humaine n’aurait pas su déceler sa présence. La bouche légèrement entrouverte, la panthère humait l’atmosphère. Elle n’était plus seule et le savait car une odeur de soufre l’entourait. C’était la première fois que la silrïndienne sentait un fumet tel que celui-ci. C’était à la fois étonnant et inquiétant, qui pouvait bien savoir à qui elle avait à faire. Le fauve s’avançait vers les ruines, ne leur accordant plus un seul regard pour le coup, suivant la piste qui lui chatouillait le museau. Les vestiges l’entouraient, trônant au-dessus de sa tête alors qu’elle continuait sa route, se rapprochant d’un des coins sombres de la grotte. Le parfum inconnu était encore plus prononcé et ses oreilles plaquées sur son crâne ainsi que sa gueule entrouverte trahissait la tension qui régnait dans le corps de l’animal sauvage. La chose n’était plus très loin et elle le savait. Elënna fit quelques pas de plus, remarquant une ombre massive dissimulait dans l’obscurité de ce coin de la caverne. Avançant légèrement sa tête pour mieux voir dans le noir, la panthère fit un bond lorsqu’un œil rouge et immense s’ouvrit face à elle à à peine quelques mètres devant. Le fauve recula rapidement de quelques pas, feulant comme un beau diable, son poil s’hérissant sur sa colonne vertébrale et sa queue gonflant sous la peur. La belle se tapit sur le sol, des grognements s’échappant de sa gueule alors que la silhouette se détachait peu à peu du fond noir…Laozeto > " Diane fait de l'excellent RP... " Bisous ♪♫ Messages 233Date d'inscription 25/07/2013Age 31Vos personnages Asmaroth, Jëbryel Svorda, Isilthorn Brancemar, AntarèsHumeur Ardente Plongé dans les ombres les plus obscures de la caverne, Asmaroth n'avait pas perdu une miette de l'étrange spectacle dont il avait été le témoin. La silhouette abandonna promptement sa cape exposant sa peau nue au soleil. Il s'agissait assurément d'un femelle, le dragon si connaissait suffisamment en anatomie humaine pour savoir que c'en était une. Néanmoins, il ne s'était pas attendu à voir la jeune femme céder la place à une panthère au pelage noir anormalement les premières secondes d'étonnement, le dragon compris que la femme comptait apparemment chercher l'origine du grondement à l'aide du flair de cette étrange forme animal. Sans attendre un instant de plus, il s'enfonça dans les ombres et pria pour que ses écailles argentées ne rencontrent pas un éclat de soleil qui le trahirait aussitôt. Pour plus de sûreté, il choisit de fermer ses yeux. Par le passé, il avait appris à ses dépens que ses yeux grenat brillaient dans l'obscurité et pouvait tout aussi bien divulguer sa présence que de la lumière se reflétant sur ses il resta dans cette état, aussi inerte qu'une statue de pierre, attendant désespérément qu'un miracle détourne le félin de sa traque. Malheureusement, Asmaroth doutait qu'il y ait un moyen pour que le fauve ne s'intéresse pas à son odeur. Après tout cela revenait au même que de demander à un nain d'ignorer une montagne d'or qui se trouverait juste sous son dragon ne cessait de rester concentrer sur les bruits de pas presque inaudible du félin qui, inexorablement, continua à s'approcher dans sa direction. Bien qu'il mourrait d'envie d'ouvrir les yeux pour voir l'étrange être mi-animal, mi-humain qui s'avançait, Asmaroth se força tant bien que mal à les garder la présence du fauve continuait de se faire plus insistante de minutes en minutes. N'y pouvant plus, Asmaroth ouvrit les yeux et son regard croisa aussitôt celui de la panthère. La réaction de celle-ci fut des plus évidente et c'est sans surprise que le dragon la vit prendre peur et feuler pour tenter de le dissuader d' laissa échapper un long soupir rauque. Jouer à cache-cache était inutile à présent. Lentement, le dragon se redressa, quittant le couvert des ombres. Certaines de ses écailles captèrent la lumière du jour et se mirent à briller de milles feux apportant au passage un peu de lumière. Le regard toujours poser sur le fauve, il décida de s’asseoir, enroulant au passage sa queue autour de ses pattes."Cessez ce petit numéro, je n'ai nullement l'intention de vous attaquer." grommela Asmaroth en elfique, espérant que la panthère connaissait cette langue."Je m'excuses pour tout à l'heure. Je ne comptais pas vous effrayer lorsque j'ai poussé ce grondement. A vrai dire, je ne savais même pas que vous vous trouviez dans la caverne. J'ai néanmoins pu constater que vous n'êtes pas qu'un simple fauve. Qu'êtes-vous donc au juste?""Aussi loin que se porte mes souvenirs, jamais je n'ai vue les hommes en paix. Je suis persuadé que ce n'est pas dans leur nature... Et c'est justement pourquoi ils devraient s'évertuer à la préserver." - Asmaroth Messages 199Date d'inscription 30/07/2013Age 30Vos personnages Elënna GlaëwenHumeur Bouillante " La belle et la bête... "L’inconnu avait une chose d’excitant, presque autant que l’idée de partir à l’aventure si l’on ne combinait pas les deux pour une quête où sa vie serait en péril. Dans la vie, il y avait deux types de personnes, ceux qui voulaient découvrir le monde et mettaient leur destin dans les griffes du destin et ceux qui ressentaient la peur qui pouvait venir de tout comme de rien. Ces derniers restaient dans leur village, ne voyant que les mêmes choses tout la vie, vivant dans une routine, un quotidien presque ennuyant. Pourtant, si ce train-train leur déplaisait, il s’en accommodait, la peur de ce fameux inconnu prenant le dessus sur toute chose. S’il y avait bien une chose qu’Elënna n’aurait pas pu faire, c’était rester auprès de ses parents adoptifs tout sa vie et ne pas pouvoir découvrir le monde qui l’entourait. Cependant… Cela devait-il être en échange de sa vie que l’aventure s’ouvrait à elle ?En effet, la peur venait de prendre d’assaut le cœur de la panthère qui feulait comme un démon sur l’énorme bête qui se cachait là , tapie dans l’ombre et certainement prête à lui sauter dessus, n’attendant qu’une chose, la dévorer toute crue. Elen avait beaucoup lu, depuis sa plus jeune enfance et encore plus lorsqu’elle s’était décidée à prendre le large, laissant ceux qui l’aimaient derrière elle. Après la découverte de son prénom silrïndien, elle s’était renseignée sur tout et rien, lisant archives sur archives, contes sur contes et mémoires sur mémoires. C’était comme si elle connaissait tout de cet univers qui était le sien. Pourtant, maintenant qu’elle faisait face à cette chose, elle commençait à douter de son savoir et à se prendre une simple enfant ignorante et donc que le poil du fauve avait gonflé, prenant un volume inimaginable et sur les dents acérées de celui-ci furent dévoilés. Tapie sur le sol froid de la caverne, Elënna n’osait plus bouger, un grondement résonnant dans sa cage thoracique, faisant le yo-yo dans les sons graves et aigus. Ses oreilles tapies sur son crâne trahissaient sa surprise et la certaine crainte qu’elle pouvait ressentir face à cette chose qui faisait une centaine de fois sa taille. La jeune femme qui avait pris sa forme animale était persuadée que l’odeur de sa peur empestait à des kilomètres à la ronde mais ce n’était pas tous les jours qu’un tel spectacle se déroulait devant ses yeux. Cependant, cette angoisse laissa rapidement place à autre chose l’émerveillement. Un long soupir rauque venait d’être poussé par le monstre qui sembla se dérouler en l’espace de quelques secondes, son long corps de mastodonte s’étirant et le rendant toujours plus impressionnant. Le regard doré de la belle ne lâcha pas celui rouge de la bête qui ne cessait de s’élever vers le plafond de la grotte." Cessez ce petit numéro, je n'ai nullement l'intention de vous attaquer. "De l’elfique ? Intéressant, très intéressant même. Une des oreilles de la panthère remua doucement comme pour montrer la curiosité qui commençait à prendre la place de la peur. Le grand-monsieur-serpent avait dit qu’il ne l’attaquerait pas, il n’y avait plus qu’à espérer que le mensonge n’était pas une de ses qualités." Je m'excuse pour tout à l'heure. Je ne comptais pas vous effrayer lorsque j'ai poussé ce grondement. A vrai dire, je ne savais même pas que vous vous trouviez dans la caverne. J'ai néanmoins pu constater que vous n'êtes pas qu'un simple fauve. Qu'êtes-vous donc au juste ? "Si elle l’avait pu, Elënna aurait haussé un sourcil face à l’intérêt que lui montrait la bête. Pourtant, elle était dans le même cas. Se ressaisissant légèrement, la fauve noire s’assit sur son postérieur, se donnant quelques coups de langue sur le poitrail pour lustrer et aplatir sa fourrure qui avait été aussi apeurée qu’elle à l’idée de finir casse-croûte pour gros serpent. Un serpent ? Pas exactement. La demoiselle ne savait même pas si l’on pouvait qualifier cette race de reptile, il faudrait qu’elle lui pose la question. En effet, maintenant qu’elle remettait de l’ordre dans ses pensées, les souvenirs lui revinrent en mémoire. Un dragon, voilà qui il était. La belle avait pu lire des tonnes de choses sur eux sans vraiment que tout soit dévoilé. Ils étaient un mystère vivant bien que certains écrits racontaient qu’ils n’étaient plus de ce monde. Pourtant, il n’y avait aucun doute, la silrïndienne ne pouvait pas imaginer ce qu’elle avait devant elle, même son esprit imagé ne pouvait pas faire de telles dragon… Rien que ça. Une certaine joie brillait dans le regard de la panthère face à cette découverte qui resterait à jamais marqué dans son esprit. Enfin, celui-ci lui avait posé une question. Cependant, avant de lui répondre, elle voulait essayer quelque chose. Les différentes capacités de son don s’étaient toujours avérées marcher sur les humains, les elfes et les silrïndiens qu’elle avait pu croiser. La question étant de savoir si le dragon, lui, pourrait-il percevoir ce qu’essayait de lui faire comprendre le fauve. Elënna n’essaya pas de ressentir les émotions du grand reptile, mais elle voulait faire fonctionner l’autre côté de son don, celui qui lui permettait d’ancrer des images dans l’esprit de son interlocuteur. Plongeant son regard dans celui de la bête à écailles, la silrïndienne se concentra rapidement, n’ayant toujours pas répondu au dragon. Peu à peu, les images glissèrent dans son esprit, caressant peut-être celui de son nouveau compagnon de la journée. La belle montrait son ancien clan de silrïndiens et les différentes personnes se transformant en un animal, expliquant bien au reptile qu’elle n’était pas la seule. Quelques secondes passèrent et elle ne sut pas si cela avait marché ou non. Le dialogue serait tout-de-même difficile à établir comme cela, l’image de ses affaires s’insinua dans ses pensées, essayant de faire comprendre qu’elle allait revenir. Bondissant vers ses affaires, Elen ne jeta même pas un regard en arrière. Quelle chance. Elle n’en revenait pas. Elle pensait devoir parcourir le monde entier pour voir de telles choses et voilà que sur le continent elfique-même, elle avait croisé la route d’un dragon. Etait-ce un hasard ? Une coïncidence ? Ou bien le destin ? Dans tous les cas, la belle y voyait là une chance incroyable, une occasion à ne pas louper. Rejoignant ses habits maintenant secs, la jeune femme abandonna sa forme animale en deux secondes pour se vêtir de nouveau. Un air béat se dessina sur son visage lorsqu’elle mit ses vêtements chauffés par les rayons du soleil, l’odeur de celui-ci les ayant parfumés d’une odeur du mois de Noma. Une fois toutes ses affaires sur son dos, la jeune femme repartit en sens inverse, trottinant vers le dragon. Cette fois-ci, ce fut de ses yeux qu’elle admira la beauté de ce dernier. Quelques rayons de soleil venaient s’échouer sur ses écailles, les faisant miroiter et briller. Seulement un ou deux mètres séparaient maintenant les deux individus. Un sourire se dessina sur le visage de la belle." Je suis rassurée de savoir que vous ne comptez pas me croquer sans me demander mon avis auparavant. "Elle émit un petit rire, amusée et maintenant ravie d’avoir fait cette rencontre, la peur ayant complètement quitté son corps." Je me prénomme Elënna Glaëwen. Pour répondre à votre question, Sir Dragon, je ne suis ni humaine, ni animale. Je suis un peu des deux, tout simplement. Les autres races appellent la nôtre la race silrïndienne, nous sommes des silrïndiens. Cela fait maintenant quelques années que nous nous sommes dévoilés au monde. Et moi, à qui ai-je l’honneur ? "La brune n’avait pas eu peur d’expliquer sa nature étant donné que la plupart des races connaissaient maintenant l’existence de la leur. A priori, le dragon n’avait pas suivi les actualités de leur monde. Le visage levé vers la tête de ce dernier, Elen n’avait pas peur de se faire mal au cou, trop occupée à le détailler la moindre chose qui pourrait lui permettre d’en apprendre plus sur le colosse. Elle voulait tout savoir et sa curiosité maladive reprit rapidement le dessus." Dîtes-moi… Certains livres racontent que ceux de votre espèce ont tous été décimés. Ce qui est un mensonge bien entendu vu que vous vous tenez devant moi. Comment cela se fait-il donc ?Laozeto > " Diane fait de l'excellent RP... " Bisous ♪♫ Messages 233Date d'inscription 25/07/2013Age 31Vos personnages Asmaroth, Jëbryel Svorda, Isilthorn Brancemar, AntarèsHumeur Ardente C'est avec un certain soulagement qu'Asmaroth vit le fauve se calmer. Rien ne l'aurait plus chagriné que de devoir user de sa magie draconique pour instiller une peur profonde à l'animal afin d'obtenir pour obtenir son attention si jamais l'hystérie l'avait gagné. Quoiqu'il en soit, le félin se tut de lui-même et alla même jusqu'à commencer ce qui semblait être une séance de toilettage. Le dragon en resta songeur en constatant à quelle vitesse le fauve l'avait semble-t-il considéré comme un être amical. Asmaroth ne l'en tint pas pour autant rigueur et se contenta d'attendre patiemment la réponse à sa dragon n'eut pas à a languir très longtemps avant de redevenir le centre d'attention du félin. Celui-ci plongea son regard d'or dans les yeux d'Asmaroth et le dragon ressenti presque aussitôt le tourbillon de sentiments qui vibrait derrière ces pupilles fendues. La peur n'y avait pas sa place, bien au contraire. Le dragon aurait juré y percevoir un vif enthousiasme qui lui arracha un sourire."Allons bon. On dirait que je suis encore tombé sur quelqu'un qui parvient à perdre toute méfiance dès lors que je montre patte blanche..." soutint le regard du fauve de son regard grenat, bien qu'il commença à se sentir un certain malaise à lire les émotions de la créature sans que celle-ci ne se doute de rien. Il y avait fort à parier qu'elle n'était pas familière de l'étrange instinct que les dragons possède lorsque l'on croise leur regard. Néanmoins, son malaise ne s'éternisa vraiment comprendre comment cela était possible, Asmaroth eut en effet la surprise de voir des images se former dans sa conscience sans qu'il les ai même pensé. Passé le choc des premiers instants, le dragon comprit qu'il ne pouvait s'agir que d'un étrange don que possédait vraisemblablement le fauve et qui lui permettait de s'exprimer sans la parole. Conscient que son esprit luttait pour se fermer à cette intrusion, Asmaroth ferma ses yeux et commença lui aussi à se concentrer, faisant le vide dans sa tête afin de se focaliser sur ce que voulait lui montrer la premières images qu'il identifia représentait une sorte de campement humain bordé de toute par par une immense forêt. Asmaroth n'eut aucun mal à situer cette emplacement sur Enelis, la luxuriante végétation qu'il y voyait servait aisément de signature. La suite fut cependant plus intéressante quand elle lui montra diverses personnes tant des enfants, que des adultes et des vieillards des deux sexes qui se changeaient en bêtes sauvages. Toutes les transformations auxquelles il assistait était spectaculaire, l'une des plus impressionnantes étant sûrement celle d'un homme qui céda sa place à un ours immense. Asmaroth se mit à éprouver une curieuse fascination pour ces êtres capables de changer d'apparence. Malgré ses longues années de vie, le dragon n'avait jamais entendu parler de tels êtres. Certes, il ne lui était pas d'aller en ville pour glaner des informations et il arrivait souvent qu'il ne soit pas au fait des derniers ragots du Naldor. C'est souvent ce fait qui le poussait de temps à autre à croiser la route de vagabonds errants sur les sentiers abandonnés et de discuter avec eux des derniers sujets en vogue avant de les abandonné à l' dans ses propres pensées, Asmaroth ne se rendit compte que les images avaient cessé de se former dans son esprit que lorsqu'une nouvelle image s'y forma. Le dragon reconnut aussitôt l'endroit. Il s'agissait de l'endroit où le fauve avait laissé ses affaires humaines. Ayant une vague idée de ce que le fauve tentait de lui expliquer, Asmaroth ne fut pas surpris de le voir bondir en direction de ses n'attendit pas longtemps avant de voir le fauve reprendre des traits humains. Le dragon, était stupéfait de voir que des être dotés d'une nature duelle homme-animal pouvaient exister. Il avait bien sûr entendu parler des lycanthropes, ces humains condamnés à errer sous la forme de loup assoiffés de sang lors des pleines lunes. Mais ce que lui avait montré la panthère ne ressemblait en rien à cela. D'une part, ces gens ne se changeaient pas tous en loup et d'autre part, ils semblaient pouvoir se transformer à volonté. C'est donc avec une impatience savamment dissimulée qu'Asmaroth attendit le retour de l'étrange créature et des réponses qu'elle pouvait lui apporter."Je suis rassurée de savoir que vous ne comptez pas me croquer sans me demander mon avis auparavant." dit-elle à son retour et laissant échapper un rire enjoué. "Je me prénomme Elënna Glaëwen. Pour répondre à votre question, Sir Dragon, je ne suis ni humaine, ni animale. Je suis un peu des deux, tout simplement. Les autres races appellent la nôtre la race silrïndienne, nous sommes des silrïndiens. Cela fait maintenant quelques années que nous nous sommes dévoilés au monde. Et moi, à qui ai-je l’honneur ?"Asmaroth s'apprêtait à répondre à la jeune femme mais celle-ci ne semblait décidément pas à court de salive car elle repris sans même attendre une quelconque réponse de la part du dragon."Dîtes-moi… Certains livres racontent que ceux de votre espèce ont tous été décimés. Ce qui est un mensonge bien entendu vu que vous vous tenez devant moi. Comment cela se fait-il donc ?"Profitant d'un arrêt dans le flot de parole de la jeune Elënna, Asmaroth s'empressa de répondre à ses questions avant d'être assailli par encore plus d'interrogation."Tout d'abord, je suis enchanté de vous connaître, demoiselle Elënna. Pour répondre à votre première question, sachez que je ne donne pas mon nom véritable au premier venu. Je suis plus connu sous le sobriquet que mon donné les elfes, il y a de cela plusieurs siècles à présent. Laris Nalir, l'Ombre Flamboyante. Tel est ce surnom." murmura Asmaroth. "Quant à la supposée extinction de ma race, vous avez effectivemment vu juste en décrétant qu'il s'agissait-là d'un mensonge."Le dragon ferma les yeux, se remémorant les enseignements de son père concernant le passé de son espèce. Lentement sa voix, s'éleva de nouveau."Néanmoins, elle se trouve réellement au bord de l'extinction. Cela est principalement dû à la grande guerre qui nous à conduit à perdre l'Orath et par la suite à la chasse que nous a livré les autres races du Naldor. Bons nombres d'êtres sur ces terres ne voient les dragons que comme d'énormes réserves d'artefacts magiques, d'autres ne pensent qu'à accrocher nos têtes dans leur maison, comme de vulgaires de chasse. Vous saurez sûrement étonné d'apprendre que mêmes les elfes participèrent à ces chasses..."Asmaroth se tut, hésitant à poursuivre sa tirade avant de finalement craquer."Mais la véritable raison, que les dragons préféreraient oublier, est le nombre de naissance si faible de nouveaux dragons. Le Naldor semble avoir choisit de nous rejeter,c'est pourquoi vous m'avez trouvé tapis dans les ombres. Ainsi, je me préserve des mauvaises rencontres, car il n'y a que de cette façon que je pourrait faire de vieux os ici-bas et que je pourrait par la même, tenter de redorer l'avenir de ma race."Asmaroth cessa enfin de parler et posa ses iris grenat sur la jeune fille. Il avait sûrement donné matière à réflexion à la jeune femme mais il s'interdit cependant de croiser le regard de celle-ci afin de ressentir ses émotions. Pour autant, le dragon ne pouvait s'empêcher de se demander comment la jeune silrïndienne allait réagir à ses réponses..."Aussi loin que se porte mes souvenirs, jamais je n'ai vue les hommes en paix. Je suis persuadé que ce n'est pas dans leur nature... Et c'est justement pourquoi ils devraient s'évertuer à la préserver." - Asmaroth
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Des éclats de rires, parfois ça punissait, ça s'éclaboussait dans les vagues de la mer et se lançait du sable sur le visage avec des pelles en plastique de couleur vive. Lorelei ne pouvait s'empêcher de les envier. Ses jours d'enfance, on les lui avait prit, pour un pouvoir qu'elle ne maîtrisait même pas. Bon, il fallait oublier tout ça. Son attention se reporta sur une dame assez âgée qui nourrissait les célestons de tomates bien rouges. Lorelei sourit, c'était amusant de voir ces gros oiseaux gober des tomates comme s'il s'agissait de miettes de pain. Ils étaient mignons, ces petits bestiaux. Elle commençait à avoir un peu chaud. A cause de sa pudeur, elle n'osait pas se mettre en maillot de bain devant tout le monde. Assez de personnes ont parcouru son corps du regard ou avec leur main, pour qu'elle accepte de montrer encore un bout de son ventre. Si elle était capable de porter des jupes et des robes, se dévoiler autant c'était encore une autre histoire. Ça lui donnait l'impression que tous les regards étaient posés sur elle et ne lui souhaitaient du bien. Ça lui faisait peur. Elle se saisit d'une bouteille d'eau et commença à l'engloutir. Un céleston s'approcha d'elle et l'observa de ses grands yeux brillants. Lorelei lui montra la bouteille et ce dernier ouvra la bouche. Elle y versa un petit peu d'eau et ce dernier la remercia par un petit cri tout aussi adorable que sa tête. Il s'installa aux pieds de la jeune fille qui décida de ne plus bouger pour ne pas le déranger. Ils étaient vraiment amicaux ces animaux. _________________Spoiler Sa royauté Félyx Okenmessages 43 Sujet Re Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu. LIBRE Jeu 21 Jan - 2343 LE BONHEUR EST PARFOIS CACHE DANS L'INCONNU. De sa main droite, Félyx tenait son carnet de note, de sa main gauche un paquet de madeleines acheté deux cents dans un distributeur deux ans plus tôt. Mais bon ça périme jamais les gâteaux. Le jeune brun avait besoin d’un lieu calme afin de trouver de nouvelles idées pour une nouvelle mise en scène. Il ne connaissait pas encore très bien l’île, il était arrivé il y a quelques jours précipitamment. Cet endroit attisait sa curiosité comme jamais. On lui avait parlé de la magnifique plage, il pensait qu’il y trouverait tranquillité mais il comprit rapidement qu’il avait eu tord. Des familles, des cris, tout ce qui pouvait agacer Oken au plus haut point. Il ne s’était pas habillé en conséquence, il avait choppé quelques vieilles fringues légères mais pas trop et toujours les même baskets qu’il retira rapidement quand il sentit le sable chaud sous ses pieds. Les grains de sable glissait entre ses orteils, il mâchouillait un crayon dans sa bouche et balayait du regard la plage. Il avait entendu parler des omegas, il pensait voir continuellement des étincelles, des bêtes étranges, en action, mais ils semblaient être très discrets. Peut importe, il avait le temps d’en apprendre plus lorsque qu’il se sera adapté à l’île. Il finit par s'asseoir brusquement dans le sable énervé et marmonna d’une voix agacé Caliss, pas possible d’trouvé un coin peaceful par ici. » Il tournait la tête. Une belle jeune femme juste à ses côtés, bon la journée était pas si moche. CODE DE PHOENIX O'CONNELL POUR NEVER UTOPIA _________________ L'artiste désenchantée Lorelei Blodwynmessages 105 Sujet Re Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu. LIBRE Ven 22 Jan - 009 Le bonheur est parfois caché dans l' juron parcouru les airs pour atterrir dans les oreilles de Lorelei. Caliss », peaceful » ? Qu'est-ce que tout cela pouvait-il bien dire ? Elle se tourna en direction de la source et aperçu un jeune homme qui la regardait. Il avait beau être plaisant à regarder, il y avait quelque chose qui impressionnait beaucoup Lorelei et qui lui faisait presque peur. Est-ce que cela venait de ses longs cheveux noirs indisciplinés, ou de ses cernes bien visibles sous ses yeux ? Elle ne saurait quoi dire. Ne voulant pas paraître pour une folle qui observait les gens avec insistance, Lorelei le salua de la main avec un très maigre sourire avant de nouveau admirer ceux qui vivaient paisiblement leur vie de famille dont elle a tant rêvé lorsqu'elle était entre ses quatre murs blancs. L'oiseau n'avait pas bougé de ses pieds. Amusée, elle le caressa dans le sens des plumes du bout des doigts. L'animal, surprit par ce geste soudain, sursauta pour ensuite se laisser faire. Elle était sûre que, s'il était un chat, il se serait déjà mit à ronronner. Ah, si elle pouvait l'amener avec elle, elle se serait bien tentée. Sauf qu'il s'agissait d'un animal sauvage malgré son côté très amical et proche avec les humains. Ce serait lui priver de sa liberté qu'elle aussi, chérissait tant. Depuis qu'elle a réussi à s'évader de cet endroit, pour ne pas dire l'avoir condamné à jamais, elle savourait chaque instants passés à l'extérieur. C'était si bon de retrouver la sensation du soleil sur sa peau. Elle prit un bloc-note qui se trouvait dans son sac avec un stylo et s'amusa à dessiner l'oiseau. Ce n'était pas une bonne dessinatrice mais ce n'était pas la pire non plus, son niveau restait quand même assez pittoresque. _________________Spoiler Sa royauté Félyx Okenmessages 43 Sujet Re Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu. LIBRE Ven 22 Jan - 816 LE BONHEUR EST PARFOIS CACHE DANS L'INCONNU. Parfois, il aimerait être capable de lire dans les pensées des personnes juste en face de lui lorsqu’on l’aperçoit pour la première fois. Est-il prit pour un ancien drogué, qui deal sur les trottoirs du Québec pour réussir à passer les fin de mois. Ou est-il prit pour ce qu’il est vraiment ce qui serait incroyable. On ne peut lire sur son visage riche, cultivé, en santé» à moins de coller une pancarte sur son front. - Et le dernier critère restait à discuter vu la quantité de sucre ingurgité et les cernes de fatigue indélébiles - La réaction de la jeune femme était difficile à déterminer. Il ne savait pas si c’était son fort accent qui l’avait surprise ou si c’était le fait qu’il la fixait comme un vieux pervers avec un filet de bave au coin de la bouche. Je pense que la deuxième solution est la plus plausible. Il dit d’un débit plus lent Sorry, quand chui énervé mon accent est plus fort » En avait-elle quelque chose à faire ? Sûrement que non, puisqu’elle semblait déjà ne plus lui prêter même temps lorsqu’un inconnu débarque à côté de vous de cette façon il y a de quoi être rebuté. Il finissait par remarquer l’étrange créature au bout de ses pieds Qu’est kossé c’ti piaf ? J’en ai jamais vu des comme ça...» Il s’était renseigné sur l’île mais il s’était concentré sur la légende et les omegas. Il avait entendus aussi la rumeur des ténébreux qui sèment en ce moment la terreur. Il était perdu au milieu de toutes ses nouvelles connaissances. Il observait de nouveau la jolie dame. Vos cheveux sont splendides. » Ce rose pâle, s’accordait parfaitement avec le teint porcelaine de sa peau. Si il devait se lier avec une omega se serait une comme elle. Voir les dégâts qu’il pourrait lui apporter. Sa peau fissuré par les expériences qu’il aura soigneusement prémédité. Enfin, il aura tout le temps de trouver la victime idéale. Je ne me suis pas présenté, j’me nomme Félyx et vous young lady ? » Il n’avait aucunement envie de l’importuner, mais vu la situation il ne pouvait réfléchir ni écrire. Elle avait sortit un bloc-note de son sac et commençait à tracer des formes sur une page. Le jeune alpha ne savait pas si il pouvait se rapprocher d’elle pour constater ce qu’elle pouvait gribouiller. Il se contenta de dire d’un ton ironique J’sais que j’suis fort beau mais quand même, jusqu’à me dessiner j’suis flatté. » Non il ne draguait pas. Enfin cette phrase pouvait porter à DE PHOENIX O'CONNELL POUR NEVER UTOPIA _________________ L'artiste désenchantée Lorelei Blodwynmessages 105 Sujet Re Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu. LIBRE Sam 23 Jan - 2344 LE BONHEUR EST PARFOIS CACHÉ DANS L' devait être cool de partager sa vie avec un animal, pensa la jeune fille aux cheveux roses pâles. Ses doigts fins continuaient de caresser machinalement le céleston de sa main droite, la seule de libre, tandis que la gauche essayait de griffonner sur le papier. Apparemment, l'homme qui s'était installé pas très loin d'elle, essayait de lui faire la conversation. Lorelei étant beaucoup trop impressionnée, n'osa même pas répondre et poursuivi son activité. Elle recula de quelques millimètres sa tête pour pouvoir contempler son oeuvre » d'un œil plus, si on peut dire, lointain. Elle soupira. Elle était vraiment désolante quand il s'agissait de dessiner. Il fallait qu'elle s'entraîne et persévère. Après tout, cela faisait que peu de temps qu'elle avait rencontré ces jolis objets que l'on appelle crayons de couleur. Lorelei se demandait si le garçon ne s'était pas rapproché d'elle. Elle n'y prêtait pas vraiment attention. Il semblait intrigué par l'étrange créature qui reposait à ces pieds. Comment ça, il ne savait pas ce qu'était un céleston ? De quel monde venait-il celui-là ? Ah... peut-être de l'extérieur. Un petit nouveau qui n'a pas entièrement découvert la faune et la flore de l'île Aonghusa. Pour une fois, elle se tourna vers lui avec un sourire pour lui parler vivement de quoi il Cet oiseau est un céleston. C'est une des espèces que l'on peut qualifier de gentilles sur l'île d'Aonghusa. Ils ne chercheront pas à vous manger, ils sont herbivores, même s'ils ont une tête qui fait penser à celle d'un dragon. Enfin, je ne parle pas de ce que je ne connais pas, puisque je n'ai jamais rencontré un dragon en vrai... ça doit être venait vraiment de l'extérieur, il devait certainement la penser folle. Lorelei a tellement vu de créatures étranges ici qu'elle était persuadée que des dragons pouvaient très bien se cacher au-dessus des plus hauts nuages du ciel et traverser tous les continents sans que personne s'en aperçoit. En tout cas, le garçon ne semblait pas réellement intéressé par ce qu'elle racontait puisque son regard ne s'était pas décroché d'elle. Il la complimenta sur ses cheveux, ce qui eut pour réaction de la faire rougir, elle qui n'avait pas l'habitude de recevoir des compliments d'une autre personne que Ella. Sinon, c'était sur sa voix. Elle passa une main dans ses cheveux et détailla une de ses mèches. Il était vrai qu'ils étaient plutôt jolis. Elle en était plutôt fière, bien que ce n'était pas très original ici. - Merci, elle ne savait pas quoi dire de était plutôt atypique. Il avait l'allure d'un garçon complètement normal malgré ses cernes noires sous ses yeux. Néanmoins, il dégageait toujours quelque chose d'inquiétant. Une sensation dont elle ne pouvait se dégager. Elle en avait marre de se méfier de tout le monde et de n'importe qui. Tant c'était une personne très gentille qui ne lui voudrait jamais de mal. Ce n'était pas en agissant constamment en distance qu'elle se fera des amis. Il se présenta. Elle pouvait enfin donner un nom à son visage. Félyx donc. Bon, elle ne comprit pas la moitié de son discours. Young lady » ? Mais c'était quel langage ? Ça lui rappelait de l'anglais... ça devait probablement être ça, mais l'accent était complètement différent. Il ne devait pas venir d'Angleterre. Il ajouta rapidement une remarque comme quoi, elle était en train de le dessiner. Le rose lui monta aux joues de nouveau, ajoutez à ça de l'embarras. Elle reposa son crayon et secoua ses mains dans tous les C-Ce n'est pas du tout ça ! J-Je ne vous dessine pas ! Elle était persuadée que ses bégaiements devaient rajouter à son ridicule. Pas que vous soyez moche... 'fin... ce n'est pas ce que je veux dire mais ! Ah ! Zut ! Moi c'est Lorelei !Hello darkness my old Contenu sponsorisé Sujet Re Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu. LIBRE Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu. LIBRE Page 1 sur 1 Sujets similaires» Dans la vie on ne fait pas ce que l'on veut... Libre» Linna HUANG - Alpha - LibrePermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumObedience's Law j'aime la nature là où je t'emmènerai
Parfois600 pages, c'est trop court ! C'est le cas pour ce formidable roman que nous offre Malika Ferdjoukh. New-York, après-guerre : un jeune français débarque dans un foyer de jeunes filles apprenties comédiennes. Un roman pétillant et joyeux, très documenté, où l'on croise même le jeune Woody Allen à ses débuts! On ressort de la lecture en fredonnant un air de jazz, des
"A ce moment où j'écris, je rêve de grands espaces. Je rêve d'un champs, d'un lac isolé, d'une photo avec un animal. Je veux, j'ai besoin de me retrouver en face en face avec la nature. De me prendre une claque pour me remettre les idées en place. Je veux apercevoir l'infiniment grand et être l'infiniment petit. Je veux être en bas d'une montagne et avoir le courage de l'escalader. Je veux être émerveillée devant un paysage, stoppée par un coucher de soleil. Je veux retrouver les vraies bonnes choses de la vie. Le vrai bonheur simple. Les vraies valeurs. Je veux me retrouver moi-même. On a tout besoin de se ressourcer."
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InvitéInvité Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu Octave posté Dim 4 Nov - 2105 Le soleil déclinait doucement sur Montréal alors que tu parcourrais les derniers kilomètres en direction de ce taudis, un misérable bâtiment détruit qui pourtant, avait encore ses quelques murs. Les soirées commençaient à devenir glacial et pourtant, cette soirée-là , seule les limbes s'étaient invités au rendez-vous. Tu avais ses bouffer de chaleur, déglutissant de cette soif qui ne quittait jamais ton palet. ô combien tu avais espéré que cela n'arrive jamais et pourtant voilà , désormais tu en étais certaine. Prise d'une quinte de toux grasse, tu te mises à grimacer, expirant un trop d'oxygène dans tes poumons meurtri par la chaleur des cigarettes matinales - Tu étais malade, tu en étais certaine. Avec un dernier effort, tu déposais tes affaires contre un mur de la bâtisse, son atmosphère sombre et glauque te donnant cette tranquillité dont tu avais besoin. Retombant contre la vieille couverture grignotée par les rats et puant la moisissure, tu déposais ta main contre ton front bouillant. La main tendue et tremblante, tu te mises à chercher un semblable de paquet de médicament dans tes affaires mais, n'ayant pas refermé la lame de ton couteau suisse, celui-ci te trancha la grimace décorant ton visage poussiéreux, tu te mises à lécher le sang émanant de la plaie en retournant à la recherche du paquet qui ne disposait désormais plus que d'une gélule. Vidant le reste d'une vieille bouteille d'eau ayant déjà l'odeur et le gout de périmer, la gélule traversa ta gorge et désormais, tu s'avais qu'il n'était qu'une question de tempsTu avais chaud, puis froid, les bouffer de chaleur te rappelant le désagrément de ce que les femmes pouvaient ressentir pendant leurs menstruations. La faim aux ventes, la gorge sèche, et ce cachet qui ne semblait pas faire effet, tu te mises à grogner... qu'est-ce que la douleur pouvait devenir intense, avec cette bile que tu vomissais, faute d'un estomac bien que trop vide. La gorge en feu, tu ne te souvenais de n'être jamais tombé malade ainsi. Qu'est-ce que tes parents et leurs façons de te surprotéger te manquaient... Rabattant la couverture sur tes épaules, tu te mises à respirer bruyamment, enfonçant tes ongles dans le creux de ta main, rouvrant la plaie qui venait à peine de sécher. Octave Doe L'enclave ma envoyer 174 missions depuis mon arrivée à Montréal le 19/10/2018 Je joue Octave Doe Re Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu Octave posté Lun 5 Nov - 1620 OCTAVE & JODI Pour une fois j’avais laissé mon club a mon gérant, je peux facilement donner le change et faire comme si j’étais socialement actif mais il me fallait mon espace personnel de temps en temps, et en ce moment je n’arrêtais pas de penser à cette Abbadon avec qui j’avais passé un moment très agréable. Elle avait rendu toutes mes autres interactions sociales très fades, sans réel contenu. J’étais donc sorti ce soir là , je croyais qu’être un diurne allait me libérer de mes démons et que je pourrais vivre au soleil comme les autres mais il n’en était rien, au contraire même, je devais rester dans l’ombre pour ne pas faire en sorte que la jeune femme se fasse vider de son sang ou qu’elle est des retombée de sa hiérarchie, si l’enclave apprenait qu’elle pouvait faire ça ce serait la mort assurée, et s'ils le découvraient avec moi qui plus est-ce serait apocalyptique. Le vampire premier né qui peut sortir au soleil, de quoi faire peur à bon nombre de bureaucrates. Dans les pensées j’avançais tout droit sans réfléchir a un itinéraire quand je m’aperçus que j’étais dans le south side, un quartier bien mal famé pour les mortels, mais un régal pour les créatures dissidentes. Les battisses à l’abandon et les gens pauvres en faisaient un formidable terrain de jeux. D’un coup une douce odeur vaine captiver mon attention, DU SANG ! Je me lançais alors à la recherche du sac à viande à qui appartenait ce sang en espérant qu’il n’était pas vidé par un vampire en manque, rien n’est pire que des Shadow Hunters voulant faire régner l’ détour d’une ruelle j’apercevais la jeune femme, une enfant à vrai dire, même pas vingt ans, elle avait l’air vraiment mal. Je m’approchais donc d’elle en enlevant mon grand manteau noir et mis sur la femme recroquevillée sur elle-même. Bonjour, je suis Octave, tu n'as pas l’air bien du tout, tu veux de l’aide petite . »À la vue de sa plaie je grimaçais, pas par peur mais par envie de la lécher jusqu’à la vider, je devais rester sobre mais comment faire si tous les gens que je rencontre me forcent l’envie… code by lizzou × gifs by tumblr _________________Octave Annæus Doec anaphoreInvitéInvité Re Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu Octave posté Lun 5 Nov - 1709 La température de ton corps commençait à monter en flèche alors que les douleurs apparaissaient seulement. Un véritable brasier qui te prenait de tout ton être. Ton ventre était vide, la sensation de manque t'enserrant l'œsophage... tout comme cette bile restante, te brûlant sans cesse la gorge. Tu commençais à peine à tousser et pourtant, tu avais cette impression futile que l'on était en train de t'arracher les bronches une par une. Ah... que la maladie pouvait se montrer d'une t-elle violence - à quoi bon ce battre ? Le baiser de la mort serait sans doute bien plus appréciable. Dans cette solitude qui était tienne, tu te mises à sourire légèrement, ton esprit divagant dans un passé lointain. Tu te voyais au côté de ta mère, un soir de pleine lune alors qu'un encens était en train de brûler et s'envoler, caressant le vent et les étoiles. Tu tenais tes croyances des siennes, celle qui consistait à croire que des esprits divins incarnaient des forces naturelles. Tu avais toujours eu cette préférence pour la lune comme le soleil, eux qui étaient bien diffèrent l'un de l'autre mais qui veillaient à la vie de étais bien faible à cet instant, proie à n'importe quel prédateur. Tes oreilles ne faisant plus la différence entre réalité et rêve. Tu ignorais qu'à cet instant, un homme s'approchait de toi. Un morceau de verre craquant sous sa chaussure te fit cependant ouvrir les yeux, tes yeux traverser d'un voile noir bien désagréable. Au début, quelque chose de loud se déposa sur toi... c'est en humant le parfum environnant que tu compris que ce n'était qu'un vêtement, pourtant chaud et agréable à je suis Octave. Tu n'as pas l’air bien du tout, tu veux de l’aide petite ? Prononças t-il alors que tes yeux se faisait seulement au peu de lumière environnant. _Qui sait... devrais-je attendre le baiser de la mort ? Prononças-tu faiblement en retour d'une façon à la fois réaliste et ironique. Tu te redressas légèrement, déposant ton dos contre le mur derrière toi. Les yeux à peine ouverts, tu voyais enfin son visage mais, tu ne pouvais penser à autre chose que ce peu de lumière provocante en toi un mal de crâne intense... sans parler de cette bataille entre le feu et la glace sur ton corps de jeune femme. Prenant une certaine inspiration, tu te redressas faiblement, les deux piliers qui te servaient de jambes, eux en ruinent comme tout le reste... C'était peiné perdu, tu étais désormais debout mais sans le mur derrière toi, tu n'étais qu'un pantin qui perdait ses ficelles. _Faite ce qu'il y a de meilleur pour vous et ne pensez pas à moi. Murmuras-tu en souriant faiblement. Toi l'altruisme qui aimait aider les autres sans être aidé en retour... ta vie était misérable et sans lendemain, à quoi bon t'aider ? ... Qu'allait-il faire au final ? Toi, froide comme ce coeur qui était Doe L'enclave ma envoyer 174 missions depuis mon arrivée à Montréal le 19/10/2018 Je joue Octave Doe Re Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu Octave posté Mer 7 Nov - 2015 OCTAVE & JODI Mon dieu cette jeune femme était tellement fataliste qu’elle me faisait penser à moi passant ma main au travers des rayons du soleil pour me sentir vivant. Je ressemblais donc à … ça . Normal que personne ne fasse le premier pas vers moi, en même temps je n’en faisais pas non plus vers avait l’air vraiment mal en point, cela faisait des années que je n’avais pas été malade, depuis neuf siècles en fait. Le froid n’avait plus d’emprise sur moi, si je m’habillais pour sortir c’était uniquement pour faire comme tout le monde, ne pas marcher dans la neige juste en chemise et claquette qui outre la faute de mauvais goût serait très bizarre. Quoi qu'il en soit j’étais devant la jeune femme qui tenait à peine sur ses jambes, elle n'était vraiment pas bien, je sentais la maladie sur elle, il allait agir vite sinon elle serait vite transformée en sacs à viande pour créature. Ce qu’il y a de mieux c’est que je te ramène chez moi pour que tu te soignes, loin de ce froid qui te rend malade, tu pourras prendre une douche et avoir des fringues propres et ne t’inquiète pas tu es un peu jeune pour moi donc il ne se passera rien. déjà que mon âme est aussi noire que le trou du cul d’un démon alors si je laisse mourir une gamine dans la rue elle va directement quitter mon corps pour rejoindre Satan »Soyons honnête mon appartement n’était pas agencé pour les vivants, frigo rempli de poche de sang, fenêtres anti UV, pas de couverts, une cheminée factice, une cuisine d’apparat, pour n’importe quel mortel mon lieu de vie ressemblerait à un appartement pas fini. Mais bon ce n’est pas comme si j’avais le choix de toute façon. À voir ses habits ce n'était pas la première nuit qu’elle passait dehors, pauvre gamine, je me demandais bien ce qui avait pu lui arriver pour qu’elle finisse ainsi. Je lui souriais en lui tendant la main, signe qu’elle pouvait venir avec moi si elle le voulait. code by lizzou × gifs by tumblr _________________Octave Annæus Doec anaphoreInvitéInvité Re Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu Octave posté Jeu 8 Nov - 1331 Ton ego était vraiment pitoyable. Tu pouvais t'en souvenir maintenant, des paroles du jeune homme auquel tu vendais autrefois maintes drogues. Il avait eu raison, de prendre ainsi une douche glaciale te mènerait à la mort - elle qui pourtant ne voulait pas de toi. Tu l'avais finalement aperçu dans son voile noir, t'ouvrant ses bras puis cet homme l'avait fait fuir comme la peste; qu'elle était ce jeu ? La mort elle même se moquais de toi. Tu respirais difficilement, t'es poumons prit par tous les recoins. Ce n'était vraiment pas agréable d'être malade, et en réalité, tu préférais mourir d'une façon plus douce au final - avoir mal, ce n'était pas terrible avant de quitter le monde. _Ce qu’il y a de mieux c’est que je te ramène chez moi pour que tu te soignes, loin de ce froid qui te rend malade. Tu pourras prendre une douche et avoir des fringues propres et ne t’inquiète pas, tu es un peu jeune pour moi donc il ne se passera rien. Tu te met à sourire suite à ses paroles. Déjà que mon âme est aussi noire que le trou du cul d’un démon alors, si je laisse mourir une gamine dans la rue elle va directement quitter mon corps pour rejoindre Satan » Dit-il, montrant là , l'âme d'un grand tu connaissais les humains et, personne ne pouvait t'assurer que celui-là disait la vérité. Peut-être profiterait-il de ton incapacité à te défendre un minimum pour prendre te prendre ce que tu avais encore où... disait-il simplement la vérité et était-il réellement de cet avis, à t'aider quoiqu'il en coûte. Tu le regardes de bas en haut avec ce regard froid et faible à la fois - non, il n'a pas l'air d'être ce genre d'homme. Finalement, il se met à tendre la main et tu la regardes. Beaucoup de personnes te tendaient la main, t'aidait et toi en retour, tu ne faisais que de les repousser... tu étais véritablement la pire des penchant légèrement, tu pris alors ton sac à dos, le déposant sur ton épaule. Ils étaient tu es seul affaires et tu ne pas compter les abandonner là , et surement par cette guitare auquel dû tenait. Le sac était lourd et tu pensais chavirer d'un moment ou d'un autre. Un pas, deux... puis voila que l'une de tes mains rentrait en contact avec celle de l'homme. Tu plongeas ton regard dans le sien, t'écroulant finalement contre lui. La fièvre était virulente... une grippe, sans doute. _Merci... , prononças-tu avant d'être prise d'une quinte de toux. Octave Doe L'enclave ma envoyer 174 missions depuis mon arrivée à Montréal le 19/10/2018 Je joue Octave Doe Re Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu Octave posté Sam 10 Nov - 1818 OCTAVE & JODI J’avais pris la jeune fille contre moi pour la tenir debout et appeler un taxi, mon manteau était sur ses épaules pourtant elle tremblait comme une feuille morte, je restais donc avec elle tout le long du trajet entre la ruelle et le chauffeur du Taxi me regarda d’un drôle d’air quand je pris la fille dans mes bras, il devait penser que je la pelotais ou je ne sais quoi, la réalité était tout autre, je plaquais le manteau contre elle pour que la doublure lui tienne chaud et rien de plus. Les humains sont tellement vils qu’ils voient le mal partout. Une fois au club je la portais dans mes bras avec son sac sur elle pour la monter chez moi, de nombreuses personnes étaient déjà là et la musique était à fond tout comme les jeux de lumière. Un de mes vigiles arriva en voyant ce que je portais dans les bras en me demandant si ça allait, je lui répondais alors qu’il fallait appeler un médecin pour elle, qu’elle serait chez moi et qu’il le fasse monter dès qu’il arrive. Je montais ensuite chez moi et la déposai sur le lit avec son sac a coté, je sortais une chemise qui pouvait très clairement lui servir de robe de chambre vue sa taille et un boxer que je plaçais au pied du lit et dans ma course j’allais aussi allumer ma douche, quand je revins je lui fis signe. Bon le médecin va arriver ne t’en fais pas pour l’argent je m’en arrangerais, si tu veux prendre une douche vas-y, je t’ai sorti des vêtements mais comme tu t’en doutes je porte rarement de sous-vêtements féminins donc je n’ai que ça, tu peux dormir ici si tu veux; on parlera de ton cas quand ça ira mieux, et surtout si ça va par ou que tu as une question n’hésite pas je serais das la pièce à coter » Je lui ébouriffais les cheveux comme on fait a un jeune chiot et j’allais m’allonger sur mon canapé, ouvrir ma chemise et retirer mes chaussures en allumant la TV pour regarder un documentaire sur les loutres. code by lizzou × gifs by tumblr _________________Octave Annæus Doec anaphoreContenu sponsorisé Re Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu Octave posté Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le bonheur est parfois caché dans l’inconnu.» – Victor Hugo. Autres citations que vous pourriez aimer : No related posts. By Angel • citation bonheur • 0 • Tags: Victor Hugo Angel • citation bonheur • 0 • Tags: Victor Hugo
Soophie& Cam0uu _______________ Une rencontre Naïve, Lors d'un soirée inoubliable . Découverte d'une fille exceptionnelle qui change ma vie de jours en jours . Des délires infinis, des soirées uniques, des Soldes & des après-midi magnifiques . Cette fille à révolutionner mon c½ur. Elle me ressemble plus que n'importe qui, jamais je n'aurais pu croire m'entendre aussi bien avec Elle . Tout simplement Géniale & Exceptionnelle . Un Avenir assuré toutes les deux . On a pas fini de laisser nos traces. On ira loin Shoupie . Je te le promet .xxxJe t'aime . Posted on Saturday, 04 October 2008 at 1107 PMEdited on Saturday, 24 October 2009 at 1203 PM
HippyBang Bang, Kika Revolver ou Etta d’Amour, leur nom de scène, elles le reçoivent lors de leur première apparition sur la scène du mythique cabaret parisien. En un chuchotement, elles héritent alors des secrets des légendes Rita Renoir, Bertha von Paraboum, Lova Moore ou Polly Underground qui ont façonné l’âme du Crazy Horse
Planche en bois écrite à la main par un calligraphe professionnel. Choisissez parmi les modèles proposés attention le prix peut différer selon les modèles car la taille n'est pas toujours la même. Notre démarche de création de planche artisanale Nos planches en bois proviennent de bois que nous avons recyclées palettes, meubles, chutes de bois. La première étape est la récupération du bois, ensuite les planches sont sciées, poncées et percées dans notre atelier pour leurs donner une jolie forme et un lissage optimal. Une fois prêtes les planches sont peintes par nos soins pour que vous ayez un plus large choix de coloris, tout en gardant certaines planches au coloris naturel. Enfin nous passons la main au calligraphe professionnel, qui lui réalise toutes les écritures des planches à main levée. Une fois terminé nous ajoutons une petite cordelette pour que vous n'ayez plus qu'à l'accrocher. Référence PB-C07-CALLIFABE En stock 0 Produits Fiche technique Thèmes planches en bois Citation Références spécifiques
aR9z. s4hqelvzhv.pages.dev/40s4hqelvzhv.pages.dev/69s4hqelvzhv.pages.dev/355s4hqelvzhv.pages.dev/390s4hqelvzhv.pages.dev/709s4hqelvzhv.pages.dev/705s4hqelvzhv.pages.dev/182s4hqelvzhv.pages.dev/797s4hqelvzhv.pages.dev/244s4hqelvzhv.pages.dev/68s4hqelvzhv.pages.dev/720s4hqelvzhv.pages.dev/694s4hqelvzhv.pages.dev/866s4hqelvzhv.pages.dev/677s4hqelvzhv.pages.dev/746
le bonheur est parfois caché dans l inconnu