Mantesla Jolie via Poissy Paris Saint-Lazare HORAIRES DE DÉPART 21:43 HORAIRES D’ARRIVÉE 22:45 Paris Saint-Lazare 21:47 Mantes la Jolie via Poissy 22:43 DERNIERS TRAINS DIRECTS LE VENDREDI 23 OCTOBRE* DERNIERS TRAINS OMNIBUS LE VENDREDI 23 OCTOBRE* AU DÉPART DE JOURS PREMIERS DÉPARTS DERNIERS DÉPARTS FRÉQUENCES Poissy Samedi Dimanche Bus 1 - Phébus Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi de 0535 à 0048 Dimanche de 0722 à 0049 horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche de 0722 à 0049 Prestataire Phébus - Keolis Versailles Téléphone Accessibilité Accessible en fauteuil Lignes Localisation Sortie 2 Avenue de Sceaux – Gare routière Bus 2 - Phébus Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi de 0538 à 0146 Samedi de 0537 à 0147 Dimanche de 0623 à 0147 horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche de 0623 à 0147 Prestataire Phébus - Keolis Versailles Téléphone Accessibilité Accessible en fauteuil Lignes Localisation Sortie 2 Avenue de Sceaux – Gare routière Bus 4 - Phébus Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi de 0545 à 2235 Dimanche de 0735 à 2235 horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche de 0735 à 2235 Prestataire Phébus - Keolis Versailles Téléphone Accessibilité Accessible en fauteuil Lignes Localisation Sortie 1 Parvis Beltrame - États Généraux non accessible ou Sortie 2 Avenue de Sceaux – Gare routière Bus 6 - Phébus Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi de 0611 à 2251 Samedi de 0600 à 2240 Dimanche de 0735 à 2235 horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche de 0735 à 2235 Prestataire Phébus - Keolis Versailles Téléphone Accessibilité Accessible en fauteuil Lignes Localisation En semaine, sortie 3 Cour de Buc Samedi/Dimanche/Jours fériés, sortie 1 Parvis Beltrame - Abbé Rousseaux Bus 13 - Phébus Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi de 0719 à 1731 Samedi - Dimanche Fermé horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche Fermé Prestataire Phébus - Keolis Versailles Téléphone Accessibilité Accessible en fauteuil Lignes Localisation Sortie 2 Avenue de Sceaux – Gare routière Pas de service pendant les vacances scolaires. Bus 260 - Savac Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi de 0800 à 1955 Samedi - Dimanche Fermé horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche Fermé Prestataire Téléphone Lignes Localisation Sortie 1 Parvis Beltrame - Abbé Rousseaux ou Sortie 3 Cour de Buc Bus 261 - Savac Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi de 0614 à 2151 Samedi de 0629 à 2101 Dimanche Fermé horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche Fermé Prestataire Téléphone Lignes Localisation Sortie 1 Parvis Beltrame - États Généraux ou Sortie 3 Cour de Buc Bus 262 - Savac Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi de 0634 à 2206 Dimanche de 0704 à 2206 horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche de 0704 à 2206 Prestataire Téléphone Lignes Localisation Sortie 1 Parvis Beltrame - États Généraux ou Sortie 3 Cour de Buc Bus 263 - Savac Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi de 1626 à 1932 Samedi - Dimanche Fermé horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche Fermé Prestataire Téléphone Lignes Localisation Sortie 1 Parvis Beltrame - États Généraux ou Sortie 3 Cour de Buc Bus 264 - Savac Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi de 0715 à 2000 Samedi - Dimanche Fermé horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche Fermé Prestataire Téléphone Lignes Localisation Sortie 1 Parvis Beltrame - Abbé Rousseaux ou Sortie 3 Cour de Buc Bus 39-12 - Savac Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi de 0625 à 1330 Samedi - Dimanche Fermé horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche Fermé Prestataire Téléphone Lignes Localisation Sortie 2 Avenue de Sceaux – Gare routière Bus 439 - SQYBus Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi de 0557 à 2054 Samedi de 0655 à 2110 Dimanche de 0809 à 2056 horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche de 0809 à 2056 Prestataire Téléphone Accessibilité Accessible en fauteuil Lignes Localisation Sortie 2 Avenue de Sceaux – Gare routière Bus 440 - SQYBus Bus urbains horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi de 0710 à 1910 Samedi - Dimanche Fermé horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche Fermé Prestataire Téléphone Accessibilité Accessible en fauteuil Lignes Localisation Sortie 2 Avenue de Sceaux – Gare routière Accès aux transports en commun Votre gare Versailles Chantiers Chrystelle DELABIE-RAT, directrice de gare Claire OFFREDO, chef de gare 4, rue de l'Abbé Rousseau 78000 Versailles horaires Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche de 0430 à 0130 horaires jours fériés Lundi - Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Samedi - Dimanche de 0430 à 0130

Trainschedule from Paris Saint-Lazare to Mantes-la-Jolie with train stops. Travel time: 29 minutes. By continuing to browse the site, you are agreeing to our use of cookies. Information collected about your use of the site is shared with Google. OK. Train O'Clock. Journey Planner Timetable. Get train times. TER Paris Saint-Lazare to Mantes-la-Jolie Train times July

Trouver un transport pour Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG Trouver un logement avec Il y a 6 façons d’aller de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG en train, bus, voiture ou voiture de luxe Sélectionnez une option ci-dessous pour visualiser l’itinéraire étape par étape et comparer le prix des billets et les temps de trajet sur votre calculateur d’itinéraire Rome2rio. Train Prendre le train de Mantes La Jolie à Paris St Lazare Prendre le train de Paris Nord à Aéroport Charles de Gaulle 2 Train via Cergy-Pontoise Prendre le train de Mantes-la-Jolie à Conflans Fin d'Oise Prendre le train de Conflans Fin d'Oise à Châtelet les Halles Prendre le train de Châtelet les Halles à Aéroport Charles de Gaulle 2 Bus via Cergy-Pontoise Prendre le bus de Gare Routière de Mantes-la-Ville - Quai 25 à Université des Chênes - Préfecture RER Prendre le bus de Gare de Cergy Préfecture à Roissypole - Aéroport CDG1 Bus Prendre le bus de Gare de Mantes-la-Jolie - Quai 10 à La Défense - Terminal Jules Verne Prendre le bus de Paris La Défense à Paris Charles de Gaulle Voiture Conduire de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG Voiture de luxe Prendre une berline de luxe de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Paris Charles de Gaulle Airport De Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG en à pied, bus et trains Le temps de trajet entre Domaine De La Corniche, Rolleboise et Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG est d'environ 2h 20m pour une distance d'environ 98 km. Cela inclut un temps d'escale moyen d'environ 42 min. Opéré par TAM en Yvelines, SNCF et Paris RER, le service de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG part de Domaine De La Corniche, Rolleboise et arrive à Aéroport Charles de Gaulle 2. Normalement, les services 132 sont hebdomadaires. Vérifiez à l'avance les horaires du week-end et des jours fériés, car ils peuvent varier. 132 Services hebdomadaires 2h 20m Durée moyenne 550 ₴ Prix le plus bas Voir les horaires Voyagez en toute sécurité durant le COVID-19 Règles à suivre en/au France Voyager en/au France Un pass sanitaire est obligatoire pour les déplacements longue distance en avion, train ou autocar, ainsi que dans certains lieux publicsMesures de contrôle à l'échelle nationale en place Foire aux questions Puis-je me rendre en/au Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG depuis le/la Domaine De La Corniche, Rolleboise? Il y a actuellement des restrictions de voyage en/au France. Explorer les options pour de futurs voyages. Quelles sont les restrictions de voyage en/au Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Les voyages intérieurs ne sont pas limités, mais certaines conditions peuvent s'appliquerLes masques de protection sont recommandésLa distanciation sociale à respecter est de 1 mètreUn pass sanitaire est obligatoire pour les déplacements longue distance en avion, train ou autocar, ainsi que dans certains lieux publicsMesures de contrôle à l'échelle nationale en place Explorer les options de voyage Quel est le numéro de la ligne d'assistance téléphonique COVID-19 en/au Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Le numéro de la ligne d'assistance téléphonique COVID-19 en/au Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG est le 800 130 000. Dois-je porter un masque de protection dans les transports en commun en/au Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Il est recommandé de porter un masque de protection dans les transports en commun en/au Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG. Que dois-je faire si je présente des symptômes du COVID-19 à mon arrivée en/au Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG? Faites-vous connaître auprès d'un membre personnel et / ou appelez la ligne d'assistance nationale dédiée au coronavirus au 800 130 000. Dernière mise à jour 8 Août 2022 Certaines exceptions peuvent s'appliquer. Pour plus d'informations European Union. Nous travaillons sans relâche pour vous transmettre les dernières informations officielles relatives au COVID-19 pour que vous puissiez voyager en toute sécurité. À notre connaissance, ces informations étaient correctes à la date de la dernière mise à vous avez besoin d'aide, rendez-vous surla page Conseils aux voyageurs Rome2rio. Questions & Réponses Quel est le moyen le moins cher pour se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Le moyen le moins cher de se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG est en voiture qui coûte 550 ₴ - 850 ₴ et prend 1h 4m. Plus d'informations Quel est le moyen le plus rapide pour se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Le moyen le plus rapide pour se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG est de prendre un voiture ce qui coûte 550 ₴ - 850 ₴ et prend 1h 4m. Plus d'informations Y a-t-il un bus entre Domaine De La Corniche, Rolleboise et Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Non, il n'y a pas de bus direct depuis Domaine De La Corniche, Rolleboise jusqu'à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG. Cependant, il y a des services au départ de Mairie et arrivant à Roissypole - Aéroport CDG1 par Gare Routière de Mantes-la-Ville - Quai 25 et Gare de Cergy Préfecture. Le trajet, y compris les correspondances, prend approximativement 3h 14m. Plus d'informations Quelle distance y a-t-il entre Domaine De La Corniche, Rolleboise et Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? La distance entre Domaine De La Corniche, Rolleboise et Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG est de 70 km. La distance par la route est de km. Calculer l'itinéraire pour un trajet en voiture Comment voyager de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG sans voiture ? Le meilleur moyen pour se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG sans voiture est de train, ce qui dure 2h 20m et coûte 550 ₴ - 1 200 ₴. Plus d'informations Combien de temps faut-il pour se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Il faut environ 2h 20m pour se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG, temps de transfert inclus. Plus d'informations Où prendre le bus depuis Domaine De La Corniche, Rolleboise pour Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Les services en bus services de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG, opérés par Autocars Tourneux, partent de la station Gare Routière de Mantes-la-Ville - Quai 25 Plus d'informations Train ou bus depuis Domaine De La Corniche, Rolleboise jusqu'à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG? Le meilleur moyen de se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG est en train, dure 2h 20m et coûte 550 ₴ - 1 200 ₴. Sinon, vous pouvez bus via Cergy-Pontoise, ce qui coûte et dure 3h 14m. Plus de détails Où arrive le bus depuis Domaine De La Corniche, Rolleboise pour Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Les services de bus depuis Domaine De La Corniche, Rolleboise jusqu'à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG, opérés par Transdev Conflans, arrivent à la station Roissypole - Aéroport CDG1. Plus d'informations Puis-je conduire de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Oui, la distance entre Domaine De La Corniche, Rolleboise et Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG est de 87 km. Il faut environ 1h 4m pour conduire de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG. Calculer l'itinéraire pour un trajet en voiture Quelles compagnies assurent des trajets entre Domaine De La Corniche, Rolleboise, France et Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG, France ? SNCF Téléphone +33 9 70 60 99 70 Site internet Temps moyen 37 min Fréquence Toutes les heures Prix estimé 320 ₴ - 850 ₴ Site internet 2nd Class 320 ₴ - 460 ₴ Rail 1st Class 550 ₴ - 850 ₴ Paris RER Téléphone 3424 Site internet Temps moyen 34 min Fréquence Toutes les 5 minutes Prix estimé 200 ₴ - 290 ₴ Site internet RATP Paris Temps moyen 43 min Fréquence Toutes les 20 minutes Prix estimé 210 ₴ - 310 ₴ Site internet RATP Paris Temps moyen 34 min Fréquence Toutes les 10 minutes Prix estimé 190 ₴ - 280 ₴ Site internet RATP Paris Temps moyen 38 min Fréquence Toutes les 5 minutes Prix estimé 210 ₴ - 310 ₴ Site internet RATP Paris Transilien Site internet Temps moyen 43 min Fréquence Toutes les heures Prix estimé 200 ₴ - 250 ₴ Site internet Transilien Autocars Tourneux Transdev Conflans TAM en Yvelines FlixBus Blablabus Jayride Temps moyen 1h 4m Fréquence Sur demande Prix estimé 9 500 ₴ - 14 000 ₴ + de Questions & Réponses Où puis-je rester près de Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Il y a 6164+ hôtels ayant des disponibilités à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG. Les prix commencent à 3 750 ₴ par nuit. Plus d'informations Quelle prochaine destination ? Trajets depuis Domaine De La Corniche, Rolleboise Trajets vers Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG Routes populaires Lesgares de Mantes et de Mantes-la-Jolie sont toutes deux reliées à Paris par l’intermédiaire du Transilien ligne J (Gare de Paris Saint-Lazare) et ligne N (Gare de Paris Montparnasse
Trouver un transport pour Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG Trouver un logement avec Il y a 6 façons d’aller de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG en train, bus, voiture ou voiture de luxe Sélectionnez une option ci-dessous pour visualiser l’itinéraire étape par étape et comparer le prix des billets et les temps de trajet sur votre calculateur d’itinéraire Rome2rio. Recommandé Train Prendre le train de Mantes La Jolie à Paris St Lazare Prendre le train de Paris Nord à Aéroport Charles de Gaulle 2 Train via Cergy-Pontoise Prendre le train de Mantes-la-Jolie à Conflans Fin d'Oise Prendre le train de Conflans Fin d'Oise à Châtelet les Halles Prendre le train de Châtelet les Halles à Aéroport Charles de Gaulle 2 Bus via Cergy-Pontoise Prendre le bus de Gare Routière de Mantes-la-Ville - Quai 25 à Université des Chênes - Préfecture RER Prendre le bus de Gare de Cergy Préfecture à Roissypole - Aéroport CDG1 Bus Prendre le bus de Gare de Mantes-la-Jolie - Quai 10 à La Défense - Terminal Jules Verne Prendre le bus de Paris La Défense à Paris Charles de Gaulle Voiture Conduire de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG Voiture de luxe Prendre une berline de luxe de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Paris Charles de Gaulle Airport De Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG en à pied, bus et trains 132 Services hebdomadaires 2h 20m Durée moyenne 550 ₴ Prix le plus bas Voir les horaires Questions & Réponses Quel est le moyen le moins cher pour se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Le moyen le moins cher de se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG est en voiture qui coûte 550 ₴ - 850 ₴ et prend 1h 4m. Plus d'informations Quel est le moyen le plus rapide pour se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Le moyen le plus rapide pour se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG est de prendre un voiture ce qui coûte 550 ₴ - 850 ₴ et prend 1h 4m. Plus d'informations Y a-t-il un bus entre Domaine De La Corniche, Rolleboise et Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Non, il n'y a pas de bus direct depuis Domaine De La Corniche, Rolleboise jusqu'à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG. Cependant, il y a des services au départ de Mairie et arrivant à Roissypole - Aéroport CDG1 par Gare Routière de Mantes-la-Ville - Quai 25 et Gare de Cergy Préfecture. Le trajet, y compris les correspondances, prend approximativement 3h 14m. Plus d'informations Quelle distance y a-t-il entre Domaine De La Corniche, Rolleboise et Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? La distance entre Domaine De La Corniche, Rolleboise et Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG est de 70 km. La distance par la route est de km. Calculer l'itinéraire pour un trajet en voiture Comment voyager de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG sans voiture ? Le meilleur moyen pour se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG sans voiture est de train, ce qui dure 2h 20m et coûte 550 ₴ - 1 200 ₴. Plus d'informations Combien de temps faut-il pour se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Il faut environ 2h 20m pour se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG, temps de transfert inclus. Plus d'informations Où prendre le bus depuis Domaine De La Corniche, Rolleboise pour Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Les services en bus services de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG, opérés par Autocars Tourneux, partent de la station Gare Routière de Mantes-la-Ville - Quai 25 Plus d'informations Train ou bus depuis Domaine De La Corniche, Rolleboise jusqu'à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG? Le meilleur moyen de se rendre de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG est en train, dure 2h 20m et coûte 550 ₴ - 1 200 ₴. Sinon, vous pouvez bus via Cergy-Pontoise, ce qui coûte et dure 3h 14m. Plus de détails Où arrive le bus depuis Domaine De La Corniche, Rolleboise pour Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Les services de bus depuis Domaine De La Corniche, Rolleboise jusqu'à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG, opérés par Transdev Conflans, arrivent à la station Roissypole - Aéroport CDG1. Plus d'informations Puis-je conduire de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Oui, la distance entre Domaine De La Corniche, Rolleboise et Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG est de 87 km. Il faut environ 1h 4m pour conduire de Domaine De La Corniche, Rolleboise à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG. Calculer l'itinéraire pour un trajet en voiture Quelles compagnies assurent des trajets entre Domaine De La Corniche, Rolleboise, France et Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG, France ? SNCF Téléphone +33 9 70 60 99 70 Site internet Temps moyen 37 min Fréquence Toutes les heures Prix estimé 320 ₴ - 850 ₴ Site internet 2nd Class 320 ₴ - 460 ₴ Rail 1st Class 550 ₴ - 850 ₴ Paris RER Téléphone 3424 Site internet Temps moyen 34 min Fréquence Toutes les 5 minutes Prix estimé 200 ₴ - 290 ₴ Site internet RATP Paris Temps moyen 43 min Fréquence Toutes les 20 minutes Prix estimé 210 ₴ - 310 ₴ Site internet RATP Paris Temps moyen 34 min Fréquence Toutes les 10 minutes Prix estimé 190 ₴ - 280 ₴ Site internet RATP Paris Temps moyen 38 min Fréquence Toutes les 5 minutes Prix estimé 210 ₴ - 310 ₴ Site internet RATP Paris Transilien Site internet Temps moyen 43 min Fréquence Toutes les heures Prix estimé 200 ₴ - 250 ₴ Site internet Transilien Autocars Tourneux Transdev Conflans TAM en Yvelines FlixBus Blablabus Jayride Temps moyen 1h 4m Fréquence Sur demande Prix estimé 9 500 ₴ - 14 000 ₴ + de Questions & Réponses Où puis-je rester près de Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG ? Il y a 6164+ hôtels ayant des disponibilités à Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG. Les prix commencent à 3 750 ₴ par nuit. Plus d'informations Quelle prochaine destination ? Trajets depuis Domaine De La Corniche, Rolleboise Trajets vers Aéroport de Paris Charles de Gaulle CDG Routes populaires
Relisezl'échange en direct avec les experts de la ligne. La situation de la branche Paris Saint-Lazare Mantes la Jolie, également dénommée J5, est l’un des sujets les plus débattus sur le blog ou sur Twitter ! En cause, son manque de performance dû aux retards et suppressions. Dans un billet consacré à J5, je me suis attaché à Appartement à vendre à Mantes-la-Jolie, France150 000 €Mantes-la-JolieStudio • 1 pces • 34 m² • Réf VA3615-WINKEYMANTES LA JOLIE Centre-ville. Appartement de 3 pièces, 68,32 m2, excellent état, intégralement remis à neuf, fonctionnel, très clair et agréable à vivre, au 2ème étage, dans une résidence standing, au calme. Cuisine aménagée. Salle de bains, WC séparés. Accessibilité pour personnes ayant un handicap. Parquet. Ascenseur. Chauffage individuel RT2012 rénovation. Parking privé. Interphone. Proche crèche, école, collège, lycée, tous commerces. Très bien desservi Accès direct par La Défense, Paris Saint Lazare et Futur RER E dès à la charge du vendeur. Dans une copropriété de 9 lots. Aucune procédure n'est en cours. DPE manquant Ce bien vous est proposé par un agent commercial. AménagementPlaces de parc intérieures1SurfacesÉvaluation de la performance énergétiqueAucune donnéeÉvaluation de l'impact environnemental CO₂Aucune donnée

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Mantes-la-Jolie Paris Saint-Lazare Horaires du 24 août 2022 à 0530 Durée 32 minutes Fiche horaire Imprimer 0534Mantes-la-Jolie46 minDirectJPAVE46 minDirectJPAVEJPAVE0620Paris Saint Lazare0550Mantes-la-Jolie38 minDirectTER85102038 minDirectTER851020TER8510200628Paris Saint-Lazare0611Mantes-la-Jolie43 minDirectTER1310043 minDirectTER13100TER131000654Paris Saint-Lazare0629Mantes-la-Jolie38 minDirectJPAVE38 minDirectJPAVEJPAVE0707Paris Saint Lazare0639Mantes-la-Jolie39 minDirectTER1310239 minDirectTER13102TER131020718Paris Saint-Lazare0649Mantes-la-Jolie39 minDirectTER85102239 minDirectTER851022TER8510220728Paris Saint-Lazare Durée du trajet en train La durée du trajet le plus court entre Mantes-la-Jolie et Paris Saint-Lazare est de 32 minutes en train Trains directs Il existe des trains directs pour le trajet de Mantes-la-Jolie vers Paris Saint-Lazare. Le voyage se fait en TER et en Transilien J. Lignes de train Voici la liste des lignes qui permettent d'effectuer ce trajet en trainTransilien J GaresGare de Mantes-la-JolieGare de Paris Saint-Lazare
Rame Z5000 numéro 336LSi vous avez aimé un LIKEEt abonnez-vous à ma chaîne YouTube et activée la cloche pour ne pas manqué de vidéo
Voir Philippe Meunier, Paris, sur le plan Itinéraires vers Philippe Meunier à Paris en empruntant les transports en commun Les lignes de transport suivantes ont des itinéraires qui passent près de Philippe Meunier Comment se rendre à Philippe Meunier en Bus? Cliquez sur la ligne de Bus pour connaitre les directions étape par étape avec des plans, heures d’arrivée et horaires mis à jour De Alter Way, Saint-Cloud 42 min De Saint-Denis, Saint-Denis 50 min De Bobigny, Bobigny 81 min De Parc Floral de Paris, Paris 70 min De Le Village d'Enghien, Enghien-Les-Bains 84 min De Pont de Billancourt, Issy-Les-Moulineaux 58 min De La Française des Jeux, Boulogne-Billancourt 54 min De Le Bourget, Le Bourget 67 min De Garches, Garches 56 min De Siège Alliance Healthcare France, Gennevilliers 38 min Stations de Métro proches de Philippe Meunier à Paris Nom de la station Distance Saint-Augustin 2 min de marche VOIR Gare Saint-Lazare 5 min de marche VOIR Stations de Bus proches de Philippe Meunier à Paris Nom de la station Distance Saint-Augustin 3 min de marche VOIR Paris Saint-Lazare 3 min de marche VOIR Gare Saint-Lazare 4 min de marche VOIR Gare Saint-Lazare - Rome 4 min de marche VOIR Stations de RER proches de Philippe Meunier à Paris Nom de la station Distance Haussmann Saint-Lazare 8 min de marche VOIR Lignes de bus Bus vers Philippe Meunier à Paris Nom de la ligne Direction 20 Louison Bobet VOIR 22 Porte de Saint-Cloud VOIR N150 Gare De Cergy Le Haut - Gare Saint-Lazare VOIR N151 Paris Saint-Lazare - Gare De Mantes-La-Jolie - Quai 8 VOIR N152 Paris Saint-Lazare - Gare De Cergy Le Haut VOIR N154 Paris Saint-Lazare - Gare De Montigny - Beauchamp VOIR 28 Porte de Clichy VOIR 32 Porte D'Auteuil VOIR 80 Porte de Versailles VOIR N02 Gare Montparnasse VOIR 27 Gare Saint-Lazare VOIR 29 Docteur Netter VOIR 94 Pont de Levallois - Bécon Métro VOIR 42 Cours de L'Ile Seguin VOIR 66 Opéra VOIR 95 Porte de Montmartre VOIR N15 Villejuif - Louis Aragon - Métro VOIR N16 Mairie de Montreuil VOIR N51 Gare D'enghien-Les-Bains - Gare Saint-Lazare VOIR N52 Gare Saint-Lazare - Gare De Cormeilles En Parisis VOIR Questions & Réponses Quelles sont les stations les plus proches pour aller à Philippe Meunier ? Les stations les plus proches de Philippe Meunier sont Saint-Augustin est à 115 mètres soit 2 min de marche. Paris Saint-Lazare est à 187 mètres soit 3 min de marche. Gare Saint-Lazare est à 221 mètres soit 4 min de marche. Gare Saint-Lazare - Rome est à 265 mètres soit 4 min de marche. Haussmann Saint-Lazare est à 531 mètres soit 8 min de marche. Plus de détails Quelles sont les lignes de Train qui s'arrêtent près de Philippe Meunier? Ces lignes de Train s'arrêtent près de Philippe Meunier J, L. Plus de détails Quelles sont les lignes de RER qui s'arrêtent près de Philippe Meunier? Ces lignes de RER s'arrêtent près de Philippe Meunier A. Plus de détails Quelles sont les lignes de Métro qui s'arrêtent près de Philippe Meunier? Ces lignes de Métro s'arrêtent près de Philippe Meunier 13, 14, 3, 9. Plus de détails Quelles sont les lignes de Bus qui s'arrêtent près de Philippe Meunier? Ces lignes de Bus s'arrêtent près de Philippe Meunier 22, 32, 52, 66, 80, 95. Plus de détails À quelle heure est le premier Métro à Philippe Meunier à Paris ? Le 14 est le premier Métro qui va à Philippe Meunier à Paris. Il s'arrête à proximité à 0534. Plus de détails Quelle est l'heure du dernier Métro à Philippe Meunier à Paris ? Le 14 est le dernier Métro qui va à Philippe Meunier à Paris. Il s'arrête à proximité à 0110. Plus de détails À quelle heure est le premier Train à Philippe Meunier à Paris ? Le J est le premier Train qui va à Philippe Meunier à Paris. Il s'arrête à proximité à 0509. Plus de détails Quelle est l'heure du dernier Train à Philippe Meunier à Paris ? Le J est le dernier Train qui va à Philippe Meunier à Paris. Il s'arrête à proximité à 0102. Plus de détails À quelle heure est le premier Bus à Philippe Meunier à Paris ? Le N151 est le premier Bus qui va à Philippe Meunier à Paris. Il s'arrête à proximité à 0300. Plus de détails Quelle est l'heure du dernier Bus à Philippe Meunier à Paris ? Le N52 est le dernier Bus qui va à Philippe Meunier à Paris. Il s'arrête à proximité à 0351. Plus de détails À quelle heure est le premier RER à Philippe Meunier à Paris ? Le E est le premier RER qui va à Philippe Meunier à Paris. Il s'arrête à proximité à 2221. Plus de détails Quelle est l'heure du dernier RER à Philippe Meunier à Paris ? Le E est le dernier RER qui va à Philippe Meunier à Paris. Il s'arrête à proximité à 2221. Plus de détails De combien est le ticket de Métro vers Philippe Meunier? Le ticket de Métro vers Philippe Meunier est de € De combien est le ticket de RER vers Philippe Meunier? Le ticket de RER vers Philippe Meunier est de € De combien est le ticket de Bus vers Philippe Meunier? Le ticket de Bus vers Philippe Meunier est de € Voir Philippe Meunier, Paris, sur le plan Transports en commun vers Philippe Meunier à Paris Vous vous demandez comment vous rendre à Philippe Meunier à Paris, France? 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Philippe Meunier, Paris Lignes de transport en commun dont les stations sont les plus proches de Philippe Meunier à Paris Lignes de Métro ayant des stations proches de Philippe Meunier à Paris Lignes de Bus ayant des stations proches de Philippe Meunier à Paris Lignes de RER ayant des stations proches de Philippe Meunier à Paris Dernière mise à jour le 15 août 2022 Laligne J, qui relie notamment Paris avec Mantes-la-Jolie, a été fortement perturbée. "Un accident grave de personne nous contraint à interrompre le trafic entre Argenteuil et Conflans-Sainte Pour les itinéraires avec des sections au tarif introuvable, le coût total, dont les tarifs de ces sections, ne sera pas indiqué. Horairesde Mantes-la-Jolie à Paris Saint-Lazare : retards de dernière minute, nombre de correspondances, durée des trajets, informations trafic Horaires de Trains . Réseau SNCF national Réseau Ile de France RER A RER B RER C RER D RER E Train H Train J Train K Train L Train N Train P Train R Train U; Gare de départ ← →. Gare d'arrivée. Date. Heure de départ ←
Home Paris Paris Saint-Lazare Mantes-la-Jolie Train de Paris Paris Saint-Lazare à Mantes-la-Jolie Prix moyen billet de train 3,9€ Durée du trajet 30m Compagnies ferroviaires SNCF Train/jour 54 Les trains partent depuis Paris Paris Saint-Lazare Les trains arrivent à Mantes-la-Jolie Informations sur le train de Paris Paris Saint-Lazare à Mantes-la-Jolie. Le bon état des chemins de fer et sa fiabilité font du train l'un des modes de transport les plus sûrs pour couvrir la distance qui sépare Paris Paris Saint-Lazare de Mantes-la-Jolie. Nos clients peuvent se détendre et apprecier le paysage entre Paris Paris Saint-Lazare et Mantes-la-Jolie pour un montant de 3,9€, certainement un prix très compétitif qui va satisfaire les poches de tout type d'usagers. Le prix indiqué est approximatif et peut être modifié par diverses offres ou promotions ou autres facteurs, tel que la disponibilité des places dans le wagon. Dans notre base de données, il y a une liaison directe entre Paris Paris Saint-Lazare et Mantes-la-Jolie. Le tableau suivant montre toutes les heures disponibles pour voyager en train de Paris Paris Saint-Lazare à Mantes-la-Jolie. Veuillez utiliser le calendrier pour choisir la date exacte de votre voyage. Paris Paris Saint-Lazare Mantes-la-Jolie 0611 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 0642Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 0623 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 0721Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 0639 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 0745Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 0720 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 0750Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 0723 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 0821Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 0742 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 0849Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 0820 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 0851Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 0823 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 0920Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 0907 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 0939Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 0923 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 1020Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 0924 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 1021Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 0953 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 1048Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 1020 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 1050Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 1023 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 1118Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 1024 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 1119Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 1110 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 1142Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 1153 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 1248Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 1220 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 1250Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 1223 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 1318Gare de Mantes-la-Jolie SNCF 1224 Gare de Paris Paris Saint-Lazare 1319Gare de Mantes-la-Jolie SNCF Mantes-la-Jolie est une commune du département des Yvelines à l'ouest de Paris. La ville est bordée par la Seine, laissant place à des paysages et espace de promenades époustouflants. Un parcours dénommé La Ceinture Verte » permet aux promeneurs de découvrir plusieurs espaces naturels de la ville. Les amateurs de peinture voudront passer par le Musée de l'Hôtel-Dieu, qui présente des collections thématiques illustrant les jolis paysages de la région. Finalement, les visiteurs ne voudront pas manquer la collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie, une église gothique construite du XIIe au XIIIe siècle. Ce site utilise des cookies propres et de tiers pour améliorer votre expérience utilisateur et vous proposer des contenus et des publicités adaptés à vos centres d'intérêt. Google et nos partenaires gèrent, stockent et partagent vos données afin de vous proposer des annonces de meilleure qualité et plus personnalisées. Si vous poursuivez votre navigation sans modifier vos paramètres, nous considérons que vous acceptez leur utilisation. Vous pouvez trouver plus d'informations sur Gestion des Cookies ou révoquer votre consentement sur Politique de confidentialité.

Ladurée du trajet le plus court entre Paris Saint-Lazare et Mantes-la-Jolie est de 29 minutes en train Trains directs Il existe des trains directs pour le trajet de Paris Saint-Lazare vers Mantes-la-Jolie. Le voyage se fait en TER et en Transilien J. Lignes de train Voici la liste des lignes qui permettent d'effectuer ce trajet en train:

Reminder of your requestDownloading format TextView 1 to 6 on 6Number of pages 6Full noticeTitle Le Petit Parisien journal quotidien du soirPublisher Le Petit Parisien ParisPublication date 1914-07-14Contributor Roujon, Jacques 1884-1971. Directeur de publicationRelationship textType printed serialLanguage frenchFormat Nombre total de vues 126844Description 14 juillet 1914Description 1914/07/14 Numéro 13772.Description Collection numérique Grande collecte d'archives. Femmes au travailDescription Collection numérique La Grande CollecteRights Consultable en ligneRights Public domainIdentifier ark/12148/bpt6k5651263Source Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850Provenance Bibliothèque nationale de FranceOnline date 30/06/2008The text displayed may contain some errors. The text of this document has been generated automatically by an optical character recognition OCR program. The estimated recognition rate for this document is 99%.gPITfOUT Pg PARIS Histoires de douanes 1 Je me souviens, il y a quelques années, A d'avoir remarqué .la' présence assidue, dans les plus élégants restaurants parisiens, dura gros fort aimable, C'est le chef de la police douanière amc- Et l'on m'expliqua que, 'es 'douanes améncaines, pour tortiller 1p. contrôle qu'elles exercent sur les marchandises ti introduites aux Etats-Unis, n'ont pas hé- 1 site à organiser en Europe, et notamment s à Paris, où les Américains achètent beau- Il coup, une véritable police. Il s'agit de noter à la fois les acheteurs et les achats. .Les uns et les autres sont télégraphique- ment annoncés aux autorités de New- York, qui se trouvent ainsi mieux pour vérifier les déclarations. a Un procès plaidé ces jours-ci devant r 4la première chambre du tribunal de la ;Seine vient de fournir sur cette organisa- tion des détails extraordinaires. Tout le commerce de luxe parisien se t prouve sous le coup de cette surveillance c ¡policière, qui va jusqu'à exiger la pro- ̃duction des factures et des livres de ¡comptes. Quant aux Américains qui, et au 9e régiments du génie. Il était neuf taures et demie du matin. La compagnie du génie venait d'établir deux fourneaux de mins, à l'extrémité d'un des réseaux et de les charger chacun avec kilos de poudre. Pour prévenir tout accident., on lit les sonneries réglementaires, afin que les hommes pussent se garer et, par mesure de précaution, on lit l'appel pour s'assurer qu'il ne manquait personne et que lout le monde était bien à l'abri. Quand toutes ces précautions furent prises, on alluma le cordon Bickford et la tormidable explosion retentit, faisant' dans la terre un trou de 6 mètres de profondeur, dont le diamètre supérieur étai d'environ 25 mètres. C'est alors qu'on s'aperçut qu'un caporal était resté près du lieu de l'explosion. En toute hâte, les soldats de sa compa- gnie partirent à son secours et parvinrent, assez facilement, à le retirer de la situation très périlleuse dans laquelle il se trouvait, Le malheureux avait d^jà- subi tin commencement d'asphyxie, mais les soins empressés qui lui furent prodigués lui firent bien vite reprendre connaissance. Victimes de leur dévouement Dans les rameaux de la défeme, proches de ceux de l'attaque, on connut tout de suite l'accident arrivé au caporal. De ce côté, aussi, on fit diligence pour se porter à son secours et l'adjudant Fou/toux, ainsi que le sergent Fallot, du génie, descendirent dans l'excavation, après s'être fait attacher avec des cordes pour que leur remontée se fit facilement. Les deux vaillants sous-officiers ignoraient que le caporal avait été sauvé. Ils s'engagèrent dans le rameau souterrain creusé à dix mètres de profondeur et se trouvèrent dans une galerie mesurant soixante centimètres de large sur soixantedix centimètres de hauteur un véritable boyau. Pour comble de malheur, l'ébranlement causé par l'explosion avait démoli le boisage. Les gaz produits par la déflagration de la poudre avaient envahi la galerie et les deux sous-officiets se trouvèrent dans un milieu irrespirable. Ils firent le signal d'alarme et on s'empressa de les sortir. Mais, probablement rendus inanimés par l'asphyxie, l'adjudant et le sergent ne purent aider aux mouvements de leurs sauveteurs leur .mort étai4, dès toj • erfeM&e. Un lieutenant va à leur secours Sans hésiter, le lieutenant François, de leur régiment, pénétra dans la galerie et parvint à sortir les deux corps. Aussitôt qu'ils furent à l'air, deux médecins militaires, les docteurs Callaleri et Debord, opérèrent les tractions rythmées de la langue et pratiquèrent des piqûres de caféine. Mais l'ceuvre s'était accomplie. Le lieutenant François a été vivement félicité par tous ses camarades et ses hommes lui ont exprimé les sentiments d'admiration que sa belle conduite leur inspirait. Le lieutenant-colonel Lefèvre, qui commandait la manœuvre, l'a particulièrement complimenté et lui promis de demander au ministre la récompense due à un tel acte de dévouement. Il est hors de doute que le lieutenant François exposait sa vie en se portant au secours de ses deux subordonnés. PARIS DANSE. /.c lubcura Montmartre offrait hier soir, le plus pittoresque des spectacles. Des guirlandes tricolores reliaient du» côté à l'autre de la voie les maisons rireraines. Au-dessous ondulaient, en {lots des groupes de danseurs sur lesquels ruisselait à profusion la lumière. Sur une. estrade dressée au milieu dr La chaussée, un orchestre répand-ait, à son tour, sur cette foule mouvante et bigarrée,- les flots d'une harmonie sans fin. GRAVIS RUMEURS A BEIGRABE Dbs lournaai serties ptteiiliit p le ministre u taie aurait été par mort il y n rois jours à la b'tyalion d'Autri, milieux populaires. Le tournai la Tribunu arruai' ¡ormet/mrnt d'avoir t\ié M. de Harlwig. l.'n autre 'prétend que '». v terroriste, et ce parti le ren t,n malfaiteur de orrandfi ̃»» porteurs éteins. imu» ijt. 7 un romf^ttriote ée. TnijaiKHvski*'t KirilclH'k. Et voici tlne l'enquête menée, hier. par le contrôle général des recherches, a révélé des choses extraordinaires. Serge Mahara^hwilli liabilatt a Pari*, il l'hôtel, 4r>, rue Vergniaud. C'est là que la potier a perquisitionné. il a trouvé, dans la chambre du singulier voyageur un pistolet aiitomatiqnp du modèle en usage dans l'armée, allemande nvec sa crosse permet- tant de le convertir en carabine et deux chargeurs garnis un costume composé d'une blouse noire à boulons de métal, d'un capuchon nnir Avec de superbe glands, et; enfin, une paire de bottes molles. A que usage était destiné cet accoutrement? Maharachwilli n'a pas voulu le dire. Par aventures depuis trdis [,'Iles semblent enipruntécs à un roman. Les exploite d'un bandit En 1911, Maharachwilli s'évade de la prison'de Tiflis, où il purgeait une peine de cinq ans de réclusion que lui avait value, en 1907, une agression à main armée. Il se réfugie en Turquie et y passe une année. Ensuite, il rentre furtivement en Russie. Ses parents lui donnent asile, mais il doit mener une existence de reclus, Au cours de rares sorties nocturnes, il se lie avec des individus ayant organisé une bande dont les vols, les pillages à main armée, les meurtres, même, ne se rompant Il est là dans son vrai milieu. On l'admet dans le groupe de banclits où il ne tarde pas à se signaler par d'abominables exploits. En voici un entre autres Vers la fin de l'année dernière, Maharachwilli et ses acolytes, tous armes de pistoletscarabines Mauser semblables a celui découvert rue Vergniaud s'embusquèrent d;>ns un bois du Caucase et. ayant placé un tronc d'arbre en travers de la grande route, arrêtèrent au passage une automobile occupée par NI. Michel Aranoff. riche propriétaire de la province'de Koutaïs. Ils se ruèrent sur le touriste et son chauffeur. Solidament ligoté, M. Aranoff fut. conduit dans une caverne du Caucase où il fut. gardé à vue. Quant au chauffeur, on le laissa en liberté afin qu'il puisse aller raconter l'.ive-nture et annoncer que le prisonnier ne serait relaxé que moyennant une rançon de cinquante mille roubles. La somme fut versée à deux des bandits. snr le vn d'un chèque signé par le captif. Alors. M. Aranoff fut escorté à cheval jusqu'à la gare la plus voisine, où il prit le train pour rentrer chez lui. Les bandit. se rendirent, aussitôt après, dans une petite villa voisine de Koutaïs et partagèrent le butin. On veut remarquer que Gorodetski, l'un des détenns de Pontoise. est originaire de cette même ville de Koutaïs. rnubies furent envoyés la caisse de secoure des forçats et évadés, et 8,000 roubles à un affilié de la bande qui se trouvait dans le besoin. Le reste échut aux quatre brigands ayant participé au coup 'de main. Maharachwilli reçut, nour sa part, S,O00 roubles et c'est le reliquat de cette somme qui a été retrouvé sur lui au moment de son arrestation. Le contrôle des recherches de la sûreté, générale continuera ses investigations dans le mitieu où évolnaient, a. Paris, les cinq Russes qu'elle vient de capturer, n est probable que de nouvelles arrestations seront opérées. L'engin d'Auteuil Nous avons parlé, hier, de la découverte raM*»clK!r Gftte affaire, à bombes de De l'avis de NI. Kling, directeur du laboratoire municipal, il n'y a aucun rapprochement é établir. Le savant a examiné cet engin, composé de deux cylindres en fer et contenant du chlorate de potasse mélangé à de la pondre et des grains de plomb. Il dépare qu'il n'avait rien de dangereux et que s'il eût éclaté, il n'eût causé que des dég&ts insignifiants. Ce doit, être, même l'œuvre d'un mauvais nlaisant. Nous avons annoncé hier qu'on avait arraté à Stains, en même temps que Meharachwilli, un autre Russe, Waldemar Wourenski chez lequel le bandit se rendait ,La sûreté générale affirnte que seul Maharachwilli est entre ses mains. C'est possible. Ce qui est certain, c'est que samedi les quatre policiers partirent, emmenant les deux hommes. Waldemar Wourenski a-Wl été relâché après interrogatoire ? il faut le croire puisque M. Sébille s'en tient à un seul prisonnier. Mais dimanche soir, le personnage n'était pas ren- tré chez lui. ̃ Voir ta suite à la Dernière Heure. Pour la première lois, le Parlement siégera le jour de la Fête nationale LA CHAMBRE termine l'examen du budget de 1914 II FAUT QUI RETOURNE AU LUXEMBOURG C'est en vertu d'une lui .manant. de l'initiative de la Chambre que les paiements sont, suspendus le hindi 13 juillet lorsque la iïe nationale tombe un mardi. C'est aux députés que les travailleurs de tous ordres doivent de pouvoir faire le pont » ce jour-là. Or, la Chambre, loin d'imiter ses électeurs, a travaillé hier toute la journée avec ardeur. Ses efforts ont d'ailleurs été couronnés de succès et la discussion budgétaire a été menée à bonne fin Hier soir, vers huit heures, après dew longues séantes de discussion, par nne température élevée, les députés ont vote ressemble de ce fameux budget de 1914, dont on parle depuis près d'un an, et qu'on ne voit jamais au Journal ofjicird. Mais, cette fois, on lient .le bon bout, et, mercredi ou jeudi, au plus tard, si aucun incident ne surgit,. la loi budgétaire sera promulguée. Pour obtenir ce résultat, Chambre et Sénat ont décidé de faire un grand sacrifice. Ils siégeront, pour la première fois, le jour de la fête nationale. Kl les débats se prolongeront, sans aucun doute,. fort evnnL dans la nuit de ntardi à mercredi. Pendant que l'on dansera partout en France, députés et sénateurs poursuivront leurs travaux. Il est vrai qu'une fois le budget voté, les parlementaires iront aux champs eu à ta mer. Ils l'auront bien mérité. La réforme fiscale est votée Or donc, hier matin, à neuf heures et demie, en présence de deux cent cinquante députés, le président appela la suite de la discussion sur' la réforme fiscale. On aborda de suite l'article 19 modifié par Sénat et dont voic; le texte Le contrôleur vérifie les déclarations uniquement à. l'aide des éléments certains dont il dispose en vertu de ses fonctions, tels que lei' données servant ù rétablissement des rôles des ccntributions directes et des taxes assimilées, air, que de ceux qui. recueillis par tous les services publics, en vertu des lois existantes, doivent sans exception lui être communiqués. n n'a le droit d'exiger de l'intéressé aucun acte, livre ou document cruelcongut. Le contribnable peut être entendu pour fournir des justifications utiles au sujet des déductions quil demande. Lorsqu'une insuffisance du revenu déclaré aura été constatée par l'administration après l'établissement du rôle, la cotisation correspondant à cette insuffisance pourra être réclamée au contribuable soit dans 1 année même, scit au cours des cinq années suivantes. NI. Thierry, plus henrenx que M. Dutreil, fit admettre un amendement tendant à .prélirojnaire le CoïKnlktfion lire l'administration et le contribuable. Puis article 20 passa sans grande dieussion. Mais il n'en fut pa^ d-e même pour l'article 21, dont voici la teneur L'imposition du contribuable taxé d'office est valablement établie par l'administration, d'après les éléments définis à l'article 17, après qu'il a été invité à être entendu, sans que, à défaut d'éléments certains, le revenu imposable puisse dépasser Pour les propriétés bâties et non bâties, une somme égale au revenu net servant de base à la contribution fencière 2o Pour les bénéfices agricoles, nne somme égale il la moitié de la valeur locative des terres exploitées 3o Pour toutes professions assujetties a la patente. une somme égale quarante fois le principal de la patente, sauf pour les patentables inscrits au tableau C, où cette proportion sera réduite à trente. M. Jaurès, par le rapporteur général et par le ministre des Finances. Le leader *ociajislc demandait ia suppression des maxima prévus par le vote du Sépeut être imposée si la déclaration n'a pas été faite. Son amendement, combattu par le rapporteur général et par le ministre des Finances. fut repoussé par voix contre t55. 'L'aprcs-midi, l'examen des derniers articles fut mené assez rondement. Plusieurs amendements furent rejetés et la rédaction de la commission prévalut toujours. A six heures,' l'impôt sur le revenu était voté. Il ne restait plus alors qu'à statuer sur les articles réservés de la loi de finances. Ce fut l'affaire d'une petite heure. Avant le scrutin sur l'ensemble, on assista au défilé habituel des orateurs qui désirent expliquer leur vote. M..Jules Roche lui une longue protestation à la tribune contre l'impôt sur le revenu. Ceux qui ont voté l'impôt, diUI, en profileront sans le payer Cette souleva de violentes protestations à l'extrême gauche. M. Tardieu déclara que ses amis de Scineet-Oisc et lui voteraicnt le budget. Nous ne crayons pas pouvoir, di1-il, en repous- sant le budget, nous opposer au fonctionnement de la défense nationale, des services publics et des lois sociales. Nous sommes d'autant plus "obli- ment qui est sur ces bancs s'est- formellement engagé a assurer l'application exacte et loyale de la loi de trois ans, condition nécessaire de notre sécurité nationale et de la continuité de notre politique étrangère. /extrême ganche interrompit bruyamment. NI, Vaillant s'écria même La loi de trois ans est une loi* criminelle », ce qui lui valut d'être rappelé à l'ordre. Le eaJme rétabli, M. 'Dmlieu conclut Nous attendrons, pour détendre la loi de trois ans. que vous osiez l'attaquer En conséquence, hostiles aujourd'hui comme hier a l'impur. de déception que vous venez d'incorporer au budget, nous voterons cependant l'ensemble de ce budget. M. Joseph ThMrry parla ensuite Nous v voyons, dit-il, un impôt sur la fortune pour faire face aux dépendes de la défense nationale et aussi une nouvelle forme d'impôt, imposée par la volonte du Parlement et auquel nous entendons nous associer. Applaudissements sur divers bancs. Cet impôt de superposition conserve le cadre des anciennes contributions et ne s'applique qu 500 000 contribuables nous y voyons un champ d'expériences utile pour le projet d'impôt sur le revenu. en discussion devant le Sénat. erres bien très bien sur divers banc- Vous espérons que les de cotte expérience nous conduiront, il étendre a d'autres contrih'iialjles un impôt qui appan'-ît aujourd'hui plus lourd aux petits et aux moyens, qu'aux gros contribuables. furent !i\s derniers oratenrs entendus. A sept heures quarante, enfin, l'ensemble du budget fut voté par3S5 voix contre Cb. M. délibère sur te l'armée ONE VIVE M. CLEMENCEAU tel un ora^'e d'été, un gros débat éclata, Ii ici- après mkt, l'atmosphère serein* du Ijjxenvbourg. Il s'agissait des crédits extraordinaires destinés aux dépenses non renouvelables de la défense nationale. M. Chartes Humbert, au nom de la cnni- mission de l'armée, avait, pendant une heure et demie., exposi'. ses collègues les observations recueillies par lui snr l'administration des services de la jfncrre. Avec fit-, knlion, avec émotion, pourrait-on dire, le Sénat avait écouté ce trop sévère pour n'être pas juste. 11 allait passer au vote, lorsque M. Clcmeticwiu vint récla- I lions du gouverrwTneTit. Celait ;i tio la session av. c inconvénients, toutes ses einhûches. Mai* M. Viviani avait. été prévenu. 11 aocourut un Sénat et, avec habileté, il obtint de la Haute Assemblée qu'elle lui accordât un délai de vingt-quatreheures pour lui communiquer la répons? du gouvernement. Le péril é écarté; mais l'alerte avait été chaude. Le réquisitoire de Af. Charles tiumbert Nos lecteurs connaissent déjà la substance de l'avis, on dirait avec plus de rai- son du réquisitoire, dressé par M. Charles Humberl. Hier, pendant une heure et demie, le sénateur de la Meuse développa à la tribune là longue énumération de faits relevés par lui Va charge de l'administration, et cette- énuméfation qui, en d'autres cir- constances, aurait paru fastidieuse, produisit par sa longueur, par la répélition de ses critiques, la plus profonde émotion sur la Haute Assemblée. M. Charles Humbert commença par cette ̃appréciai ion sévère On a laissé aouv au pays que. grâce à la. loi de trois tins, ayant le nombre, il était en mesure de résister n toute agression. En réalité, le tion-bre n'est pas tout il la guerre, il faut aussi l'organisation matérielle. Or. celte organisation matérielle est loin de répondre i ta confiance que le pays et le Parlement ont mise dans ceux qui assument. la charge de la défense nationale. Le sénateur de la Meuse souligna que l'administration de la Guerre ne commença à se préoccuper de la situation de notre matérie de guerre qu'après que la commission du Sénat lui eut adressé un questionnaire. Ceci se passait en 1912. Un programme d'ensemble fut dressé, mais il fallut attendre jusqu'à cette année pour qu'il vit le. jour. Pendant tout le temps qu'e' nnis^m l'élaborer, l'administration 'curiosités de la conimissic préhensible discrétion. La vérité, M. Charles Ilumbert n'hésite pas à le dire, c'est que 1 "état-major général de l'armée voulut tromper le pays sur l'état réel de notre défense ̃inalérieuV. Après ce préambule, M. Charles Humbert entra dans le détail de ses critiques. Notre artillerie est dépourvue d'ohusiers dont les Allemands sont abondamment pourvus. Notre artillerie de place est insuffisante et désuète. Le mortier prévu au programme est, depuis longtemps, en service en Russie, en Allemagne. Notre industrie fabrique des canons ù longue portée utilisés par les 'Mrnr* gers. Nous, nous en sommes aux es&'no. On demande des centaines de raillions, obs*nvo l'orateur, pour des canons dont on n'a r 'i >t pas moins inquiétante. Il manque den\ {le paires de chaussures, car on compter sur les 000. XX paire,. qui so ni en magasin et qui on; il y a trente ans. Et la télégraphie wms fi! ? N de la frontière ne peuvent ôlre i', si celui de Metz, plus puissnnl, no i "tKMne pas. On devine le jvurfi qu'en ̃ •• nrflit nos ciineinis tûreraionl. de celle > deux nu inations ''mt tté apportas,, ̃̃ solution M. r emenceau, dit-il, en me prenant un peu au dei'uurvu, m'enferme dans un dilemme. ou J rej- les crédits ou l'ajournement de la te de la discussion pourrait, il me semi> • ajournée à une date un peu lointaine. Le ferait confiance au gouvernement, jusqu'aux premiers jours de la rentrée d'automne, en lu. lermetlant de disposer, d'ici là, des sommes ji!ées indispensables. Va l me paraît délicat d'improviser une soims une conjoncture aussi grave. J'hésitetout cas, il prendre une décision de l'im-J de celle que propose M. Clemenceau, ' en avoir, au préalable, référé' à mes collèues, Je connais trop le patriotisme éclairé du Sénat .pour croire qu'il veuille refuser des crédits nécessaires il la défense nationale. Bref, je demande au Sénat de m'accorder un de!ai qui me permettra de lui apporter une réponse mùria dans tes conseils du gouvernement. M. Viviani propose alors au Sénat de se réunir cet après-midi. Entre temps, il aura reçu le budget et, à ce moment, le gouverne•'ent pç. J. ra lui apporter la réponse qu'il at-rtd à la. question soulevée par .M. Clemeñ Cette proposition, à laqueNe M Aimorid donne son adhésion, reçoit également celle du Sénat. L'incident est clos ou du moins sa solution est La séance fut alors levée nour être reprise à huit heures. M. Noolens" vint déposer le budget retour de la Chambre. On pourra donc commencer à l'étudier cet après-midi. INFORMATIONS^ POLITIQUES La réintégration des chemiriots révoques *.e groupie de défense des travailleurs de voie ferrée s'est réuni hier, au Palaisil' sous la présidence de M. CecIV ou; ;es observations de plusieurs membees du groupe, il a affirmé sa volonté de ,poursuivre la réintégration dés cheminots révoqués, et, sans renoncer à l'interpellation qui doit être déposée, il a décidé d-iai^stster auprès du gouvernement pour que les compagnies soient expressément invĩos à faire œuvre d'apaisement pendant les séances parlementaires. Lé groupe a chargé èon bureau de suivre les. négociations mii seront- eBgagées- avec }" gouvernement avant la rentrée, auprès ,¡!.ente avec les organisations ouvrières. LES OBSÈQUES OukoNËLÔÂlE ̃,i >.nint-Claire-neville, président de la comdes poudres de Versailles, était égaLes honneurs militaires rendus par des officiers de la place était conduit par MM.. Louis Quessénateur de la Seine-Intérieure, gendre défunt le colonel Edmond de Bange, ofî ner de la Légion d'honneur son frère et 'NI. Léon Gast, inspecteur général honoraire \des aux et forêts,, son beau-frère. L'inhumation a eu lieu au cimetière d'AuVoir à la 6° page, notre feuilleton la Fée cks Rots n, par Jacques Br^enne. HORRIBLE CCIDEHT Deux ouvriers brûlés vils dans une usine de Saint-Ouen en affreux accident s'est produit hier, à quatre heures de l'après-midi, dans l'usine électrique d'éclairage et de force motrice établie à Saint-Ouen, 4, quai de Seine. Dans la salle des machines, des ouvriers chauffeurs, Louis Godas, tige de vingt-cinq ans, célibataire, demeurant Clichy, 42, rue de Villeneuve, et Jean Odinet, vingt-quatre ans, habitant également Clichy, boulevard Victor-Hugo, étaient occupés a1 goudronner l'intérieur d'une chaudière. Ils travaillaient depuis dix minutes environ, quand soudain on entendit des cris de détresse. En même temps, une épaisse fumée noire s'échappait par l'étroite ouverture de la On s'empressa de leur porter secours, mais le sauvetage était presque impossible. Après de longues minutes d'angoisse et d'efforts i»wï, on. parvint enfin à retirer Jean Odinet, nôrrfbleniênt "bruïô sur tout le corps, Quelques instants on retirait h; corps complètement carbonisé de l'infortuné Godes. M. Chabrol, commissaire de police de Clichy, remplaçait son collègue de Saint-Ouen en congé, se rendit aussitôt sur place, accompagné par l'inspecteur Baissac. 11 fit transporter Odmet h l'hôpital Bichat où, malgré la gravité de son état, on conserve quelque espoir de le sauver. Le corps méconnaissable de Godes a été envoyé à la morgue. D'après l'enquête et les premières constatàtions, voici dans quelles conditions l'horrible accident a dû ce produire Pour vpwcéder air goudronnage de l'inténeur de la chaudière, ks d ouvriers s'étaient munis d'un pot d.' goudron, de pinceaux et d'une lampe portative électrique. La lampe a drt se briser et l'étincelle électrique communiquer le feu aux gaz émanant du goudron. Les parois déjà enduites furent à leur tour enflammées. Deux malfaiteurs surpris cambriolant un hôtel Au numéro 58 du boulevard Ârago s'élève un magniilque immeuble, hôtel particulier habité par Mme Ridber, actuellement en villégiature. La nuit dernière, les époux Petit, gardiens de l'immeuble, dormaient profondément, lorsque le mari fut éveillé en sursaut par une vive qui provenait du vestibule. Il y avait certainement là des cambrioleurs munis d'une lampe électrique. M. Petit, qui n'avait aucune arme, n'hésita pas a sortit de sa chambre. Au même instant, un individu sortant d'une autre pièce, fit irruption dans le vesfibule et poussa un cri de surprise. Puis, pénétrant dans un petit salon. il disparut d'un saut par la fenêtre ouverte donnant sur le boulevard Arago. Il était une heure et demie du matin. Le gardien ullait courir après, lorsqu'un deuxième malfaiteur, surgissant d'une autre pièce, détala par le même chemin. M. Petit visita alors l'hôtel de fond en comble et découvrit, dans le grand salon, deux pinces-monseigneur, une casquette et deux paires de bottines. Croyant l'hOtel inhabité, les malfaiteurs, suivant les toits, étaient entrés par l'immeuble voisin,, inhabité. Ils commençaient leur besogne quand Des fraces*d'è-['fntr$}on ont été relevées sur différents meubles. Les pinces allaient vraisemblablement servir à forcer le coffrefort, lorsqu'un des cambrioleurs eut la malencontreuse idée de s'éclairer. C'est ce qui ̃ le perdit. Quoi qu'il en soit, M. Delanglâde. commissaire du quartier, a demandé le concours des fonctionnaires de l'identité judiciaire pour relever les nombreuses empreintes laissées, par les nocturnes visiteurs. Mme Richer, qui habite Bourg-la-Reine, aussitôt prévenue, accourut et constata que, grâce à l'intervention de son gardien, les malfaiteurs n'avaient rien pu lui voler. Mort de M. CloarjMepufê de Morfaix On annonce la mort de M. Emile Cloarec, député de Morlaix. M. Emile Cloarec, qui souffrait depuis les élections d'une maladie du pancréas avait été transporté, au commencement de la semaine dernière, dans une clinique de Neuilly jeudi, il avait subi une douloureuse opération aux suites de laquelle il a succombé hier matin' à deux heures. Ancien avoué, fondateur de sociétés d'assurances mutuelles contre la mortalité du bétail, M. Emile Cloarec avait été élu député de sa ville natale en 1901 et cnnstamment réélu depuis lors. M. Cloarec était âgé de cinquante-six ans. LES CROIX DU 14 JUILLET >IARI\E Par décret rendu sur la proposition du ministre de la MfU'ifvn, le vice-amiral Berryer 'est élevé à ta dignité de grand .officier. GnAXnK-CIlAXCELLEltlE Sont promus ou nommés Oîljcicrs MM, lîernardin, professeur à la maison d'édũcrttirrrr û& la Légion d'honneur Détré^ inspecteur principal honoraire des chemins de fer de l'Etat français Haftray. consul général en retraite le docteur Rousseau, médecin honoraire des hôpitaux et du bure.'iu de bienfaisance de Bordeaux ancien capitaine d'artillerie de la garde mobile. Clicvalicfi; MM. Adam, ingénieur de Jr° culasse des ponts et chaussées en retraite Baudoin, ingénieur honoraire a la Compagnie des cftentins de fer du Nord Batillp, conseiller honoraire la cour d'appel d'Agen Boutard, professeur agrégé de l'Université, ancien professeur au lycée de'Liîte; Oelannay. professeur honoraire à la faculté de Hennés Fautras. inspecteur primaire en retruite Goujon, président fondateur de l'œuvre du Les enfants pour la guérison du croup Lambert'-Baverdoins, conservateur des hypothèques *?h "Ihetrailè t Prix Meunié, une harpe neuve "du prix de fr.. à Mlle David. Prix Rose, 200 fr., à NI. Rambaldi Auguste!. Prix Alexandre Guilmant, 500 f., M. Lahquetiirt. Prix Milanollo, fr., à partager- entre -on. Marckcl, Reynal, Lerbovici. Bogonslawski, Mlle ̃ Gautier et M. Marius Casadcsus. o Prix Rosine Laborde, à Mlle Clavet, nommée sociétaire perpéhielle de l'Association des artistes musiciens, fondée par le baron Taylor. Prix Lepaulle. 708 fr., à M. Paul Roussel. Prix Portéhaut, 936 fr., à NI. Figon. Prix Sarasate, 610 fr., à Mlle Tempier. Prix Sourget de Santa-Colonna, 69 fr.. à Mlle Léontine Granier. Prix Osiris, fr., à Mlle Valpreux. Fondation Yv-onne de d'Arc\' 10 3,000 fr. ont été partages entre MM. Marc Delnias. Séré, de Pezzer. Marcel Dupré, Importe et Miftnan 2- fr., à Mlle Léontine Granier. 3o 3,000 fr. à Ni. Paul Roussel, ce prix n'ayant pas été décerné en 1913. Fondation Marius Demiéville, 450 fr. à M. Valin. Fondation Ambroise Thomas 1° 300 fr. à Mlle Léontine Granier et 30d"ïr. à M. Roussel {Paul,* ce prix n'ayant pas été décerné. en 1913 2° 300 îV à M. Gazette et h Mlle Saïm-an fr..a M. Morturier et à Mlle Baye. Fondation Th. Lisbonne, 600 fr. à partager entre M. Albert Chartes et Grandmaison. estivale, les cafetiers firent des affaires d'or, tant,' après chaque tour de valse ou de polka les danseurs étaient aItérés. Dans la soirée, la plus vive et la plus pittoresque des animations n'a cessé de régner. IJn'V a,Vait guère 4e rue qui- n'eût son bal. Et c était plaisir que de voir des couples nombreux tourner sans relâche, cependant que du haut d'une estrade improvisée, éclairée, par des lanternes vénitiennes, ornée de guirlandes tricolore, d^es musiciens souf- flaient, au mépris dé la fatigue, dans leurs divers instruments. Ces ,braves gens prenaient à peine le temps de se rafraîchir. Ce que l'on dansa de valses, de polkas, de bourrées, de maxixes est incalculable. La plupart des boutiques de marchands de vins furent transformées en salles de bal, ait, à défaut d'orchestre, parfois un phonographe rythmait les mouvernonfe de de la danse. Bref, ce fut une nuit charmante, pleine d'entrain, où la population témoigna d'une saine galté; et au cours de laquelle il ne se produisrt guère d'incidents fâcheux. La police n'eut en quelque sorte à intervenir que ponr morigéner quelques ivrognes incorrigibles. EN BANLIEUE On a également dignement célébré un peu partout, en banlieue, les préliminaires de la fête ̃ A CorbëJl, à l'issue de la distribution des prix, aux élèves des écoles laYques présidée par NI» Nepoty, directeur du cabinet de M. Dalimier, sous-secrétaire d'Etat aux BeauxArts. M. Boudonard, maire, a remis 600 fr. à Mlle Marguerite Martille, vingt-cinq ans, de- meurant, 65, -avenue Carnot, et 600 francs é;alemeht aux époux Bedeau, sexagénaires, demeurant, 18, rue des Grandes-Bordes, bénéficiaires- du legs Mtàurage. Au cours de la proclamation du palmarès, te-huit ans, NI Vergne, laveur au qui 'depuis, suit assidûment les cours du soir et comme les jeunes lauréats, s'est vu décerner un prix de lecture et d'écriture. M. Beaudoum, maire, a remis hier un drapeau aux boys-scoute qui prenr'nt part aujourd'hui à la revue du Il juilUn peu partout, pour aujourd'hui des réjouissances variées sont organisées tout autour de Paris.. ̃ A- Vitleneuve-Saint-Georges aura lieu la re AAubervilliers. à Pantin, sont organisées des 'réjouissances diverses à Sa'inMteis, et [Mirtnaf dfs-^eoncours de xtir1. et et Les accidents d'auto UN JEUNE PARISIEN TBÉ SES PARENTS GRIÈVEMENT BLESSÉS Chaumoni, 13 juillet. M. Marchand, industriel, rue de la Chapelle, à Paris, se rendait eu auto, avec sa femme, sa fille et son nis René, agé de vingt ans, à Chaumont, pour passer la journée du 14 juillet chez des parents. Vers onze lieures, à cinq cents mètres de Juzennecourt, l'auto fit une terrible embardée et, sur un brusque çoup de volant, pivota trois fois sur eHé-méme. ̃ • M. Marchand a l'éoaule luxée et des contusions dans le côté sa femme a l'épaule deux endroits son fils, sans blessiire apparente, a eu une hémorragie interne et il est mort deux heures aorès. La. jeune lîlle est indemne. La voiture est brisée. Le corps de René Marchand a été déposé dans un hôtel, à Juzennecourt, et les époux Marchand ont été conduits dans une clinique de Chaumont. AU DOMICILE DES VICTIMES M. Adrien Marchand, Age de quarantequatre ans, est -ingénieur et propriétaire dune usine de produits réfractaires, 126, route de la Révolte, à Saint-Denis il occupe avec sa famille un superbe appartement au quatrième étage, 29, rue de la Chapelle. Sari René, âgé de vingt ans, étudiant, devait partir en septembre prochain au régiment. Il se destinait à la direction de grands hôtels. Sa fille, Odette, de deux années plus jeune que son frère, vient de terminer -es études. Ayant décidé de quitter Paris avant-hier. de bon matin, 'pour aller visiter plusieurs, villes et passer ensuite la journées du H juillet chez Mme Mario Ile, directrice de l'école du Jardin-des-Fleurs, à Barrsur-Aube -Ni. Adrien Marchand s'était rendu dimanche à Saint-Denis chercher son automobile rrmisée à l'usine et à six heures il était de retoui rue de la Chapeile, où il prit avec lui sa femme et ses enfants. Une demi-heure après, l'usinier et sa famille quittaient la VI. Adrien Marchand est un débutant dans 1 automobilisme, car il y a à peine deux mois qu'il fil l'acquisition de sa voiture, qu'il conduisait lui-même. UNE COLLISION EN SEINE-ET-MARNE Melun, 13 juillet. Mme et "M Leyasseur, administrateur' du domaine due Bois-Bciudran, quittaient, ert après-midi, leur domicile pour se rendre a Melun, par la route de Nangis, dans une très forte limousine. Ils arrivaient à Châtillonla-Borde, lorsnue survint en automobile, le dncteufi Vivier, venant du Ghàtelet. Les deux voitures se présentèrent, ensemblé au croisement, sans que les conducteurs se fussent aperçus à temps pour éviter un.' rencontré. Une violente collision se produisit qui culbuta sens dessus, dessous la li- mousine. On dut retirer Mme Levasseur de l'auto- rtr'obile; mais on eut la satisfaction de cons- taler qne, bien que blessée aux jambes et à là poitrine. son état n'inspirait pas d'inquiétùde. LE FINLANDAIS VEUT MOURIR DE Versailles, 13 juillet. Le Finlandais mystérieux, arrêté' le 3 juillet à Chapet et incarcéré à la prison SaintPierre, à Versailles, continue à refuser tonte nourriture. Son état de santé est précaire. LES TOILETTES II'ftBRiVAIEHT PAS! ELLE EH ACHETA ET FiT BIEN Pour se rendre au château de la HaveMalherbe, dans. l ure, Mme Jeanne Guy avait pris le tram, le 7 octobre dernier, la gare Saint-Lazare. Le 18 octobre, ses malles contenant les toilettes qu'elle devait porter aux réceptions au château notaient pas eni èore arrivées, et Mme Jeanne Guy avait à faire un nouveau déplacement dans un autre château. Mme Jeanne Guy n'hésita pas. Elle rentra à Paris et acheta ce qu'il lui fallait pour remplacer ses toilettes en retard qui ne lui arrivèrent que le 23 octobre. Mme Jeanne Guy avait ainsi dépensé fr. 75, dont elle réclama le remboursement à l'Ouest-Etat. L'Ouest-Etat n'ayant consenti qu'à lui rembourser que 300 francs, on a plaidé devant la quatrième chambre du tribunal. Il .est certain, convenait l'Ouest-Etat, que Mme Guy a subi un certain préjudice* Mais elle pouvait patienter quelque temps et ne pas se hAter de remplacer toutes ses toilettes en retard. Du reste, une partie, de ce qu'elle a acheté fait double emploi avec -les toilettes qui ont fini par lui parvenir. Mais le tribunal a décidé que Mme Guy n'avait pas à attendre plus longtemps et que les'nécessités mondaines que lui impose son rang social justifient pleinement qu'est; ait pourvu d'urgence à l'acftat des objets qui lui faisaient défaut. Et l'Ouest-Etat a été condamné payer à Mme Guy 1,500 francs de dommages-intéréts. UN AMATEUR DE LIVRES Maurice-Casimir Ploquin, prêtre libre, avait été, par défaut, condamné h deux moins de prison, pour vol de livres au préjudice de divers libraires. Hier, il faisait opposition à ce jugement. Je n'ai pas la figure d'un voleur. a-t-il protesté. C'est un peu fort de passer pour un voleur. Le tribunal a réduit sa peine et lui a accordé le bénéfice du sursis. 15 JOURS DE PRISON, 20 FRANCS D'AMENDE POUR AVOIR VOLÉ SENS DROIT Aux dernières élections législatives, Désiré Combe n'avait pas hésité à prendre part au scrutin, bien que déchu de ses droits électoraux à la suite d'une série de neuf condamnations. Dénoncé ..par un électeur, Désiré Combe a, trfb!Mtl f trad,uif-' ;>?.;énu.' otÈamtl'f. pour homicide par -imprudence, et condamné, par défaut, à un 100 fr-inos p rr-fi . entrer avait '̃' lile. 11'imn* ̃ ̃>̃̃ !!•̃. I ton. H^vviilnnl ̃•! ̃ ;».j;,r ,,̃̃ ̃ 'juil av;iif cri ̃; ̃̃̃• -i! ̃̃̃̃̃ V'iiiiait lui ] rendre -ii place. La francs d' Chsrie-s ppyrpblânque. Iren'e-quatre ans, demeurant à' directeur de la régie et de la vente des et Ijoiirriers provenant du neltoienei>t de ha ville de bordeaux, pour abtis Tle confiance qualifl». Il employait à son usage personnel tes sommes provenant de la vente des terreaux. La session des assises de Seine-et-Oise s'ouvrira, à Versailles, le lundi 20 juillet, sous la présidence de M. Thomas, conseiller à la cour d'apet rk Paris. Al. Perru.si nmi-nreur de la République, a arrêté le r ;iaires qui seronl jugées à cette 'sessio;. Lundi 20 juillet, Le Foll, vols qualifiés mardi 21. Derouin. assassinat et vol mercredi 22. Duchêne. viol jeudi 23, Varin. assassinat vendredi Fusil et consorts, vols samedi 25, Baratin, assassinat et val lundi 27 juillet. Bordeaux et Consorts, tentative de .meurtre sur un agent et vols qualifiés. LE DRAME DE VERSAILLES .Le jeune Emile Alix a succombé à sa blessure Malgré l'opération qu'il a subie à l'hôpital civil, limîîe Alix il succombé, hier, vers midi, au coup de couteau que lui avait porté iL l'abdomen l'ex-légionnaire Eugène Goyet, originaire de Chartres, dit la Volige ». Dans J'interrogatoire qu'il avait subi dimanche après midi, Alix avait reconnu avoir porte un coup de tête dans la poitrine à Goyet, à la suite d'une discussion. L'ex-légionnaire a été plus précis devant M..Fqagçiy, juge d'instniction, qui cherehaït à ̃'définir les causes de la rixe Goyet déclaré que son compagnon de repeontee- était un professionnel du vol au poivrier et qu'il lui avait proposé plusieurs vilains coups à faire qii avait refisses, d'où motif' de leur altercation. M. jage ̃d'instnjçtiôn, a ordonné rautdpsie de la 'victime de' Goyet. UNE GARDEN-PARTY A L'ELYSEE La. arden-party offerte hier, à par le Président de la République et Mme Poincaré a remporté le plus vif succès. Au milieu du monde officiel, polytechniciens et saint-cyriens dansaient avec les jeunes filles des écoles de la Légion d'honneur. Au seuil des salons. M. Poincaré; eu redingote, rt Mme Pôiricarc. en une élégante i-obe de mousseline blanche brodée vieux rosé, recevaient, leurs nombreux invités, au aombre dpscjuels Djemal pacha, ministre de la Marine turque; les membres de. Ambassade. 'otteHiane; tout le corps diplomatique la plupart des ministre, etc. Le parc de r Elysée n'a repris sun aspect normal rlu'à une heure assez avancé de l'aprèsmidi. E.\ L'HONNEUR DE DJEMAL PACHA liifaat pacha, ambassadeur de Turquie,.a a donné, hier soir, un diner à l'hôtel de l'ambassade en l'honneur de Djemal. pacha ministre de la Marine ottomane. UN MONUMENT A ANDRE THETIRIET L'Association meusienne, dont André Theuriet fut, durant près de quatorze ans, le président, ouvre une souscription peur l'érection, dans la Meuse, d'un monument en l'honneur de l'écrivain, qui, dans tant de volumes, romans et nouvelles, a célébré cette contrée. DÉPÊCHES ET COMMUNICATIONS TÉLÉPHONIQUES DES CORRESPONDANTS SffiCIAOX DU PETIT PARISIEN hes révoltés de l'Ulster forment un eortège de dix kilomètres Londres. 13 juillet. Dans toute l'étendue de ITIster. la popu- lation protestante a célébré aujourd'hui le ïïi° anniversaire de la bataille de lu Boyne, j remportée par Guillaume d'Orange sur les troupes catholiques de Jacques II. A cette occasion, un cortège long, disent les dépêches, de 10 kilomètres et comprenant plus de personnes^ quitta Belfast ce matin, ayant a sti tête sir Edward Cal'son, et se rendit il Urumbeg Lorsque les milliers de manifestants composant le cortège se furent musses dans la plaine, une motion affirmant le loyalisme des orangistes à la personne du roi et au- torisant les leaders unionnistes prendre telle décision qu ils jugeraient nécessaire pour empêcher la mise en vigueur du Home rule, fut votée par acclamation. Sir Edward Carson, qui avait pris place sur une estrade, se leva alors et déclara que l'intention bien arrêtée des était de ne reconnaître d'autre gouvernement en friande que le gouvernement provisoire de l'Ulster. N'attendra pas de moi. ajoula-t-i!, que je vous lasse connaître ici les décisions nrises au conseil que nous avons tenu vendredi. O que je puis! vous affirmer, en revanche, c est que ce conseil m'a autorisé à exécuter ses décidions tt tel mo- ment et de telle faron que je ie jugerai bon. Soyez assurés que j'entends exercer les pouvoirs qui m'ont été donnés, le le ferai sans hésitation, avec le plus grand courage el quelles qu'en puissent être les conséquences pour moi-même. Si le gouvernement ne nous accorde pas ce que nous voulons, c'est-à-dire l'exclusion de tout l'Ulster, nous nous exclurons nous-mêmes ni si cela nous mène la guerre civile, nous nous battrons avec tout noire cœur. Apres ce les manifestants se .sont sépeués .sans aucun incident. Touristes surpris par une tempête de neign Vienne, 1-U juillet. D'jnrès nne information publiée par diont découvert ;ilhoïl. les cadavres de touristes iri Une evoéditinn de secours, partie de WinrfNrh-Mitiei. a découvert trois nouveaux ̃ •;]i;i res. On croit qu'il s'agit d'un important groupe de touristes qui a du être surpris par une tempête de neige. D'après une autre information, adres-sée de Kulstein à plusieurs journaux, on mirait découvert dans le massif du Wilden-Kaiser, les cadavres de deux touristes munichois, qui ont été précipites du sommet du Kopf• thorl. Une expédition de guides est partie pour ramener les cadavres. Suspendu à un dirigeable un soldat italien lâche prise à 200 mètres et se tue Rome. juillet,. Ln tragique accident a. marqué le passage du dirigeable P-5, à Udine. Cet. aéronat, qui venait de Vérone, avais atterri sur la place d'Armes, où il était retenu par dix soldats de cavalerie, lorsque survint une rafale de vent. Le dirigeable fut emporté. N'eut soldats le lâchèrent aussitôt, le dixième fut enlevé à une hauteur de deux cents mètres, d'où il retomba sur le sol, où il se tua. Le dirigeable atterrit ensuite sans difficullé. AU MARO C Combat dans le Zaïan Rabat. 13 juillet. La colonne Claudel est arrivée le 10 juillet à M'Un'et sans incidents. Cent cinquante tentes d'Ait'Alunar ont eccepté tes conditions de l'aman et ont fait leur soumission. Le colonel Claudel a fait le 11 juillet, dans la matinée. une reconnaissance vers les Z;!u Il s'est heurté à des contingents ennemis qui croyaient que la colonne allait s'engager dans le défilé de Foum-Sengnet et qui l'ont attaquée avec violence. La cotonne, par une manœuvre habile, a tourné l'ennemi et l'a mis en fuite. Les troupes françaises ont eu un Sénégalais tué et un autre blessé. Cent soldats du colonel von Reutter tombent d'insolation Berlin. 13 juillet. On mande de Francfort-su r-l'Oder au ''BerlïneT Tagebladt que, à la suite d'une marche du 12e régiment de grenadiers. exécutée par une chaleur torride, sous le commandement du colonel von Reutter, ancien colonel de Saverne. plus de cent soldats ont dû être ramenés dans des voitures. Deux .sont morts des suites de l'insolation qui les avait frappés. Dans la même ville, un soldat d'artillerie s'est jeté du troisième étage de la caserne, dans la cour. après s'être empoisonné. N- 38. Feuilleton du Petit Parisien. e race qui sombre GRAND ROMAN INEDIT DEUXIÈME PARTIE BANDITS GENTILSHOMMES XVI suite Le pla» d'un crime, Gagné un gros lot ? Précisément Et je veux que tu sois seule à en profiter. Je n'ai rien de plus prhcieux que loi Vous ne mentez pas ? Oh! C'est que vous m'avez déjà fait tant de promesses. Va chercher ton acte; je vais t en donner un autre. Il écrivit sur une feuille de papier tim. bré f"e qui suit i je donne à Colombe Escarros, ma ser- » vante, en raison de l'amitié que j'ai pour m elle- tout ce que je laisserai il mon décès, meubles, immeubles, titres, argent, sans n exception. Il data et signa Etienne Cabassou. » Lis, dit-il, lorsqu elle reparut. Celui-là vaut niena que l'autre. Et ne pense plus à me quitter- Elle aussi elle eut sa minute de joie. La baronne de la Roche aurait été victime dune terrible chute d'aéroplane Nous avons reçu la dépêche suivante de notre correspondant particulier de Reims Reims, 13 juillet. » Le bruil court, à tt-ims, que la bu- j ronne de la Roche se serait grièvement blessée cet après-midi, au -camp de Cha- tons, h .suite d'une chute d'aéroplane. » Les téléphoniques sont coupées aujourd'hui- et nous n'avons pu obtenir cnnfirmation de cette nouvelle. Il Aussitôt après réception de ce télégramme, nous avons fait une rapide enquête à Paris, ainsi qu'à Chàlons mais, pas plus il un endroit qu'à 'nutre, il n'a pn noua être confirmé que l'accident relaté par notre correspondant fût réel. excursionnistes en panne New-York, 13 juillet, Un,' panne s'élanl produite vers minuit aux usines fournissant la force motrice électrique, ;>lus de cent mille excursionnistes se sont trouvés retenus dans les trains il Corray Island. Pressés de rentrer chez eux. les voyageurs ont fait un vacarme effrayant, réclamant énergiquemeut leur transfert à Atlantic' City. Ils ont du attendre plusieurs heures le rétablissement du courant électrique. Terril accitieni il'aiita jrès de Bsden-Bâùen Strasbourg, la juillet. In terrible accident d'automobile s'est produit, hier soir, sur la rive badoise du Rhin. L'ingénieur aéronaute Chartes Arbogast, de Strasbourg, s'était rendu en automobile à lîiiden-fjailen, en compagnie de sa jeune femme et d'un ami. M. Barth. Ils avaient pris place dans une voiture en forme de pirogue, construite pottr les grandes, vitesses, et où les voyageurs sont assis les uns derrière les autres. Dans une descente prtse à vive allure, un pneu éelatu La voiture alla, donner contn- ]̃• borne et lit panache dans le Tandis que M. Barth s'en tirait. avec quelques contusions, l'ingénieur était projeté violemment su^ie sol ou il demeura étendu avec les deux jambes rompues et une fracture du crâne. Sa femme, restée prise sous l'automobile, avait été tuée sur le coup. M. Barth, malgré ses blessures, courut chercher des secours, mais quand ils arrivèrent M. Arbogast était mort. t estera IL EST ARRIVÉ A BELFORT Le dessinateur llansi est arrivé ici. de retour de la Schlucht. Il subsistera demain à la revue des troupes, et très probablement au banque du a Souvenir français Je viens de causer longuement avec lui, à l'hôtel où il est descendu. Il vous prie de damentir la soi-disant dépêche Tu m'as vu », adressée au procureur Colrnauen. La sonrce de cette fausse nouvelle, ajoute-t-il, la Gazette le, huit heures, explique la lourdeur de la plaisanterie. Je suis décidé, me dit Flansl, rester en France et il passer l'été à Gérardmer pour remettre ma santé très ébranlée par les traverses que je viens de subir. Je suis écœuré de ce que j'ai vu il. Leipzig Je n'ai point trouvé de jugea, muis des ennemis acharnés. C'était un véritable guet-apens. Je ne pourrais physiquement supporter quinze mois de détention, à Kotbus Prusse orientale, sous le régime commun, menacé d'aggravation quand les motifs de ma condamnation seront connus. Les suites juridiques du jugement de Leipzig sont tellement graves qu'elles rendent impossible la lutte comme je la mène. Je considère que ma présence en Alsace n'est plus tenable, si je veux pouvoir continuer à défendre ma patrie alsacienne. Les ^belles albanais sont maîtres deBérat Durazzo, 13 juillet. On annonce que les insurgés se sont emparés de Bérat à midi. Par contre, on mande de .fanina que, sur l'ordre formel de M. Zographus, les troupes épirotes qui ont participé à la prise de Koritza ont suspendu leur marche sur Bérat elles s'abstiendront de toute occupation du territoire, en dehors de la zone délimitée par l'accord de Corfon. L'assemblée épi rote continue ses séances à Delvino. Tnr'ihmm pacha à Berl1a Berlin, 13 juillet, Turkhan pacha, premier ministre d'Albanie, qui est arrivé ici, hier, n eu aujourd'hui plusieurs entretiens avec des personnalités allemandes et le chargé d'affaires de Roumanie. Dans 'es milieux politiques berlinois. on dit que Turkhan pacha sera accueilli avec une grande sympathie, mais que l'Allemagne ne peut pas agir auprès des puissances en faveur de l'Albanie. Et nous irons là-bas ? dit-elle. Oui. Bientôt, vous l'avez promis ? Avant la fin de l'année. Oht Elle nageait en pleine illusion, dans un bain de Jouvence. La journée se passa, pour elle, en rêves délicieux pour son maître, avec la fièvre de l'attente. En quittant Colombe, il s'enferma dans son cabinet. Là, il eut un ironique sourire. Colombe aurait tout, en effet. Mais que lui resterait-il ? Ses projets étaient arrêtes, L'argent de Frazey serait piacé, pour la plus grosse part, à rente viagère Avec le surptus, il achèterait une petite propriété, un cottage de son goût. Et ensuite? Que resterait-il? Quelques économies et sa maison. Peu de chose. Mais que lui fallait-il pour vivre, cette petite Colombe ? Que faut-il à une hirondelle ou à une paIambe? Et là-bas Dans les Pyrénées, qu'at-nn besoin dune fortune? Paris est dévorant. L'or y fond comme de la cire. Dans le* montagnes, il résiste et dure La journée devait lui paraître longue. Cependant il eut quelques distractions. Sa sonnette tinta à diverses reprises. D'abord, ce fut un clerc d'avoué qui lui apporta le dossier d'une petite affaire. Pour une heure, dit-il, à la troisième chambre. N'oubliez pas. Le client y sera. Bon. Un instant après, ce fut un commerçant du quartier qui venait pour une consultation. Le bandit Maharaehwilli RUE VERGNIAUO OU IL HABITAIT SON ARRESTATION A SURPRIS La Vergniuud est une voie nonvejlement ouverte aux confins du quartier de la Maison- Blanche. C'est dans un petit hôtel meublé, situé au numéro lô, que Serge Maharaehwilli habilait en dernier lieu. Hier, magistrats et policiers sonhwiius perquisitionner dans la petite chambre qu'il a profondément ému les logeurs. Test, nous ont-ils déclaré. le 7 juillet dernier que cet individu se présenta chez nous. Comrne il ne s'exprimait pas en français, il s'était fait accompagner par un de ses amis, nu jeune homme aux cheveux rouges, mis comme -un mécanicien, d'une cotte et d'un veston bleu. Il s'inscrivit sous les noms de Oglon Mnhoud Kesd/.i. mécanicien, ne à I-lenïa {Turquie;, en 1888, et ayant habite en dernier lieu, 6, [face Rungis. Il paya un mois de loyer d'avance, suit 24 francs, et s'installa dans sa chambrette. Il apportait avec lui .une malle et nn petit panier d'osier. Durant son court séjour dans notre é!ablissement, notre locataire ne se signala en aucune facon à l'attention. Il se levait de grand matin et sortait. Où allait-il 1 Nous l'ignorons. Il rentrait vers trois heures dans l'après-midi, se faisait servir un litre de bière qu'il emportait chez lui. 11 nP reçut jamais d'autres visites que celle de son ami le jeune homme roux. Un fait cependant nous a frappés. D'après la femme de service qui faisait sa chambre, il avait toujours dans son lit, sous son traverrsin deux pistolets américains. chargées. On l'a ramené tout il l'heure ici, au moment où a eu lieu la perquisition. Ce garçon faisait peine avoir. Il était fort pàleypt nous regardait drôlement. semblant croire que c'étaient nous qui l'avions dénoncé. On dit qu'on a trouvé sur lui une fortune Vous n'en revenons pas. Il était si misérablement vêtu En quittant la rue Vergniaud nous nous sommes transporté à l'hôtol de M. Cabane. 6. place Rungis. où Maharaehwilli avait dit avoir demeuré auparavant. TI est complètement inconnu à cette adresse. UNE ARRESTATION A ASNIËRES Un dernière heure, nous apprenons que, cette nuit, à Asnières, les inspecteurs de la sûreté générale se sont livrés a une opération judiciaire qui parult avoir une corrélation avec l'arrestation de Kiritchek et de Maharaehvili. Un autre Russe aurait été appréhendé et emmené par les subordonnés de M. Sébille. Au commissariat de la localité on ne connaissait rien de cette affaire. Du danger de lancer des bouteilles par une portière de wagen Clermont, 13 juillet Le cantonnier Abel Picard, vingt-neuf ans, demeurant à Fitz-James, qui travaillait sur la ligne du chemin de fer, il un kilomètre de la gare dé Oermoni, a reçu à la tête une bouteille vide lancée par un voyageur du train express d'Amiens à Paris'. M. Picard a été assez grièvement blessé. Un tamponnement de trains près de Dreux Dreux, 13 juillet. L express 438, qu; doit partir de Dreux à 9 Il. 34 du soir quittait la gare avec 14 minutes de retard. Avant d'arriver au signal avancé n° 1, il rencontra un train de marchandises venant de Rouen qui avait dépassé les signaux. Les deux machines entrèrent en collision, subissant chacune de 'graves avaries, ainsi que deux voitures de l'express, dont les attelages se brisèrent. Le train de voyageurs fut remorqué en gare et au bout d'une heure et demie., après avoir été reformé, il repartait pour Paris. Dans cet accident, qui aurait pu avoir les plus graves conséquences, le mécanicien Hardy, du train express, a seul reçu de légères contusions aux jambes. LE BANQUET des préparateurs en pharmacie Après la clôture de leur congrès, les préparateurs en pharmacie de Paris ont ctonné hier un grand banquet suivi de bal au Rocher Suisse. Y assistaient Me Lavai, députk de Paris, avocat de la fédération -le Ktivant, avocat 'du syndicat de Paris et de nombreuses personnalités du monde ouvrier. Après de courtes allocutions du secrétaire général de la fédération, du secrétaire du syndicat de Paris et du président du congrès le bal fut ouvert et se prolongea jusqu'au matin. Après avoir déjeuné légèrement, il se rendit au palais, se promena en rcbe, toque et rabat, dans l'immense salle des pas perdus. Il plaida son affaire avec indifférence, la perdit, et, sans rancune contre les juges, s'en alla errer sous les arcades de sa rue, en songeant à son entrevue du soir. Capitale pour lui C'était le sort de sa vieillesse, heureuse ou malheureuse, qui se décidait. Un être abominable, ce Frazey, capable de tout Cependant, il se félicitait de l'avoir connu. Un bandit sans doute, mais d'une rare intelligence. C'était iui l'inventeur d'une méthode nouvelle laquelle il avait dû ses succès, l'exécution rapide de ses plans, qui l'avait rendu insaisissable La course en auto. Qu'est-ce que c'est, deux cents kilomètres, pour le malfaiteur assez riche qui peut se procurer avec son argent une de ces puissantes machines grâce auxquelles tout est possible. Certes ni le comte de Frazey ni son ami le baron Guy de Brévent ne lui avaient fait de confidences précises, mais à quelques mots il avait compris leur système et la vérité. En quoi il se trompait. L'inventeur véritable, ce n'étaient ni Frazey ni Brévent, mais bien l'honnête, l'honorable Pillmann. C'était lui, le premier conseiller, comme il avait été le bailleur de fonds de cette as- sociation dont le but était le brigandage et le vol sur une grande échelle. Qu'importait Le résultat pour MO Cabassou était là LES DRAMES DE LA FOLIE Dans un accès de démence un capitaine tue sa femme et ses enfants REVENU A LA RAISON, IL SE SUICIDE Oran, 13 juillet. Ce matin, ou a découvert, rue de Moslaganem, les cadavres en décomposition du capitaine Gou2e du étranger, de sa femme et de ses trois enfants, deux garçons et une fille, âgés de 1 i, 10 et 9 ans. Dans la salle à manger, on trouva, étendu, les bras en croix, le fils Gousse, âgé de quinze il il avait reçu une balte dans la Dans une autre pièce, qui était la chambre des fillettes, ces dernières étaient couchées dans leur lif commun, les draps tirés jus- qu'au menton, t'êtes avaiertt été pen- dant leur sommeil. Enfin, dans leur à à coucher, les ouzo, le capitaine et un femme. étaient étendus sur leur lit. cote côte, ayant chacun un coup de revolver dans la tempe. Au cours d'un accès de démence, cet officier, en convalescence à Jran, eut des hallucinations. D'après les constatations, la mort remonterait à la nuit du S au 9 juillet. C'est l'odeurqui se dégageait des cadavres en décomposition oui attira l'attention des voisins. Dans" une lettre qu'a laissée le capitaine, on peut reconstituer le drame et l'attribuer, certainement il un effroyable acte de déLe capitaine dit, en effet Dans une hallucination, j'ai vu ma femme et mes enfants chéris sur le point d'être pris par les Marocains. Je me suis réveillé. L'horrible chose était faite. Je pars avec eux vers Dieu. Priez Dieu pour nous. Suivait une liste des membres de sa famille qu'il désirait faire prévenir de sa mort. Revenu à lui. se rendant compte de l'horrible carnage, il écrivit pourquoi il avait tué et se donna ensuite la mort avec la dernière balle de son browning. Le capitaine Gouze, revenu du Maroc depuis deux mois, avait donné des signes de Ce drame a produit une vive émotion dans le quartier. A [ORIENT, UN CAVALIER DU 2 CHASSEURS DEOANE ET ÉvENTRE DEUX CHEVAUX Lorient, 13 juillet. Le chasseurs, de retour des manœuvres passait à Guer, quand le cavalier- Mesphon, frappé d'insolation, devint fou furieux et dégainant, éventra deux chevaux, puis fonça sur les cavaliers, les frappant à coups de sabre. Maîtrisé à grand'peine. Mesphon a été transporté à l'hôpital. UN MEUNIER ITALIEN TUE SEPT PERSONNES Rome, 13 juillet. Aujourd'hui, à Camerata-Cornello, petite commune près de Bergame, un meunier nommé Simon Pianetti, pris d'un accès de folie subite, sortit de chez lui armé d'une curabine il répétition. se rendit dans le pays voisin, Sân-Giovanni-Bianco, et se mit à fusilles toutes les personnes qu rencontrait. Il tua d'abord le médecin de la municipalité, le docteur Morandi puis le curé de la paroisse, l'abbé Paleni, qui était dans sa maison auprès de sa mère infirme celle-ci, frappée par cette scène tragique, ti à l'agonie. Pianetti alla ensuite chez le secrétaire de la commune, Abranio Giudici. et le tua ainsi qne sa fiile, Valera. Enfin, il assassina successivement un valet de la municipalité et le frère .de ce dernier qui travaillait tranquillement aux champs. On suppose que le misérable est devenu subitement fou d'autres disent que le mobile de cette épouvantable tuerie est le désir r1'assouvir d'anciennes rancunes. L'assassin s'est enfui dans la montagne les gendarmes de la. bourgade étant partis pour porter les affiches et les ordres de rappel des réservistes dans les pays voisins, le brigadier est seul présent. La population, prise d'une panique folle, n'a pas su empêcher les crimes de Pianetti. Ajoutons qu'il est âgé de cinquante ans et qu'il est père de cinq enfants. La mort du tailleur Hardy n'a rin à voir avec l'affaire Âlliot Clermont-Ferrand, 13 juillet. La minutieuse enquête faite par le parquet sur la mort de M. Raoul Hardy, le marchand taiiieur de la rue Neuve, a péremptoirement démontré que cet événement n'a pas le moindre rapport avec l'affaire du mvstérieux assassinat de M. Alliot. Il est établi que, la nuit où fut commis le meurtre, M. Hardy était rentré chez lui à dix heures du soir et avait dormi jusqu'à six heures et demie dit matin, heure à laquelle il avait été réveillé par M. Moisson, qui venait lui apprendre la nouvelle du crime. Personne, d'ailleurs, n'a jamais vu M. Hardy sur la place de Jaude le matin de la Pentecôte. D'autre part, en ce qui concerne le décès même de M. Hardy, le médecin-légiste a déclaré qu'il était le résultat d'un accident, car toutes les constatations faites tendent à montrer que le marchand tailleur, lorsqu'il a brandi son revolver, au cours d'un accès de nervosité, n'avait pas l'intention de se tuer, mais seulement d'épouvanter sa femme. C'est un mouvement réflexe .qui a dû lui faire presser la détente. Il n'avait qu'un regret. Il se disait Peut-être, de ma jeune cliente, j'aurais obtenu duvantage. Mais le marché était conclu.. Il n'y avait plus qu'à l'exécuter. Loyalement Un mot stupéfiant en l'espèce et dans certaines bouches. Dans quelques heures, ce serait fait. Et alors ie voeu de Colombe serait bien près d'être rempli. Enfin Que de fois. pendant ces heures de fiévreuse attente il prononça ce mot. Vers sept heures il quitta son appariement en disant à sa Bayonnaise qui devait lui prouver sa reconnaissance Attends-moi, Colombe. Je vais rentrer de bonne heure. Où allez-vous ? Diner chez des amis. Il ajouta en lui tapotant les joues dans une caresse familiére -Et toucher la forte somme A bientôt. ne prononça pas le nom des amis qu'il allait trouver. Elle ne pensa pas lui demander. Elle était tout entière à sa joie. Il sortit, tranquille, sans la moindre défiance. Il ne pensait qu'à son argent. Deux cents billets de mille Quel plaisir pour lui de les rapporter Quelle joie plus grande de les montrer à Colombe, de lm dire Tu vois. Je ne te mentais pas. Je suis riche. Donc tu I'ps aussi. Comme elle allait se jeter à son cou Cette perspective l'éblouissait. Elle primait tout. Deux cent mille francs DANS PARIS Un cambriolage ru» Hlyrha .NI. Guyon qui tient un hôtel. rue Myrha. constata, en remontant à son appartement, hier vers midi, que des cambrioleurs avaient fracturé son armoire à glaop. es bagues, des broches, deux montres, .un tour de cou, trois bracelets formant un total de francs do bijoux avaient, disparu. Inconnu tuô jttr un tramway \'ers minuit, la nuit dernière, boulevard de la Villette, un tramway ,et tué sur le coup un inconnu, paraissant âgé de trente ans et fort, correctement vêtu. Tombât du métro Hier soir, vers neuf heures, il Ja station du Chatclet, une menagère, Mie Bessonvifle, demeurant 3, rue du Jura, ayant voulu descendre avant l'arrêt, tomba d'une rame du Métro se dirigeant vers la porte \'£.iilût. La malheureuse fut prise entre le train et le quai. Il fallut, pour la dégager, faire oppel aux pompiers, qui durent utiliser un crie. Mme Besbon ville, qui avait les jambes fracturées, a été transportée dans un état grave à l'Hôtel-Dieu. Un camèat de nùgrts Il drame rapide s'est ocroulé, la nuit dernière, place Pigalle. Lvux boxeurs nègres. Williams Jim et Fred Tolton. s'étaient voué une haine mortelle. Une blonde Montmartroise avait été la cause de cette brouille, qui devait avoir une lin tragique. Vers trots heures du matin, après avoir vidé nombre de vertes de whisky, les deux boxeurs se rencontrèrent par hasard il l'an¥le de la rue Frochot. Il fallait en finir. WilSix balles furent échangées sans autre résultat que l'intervention des agents, qui arrêtèrent les duellistes. Le drame m la rxe d'Assis On connaît aujourd'hui les -causes du drame qui se déroula l'avant-demière nuit rue d'Assas. On sait qu'un débitant, M. Bauruel, tenta d'égorger sa femme qui, blessée et affolée, se précipita par la fenêtre du premier étage. C'est parce que Mme Bauruel s'était refusée dans la journée à faire une partie de campagne que son mari, subitement furieux après s'être enivré, lui chercha querelle, alors que déjà elle était couchée. Tandis qu'on prodiguait des soins à la victime. Bauruel. resté dans la chambre, se tranchait la gorge. Quand les policiers pénétrèrent auprès de. lui, ils ne trouvèrent qu'un cadavre. L'état de Mme Bauruel s'est fort amélioré. M. Jean Brousssiat. employé de commerce, dorue de Bourgogne, a été renversé par un camion automobile conduit pur Joseph Beau, demeurant en garni rue Surcoût. Assez grièvement blessé il la tête. M. Broussejet a demandé à être reconduit il. son domicile. Ni. Lnùis Strack. domicilié 5, rue de l'Evangile est tombé accidentellement de sa fenêtre, située au troisième étage. Il agonise il Lariboisière. M. Eugène Chevallier, âgé de dix-huit ans, demeurant 20, -lie du Faubourg-Saint-Denis, fut renversé, hier matin, vers neuf heures, boulevard de Strasbourg, par une voiture de livraison. Une rcue du lourd véhicule passa sur le ventre du malheureux, qui est à l'hôpital Saint-Louis. LES MOUTONS ÉTAIENT TROP GOURMANDS Meaux, 13 juillet. En l'absence du berger Joannès, un inconnu a renversé, à Vaux-sous-Coulombs. les barrières d'uii parc dans lequel se trouvait un troupea de ï00 moulons. Ceux-ci ont mangé le trèfio d'un champ voisin et ont enflé à tel point que 30 d'entre eux ont péri. Les autres ont dû être ventouses. EXPLOSION Château-Thierry. 13 juillet. l'ne bouteille chargée de dynamite a fait explosion dans le jardin de M. Chalier, propriétaire à Jaulgonne. Il n'y que des dégâts matériels. On recherche l'auteur de cet attentat. Une jeune fille happée par un train en gare d'Antony Un terrible accident s'est produit, hier soir, en gare d'Antony. Il était huit heures environ, les voyageurs se pressaient en foule sur les quais lorsque soudain, au mo-, nient où un train pénétrait en gare, des cris terrifiants se firent entendre. Une jeune femme, happée par le convoi, venait, en effet, de disparaître sous les roues. Le train ayant stoppé aussitôt, on se précipita au secours de la malheureuse. Mais toute intervention était inutile, et ce ne fut qu'un cadavre affreusement déchiqueté que l'on releva. La victime était une jeune bonne, Mlle Alice Horseman, âgée de vingt et un ans, en service, rue Lcgoff, à Paris. C'est en se penchant qu'elle avait perdu l'équilibre et roulé sur la voie. MINIATURES VOLÉES AU SALON On s'est aperçu, alors qu'on opérait le déménagement des œuvres exposées au Salon des artistes français, que des malfaiteurs avaient exploré les la section des miniatures et que cinq de ces œuvres, qui furent très remarquées, s'étaient volatilisées. Ces miniatures disparues sont signées par Mlle Paugoy, élève de la princesse Gagarine-SLourdza, qui n'est autre on le sait que Mme Denys-Puech. L'une de ces oeuvres est précisément le portrait de la princesse. Plainte a été déposée au commissariat du quartier des Champs-Elysées, mais, jusqu'à présent., la police ne possède pas la moindre piste. Il ne songeait à rien de plus. Pour le reste, il élail bien tranquille. Aucune crainte ne le tourmentait. Dans ce Paris, à huit heures, au milieu d'ui> quartier riche, qu'avait-il à redouter ? Il suivit l'avenue des Champs-Elysées paisiblement, sans se presser. Il avait du temps devant lui. A huit heures moins quelques minutes, il arriva rue Pergolèse, en flâneur, et sonna et la porte de j'hôtel du comte. Elle s'ouvrit aussitôt. Ce fut l'avenante figure de Toine que l'avo- cat aperçut d'abord. Qui n'aurait eu confiance en ce valet correct. réjoui, coloré par une sorte de reflet des vins généreux du caveau de son patron dont il usait avec libéralité pour lui-même et pour ses amis? Aussi le comte possédait-il dans son voisinage une de générosité solide- ment établie. Monsieur Cabassou fit Toine, la bou- che en cœur. Parfaitement. Oh j'ai bien reconnu monsieur. Ce n'est ys la première tots que je lc vois ici. Monsieur est un ami de la maison. Et s'inclinant, obséquieux Entrez dune, je vous prie. Monsieur le comte vous attend. Toine l'accompagnait en disant J'ai l'honneur d'être votre compatriote, monsieur Cabassou. Té pas possible. Cependant vnus avez l'assent. Je suis d'Estahès. Près de Bayonne ? Justement. Vous voyez biea. Il se nomma CONTES DU "PETIT PARISIEN" Le Caissier PAR MICÜEL CORDAY Cent mille francs. On avait dérobé dans la caisse de l'usine près de cent mille francs en trois ans. Ainsi conciuait 'Téxpert chargé d'examiner les écritures. Et il affirmait de plus qu'un seul homme avait pu commettre ce vol le caissier. Cependant, M. Ringal, le puissant industriel dont les soupçons avaient provoqué ces recherches, repoussait l'accusation. Il ne pouvait pas croire son caissier coupable. Quoi 1 Simot, employé depuis trente ans dans la maison, Simot aurait dérobé cent mille francs ? Allons l'intègre, la délicatesse même, Simot donc Ringal hésitait à saisir immédiatement la justice. Il aurait voulu procéder d'abord il une enquête personnelle, sur la vie de Simot. Et d'ailleurs, cette vie, il se flattait de bien la connaître. Ils avaient pour ainsi dire débuté ensemble. Au moment où lui-même succédait à son père à la tête de l'entreprise, Simot entrait- comme commis à la caisse. Et, durant plus d'un quart de siècle, le patron n'avait eu qu'à se louer de son employé, de son zèle attentif, de son dévouement fidèle. Simot était devenu, dans ta forte acception du mot, l'homme de confiance. L'hiver, Ringal le à dîner. Ou bien, aux vacances, il l'invitait quelques jours en villégiature. Et là, dans la vie commune, le patron avait su mieux encore le pénétrer et l'apprécier. Simot était resté célibataire. Très grand, couronné d'une abondante et soigneuse chevelure blanche, il gardait des allures cérémonieuses, un tantinet solennelles. Il avait à la fois des raideurs de vieux garçon et une sensibilité de jeune fille. Il était susceptible et tendre. La moindre attention le touchait aux larmes. Un manque d'égard involontaire, imaginaire même, le froissait tout un jour. Bref, une âme exquise. Lui, un voleur ? Quelle folie 1 Quant à son existence, elle n'avait pas d'histoire. Ringal savait que son caissier habitait depuis longtemps un petit logis à proximité de l'usine. Il passait ses dimanches à la campagne. Il n'était pas joueur. Il avait horreur des aventures galantes. On ne lui connaissait pas de liaison. Comment, pourquoi, aurait-il pris cent mille francs ? Et, pourtant, l'affirmation de l'expert était absolue. Seui parmi tout le personnel, à cause même de la confiance unique dont il jouissait, le caissier avait pu commettre ces vols et les cacher aussi longtemps. Ayant mûrement médité, Ringal résolut d'interroger Simot avant de porter plainte. Sans doute il se cabrerait devant le soupçon. Mais une explication franche, d'homme à homme, ne valaitelle pas mieux qu'une descente de justice ? Ensemble, ils examineraient les accusations formelles de l'expert. Ils découvriraient peut-être la malice du hasard, qui mettait toutes les apparences contre un vieux serviteur. Afin de ne pas éveiller sa défiance par un cérémonial inaccoutumé, Ringal ne fit pas appeler Simot dans son propre cabinet. Il descendait au bureau du caissier et il lui dit sans apprêt Simot, mon vieux Simot il nous arrive une chose très embêtante. J'ai dû faire expertiser la comptabilité. Oui. Le chiffre d'affaires baisse. Je sentais quelque chose de louche. D'ailleurs, tout le monde ignore cette enquête. Bref, en trois ans, on a détourné près de cent mille francs. Le visage de Simot était devenu tout blanc, aussi blanc que sa chevelure. On eût dit un marbre. Seul, son regard vivait, chargé d'angoisse. Il soupira d'une voix faussée, d'une voix d'enfant Monsieur Ringal. L'expert avait-il dit vrai ? Le caissier serait-il coupable ? Affreusement troublé, Ringal poursuivit Vous n'avez aucun soupçon ? J'ai voulu vous consulter. Je vais être obligé de saisir la justice. Simot se dressa La justice ? Dame. Le caissier s'écroula. Ce fut une ruine humaine. Il avoua C'est moi, monsieur Ringal. Vous. Simot, vous ? Oui, moi, monsieur. C'est abominable. Je croyais qu'on ne s'en apercevrai!, jamais. Ringal, furieux, déçu, bouleversé, cria Mais qu'est-ce que vous avez fait de cet argent-là ? Quoi ? Le jeu, les femmes, une maîtresse ? Le caissier agita la tête Non, monsieur Ringal. C'est toute une histoire. QueUe histoire ? Voilà. Il y a trois ans, j'ai loué une Antoine Campo. A votre service, mattre. La salle à manger du petit hôtel qui donnait sur la grande maison était éclairée à giorno n comme pour une fête- Le lustre jetait des flots de lumière sur la nappe au milieu de laquelle une corbeille de roses mettait une note élégante et joyeuse. Le Champagne était au frais dans le seau d'argent Le couvert n'était mis que pour trois personnes. Cependant, avant rarrivée de Tavocat, il y avait déjà un trio en dans le salon. Il se composait du maitre de la maison étendu dans un large fauteuil et de son ami, Que fui contait donc son capitaine F"razey qui pût le mettre en gaieté à une heure si grave Lui expliquait-il la déception qui attendit Me Cabassou ? Le sujet était cependant prulot Le troisième personnage était moins élégant et plus rmissif que les deux autres. C'était notre connaissance, César Pidoux, le terrassier, en costume des jours dr 1 flemme » et de repos, complet de velours à cotes nuance feuille-morte. propre aux expéditions hasardeuses et nocturnes Mais celui-là, au coup de -muette de Cabassou s'éclipsa sur un de Frazey qui lui dit Quand on aura besoin de toi, on te fera signe. A suivre. CHAntEs Mérotvei- Traduction et reprodnoLlon termeHamentlatsrdltafc petite maison aux environs de Paris, ai Verpuis. Vous connaissez ? 'e méd^in m'avait conseillé la campagne. Mes appointements avaient augmenté. J'allais là-bas du samedi au lundi. Un jour, ces messieurs du conseil municipal sont venus quêter à domicile. Il s'agissait d'ouvrir une crèche pour les enfants du pays. Le bourg est gros. Près de trois mille ha- seul sur la terre, monsieur Ringal, seul depuis ma naissance, pour ainsi dire, sans intérêt, sans attache. L'idée de participer à une bonne action m'a flatté, m'a grisé. D'une impulsion, ,sans réfléchir, j'ai sorti un billet de cent francs de mon portefeuille et je l'ai ten- du à ces messieurs. Ils m'ont remercié, félicité. Tout de suite, j'étais devenu quelqu'un, moi qui' n'étais rien, quelqu'un qui compte, quelqu'un qu'on salue. Seulement, ces cent francs m'ont manqué pour achever mon mois. Mon propriétaire, des fournisseurs me pressaient. J'ai perdu la tète. Ces cent francs, je les ai empruntés à la caisse. Je me disais Ce sont les cent francs de la crèche. Je les remettrai fin courant, sur mes appointements. » Et après ? Après? J'étais mordu, monsieur Ringal. J'avais goûté au plaisir de donner. J'en ai voulu davantage. On annonçait aux environs un meeting d'aviation. J'ai donné un gros prix. Puis on a élevé une statue à je ne sais quelle gloire locale. J'ai été un des principaux souscripteurs. Et vous preniez à la caisse ? Eh bien, t îi, monsieur Ringal. j Oh je ne me fais pas meilleur que je ne suis. Evidemment, j'étais heureux tout simplement de donner, d'être utile, d'être bon. Mais j'étais satisfait aussi d'être entouré d'hommages, de reconnaissance, de respect. J'étais flatté dans mon cœur, mais aussi dans mon orgueil, dans ma vanité. Pensez que je devenais un monsieur, un bienfaiteur, une sorte de providence. Les journaux locaux m'appelaient un Mécène. Aux fêtes, aux cérémonies, j'avais mes entrées, j'étais dans les privilégies. On me consultait, on me demandait mon goût, mon avis. ,Enfin, j'avais un intérêt à vivre, moi qui avais depuis quarante ans tourné ma roue à vide, sans raison, sans but. Et vous avez continué ? Car enfin, cent mille francs. Oui. je tremblais à l'idée de retomber, à l'oubli, à l'inutilité. Il m'a fallu frapper des coups toujours plus retentissants, pour retenir l'attention, l'adulation. C'est si bon, de se croire aimé. A moi seul, j'ai fondé un petit hospice de vieillards. C'était un gros morceau. Mais on a mis mon nom sur une plaque de marbre noir, en lettres d'or. On m'a proposé pour une décoration. Fichtre Ah monsieur, vous ne pouvez pas comprendre. Je sais bien. Vous avez tout. Vous gagnez de l'argent comme vous voulez. Vous êtes entouré d'une jolie famille. Moi, je n'avais rien que cette es- pèce d'encens. C'est si capiteux On veut toujours en respirer. Je ne veux pas vous attendrir. Mais c'est à peine croyable, c'est même ridicule j'ai fait le mal pour faire le bien. Il y a des tas de gens qui me bénissent. Et la police va m'smpoi- gner. Les juges me condamneront. Et ils ne comprendront pas. Ils ne comprendront pas. Ringal méditait, dans la stupeur et l'émoi. Enfin il releva la tête C'est vrai, Simot. Ils no compren» draient pas. Je ne vous mettrai pas dans leurs mains. Michel CORDAY. LA TEMFÉRATURE La journée d'hier, 13 juillet Région parisienne pluie et averses la nuit entré minuit et quatre heures du matin temps nuageux ou beau le jour. Tempéra- ture en baisse le matin, assez élevée l'après- midi. Chaude journée. Baromètre la timite du variable et du beau, en baisse l'aprèsmidi. En France temps nuageux ou couvert, ieauf dans Le Midi, où il fait beau brume sur les cotes,. orages la nuit à Clerrnoni, Méziè- j rus, Besançon averses orageuses àans le Nord, le Nord-Est, le Centre et l'Est. Temperature encore élevée dans les vingt-quatre heures, on Il enregistré les maxima sui- et Cette, à Chrrrlevilte, 30° à Port-Ven- sept heures, la température, un peu en baisse i sur la veille à la même heure à la suite des orages, était de 15° à Brest. à Lorient, à Bordeaux, Belfort, 20° à Biarritz et à Toulouse, 24ô Il,' Port-Vendres. V^nt faible" ou modéré -sur toutes les côtes. THERMOMÈTRE heures du malin. 18°5 j D'autre part, il dsux heures du soir, le thermomètre marquait. Aix-les-Bains 34° Loricnl Biarritz Lyon Bordeaux Marseille. Brest Xancy 27° Charleville l'6'8 .Vailles 25" Il Cherbourg. 20°2 Vire 25° j Jiieppc il^ Snisscms 25° te Havre -22° Toulon '2b°S Lille Vichy 1 Temps probable pour aujourd'hui Région parisienne le temps sera brnineux le matin, nuageux un beau dans la 'journée. La température va se relever, de. venir nettement supérieure à sa valeur saionnière et fera chaud. Baromètre au' i>i?au sans variations sensibles. En France, le temps va s'améliorer et sera beau ou nuageux dans foutes les régions le ciel sera très nuageux, ou couvert dans le \ord-Ouesl, où quelque. rmdé> ]•̃ 'n*i.* 'lu pays. La k'iïipi'ivihi ̃ ;ijrn. b.siv levée et remontera au delà de sa valeur aisonnière en résumé, temps chaud. Le pnt sera faible ou ,modér sur toutes ïios " il soufflera du 8iid-oi>n F^rnand Strunati, âgé de dix-sept ans, ilomicilif- rue La Rwhefoucauld. h Boulogne, I iui e>t le coupable Strunati a. du reste, avoué LA FBBTB-SOUS-JOUARRE. I In jeune homme de dix-sept ans, André Lagrange. était- allé "se concher dans un contre-bHS de la berpe df la Msmw. où il est mort d'insolation. L'orage de ¡dimanche ayant fait monter l'eau et submerge !e défunt n'a e ilrnuvert qu'hier MAGNT. En découpant un morceau je viande, un jjarçon boucher. il. Heiaisement, s'est grièvement blesse a laine avec son couteau. 11 a été admis d'urgence à l'hôpital. MALAKOTT. Un propriétaire. \1. Louis Bidelet. âgé de. quarante-neuf ans, neurasthénique depuis la mort de sa fille, s'est pendu dans la cave de sa maison, 4, impasse Fonscarne. MARNES-LA-COQUETTE. ̃- Ramenant à Villed'Avray un tombereau chargé de sable, un charrelier. Louis Roger, est tombé, prés du cimetière, sous son véhicule, qui lui a écrasé les jambes. Le malheureux a été transporté mourant à l'hôpital de Saint-Cloud. BAMBOUILLET. Le poseur de la voie Jean I '.iuuzon, âgé de trente-cinq ans, demeurant à VfTU'iuillel. traversant un passage à niveau, portant sur l'épaule un bottillon d'herbe, a été surpris par un train et tûé. PROVINS. Un jeune homme de Provins. André Bernier, se baignait, à Noyen, au barrage de Vesoult, quand, frappé de congestion, il se noya. ̃•rmain-en-Laye lézard. prof., Caen Nicolie. prof. Hennés. Mme Nivat, prof lycée. Clermout-Ferrand. Nivert, prof, école dessln, Châteauroux. .dite Odoul. dir école normale, Auxerre Oger. Insp. prim., Saintes. Ollivier, maitre conf., Lille Onillon. dir. école, Saint-Pierre-Quiberon Morbeorange, prof., lycée Henri-IV. Oriol. prof lycée. Nice. Mlle Ouvrier, répét. lycée Féuelon, Paris. Ozanne, prof. école uotm., Cahors MM. Paehy, prof. lycée, Amiens. Padieu, dir. écme, Rlbemont Aisae. Pallx, prof collège. Vienne. Pal tant, prof, cours techmque d'apprentis, Paris Panchaud, sous-écon lycée Condorcet. Paquiçr, coin mis secret, faculté médec., Nancy. Paris, préparat faculté sciences. Dijon. Abbé Parsy, aumônier lycée. Valenciennes. Mme Parmentier, inst't. lycée, Oran Partout, prof lycée, Sens. Patarin, prof. école, Monceau-les-Mines Patoz. dir. école, Seaulieu Côte d'Or. Paul, du-, école, la Ciotat. Paulet, prof école. Aubenas Ardèche. Mme Pautard, dir. école, Mu rat Cantal. Mlle Pauty, prof. école normale, Lons le-Saunier. Pantot, dir. école, Hériccurt. école, !•> Mure Isère. Mlle Payranlt, main'. lycée. \antes raz. dir. école, Albertville Savoie. Mme Peleot, écuèe, Sotteville-lès-Rouen, Pellegrini, répér AJacrlo. Mme Pellwrin, instit., Pelletier. prof. lycée. Chartres. Peîtier, insp acaii.. Nevers. Pérédo, maitre lycée, Hennes Périêres, insii Mont-de-Marsan. Périn, prof. lycée. Biiirpps. Perreau, prof. faculté droit, Paris ̃ iuf collège, Armentières. Perrm. dir ̃ ivy->urLoire Nièvrel. Perrot, prof. en!; s. JIm Petit, maltr lycée. Versailles. Mma i'etit, iasiit. collège, Meaux Mme Peyronnet, maltr école .SophieGermain Paris. Pez prof collègue Menwn. Pezarii, pref, école Cotbert, Paris. Phifippat, instit.. Moidieu. Phllippet. instit., Vincennes, Piazza, soui-écon. lycée, Orléans. Picard, prof, collège, Clamecy. Pfcard, prof, collège. Clamecy Picard prof, lycée, Pierron. prépar. faculté sciences, Lyon.' Mme Piltet, maitr. collège, Caen. Pinard, prof. ly- cée, Bar-le-Duc. Pinault. prof. tycée Louis-le-Orand. Pinel, prof lycée, Dijon. Plnon, dir école. Auxerre. Piperel. dir. école. Deauville-sur-Mer Pioche, dlr- école. Valence Mine Pllque, insUt lycée, Lille. prof lycée, Tourcoing. Poirier, prof lycée. la Rochelle. Poirot, professeur lycée M'chelet, Paris, Poisson professeur lycée Janson-de-Sallly. Parts. Pommé, prof co1Ipq*p, Kevel- Ponsard. prof lycée. n4er. Portet, pmf. collège, Paniiers. P,,lol, rlinrije cours facilité miilec, Lille. Potelun, connais d'insi-cciion, Versâmes Pouget, prof le Blanr. Mme Poujol, maltr. école. Marwille Mme Pnuymat, maltr. lycée. Agen. Mme dir école, Thiers. PTadalèa, prof école Colbert, Paris. Pradines, maître conf. faculté lettres. Caen. Mlle Prevos, directrice école; Bléneau Yonne Prévost Eugène, prof, lycée, Orléans. Privalut, Inspect. Prim. Chartres. -Nille Prudon, dir. école, Creusot. Pujo, prof, collège. 'Vic-Blgorre. Mme Pujols, prof école nnrm.. Tarlxis PulK'S. rllr écolo, Dunherque. Mlle Puy Prof,, Auxerre. M Quinet prof. collé;, Cateau. .MM. ltancheard, insUt., Beaumont. Raux, chef travaux faculté sciences, Xancy Ravil, dir école, Saint-Aubin-de-Baubigué Deux-Sèvres. Raymond, dir. école, Puget-Tbéniers. Mmf Haynaud instit. lycée, Moulirus. Keboul, conservateur faculté sciences, ,;renoble.' Mme de Rechapt, dir école, Ariane Puy-de-Dôme. Reclus, prof., Limoges. Régnai'. prof, lycée Henri-IV. RéjaiM s*cr ituyp acad., Auch. Dltle Uenautiet, prof., la Iloche-sur-Yon. itenattirt. prof joUége Rollin. Renault, 'ilief travaux lacuité sciencts Poitiers. Renevey, inst., Paiis. tienoul, prof., t hâteau-Gontier. Rtnouvin. prof., l;enn; x, Agsn. Stevel, comntis. Poitiers Revémond, profes., Constantine. Rey, profes., Lyon. Reynaud. maître confér., Poitiers. Ribes, proies».. AuriUac. Ribière, air,, Saint-Léonard liaute-V, enne. Mlle Richard, pou., chaumont llaut'e-Marnel. ltigal, prof, Cahors. Rigal, répétit., B . Rigai. prof., Alger Eigault, prof. Varzy Nu-vrei. Riou, prof., Saint-Claude. Bivard, inst., s^inie-lvy y Dordognej, Riv-iud. prof., Poitiers. Muie k;ver^ d>' îa Souchère, maîtresse. Marseille. Robe tiir Vendeuvre-sur-Bars [Aube. Mme Rodot, inspect., Paris. Rodrigues, proîess. lycée Michelet. Roger, profess., Foix. Rolez, prof., Cherbourg'. Rolland, dlr. àerv. agric., Valence Drômel. Roliand, lrrnl. lycée .ianson-le ^ailly. Rolland, proî., Morlaix. insp. prim., le Puy. Rollin. prof.. Cambrai. Mlle Roman, inst., Roubaix. Rondeau, prof.. Vendôme. Rondeau, prof., le Van. Rouaud, direct., Nantis Kcubatid, prof., Valréas Vaucinte. Rougier, prof.. Lyor. Rougier, prof.. Grenoble • Rouhot, inst., Vauconcourt Haute-Saôueî, Mme Roure, inst.. Aix, trousseau. commis, la Rochelle. Roux, prof., Bûne. Roux. dir., Saint-Agrève IArdèche Roy. prof., Abbeville. Mlle Roy. prof., Belfort. Royer-DUbail, direct., Liaient Ruffat, répétit., Alger. MM. Sacleux. répét., Lille. Mme Saillard. prof. Tarbes. Saint-Martin, prof., Alger. Saint-Martin,. lnst., Labastide-Savès Gers. Salviac, prof.. Mirocourt Vosges. Mme Sammattei. inst., Cardo Corse. Sanson, prof., Alger. Mlle Sapy, prof., Paris. Sarîai. prof.. Rorhefort. Saroihandy, prat., Bayr razin, princ, Pamiers. Sauret. prof., Lu. Saussette, dir.. Auxerre. NI. Sauve, nrof., Coi. Escaut. Mme Sauze, prof., Valence iDrome;. savounet, prof., Salins. Saturnin, prof. Antibes. Mme Schaedelin, surr., Clermont-Ferrand. MUe Schwnb, prof., Marseille. Ségas, prof., Agen. Segaud, prof., lycée Voltaire. Seilhan, sous-éc. lycée Saint-Louis,, Paris. Sellier, prof.. Perpignan. Selves, i,rof Montauban. Semelet, proL. Cbaumont. Sencert. agr., Nancy. Septier, prof.. Bayeux. Sergent, répét., Lyon. Serruys, dir. adj. école das hautes études. Min^ Sertilange, dir., Boussac Creuse. Servit;.?», Millau. Mlle Stbut-Bourde, inst., lycéi- l^tmariine. Paris. Simland. prof., Grenoble, Simon, comm. insp., Niort. Simon, prof., Nantes. Mlle Simon, dir., Tonnerre. Mme Simon, dir. Iavaur Tarn. Simonnet, chargé cours, Nancy. Slzaire, prof.. Armeniières. Mlle Sombret. inst., Lille. Sommer, prof.. Digne. Soualah, prof., Alger. Mlle Soubre, dir.. SaintEtienne MUe Souchon, niaitr., Avignon. Soudoyez, prof;. Rodez. Sourdine prof., tantes. Sautille, surv., Lille. Stemer, prof.; lycee Lakünal Sii'uwski, prot Pontivy. Nille Suberbie. dir Pari=. MM. Taboureaux, prof.. Coutauces. ïallliades, répétit., Nîmes. Tapie, prof., Chateau-Gontier. "ar raI, pror, Béziers. Mils Testart, écon., Brest. 1 hé- roi, prof., Mctitng-anem. Mlle Therveauv, dircct Argenteuil. Thibault, prof., Angers. Thiébaut, ins,; Rethel. Mlle Thiébautgdorge, ijrot., Biois. 'i'hirio;. inst., Paris. Thomas, Limogea. Thilîiet, iro1.. Excideuil Dordogne;. Tiliier, mst., Viller3-B,;oast Somme. Tlnianri commis, le Puy. Mme Tochon. inst.. Saint-Thibaud-de-Couz Savoie. Toirtyi», mst, Nasbinals Lozère1. Trabaud, direct.. Toulon. Tra bouyer, répétit.. Saint-EUenne. Mlle Tiiadou, prof., Montpellier. Trlncard, prof.. Clermont-Ferrand. file Tritsch. chargée de cours. Cleiinoni-Ferrand. Tromas. ilépétit.. Bordeaux. Trouvé insu Sa-int-Malo. Turban, inst.. Germisrny-des-Pi'é3 Loiret;. Turgot, prof.. Carentnii Manche. Mme Ulrich, direct.. 'lamart Seine. Csclacie. commis. '1!lutins. MM. Vadis, prof., Saint-Etienne, \flle Vniib", Lille. Valentin, surv.. Remii-emont. Vaiidenb; insp.. Saint-Julien-en-Gehevois. Mme Van' inst., Lille. Vasseur. prof.. Chauny Aisnr Veil. prof.. Lyon* Veiliet-LaTalée. prof., école Parit. prof. rnateau du -Loir. Veri. Ui., Lyon. Vial, prof.. Grenoble. Mme Viaud. prnf., !;i Roche-sur- mi. Mlle malt. Agen. Vincent, urof., Marmande. Vincent, commis Insp.. Vesoul. '%tire Vin,cent, écon.. Annecy. Viollet'.e prof., Monfauban. Visade, sous-écon., Bordeaux. Mlle Vitalis, prof., Aubenas. Mme Viteri chargée cours. le Havre. Mlle Vochelle. prof., Tourcoing, MM. Waltz, mait. de conf.. Cleirmont-Kerrand. Watelet. répét., Beauvais, Well, prof., lycée Jao.'on- de-Sai!ly. Weiss, prof., la Réoté; Mme Willig. dir., Belfort. '%flic Wingeri, prof., Besancon. M. Yvon. prof., lycée Henri-IV. MM. Zaaettn. prof.. Chanibéry. Ml!p /plier, prof Charleville. Zivy. prof.. Grenoble. Zoretti. prof. rat'ii. OFFICIERS D'ACADEMIE Sont nommés. MM. Abadif}, pref.. Tarlies. Mme Achard, inst., Saint-Sauveur Puv-de-Dôme. Adam, prof Mar seille. Aimard, prof.; Belley. Alglave, agrégé. Paris Mlle Aliaigre. lycée fillès, Tournon. Mme Ailartl dir.. Paris. Altlue, toattre conf., Bordeaux. Alrii-. prof.. Permis. Mlle Amouroux. *.urv., André, prof.. Montpellier. Appert, prof lilbi=uf Mme Aragon, prof., Saintr-îauden» Haute Garonne. Vendée. Arsonneau, prit., Vigeac. Aubert. pruf Toulouse. Mme Au,blgnat. dir Saint -Rémy-sur-Durolle, Auboin, prof.. Saint-Lu. Aubouy, prof. Ix> déve. Aubry, agrégé, Atx. â2lle Augier, prof.. le' nu- Mme Auphan, dir.. MarscU'c. Aurj'. fine Avezon, dir Montauban. Aynn rieux. D' aide-astr. obwrv. MM Bacon, prof., "jauuiur. Dime Baigue, prof Besançon instit Balay, prof Pamier. Banabéar. prof Auch. Banizette, prof. Rib»* rac. Mlle Bamzette, chargée cours, Bordeaux. Barn ftiieu. Insp. Montmorjllon Vienne. Mlle Baron, maitr. cnltège, Lorient. Barrée. prof Rouen Barthélemp, prép Mlle Baucher, répét. lycée Lamartiiie. Paris Baudelle, imtit., Marest iPas-de-Ca. lais. ',file Baudraud, instit., Nancy Batulurec prof Alger. Bayle. instn.. ïroche rCoiTèze, Mlle Bazot, maitRv Auxerre Mlle Blatrix, maitr., Bourg Re- gard, prof.. Bohain Aisne,' Belssac, prof Menti". Belbenoit. prof. Béthune, Bellt. répét, Grenoble Mme Belliard, prof Talence Gironde, lfme ne npveni. prof., îrencbîe. Mme Benoit, dtr,. Grenoble. Mlle Berger, instit lycée Yicior-Hugo. Paris Mlle Bergerot. prof. Nancy. Bergmann, prof., le Havre Berlie, prof, Lunel Bernard, dir., Adge Héraulti Bernard, peintre Muséum histoire naturelle ^l!o Bernard, répét., Marseille. Bernard, prof, collège Rollin. Bernard, prof.. Koucn. Etranger, prof'" Bourgoin. Mlle Bertin, prof.. Valem-p. Mme Ber, trand, insttt., Ancemont Meusei. Best, ipstit.. Malrevers Haute-Loire. Mite Bétherry, surv lycée. Orléans. Mme Bienvenu, instit, Alger. Mlle Blgey prof.. Bar-le-Duc. Bigot, tnstit.. Eaux Loir-et-Cher!. Mite Blrd, prof., Saint-Brieuc Bivrum, prof.. Calais. Mme Bîanc, instit.. Villefran- cfe-du-Périgord Dordogne. Mme Btanc, instit.. An necy. Mme Blanchard, maitr, Sens, Blanciiardon prof. Satnt-Etienne. Mlle Blanjot, sur" Dijon. Rloctl, prof. lycée Bnffon Blondel observ.. TouIousr Aille Blond..au, mattr Chalon sur-Saône Mlle BU deaux, tusttt lycée Janson -de-Sallly. Kobiller-ClK-u mont, prof., Saint-Flour Bolloch, prof.. SaintBneue. Bonnard, prépar., Bordeaux- Mlle dir., Ljlie. Bouot-lat, îo&til., Cbevannei Tonne. tioanot, prof., Montcuau-les-Mines. Bordier, prof- Guéret. Borva, nSpètit.. Brest. Bouchard, proies.. Bayewt. Boudard, instit, Etrelles Aube. Boudevllle, prof., Lille. Boudonis, prof, Castelsarrazin. Mme Boudouny, prof., Tulle. Boulssei, rëpét., Aurillac. BonissoQ. instlt.. Marinluiac iLot. rime Bourdon, prof., saint-Lô. Docteur Bourreau. Besançon. Bourgery, prof.. Poitiers. Bourguignon, insilu, Vienne. Bournol. dlr.. Bourbonne-les-BaUis. Bourrette, iDStiL, Saim-Jean-Roure-Beesse. Fayolle, prof., Montbrison. Fenouil, lnstii.. Apt Mlle Ferré, prof., Montde-Marsan. Mlle Ferrures, répét., Aix, Perron. inst., Vesoal. Ferreux, tac. sciences. Grenoble Mite Ferry, instit., Neufehàteau. Fltllet, école médec.. Marseille. Flajolet, assUl. observ., Lyon. Fliche, faculté lettres. Bordeaux Focillon, faculté lettres, Lyon. Aille Foin, prof., Nancy. Fondacci, prof., Corte. Fontatue, dlr, école, Arques-la-Bataille. Mme Fontan, Instit., Tarbes. Mlle Forest, prof., Lyon. Fort, tnbtit., Lyon. Fourmage, répét., Rouen. Fouruery, prof., Orléans. Fournier, dlr., Lille. Mlle Fourton. maltr. lycée, Rennes. François, instit., Grenoble. Mme Frère, instit.. Rodez. Froment, faculté, Lyon MM. Gabülard, maître ouv., Ohâtellerault. M1M Gaget, insut., Alger Mmo Gage, prof., Moulins. Mlle Gagnot, prof., Lille. Mme Gaït, maltr.. Marseille. MUe Gallant, prof Angers. Gallettl, lycée. Ctermont-Ferrand. Galtler, prof Rodez. Mme Galfier. Instlt., Satnt-Colombe-de-Peyre. Galy, prépar, faculté, Lyon. Mme Gambey, prof., Ajaccio. Garchey, répét., Sens. Uarln, agrégé, Lyon. Mlle Gas, chargée de cours, Annecy. Gatet, prof., Guéret, Gault, prof., Blois. Mme Gauret, maltr lycée, Toulouse. Gay, prof., Gaq Gay, chef trav. faculté sciences, Montpellier Gazier. prof., Orléans. Géenens, surv., Boulogne-sur-Mer. Genal, répét., Angoulcme. Genelle, Instit., Aufreville-la-Campagne. Mme Genty. instlt., Angers. Gérardin, prof., Valognes. Gérault, prof. Sedan Germa, prof. Moissac. Gignoux, prép. Laculté, Grenoble. Mlle Gilbert, dir., Mazé, Glkt, insp. prim-, Arnay-lc-Duc. Gilson, maître coof. faculté, Lille. Gimbrrt, prof., Issoire. Mme Giot, cours sec Sens, Girard, prof., Prôvas. {Horion, prof Saint-Jean-d'Angely. Mme Goll, prof.. Besançon. Goll, prof., Bclfon. Gombaud, prof., Saint-Gaudens. Gonneau. prof., Lyon. Goret, Prof., Albert. Mlle Goury, dir., Charlevllle. Goutte. répét. Montpellier. Mtle Granchon, institut., Saint-Jean-des-Ollières. Grenier. prof., Moissac. Grtvet, prof., Lyon. Groc, écnle prim. sup.. Toutonse. GroQeau, repêt. Rennes. MUe Gros, instit, Nancy. Gruet. instit., Cléty Pasde-Calais. GruyeUe, insp. prim., Calvt. Mlle Guenot. prof., le Havre. Mme Guesnoa, chargée de cours, Cherbourg. Guibert, prof.. Menton. Mlle Guilelmain ,dir. école. an Blanc Guillin, prof., SaintBrieuc, Mlle Guillon, prof, Rochefort. Guirand, répét Béziers Gnyomard, prof., Dinan. MM. Hackspill, faculté Nancy. Hamant, faculté Nancy. D'Hangest, prof.. Havre. Hardouin, répétit, Brest ivnie Hay, prof., la Rochelle. Mme Héhert, lycér filles, Bordeaux. Mme Hedmond. dlr Moulins. Hémart, Inst. Châlons-sur Marne. Héraut, profes., Brest Mme Herbin, prof. Cambrai. Herpe, prof., HenRy, faculté Nancy. Heyde, profes., Morts en-Barœui! Hilaire. prof., Totirs. Houilé, prof., Cahors. Mme Hngondier. prof.. Chambéry. Mlle Huleux, école normale Seins. Mlle Isnard, direct., Cagnes. MM Jaboulay. nrof.. Lyon Mlle Jaboulay, répét., Lyon Jacolot, surveill., Morlaix. Jacquemet, Instit. prim. Autun. Jacquin, prof., Boufarick. Jacquet, prof., Chatiny. Jabras, profes., Toulouse. Jamain, prof-, Soissons. Janls, prof., Tlemcen. Mme Jacquler, prof Charlevilie. Jarraud, instit.. Limoges. Mme drandel, inst., RoubiUx. Jé2équel, lycée Quiper ̃ Mme Joanin. r^pét., Alais Mme Joliet, prof., B-ir-le Doc. Jolly, prof. Marseille. Mme Jonotnée. prof., le Havre.' Mlle Joulia. survell.. Toulouse. Mlle Jouv», inst., la Motte-Chalançon. Julien, répét., Bordeaux- Mme Julienne, direct. Brest. Junca, dir., Perpignan. Mlle Julie, inst.. Saint- Denis-sur- Sarthoa Mlle Kabbe, Inst Belfort. MM. Kollmann, prép., Muséum Ruhn, prof., Vesoul Mlle Labat, inst. Dunkerque. MM. Labrousse. inst.. Montreuil-Bonnin. Iabry, prof., Cahors. De Lacaze-Duthiers, répét. lycée Henri-IV. Iachot, prof Saint-Marcellin. Lacroix, prof., Sedan. Mlle Iarlet, répét., lycée Jules-Ferry, Paris..afag, prof., Caliors I^ferrièrs agrégé. Lille. Lafon, insp. prim., Saiiit-Affrtque. Lafonr1.. chef trav.. Marseille. Mlle Lafontan, pro.. Lagtiarrigue, prof., le Quesnoy. Lasret, tnst., Alger. Lagrange. lnst.. ciron. Mme Lair, Inst, BreUeville-l'Orgueilleuse. Mme Lalanne, inst.. Bldache Lalix, inst., Challignac. I^allemand, prof., Narhonne. Lallemant, dir.. Lille. Mme Lalu, répét., Limoges, Lambert, Inst., Mérignac. Mme Lamy. inst, Sainte-Menehould. Lancien, prof.. Quimperlé. Mme Lanfranchi, inst.. Toulon Langevin, prof.. Caen Mlle Lanteine, malt. Abbeville Lapassat, prof., le Quesnoy. Lapayre. prof Ambert De Lapierre, prot., lycée Condorcet. Laprùne, prépar., Dijon. MIIb Lasserre, dlr., Toulouse. Mme Lasternas. maitr.. Douai. Lasvlgiies, sous-écon.. Aurlllac. taude. inst.. Deluz. Laudet, prof Paris. Mme Laumonler chargée cours, Cherbourg Mme Launay. prof., Bourges. Mme Iaurent, prof, Mâcon. Mme Lauric/ue. Inst, Pau. Mlle Lauzet maltr.. Marseille. Laval prof., Rochefort. Lavallée, inst., Auxerre, Mlle Lavelle, prof., Paris. Mlle Lebois, maitr, Saint-Etlenne Mlle Lebon, chargée cours. Reims. Le Brigant, prof., Lorient. Leca prof., Philippeville. I-cat. prof.. Dijon. Leclercq, inst.. Beu¡rnies Nord. Leclercq, chef fsv., Lille Lefebvre, prof., Abbeville. Le Gai, lnst., SaintAignan. Legaret. prof., Lyon. Legendre, prépar., Muséum Le Guillou. répét. Brest. Le Jouan. inst., Pleadaniel Mlle Le Lorec, Inst., Ploermet, Le Luduec, dlr., Salnt-tJrieuc. Le Maître, répét., Nantes. Le Men, commis Insp., Laon. Lemire, prof. Salnt-Quanttn. Lemoine. prof. Annecy. Lenglet prof., Hirson. Le Pézennec, prof., Lesneven. Lequeux. inst, Reims. Le Rodallec. prof., la Rochesur-Yan; Leroux, prof., Brest. Leroy. inst., Pinon. Lesage. inst., Daours Somme. Lescceur, prépar., DU? Lespès. insp., Condom. Lespingai, dir.. Levroux Indre. Mlle Letimonier, inst., Virey Manche Le Varat, dir., Plounez Le Viavant, dir., à Sené Morbihan prépar., Nancy. Ligie! prof., Chalon-sur-Saône. L1sbonne, agrège, Montpellier. I,oirette, inst.. Vabre-de-Rioupeyroux Aveyron. Lolseau, prof.. Clermont. Mlle Lombard, prof Montpellier. Lorgues, prof.. Lorinet, inst.. Paris Lormet, inst., Paris Loubarn, dir., Ciéden-Capsizun Fiustère. Loury. prof., Auxerre. TE9 3E3 T X T £2 S55 .A. EW E*ï" et 3SST G 353 îS 3ST 3L. XL. 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Papon, prof., Billom. Pastor, prot., Paris. Payerne, prof., Lyon. Pécus, vétérinaire-major, conférencier, Fontainebleau. D' Perrlgault, prof.. SaintMalo. Petit, sous-chef d'ajustage, Paris. Peyramaure, préparateur, Lyon. Peyron, prof.. Nirnes. Piogé. prof. Evreux. Mme Piolle. prof. Marseille. Pistre, Saint-Hilaire Vienne. Pitaud, dir., Agde. Puchaud, sous-chef d'atelier, Lille, Raboin, prof., Grenoble. Rathmacher. prof., Paris. Raymond, prof., Bordeaux. D' Raymond, médec. major, prof., Lyon. Riche, dir., Toulon. D' Rleux, medecin-major, prof., Paris. Rives, prof., Tarbes. Rollet, chef d'atelier, Cluny Mme Rolquin, inst., Cadillac. Roure, inst., Marseille. MM. Salvit, chef de travaux. Saint-Chamond. Sauvage, Montreuil-sur-Mer. Senoft. prof., Paris. S?ndrail. prof., Toulouse. Mme Séverac, mattresse de coupe, Paris. MM. Simon, prof.. Toulon. Soltoiix. maître interne. Armentièras. MM. Tabellion, prof., Nancy. Mlle Taracole. prof., Nantes. MM. Teissier. prof.. Toulon. Tlsster, contremaitre modeleur, Vlflrzon. MM le lieutenant-colonel breveté des Vallières, prof., Paris. Verhoye, instituteur comptable, Auberive Haute-Marne. Vialla, inst., Fresnes. AU TITRE COLONIAL OFFICIERS DE L'IN STRUCTION PUBLIQUE M. Conry, prof, à la Guadeloupe. M. Dives, chargé de cours lycée Schœlcher, Mar- tinique. Mlle Lemerle, dir. pens, col ForUde-France. M. Noirtin, prof à la Guadeloupe. 1. Tamby, sous-directeur du colles» Calvé Inde. OFFICIERS D'ACADEMIE M. Bethel Léon, lycée Schcelclier. Fort-de-France. Bonnlssol, instit, Nouvelle-Calédonie. M Charvet, chargé de cours, à la Guadeloupe. M. Durin, prof., Pondichéry. M. Gothonne, maître répétit., Guadeloupe. Mme Guillaume, dir. à la Martinique. Mme Havet, instit, Nouvelle-Calédonie. M. Huyghnes-Lacour dlr. école Schcelcher, à la Martintijiie. M. Jouanelle. dir. école, à la Martinique. M. Lods, instit., Nouméa. Mme Matis, dir. école, à la Guadeloupe. iflle '% snrv. gén., Fort-de-France. Mlle Wille-Reinette, maJtr. Fort-de-France. RÉSIDANTS A L'ÉTRANGER OFFICIERS DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE Mme Bariteaud, dir. éc., Tunis. .NI. Droin, prof.. Tunis. M. Jehaae Hadi, inst, Tunis. Mme Landeroin, dir. éc., Bizerte. Mme Fsca. mattr. prim., Tunis. M. Lods, dir. éc. prim., KsourEssaf Tunisie. M. Mustapha ben Abdallah, dir., Tunis. Mme Purtschet. prof., Tunis. M. le docteur Rouquié, prof., Tnnis. M. Sayah, comm. d'adm., 1'unis. OFFICIERS D'ACADEMIE M. Abib. dir., Sfax. Mme Allouard, prot., Monaco. M. Avezou, éc. franc., Athènes. Mme Rena- Les billets seront délivrés exclusivement à la gare de Paris du 10 au 10 juillet 18 h. pour le train partant le 20 juillet; du 20 au 27 juillet 18 h. pour le train partant le 28 juillet; du 3 aoùt à partir de 11 au 10 aoùt 18 h. pour le tram partant le Il août. Pour tous renseignements sur les conditions, les prix et l'horaire de ces trains, à nombre limité de places, se reporter à l'affiche spéciale ou s'adresser aux bureaux de ville de la compagnie. 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LA FEE DES BOIS GRAND ROMAN INEDIT DEUXIÈME PARITE L'HERITAGE DU DOCTEUR MMH XX suite Alors, l'instinct de la conservation; est le plus fort. Elle fuit, elle aussi, eii*» iranchit la porte, à peine est-e.!le sur le palier, _qu'elle recule épouvantée. Lcscaiier, au-dessous d'elle, est une four̃ nïise, les llammes y déroulent leuis anHébétée, à muitié folle $vlvia appelle au secours. Ell .̃̃ui,\ mais f!V n entend que des appels déchirants, semblables aux siens. il,' a l'élage au-dessus. elle se L ^s femmes affolées comme elle. .̃̃ par ici, crie l'une. Non, c'est par là qu'il faut aller, reprend une autre. sans trouver d'issue. la f> "c d'ËmineSine comprend alors qu'elle Liîe se blottit dans un coin, et là, désespérée, anéantie, elle pleure en silence et elle Ifrnd là mort inévitable. FIN DE LA DEUXIÈME PART» ON RAYAIT. DÉSESPÉRÉS Les maladies du cœur, du foie, de la e la vessie» du sang, des organes génito-urinaireschez l'homme et chez la femme, les plaies de mauvaise nature, les tumeurs fibromateuses ouaulres. la l'otie,rêpilepsie, lesaceidents de la puberté et du retour d'âge, le ramolissemeut céréSral, Tes rhumatismes chroniques, les paralysies, l'arriè. ratiou, les défauts dedéveloppementchezles enfants et, en général, la plupartdesaffectionsordinairement réputées incurables sont, le plus souvent, causées par de la syphilis héréditaire ou acquise et peuvent être favorablement influencées et fréquemment guéries par le Spirochaetol. Les personnes que cette annonce intéresserait devront s'adresser au Dr Dupcyroux,3,square de Messine. leur enverra gratisët francoses brochures et le» consultera gratuitement, si elles le désirent, soit •ou cabinet, sur rendez-vous, soit nE moyen de te quérir en 2i heures des §̃ lE lïiS SSX&, MESDAMES SSSS pour vos EPOQUES car les ADR AGIMES n?taEussent rapideraeiu les fonctions mensuelles. Ratioeerzhuta. taboratolre Pharmaoeutlcrue, 43, Res »9»ou PABIS. UlU voir, ja..> '̃•l vais, compris. Mettra .Sw ̃ Echantillon 0'68. W ̃ VÊ FEHRAMD luisants. Et l'on décousrait des meules de charbons couvertes de terre et de tourbe. Puis d'étranges visages d'hommes et de femmes apparaissaient, vieux visages fanés, sillonnés comme des écorces. Les uns, courbés sous le poids de la charge transportaient des sacs pleins, les autres, accroupis triaient le charbon, et il y avait des enfants aussi qui coupaient des branches. C'était un village volant de charbonniers. Leurs demeures étaient faites de branches nécessité d cause des contagions possibles. En vente et en usage chez tous les bons les pharmacies et des les magasins. Envoi franco d'un flacon et d'un vaporisateur perfectionné contre mandat=poste de 5 fr. adressé l'Emulsior des Indes, 346, rue Saint-Honoré, Paris. Pour l'Etranger 6 francs. MÉFIEZ-VOUS des grossières et dangereuses contrefaçons de FEmuIsior des Indes 1 A^fS par Mois on 2 fr. 50 de l'heure par placement» articles de vente facile sans quitter 31 emploi, à tous Messieurs ou Dames, sans frais, dépôt, ni camion. Écrire en joignant VV enveloppe affranchie pour réponse A. T. C. 69, Rue Truffaut. PARIS. crédit, demandez le cataiogue illustré de la MAISON FE71KA340 A et de feuilles tressées comme des nids d'oi- seaux et creusées comme des tanières. Le soir ils faisaient la' soupe en plein vent ainsi que les nomades. C'étaient des êtres honnêtes, hospitaliers, contents de leur sort. De nombreuses générations avaient vécu comme eux. ne connaissant du monde que leur coin de terre, se transmettant de père en fls les notions du bien et du niai, du juste et de l'injuste. peine, depuis que leurs enfants fréquentaient les écoles, savaient-ils la valeur de l'intelligence. Et pourtant plusieurs avaient 1 l'esprit alerte. Sans ils chan- taient les chansons de léàx4 poètes et réett" taient les vers de Mistral., La gaieté, qui dee- trico- taient de gros bas les jeunes filles chuchotaient les enfants jouaient. Une paix immense tombait du ciel dans la clairière. Un vieillard, qui avait les yeux encore vils On rase et l'on se rase sans blaireau ni savon à 1 sous des sourcil-s broussailleux, dit ,-iprès 1 cherché un visage qu il ne trouvait pas dans le cercle Lt Marius, où est-il, vous ne l'avez pas vu '? ̃– Ton 6eu, répondit une Vieille, il était là tout à l'heure. Mais un garçon de seize ans dont les dents blanches brillaient entre des lèvres pourpres fit en souriant 1_est samedi, donc il est parti pour son dimanche à la ville. Le vieux questionna A Cogolin 'peut-être C'est pas assez grande pùur lui. icus 'pensez bien. l'ancien, il ira jusqu'à SaintTropez, ous qu'y a un cinéma. Un H né m a IL, bo-r'^iuiti en haussant les épaules, dans mn jeunesse. Ça ne date pas d'hier, marmonna l'adolescent. on ne courait pas si loin p>ur trouver le plaisir on en avait bien sur place, mille tonnerres, et pour rien encore Té, je le crois, vieux Pierrot, une belle farandole nous suffisait, s'écria une vieille qui se mit à esquisser, non sans une grâce surannée, le pas et !e geste de la danse untionale. -Et tous les jeux qu'on jouait Et les belles histoires qu'on racontais .%Il pour sih\ on était plus gai qu'à présent. j et ces vieilles, fit te jeune homme qui avait précédemment parlé en se penchant à l'oreille d'une jolie brunette, à !.es en- croire, leur temps, c'était le paradis sur terre La jeune forestiére eut un joli haussement d'épaules. HIER. au blaireau et au savon FONDS DE COMMERCE IIATFI -VINS. 15 n". Loyer 1,000. Xet nU I I/Lû,ûûO. Gallanï, bd fSébastopoi, i â 6 h. TilîifC HOTELS, Maison meubl., Liquorist. 1 AlJALo LisLe gratuite 8 à 9 h. et de 1 i1 4 h. E" Baijot-Lacou, St-Denis,190,face gare Nord TUDIPC1 et HOTELS, liste grat. 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'̃ par kilo vif Les petit. porcs de choix ont obtenu 6ôcr On cote bons porcs de l'Ouest, de à 6j et ceux du Centre, de le 1 li kilo vit On cote Jimousms et eimi^ires, de il nwraichia^ de 0 m manda, de 0 83 a 0 tweuis blancs, cîOSi .1 i> '̃'•! manceaux. de OSià Si chuintais, de à 87 Le 1 M kilo net. Veaux. Vente très mauvaise ct prix en baisse. Un cote choix de Brie, de Beauce. du UàUnais, 60 PORC Extra I SOà 1 M . 1" 1 fcS i 'A p Filet ï 30 Ri ;̃ Sommaire de V AGMCtJLTVHK XOL'VELLE qui est en nr-nte cette semaine VARIETES. Henri Coupin Les oiseaux des bois av. û>̃! ̃'̃ -v>' Oui, oui, firent Puis un grand avaient peur de ce qu alu Et leurs yeux ordeiits tfott, 'trement 5ir la b-Michn 'd> 1' .̃ ger. On n'e'î1" ̃ ̃ douce du o, un funèbre accent, plaignez-la, et vous. ]vs femmes, mettez-vous à genovix et prie? pour elle, car votre fée est moite Un grand cri s'éleva, suivi du plaintes et de gémissements. Puis chacun voulut questionne' l'homme qui fivnit parlé. Elle est morte ? Où'! Comment ? Jn'on 'lavez-vous Maintenant qu'ils étaient }/•̃ le lui, ils reconnaissaient le pr-r'- triste nouvelle. C'était un cou' qui traversait les M'inr^s ji'b-, wtr an. iA suivre., Jacqi>f Briennï. Tr»dae<1on et reprodartton »nt»"TjMi goor tout pas». Copyrlcnt lu JacoiiM Brtana». tmt. EWXI.
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