Comment transformer un échec en réussite ?Tout le monde connaît l’échec dans la vieIl faut accepter l’échec, il n’est qu’une étape vers la réussiteA chaque échec, vous apprenez de la vieIls ont surmonté l’échec dans la vieBill GatesDonald TrumpThomas EdisonL’échec est un diplômeComment surmonter un échec et le transformer en réussite ? 6 conseils à appliquer !1 Accepter l’échec2 Cultivez l’optimisme3 Après un échec, tirez des leçons4 Soyez persévérant5 Avancez selon votre désir et non celui des autres6 Ne blâmez pas les autresConclusion Acceptez l’échec et apprenez de vos erreurs !Envie d’avancer dans votre vie ? Comment transformer un échec en réussite ? Avez-vous déjà connu quelqu’un dont la vie n’est qu’une succession de réussites ? En tout cas, moi, pas encore ! L’échec fait partie de la vie. En effet, lorsque vous décidez d’entreprendre un projet, il n’y a que deux issues auxquelles vous pouvez vous attendre la réussite ou l’échec. En cas d’échec, nous réagissons principalement de deux manières. La première consiste à accepter l’échec puis de le surmonter dans l’espoir de réussir cette fois. La seconde manière consiste à abandonner. Cette seconde manière de voir les choses est à éviter, car elle vous éloigne de votre objectif. Il est important de savoir comment accepter l’échec et comment surmonter un échec pour atteindre son but. Après avoir lu cet article, vous saurez comment surmonter un échec et comment transformer un échec en réussite. Tout le monde connaît l’échec dans la vie Cette citation de Winston Churchill illustre le fait que le succès réside dans la capacité à surmonter un échec et à accepter l’échec. Surmonter un échec est important. L’échec ne doit jamais être considéré comme la preuve de son incapacité à atteindre ses objectifs, mais plutôt comme la preuve que vous vous approchez de ces derniers. En effet, tout le monde connait l’échec ». Vous devez bien retenir cela. Comme l’a dit Winston Churchill, Réussir, c’est aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme ». Pour l’illustrer, prenez l’exemple d’un bébé qui apprend à marcher. Il n’y arrive pas d’un coup. Il se prend gamelle sur gamelle avant de parvenir à marcher. Et le jour où il parvient, il est fier de lui-même. Eh bien ! C’est la même chose dans toutes les entreprises de la vie. C’est votre manière de réagir après l’échec qui fera que vous connaîtrez le succès ou non. Imaginez si les bébés, après être tombés la première fois, abandonneraient. Personne ne marcherait. Pourtant, nous avons tous appris grâce à l’échec, mais une fois à l’âge adulte, la société nous pèse et nous culpabilise en cas d’échec. Il faut accepter l’échec, il n’est qu’une étape vers la réussite Si nous procédons à une catégorisation des gens qui sont pauvres ou démunis et ceux qui ont tout obtenu dans leur vie, nous nous rendons compte que ce qu’ont en commun les membres d’une catégorie, ce n’est ni la chance, ni l’origine, mais l’attitude envers l’échec. Si vous désirez réussir, vous devez accepter l’échec et ne pas vous focaliser sur lui. En effet, lorsque vous avez peur de l’échec, vous concentrez toute votre énergie à réussir à canaliser cette peur au lieu de la rendre disponible pour trouver les moyens de réussir. Résultat vous finissez par échouer. Et puisque tout le temps, vous avez eu à craindre l’échec, vous abandonnez quand il arrive en vous disant que vous aviez raison de le craindre. C’est archi-faux ! L’échec est arrivé parce que vous refusiez de l’accepter. Vous devez comprendre cela pour surmonter un échec. Pour atteindre vos objectifs, il est nécessaire de savoir comment transformer un échec en réussite A chaque échec, vous apprenez de la vie Accepter l’échec vous prépare à cette éventualité. Cela vous permet de trouver la bonne solution au moment opportun. Vous apprenez donc de l’échec et vous avancez. Personnellement, il y a une citation de Nelson Mandela — que j’estime profondément — qui dit Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends ». D’aucuns diront Je n’échoue jamais. Soit je réussis, soit j’apprends ». En échouant, vous découvrez quelque chose à éviter la prochaine fois. Vous tirez donc des leçons et vous savez que prochainement, vous ne devez plus faire ça. C’est de cette manière qu’il faut voir les choses pour déterminer comment surmonter un échec. [su_quote cite= »Nelson Mandela »]Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends.[/su_quote] Ils ont surmonté l’échec dans la vie Pour que vous soyez bien convaincu de tout ce que j’ai essayé d’expliquer jusque-là, je tiens à vous présenter quelques figures bien connues dans le monde qui ont su transformer un échec en réussite. Il y en a beaucoup, donc j’ai fait une sélection de personnes que la plupart des gens connaissent. Ils ont su accepter l’échec et prouvent qu’il est possible de surmonter un échec. Bill Gates Vous connaissez certainement ce monsieur qui a fondé Microsoft, l’une des entreprises les plus cotées au monde. Eh bien, notez qu’avant qu’il ne parvienne à créer cette entreprise, Bill Gates a connu de nombreux échecs. D’abord sa première entreprise — Traf-O-Data — qui a connu une faillite en 1973. Il entra à Havard, mais finit par abandonner ses études sans avoir ses diplômes. Il se consacra à l’informatique et créa Microsoft. Aujourd’hui, il est à la tête d’un empire avec une fortune estimée à plus de 90 milliards de dollars américains. Comme vous pouvez donc le voir, les échecs de Gates ne l’ont pas empêché de persévérer. Au contraire, il en a tiré des leçons pour réussir. C’est d’ailleurs pour cela qu’il affirme Il est bon de célébrer le succès, mais il est plus important de tenir compte des leçons de l’échec ». [su_quote cite= »Bill Gates »]Il est bon de célébrer le succès, mais il est plus important de tenir compte des leçons de l’échec .[/su_quote] Donald Trump Qu’on l’apprécie ou pas le personnage, Donald Trump, avant d’être président du pays le plus puissant au monde est un homme d’affaires prospère. Je ne vais pas parler de politique ici, car ce n’est pas l’objet de cet article, alors nous tâcherons de nous intéresser à son parcours de manière neutre. Comme vous le savez certainement déjà, l’actuel président des États-Unis est un magnat des affaires qui a fait fortune dans l’immobilier. Mais avant d’en arriver là, le milliardaire a essuyé lui aussi de nombreux échecs. C’est le cas de sa faillite quand il s’est porté caution personnel pour 1,3 milliard de dollars. Le futur président des États-Unis » voulait lancer une compagnie aérienne et tenait à apposer sa Trump Touch ». Il avait donc apporté beaucoup de modifications aux avions de la compagnie. Seulement voilà, les clients n’ont pas aimé. Il était donc incapable d’honorer ses emprunts. Les créditeurs n’avaient plus autre choix que de se saisir de ses entreprises. Mais malgré cet échec, Trump est redevenu milliardaire. Et comme il ne pouvait se contenter de diriger son empire, il est devenu le président de la première puissance économique du monde. Thomas Edison Comment parler de personnes ayant connu l’échec sans citer Thomas Edison ? Ce monsieur a battu tous les records d’échec dans le monde scientifique. Si l’on croit à ce qui se raconte, avant de parvenir à créer le filament et donc l’ampoule électrique, il lui a fallu 10 000 tentatives vaines. Et pour s’expliquer, le scientifique dit Je n’ai pas échoué. J’ai juste trouvé 10 000 moyens qui ne fonctionnent pas. » Quelque manière extraordinaire de voir les choses ! Thomas Edison ne considérait pas ses tentatives vaines comme des échecs. Et c’est pour ça qu’il est parvenu. Même à l’école, on apprend que ses professeurs disaient de lui qu’il était trop bête pour apprendre quoi que ce soit ». Néanmoins il a cru en lui et a persévéré dans ses projets. Avant sa mort, le scientifique a détenu plus de 1000 brevets. Et les appareils qu’il a inventés ont changé le monde. [su_quote cite= »Thomas Edison »]Je n’ai pas échoué. J’ai juste trouvé 10 000 moyens qui ne fonctionnent pas. [/su_quote] L’échec est un diplôme Il y a quelques jours, je suis tombé sur la vidéo ci-dessous et je l’ai trouvé très édifiante. Tout y est dit. Et si vous l’avez vu, vous devez l’avoir remarqué vous aussi. Je ne vais donc pas reprendre ce qui y est dit. Cependant, il y a un fait que j’ai vraiment réalisé en suivant cette vidéo. C’est comment notre société peut influencer notre manière de réagir face à l’échec. En effet, Idriss Aberkane a comparé, la façon dont l’échec est perçu en Europe à la perception américaine. Et il cite Steve Jobs qui disait lors d’une interview en 1984 En Europe, l’échec, c’est très grave […] Alors qu’en Amérique, à Silicon Valley, on passe son temps à échouer ! Quand on se casse la figure, on se relève et on recommence. » Cela nous montre combien la sociologie de notre environnement peut changer notre manière de considérer un fait. Un autre exemple qui va dans le même sens, c’est celui de l’expérience de la psychologue. Et Idriss Aberkane finit avec le parcours de Airbnb. Encore un excellent exemple qui montre combien il est important de combattre l’échec dans la vie. [su_youtube url= » » width= »400″ height= »260″] Comment surmonter un échec et le transformer en réussite ? 6 conseils à appliquer ! Jusque-là, je n’ai fait que vous démontrer l’importance de surmonter un échec. Maintenant si vous vous demandez comment transformer un échec en réussite, suivez les conseils ci-après 1 Accepter l’échec Échouer et normal et cela fait partie de la réussite. Accepter l’échec est la première étape pour le surmonter et transformer un échec en réussite. Tout les gagnants ont déjà perdu. Seuls ceux qui ne font rien et ne tentent rien n’échouent pas. Ce qui importe le plus face à un échec n’est pas l’échec en tant que tel mais l’attitude que l’on adopte face à cet échec. De ce fait, il est impératif de savoir accepter l’échec pour réussir. 2 Cultivez l’optimisme En cas d’échec, il faut toujours se concentrer sur ses objectifs et rester constructif. Une fois que vos objectifs seraient atteints, les revers ne seront plus qu’un mauvais souvenir. De plus, dites-vous que plus vous connaîtrez d’échecs, plus grande sera la satisfaction. Car, l’expérience a prouvé que plus les hommes rencontrent de difficultés dans la quête de quelque chose, plus la valeur de cette chose est grande quand ils réussissent à l’avoir. 3 Après un échec, tirez des leçons Pour surmonter un échec, il faut absolument en tirer les leçons. C’est de cette manière que vous parviendrez à aboutir au succès. Comme l’a dit Henry Ford, La seule vraie erreur est celle à partir de laquelle nous n’apprenons rien ». Vous devez donc forcément apprendre quelque chose de votre échec. Posez-vous la question, pourquoi j’ai échoué ? Qu’est-ce qui a changé dans mes prévisions ? Vous trouverez à coup sûr où se situe l’erreur et vous l’éviterez la prochaine fois. Si vous voulez surmonter un échec et transformer un échec en réussite, il faut accepter l’échec dans un premier temps, puis apprendre de vos erreurs. [su_quote cite= »Henry Ford »]La seule vraie erreur est celle à partir de laquelle nous n’apprenons rien.[/su_quote] 4 Soyez persévérant Steve Jobs dit Je suis convaincu que la moitié environ de ce qui sépare les entrepreneurs prospères de ceux qui n’ont pas de succès, c’est juste la persévérance ». C’est exactement cela. Sans la persévérance, vous ne connaîtrez pas le succès. Vous pouvez être sûr, l’échec sera au rendez-vous à un moment ou à un autre. Par conséquent, il faut persévérer et ne jamais abandonner. Car comme l’a aussi bien dit Walt Disney La différence entre gagner et perdre c’est le plus souvent ne pas abandonner. » Accepter l’échec pour aboutir progressivement au succès 5 Avancez selon votre désir et non celui des autres Parfois, vous échouez parce que ce que vous poursuivez n’est pas vraiment ce que vous désirez. En réalité, il est très fréquent de voir des gens confondre leur désir et celui des autres. Par exemple, on peut entendre souvent des phrases comme Mon fils sera docteur », ma fille sera avocate », etc. Et beaucoup de personnes se tuent donc à satisfaire le désir de leurs parents alors que ça ne leur apporte aucun bonheur. C’est une situation qu’il faut éviter, car elle peut créer une frustration qui vous empêchera de vous investir à fond. Dans ce cas, surmonter un échec sera impossible pour vous. 6 Ne blâmez pas les autres Ne rendez pas les autres responsables de votre échec, car ce n’est jamais le cas. Au lieu de vous dire J’ai échoué parce qu’il était là », dites-vous Qu’aurai-je pu faire pour éviter cet échec ? ». C’est bien trop lâche de dire que c’est les autres qui font votre malheur. Si vous cherchez autour de vous, vous verrez qu’il y a toujours quelque chose que vous pouviez faire. Accepter l’échec vous fera grandir et augmentera votre confiance en vous. Pour transformer un échec en réussite, il est inutile de s’en remettre aux autres. Mieux vaut agir en être responsable et aller de l’avant. Conclusion Acceptez l’échec et apprenez de vos erreurs ! Pour conclure cet article, je reprends une citation de JK Rowling qui dit Il est impossible de vivre sans échouer à quelque chose, sauf si vous vivez avec tant de précautions que vous pourriez aussi bien ne pas avoir vécu du tout — dans ce cas, vous avez échoué par défaut ». Ce qui signifie que peu importe ce que vous ferez dans la vie, vous rencontrerez des échecs. C’est inévitable. La seule manière de ne pas échouer est de ne rien faire et donc de ne pas vivre. Ce qui est important c’est donc d’accepter l’échec et de réussir à trouver comment surmonter un échec. Transformer un échec en réussite réside dans les leçons et enseignements que l’on en tire. Apprendre est une réussite en soit. N’écoutez pas les moqueurs ou les médisants, généralement ces personnes n’échouent car elles ne font rien et sont de simples spectateurs. Avancez vers vos objectifs ! Cet article vous a montré et expliqué pourquoi et comment l’échec faisait partie de la réussite. Vous avez certainement rencontré des échecs au cours de votre vie. Si ce n’est pas le cas, c’est que vous n’essayez pas et je vous suggère de tenter et de passer à l’action ! Concernant les échecs que vous avez pu rencontrés, dites-nous en commentaire comment avez-vous réagi et quel enseignement en tirez-vous ? Egalement, quelles sont les difficultés qui vous empêchent de surmonter un échec ? Envie d’avancer dans votre vie ? Cliquez ici et Découvrez les produits dev-perso pour prendre votre vie en main Cliquez ici et Recevez les 10 commandements de développement personnel pour une vie riche et épanouie
Embarquer dans l’aventure entrepreneuriale revient à s’engager sur des montagnes russes émotionnelles. Deux options s’offrent alors à celle ou à celui qui se lance. Soit, la personne décide d’avoir peur pendant tout le tour, soit, au contraire, elle prend plaisir à vivre ces hauts et ces bas, y puisant chaque fois une nouvelle énergie, même si sa prise de risque la conduit dans une impasse. Car au fond, comme le disait Winston Churchill, la recette du succès, ne serait-ce pas finalement d’aller d’échec en échec sans jamais rien perdre de son enthousiasme ? »Échouer, c’est déjà commencer à réussirDans le dictionnaire, l’échec est défini comme l’état ou la condition qui fait que l’objectif désiré ou prévu n’est pas atteint. En France, nous l’opposons généralement au succès, contrairement aux pays anglo-saxons, où échouer fait pleinement partie de la prise de risque. Aux États-Unis notamment, il s’agit d’un droit et jamais d’une sanction définitive. Considérer l’échec comme une forme d’apprentissage, c’est éviter par la suite de commettre les mêmes erreurs. Pourtant, alors qu’il n’est pas rare d’entendre un parent dire de son enfant qui s’apprête à commettre une bêtise Laisse-le faire, il le fera une fois, mais ne recommencera pas », il semblerait qu’à l’âge adulte, l’échec ne soit plus toléré. Pourtant que l’on casse un vase ou que l’on manque la signature d’un contrat, il y a, dans les deux cas, une leçon à en retirer. Envisager l’échec comme une expérience positive est indiscutablement le premier pas vers le les entrepreneurs qui ont réussi ont d’ailleurs commencé par se tromper, parce qu’ils ont eu cette audace de s’aventurer sur des terrains où personne d’autre qu’eux n’avait osé aller. Ce qui a fait la différence ? Leur faculté à préserver leur enthousiasme, même en cas d’erreur, et à se servir de cette expérience pour repenser leur stratégie ou leur offre. Entreprendre, c’est courir un marathon à la vitesse d’un sprint Diriger une entreprise, c’est tenir en permanence un fragile équilibre. Lorsque j’ai obtenu le prix BNP entrepreneur, j’étais à deux doigts de la faillite. Il me fallait à la fois rester en pleine lumière pour espérer trouver une solution, tout en acceptant dans le même temps la perspective de déposer le bilan. Être entrepreneur revient ainsi à passer sans cesse de périodes d’euphorie à des moments de doutes. Nous nous réjouissons lorsque nous signons un nouveau client et nous nous lamentons quand un investisseur refuse de nous renouveler son soutien. Quoi qu’il en soit, tant que nous sommes dans l’action nous n’échouons jamais nous apprenons, nous testons, nous ratons et nous recommençons, en mieux. Diriger une start-up revient à courir un marathon à la vitesse d’un sprint. Même si nous souffrons, nous avons l’obligation de continuer à avancer. Anticiper l’échec est essentielEt si, malgré tous nos efforts, les choses ne se déroulent pas comme prévu, il faut alors anticiper la toute dernière expérience d’une aventure entrepreneuriale celle de déposer le bilan. Certes, accepter la faillite d’une entreprise dans laquelle on a mis toute son énergie et tous ses espoirs n’a rien d’une partie de plaisir. Mais passer devant un tribunal de commerce est une des options de l’entrepreneur, au même titre que celle de monter sa société. C’est aussi et surtout un devoir qu’a le dirigeant par rapport à ceux qui l’ont suivi et soutenu, en faisant en sorte d’épargner au maximum ses salariés et en laissant, si possible, un minimum de dettes. Le secret ? Être lucide sur sa situation, ne pas attendre le point de non-retour pour prendre des dispositions et vivre pleinement le moment. Alors, les apprentissages seront clés et garants d’une nouvelle philosophie de vie !Même si ce n’est pas là un moment facile, cette expérience donne l’opportunité de se retrouver réellement face à soi et à son avenir. Tout perdre, c’est revenir à l’essentiel, aux choses qui comptent vraiment. C’est prendre le temps d’analyser et de comprendre les erreurs pour ne plus jamais les injonction à rebondirCe qui est important dans ce genre de situation est de rester très entouré, par sa famille ses amis, mais aussi son conseil d’administration et ses investisseurs. S’ils comprennent que vous avez tout fait pour sauver votre entreprise, alors ils vous accompagneront pour que cette étape se déroule le moins douloureusement possible. Une fois la société déclarée en faillite, il faut prendre du temps pour se recentrer, pour évacuer ses tensions. Se faire accompagner aussi, par des coachs en développement personnel, par exemple, pour comprendre ce qui s’est passé. Ce temps de l’après-échec » est celui de l’humilité et de l’apprentissage. Puis vient celui du rebond, lorsqu’il faut repartir, se remettre en mouvement, que ce soit en entreprenant à nouveau ou en rejoignant une entreprise qui saura valoriser et mettre à profit cette ce sens, l’échec est une injonction à rebondir, à ne jamais regretter d’avoir osé. Ne prendre aucun risque revient à passer à côté de sa vie. Et cette vérité est valable dans toutes les situations que nous rencontrons au quotidien. C’est aussi cela la vertu de l’échec nous permettre d’envisager de nouvelles voies, jusqu’à trouver celle qui nous conviendra le Morel est VP Sales chez Cenareo
Lesuccès c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme. A la prochaine A la prochaine 94 views, 1 likes, 0 loves, 0 comments, 0 shares, Facebook Watch Videos from
[feather_share] Apprendre de ses erreurs est primordial pour continuer à avancer après un échec. Les personnes qui réussissent réagissent différemment quand elles font face à un échec elles savent se remettre en question, elles rebondissent, apprennent la leçon, oublient les coups reçus, et continuent à avancer. À l’époque, quand je travaillais pour une des plus grandes firmes anglaises, j’ai souvent été étonné de voir avec quelle rapidité certains de mes collègues Manager récupéraient d’un échec. Après un burn-out et avec plus de recul, j’ai fini par comprendre ce qu’ils appliquaient déjà; qu’en fait, l’échec est seulement un état d’esprit mais rien de plus. La différence entre le succès et l’échec se trouve dans les attitudes envers les revers, les handicaps, les découragements, et d’autres situations décevantes. Le succès, c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme. » – Winston Churchill Voici cinq points de repère pour vous aider à transformer vos échecs en succès et apprendre de ses erreurs 1. Analysez vos échecs pour paver votre chemin vers le succès Décidez dès maintenant de retenir quelque chose de chacun de vos échecs. La prochaine fois que les choses vous sembleront aller mal au travail ou à la maison, respirez et cherchez la cause du problème. Ainsi vous éviterez de faire la même erreur deux fois. Lisez les biographies et autobiographies des personnes qui vivent ou ont vécu de grandes choses et vous découvrez que chacune de ces personnes aurait pu abandonner de nombreuses fois, mais qu’elles ont malgré tout continué à avancer. Quand nous sommes personnellement touchés par un échec, nous sommes souvent si bouleversés que nous ne parvenons pas à apprendre la leçon de ce qui nous arrive. Mais nous pouvons transformer les revers en victoires. Cherchez et analysez une leçon à retenir puis regarder en arrière sur votre échec et souriez. 2. Ayez le courage de faire votre propre autocritique Rappelez-vous que vous voulez être aussi parfait qu’il est humainement possible. Soyez objectif. Imaginez-vous dans un tube de verre et observez-vous comme si vous étiez une autre personne. Cherchez après une faiblesse que vous n’auriez jamais remarquée auparavant et prenez des mesures pour la corriger. Beaucoup de personnes deviennent tellement habituées à elles-mêmes qu’elles ne voient pas les possibilités d’amélioration. L’autocritique est constructive. Elle aide à trouver la force et l’efficacité nécessaires pour réussir. Cela ne doit évidemment pas vous rendre paranoïaque au point d’essayer absolument de trouver vos erreurs pour que vous puissiez vous dire, Voici une autre raison pour laquelle je suis un perdant». La bonne réaction est de vous dire Voici une autre occasion pour moi d’apprendre à devenir plus fort». Recherchez vos défauts, vos faiblesses et corrigez-les. Cela fera de vous un vrai professionnel. 3. Arrêtez d’accuser la malchance Trouvez et analysez vos erreurs au lieu de blâmer la malchance. Encore une fois ; il faut apprendre de ses erreurs. Si vous échouez, apprenez ! Beaucoup de personnes traversent l’existence en expliquant leur médiocrité par la malchance. Ces personnes sont comme des enfants, immatures, à la recherche de compassions. Elles ne s’aperçoivent pas que cela les empêche de voir les opportunités de devenir plus grand, plus fort et plus autonomes. Arrêtez maintenant de blâmer la malchance. Cela n’a jamais aidé personne à aller là où elle voulait aller. Analysez chaque échec et trouvez ce qui n’a pas été comme espéré. 4. Combiner la persistance avec l’expérimentation Nous devons être persistants. Mais la persistance est seulement l’un des ingrédients du succès. Nous pouvons essayer et essayer, et essayer et essayer encore et encore, et encore échouer à moins de combiner la persistance avec l’expérimentation. Edison par exemple, est connu comme l’un des scientifiques les plus persistants de l’Amérique. Il a mené des milliers d’expériences avant d’inventer l’ampoule électrique. Beaucoup de personnes ambitieuses ont une incroyable volonté, mais elles ne parviennent pas à réussir parce qu’elles n’expérimentent pas de nouvelles approches. Concentrez-vous sur votre objectif, mais ne vous frappez pas la tête contre les murs. Si vous n’obtenez pas les résultats que vous espérez, essayez une nouvelle approche. Expérimentez. 5. Rappelez-vous qu’il y’a un bon côté dans chaque situation N’abandonnez pas l’ensemble du projet dès que vous faites face à un problème. Au lieu de cela, prenez du recul et aérez-vous l’esprit. Essayez quelque chose d’aussi simple que de jouer de la musique, faire une promenade ou faire une petite sieste. Ensuite, lorsque vous retournerez à votre projet, la solution viendra souvent presque toute seule. Rappelez-vous que vous voyez dans chaque situation seulement ce que vous voulez voir. Trouvez le bon côté dans chaque chose et continuez d’aller de l’avant. N’hésitez pas à partager cet article sur vos réseaux sociaux préférés. Cela nous permet de savoir si nous créons le contenu qui vous intéresse. Suivez-nous sur Facebook si vous avez des questions ou si vous voulez juste recevoir quelques articles intéressants. Vous pouvez aussi vous inscrire à notre newsletter. [feather_share] Je vous souhaite une agréable visite sur 🙂 ThamiKabbaj | Investisseur on Instagram: “"Le succès c’est d’aller d Valorisé dans la culture anglo-saxonne, l'échec est encore assez souvent mal perçu chez nous, même si les mentalités évoluent. C'est pourtant une bonne école pour engranger les succès. A condition de rebondir. "Le succès, c'est d'aller d'échec en échec sans perdre son enthousiasme ", a écrit Winston Churchill. L'homme d'Etat britannique parlait d'expérience et qui sait si, sans les multiples échecs qu'il a essuyés au long de sa carrière, il aurait accumulé les ressources pour triompher aux côtés des Alliés à la fin de la Seconde Guerre mondiale. ... "Le succès, c'est d'aller d'échec en échec sans perdre son enthousiasme ", a écrit Winston Churchill. L'homme d'Etat britannique parlait d'expérience et qui sait si, sans les multiples échecs qu'il a essuyés au long de sa carrière, il aurait accumulé les ressources pour triompher aux côtés des Alliés à la fin de la Seconde Guerre mondiale. On ne retient souvent d'un parcours professionnel que les réussites et pas les échecs. Or les seconds nous façonnent peut-être davantage que les premiers. Ils peuvent même, voire doivent, être valorisés selon certains auteurs qui, sans les promouvoir, leur rendent quelque part justice. C'est le cas du philosophe Charles Pépin qui, en 2017, s'est penché dans un livre sur les vertus de l'échec * ou encore de l'essayiste Idriss Aberkane qui déclare sur YouTube que " l'échec est un diplôme " et que " si vous n'avez pas ce diplôme, ne créez jamais une boîte ". Depuis toujours, l'échec est valorisé outre-Atlantique et surtout dans l'économie numérique où l'on peut assez facilement multiplier les expériences et les créations d'entreprises. Et donc les échecs mais aussi les succès. Ce n'est pas un hasard si la première de ces grandes conférences internationales sur l'échec s'est tenue à San Francisco. Lors de ces failcon fail pour échec et con pour conférence, qui se sont multipliées depuis, des entrepreneurs mais aussi des sportifs viennent témoigner sur ce qu'ils doivent à leurs échecs et comment ces erreurs les ont amenés à trouver l'idée qui a fait leur succès. Comme le pointe Charles Pépin, " certains théoriciens américains vantent le fail fast, voire le fail fast, learn fast, pour souligner le caractère vertueux de ces échecs rencontrés tôt ". Même s'il ne faut pas idéaliser pour autant ce modèle de la Silicon Valley, il est clair qu'il percole doucement dans les mentalités européennes, dans l'ensemble plus frileuses en matière d'entrepreneuriat et de prise de risque que les Etats-Unis. Toutefois, aujourd'hui, les entrepreneurs hésitent moins à évoquer les difficultés et les échecs qui ont jalonné leur parcours. Surtout si ce dernier a été, au final, couronné d'une réussite. Ainsi, le fondateur du site de rencontres Meetic, Marc Simoncini, soulignait récemment dans nos colonnes Trends-Tendances du 3 janvier 2019 que " l'échec est extrêmement important parce que peu d'entrepreneurs sont arrivés à faire quelque chose sans avoir échoué préalablement un bon nombre de fois. L'échec, c'est ce qui vous forme, ce qui vous apprend, ce qui vous endurcit. Sauf pour certains petits génies qui créent leur première boîte et obtiennent directement un énorme succès, il faut passer par l'échec, le subir. La vérité derrière les belles histoires d'iFrance, de Meetic, etc., ce sont toutes les difficultés, les échecs, les combats et les déceptions. C'est ça le vrai parcours d'un entrepreneur. Et puis, un échec, en réalité, ce n'est pas un échec mais une leçon... à condition que l'on recommence. Pour être un entrepreneur, il faut surtout une qualité la résilience. Elle est commune à tous les entrepreneurs. Pour réussir, il faut pouvoir se relever et repartir ". Il n'est peut-être pas étonnant que cette " culture de l'échec " soit valorisée dans le monde des nouvelles technologies où l'on retrouve souvent des scientifiques. Or, qu'est-ce que la science sinon une succession d'essais et d'erreurs ? Et c'est en éliminant ces dernières qu'elle progresse. Comme aimait à le dire Thomas Edison, " je n'ai pas échoué des milliers de fois, j'ai réussi des milliers de tentatives qui n'ont pas fonctionné ". On peut ajouter cette réflexion d'Albert Einstein " Une très grande série de succès ne prouve aucune vérité, quand l'échec d'une seule vérification expérimentale prouve que c'est faux ". Derrière chaque échec, il y a une prise de risque. Mais sans prise de risque, il n'y a pas d'innovation. Pour Jean-Luc Maurange, CEO de CMI, " innover, c'est assumer la possibilité de l'échec. Entreprendre, c'est aussi prendre le risque d'échouer. Nous lançons en ce moment notre incubateur et accélérateur de start-up. Tout le monde sait que le taux de réussite est de moins de 20%. Cela n'a pas freiné plus de 100 collaborateurs de CMI à se lancer dans l'aventure. Il ne faut donc pas considérer l'échec comme une menace et une sanction qui brident les volontés et les énergies, mais comme un risque qu'il faut bien entendu identifier et limiter autant que faire se peut que l'on accepte de courir. 'Courir un risque' quelle belle expression ! Je la préfère à 'essuyer des échecs'". On ne peut, en effet, pas dissocier l'échec du risque. Mais l'aversion au risque reste relativement forte en Belgique et explique, pour une large part, pourquoi nous manquons cruellement d'entrepreneurs. Surtout si l'on nous compare avec les Etats-Unis mais également avec des pays comparables en taille. Selon Jacques Bughin, directeur du McKinsey Global Institute, " l'équation risque-rendement n'est pas nécessairement la cause d'un taux plus faible d'entrepreneuriat en Belgique. Il est vrai que le risque de marché est large - le taux d'échec est de 45% pour les nouvelles entreprises qui meurent après cinq ans en Europe, mais il est plus élevé aux Etats-Unis 60%. Quant à la capacité d'avoir un rendement attractif, les marchés sont en effet fragmentés en Europe et le volume de venture capital par citoyen est plus faible que, par exemple, aux Etats-Unis, impactant le boom entrepreneurial. Mais Israël, la Suisse ou la Suède affichent de très bons track records en termes d'entrepreneurs qui ont réussi dans les affaires sans pour autant avoir la chance d'opérer dans des marchés de la taille des Etats-Unis. La raison est que ces pays se sont spécialisés dans des industries en forte croissance advanced manufacturing, Internet, biotechnologies, etc. et qu'ils ont développé des écosystèmes forts coopérant entre industries, universités, support financier public sans oublier les incitants fiscaux. " Jacques Bughin délivre quelques statistiques dans la foulée pour étayer son propos le taux d'entrepreneurs s'élève à 7% en Europe pour 13% aux Etats-Unis en 2017 mais il chute outre-Atlantique et, bonne nouvelle, il grossit en Europe. En Israël, le taux est de 12% alors qu'il est de moitié en Belgique, à 6%. En Belgique, 52% des gens ont une perception positive de l'entrepreneuriat contre 60% en Europe et 65% aux Etats-Unis. Il en déduit que, parmi les personnes qui pensent que c'est intéressant, 20% de la force de travail s'essaie à l'entrepreneuriat aux Etats-Unis contre 11,5% en Belgique. En Israël, plus de la 25% de la force de travail planifie de lancer son entreprise. Baignée depuis toujours dans les nouvelles technologies, la génération Z née autour de l'an 2000 prend-elle davantage de risques entrepreneuriaux que ses devancières ? " Pas nécessairement, répond Jacques Bughin. Mais le contexte le permet et cela se voit bien dans le secteur numérique où la densité de firmes en intelligence artificielle est aussi large qu'aux Etats-Unis. Certes, la Belgique et l'Europe sont à la traîne car la spécialisation des secteurs est surtout orientée B to B. La nouvelle génération n'est pas décomplexée face à l'échec car le risque persiste et l'aversion au risque est importante. Même si beaucoup aiment les slogans du type failright, failfast, learn from failure, le risque reste clé. Ce qui a changé, c'est qu'il s'est diversifié. La possibilité de croître est plus rapide vu l'essor technologique du numérique. Ce secteur offre une haute possibilité de disruption rentable, mais pas pour tous. Finalement, le risque d'un mauvais modèle reste large et le mythe selon lequel 'y a qu'à y aller' est loin d'être vrai. L'entrepreneuriat reste compliqué. Un entrepreneur travaille davantage, mais estime que c'est très valorisant 80% des fondateurs préfèrent en effet prendre des risques, Ndlr. " Pour Jean-Luc Maurange, la jeune génération qui intègre CMI " a toujours une très grande volonté de réussir et de succès, d'ailleurs souvent plus immédiat et rapide. Mais elle est aussi sûre que sa vie professionnelle sera faite de plusieurs expériences, dans plusieurs entreprises et que donc il sera possible de repartir et de rebondir. Ils auront plusieurs chances dans plusieurs vies ". Dans le même temps, il confirme que les managers, à l'instar des entrepreneurs, ne parlent pas plus facilement de leurs échecs aujourd'hui que par le passé. " Cela reste difficile, confie-t-il. Nous n'évoluons pas encore dans une culture anglo-saxonne. Mais si le sentiment est que tout a été fait pour réussir, alors oui, l'entreprise l'admet davantage. Les retours d'expérience sont devenus des outils clés dans les démarches de progrès afin d'analyser nos échecs ou semi-réussites dans une démarche pédagogique. Dans le but de comprendre, et si possible corriger, pas dans un souci de culpabiliser. Et enfin, tout doit rester collectif. On ne peut pas admettre que, forcément, la réussite serait collective et l'échec individuel. On gagne ou on perd ensemble. " Si le taux d'échec des nouvelles entreprises est relativement élevé à cinq ans, ce risque n'est pas excessif. Il l'est bien davantage pour les nouveaux produits de grande consommation lancés sur le marché 75%. " C'est bien pourquoi, je réitère que le risk return privé est attractif pour l'activité entrepreneuriale, pointe Jacques Bughin. Et cela l'est encore davantage du point de vue macroéconomique car on a un large effet de débordement sur l'économie. Par exemple, la moitié du 1% des hommes les plus riches sont des entrepreneurs mais ils ne capturent qu'entre 4 et 5% de la valeur des marchés qu'ils ont créés ou 25% de l'économie selon les calculs du récent prix Nobel d'économie, William Nordhaus. Donc, il nous faut des entrepreneurs. " Et pour ce faire, le directeur du McKinsey Global Institute préconise notamment de comprendre et changer la perception exagérée des risques que pourrait nourrir l'entrepreneur ou encore de capitaliser sur les succès engrangés en profilant et assurant la croissance des gazelles surtout si elles créent de l'emploi et de nouveaux écosystèmes. " Il convient également d'avoir la possibilité d'arrêter rapidement si un risque se matérialise, de sorte que les conséquences sont faibles fail fast. Ce risque pourrait être collatéralisé par des produits financiers, ce que les venture capitalists et autres banques commencent à faire dans le numérique. " " On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par l'échec ", dit un proverbe japonais. C'est bien là une vertu de l'échec apprendre de ses erreurs afin de ne pas les répéter et progresser. Dans le livre qu'il a consacré à l'échec, Charles Pépin rapporte les propos confiés par un chef d'entreprise " Quand un de mes collaborateurs se plante une fois, je lui dis bravo, mais s'il se plante une deuxième fois de la même façon, je lui dis que c'est un con ". Autant l'entrepreneur doit prendre le risque de se tromper, autant le patron doit accepter que ses employés puissent également se tromper. C'est ce qui permettra à l'entreprise d'innover et de progresser. L'important est ensuite de pouvoir rebondir et se relancer dans de nouveaux projets. Mais il faut également être capable de pouvoir stopper à temps, comme un sportif qui anticipe le claquage. " Il faut éviter que la persévérance qui est positive ne se transforme en obstination qui est négative ", confie Eric Vanden Bemden, coordinateur du programme reSTART de Beci qui accompagne les entrepreneurs en rebond. Aujourd'hui, si l'échec n'est pas encore reconnu comme un diplôme comme aux Etats-Unis, il est de plus en plus accepté, pour autant que l'entrepreneur ait appris de celui-ci. Afin de prouver à de futurs investisseurs que son potentiel de créateur, loin d'avoir été entamé, n'en est que plus prometteur pour transformer l'échec passé en futur succès. 15nov/2014 - « Le succès, c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme" 15/nov/2014 - « Le succès, c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme" Pinterest. Aujourd'hui. Explorer. Lorsque les résultats de saisie automatique sont disponibles, utilisez les flèches Haut et Bas pour vous déplacer et la touche Entrée pour sélectionner. Pour La vie d’entrepreneur n’est pas tous les jours rose prises de risque, décisions, stress, surmenage, … Tous ces facteurs peuvent parfois vous mettre le moral en berne ! Voici donc 30 citations qui vont vous booster au quotidien et vous conduire à réfléchir 1. Le succès c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme. » Winston Churchill 2. La première règle de la réussite, ne jamais remettre au lendemain l’exécution d’un travail. »Emmeline Raymond 3. Une période d’échec est un moment rêvé pour semer les graines du succès. » Emmeline Raymond 4. La bonne humeur a quelque chose de généreux elle donne plutôt qu’elle ne reçoit. » Alain 5. Si vous mettez votre cœur dans la réalisation de vos projets, si la passion vous dévore et que rien ne vous arrête succès il y aura. » Mathieu Thomas 6. Soit A= un succès dans la vie. Alors A = X + Y +Z …. X = travailler. Y = s’amuser. Z= se taire. » Albert Einstein 7. Le succès est la somme de petits efforts, répétés jour après jour. » Leo Robert Collier 8. Le succès n’est pas la clé du bonheur. Le bonheur est la clé du succès. Si vous aimez ce que vous faites, vous réussirez. » Albert Schweitzer 9. Les conditions essentielles pour réussir sont la patience et la certitude du succès. » John 10. Nous avons tendance à mesurer la réussite à l’importance de notre salaire ou à la grosseur de nos voitures plutôt qu’aux liens que nous cultivons avec les autres. » Martin Luther King 11. Le secret du succès est de faire de ta vocation tes vacances. » Mark Twain 12. Une grande part de mon succès est attribuable à ma capacité de me convaincre que je peux réussir quelque chose, même si je n’y connais rien. » Anthony Robbins 13. La bonne humeur est un bon compagnon de voyage. » Paul de Kock 14. Il n’y a qu’une seule réussite arriver à vivre sa vie comme on l’entend. » Christopher Morley 15. La vie m’a enseigné au moins une chose si quelqu’un avance avec confiance en direction de ses rêves et qu’il s’efforce de mener l’existence qu’il a imaginée, il jouira d’une réussite hors du commun. » Henry David Thoreau 16. Nos doutes sont des traîtres Et nous privent de ce que nous pourrions souvent gagner de bon Parce que nous avons peur d’essayer. » Shakespeare 17. Lorsqu’on a 20 ans aujourd’hui, on n’a pas le droit de pas tenter quelque chose. » Pierre Lescure 18. Si vous êtes déterminé à devenir avocat, vous avez fait plus de la moitié du chemin … Sachez que votre volonté de réussir est plus importante que tout. » Abraham Lincoln 19. La difficulté ou l’obscurité d’un sujet n’est pas une raison suffisante pour le négliger. » Alexis Carrel 20. Le secret de la réussite est d’apprendre à se servir de la douleur et du plaisir, au lieu de laisser la douleur et le plaisir se servir de vous. En agissant ainsi, vous contrôlez votre vie. Sinon c’est votre vie qui vous contrôle. » Anthony Robbins 21. Chaque fois que vous voyez une entreprise qui réussit, dites-vous que c’est parce qu’un jour quelqu’un a pris une décision courageuse. » Peter Drucker 22. La confiance en soi est le premier secret du succès. » Ralph Waldo Emerson 23. Peu importe le succès, il s’agit d’être grand, non de le paraître. » Romain Rolland 24. On ne va jamais si loin que lorsque l’on ne sait pas où l’on va. » Rivarol 25. Celui qui réussit se concentre sur ce qu’il attend de la vie, et non sur ce qu’il ne veut pas. » Napoleon Hill 26. En vérité, le chemin importe peu, la volonté d’arriver suffit à tout. » Albert Camus 27. Ce qui est fait n’est plus à faire. » Proverbe français 28. A l’hiver succède toujours le printemps. » Nichiren Daishonin 29. Vous ne pouvez choisir ni comment mourir, ni quand. Mais vous pouvez décider de comment vous allez vivre. Maintenant. » Joan Baez 30. La souffrance fait partie de la vie. Sans souffrances, nous ne pourrions savourer le véritable plaisir ni nous réjouir. Quand nous comprenons cela, le fait d’être en vie devient alors une joie en soi. » Joséi Toda 5Unrf.