Cauchemarà l'hôtel - Bellegarde - 15 06 16. par Télé 7 Jours. info. signaler. Vidéo suivante dans 5 secondes. vidéos similaires lecture auto OUI NON. 02:52. ZAPPING TÉLÉ DU 04/06/14 00:39. Cauchemar à l'hôtel - 3/12 07:16. Zapping du 04/06 : Trop de porno rétrécit le cerveau !
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Directeur de publicationRelationship textType printed serialLanguage frenchFormat Nombre total de vues 164718Description 22 décembre 1909Description 1909/12/22 Numéro 356.Description Collection numérique Arts de la marionnetteDescription Collection numérique Commun Patrimoine bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine communeDescription Collection numérique La Commune de ParisRights Consultable en ligneRights Public domainIdentifier ark/12148/bpt6k2886838Source Bibliothèque nationale de FranceProvenance Bibliothèque nationale de FranceOnline date 15/10/2007The text displayed may contain some errors. The text of this document has been generated automatically by an optical character recognition OCR program. The estimated recognition rate for this document is 59%.so&c3S£. Va»' visite à Ollivier Jean Aicard. Contre le travail de nuit des boulangers Julien de-Narpon. Phrases lapidaires Locis Ghevreuse. La mort du grand-duc Michel Palliés. La mort de Léopold II Gérard Haery. Chanles-Loiiis Philippe André Beaunier. Les papiers de Coofc E. Dotdt. La Chambre Pas-Perdus. Le Sénat Auguste Avril.. Autour de fa politique A. A. Journaux et Revues Amdré Beaûnier. Les voyages en aéroplane M. Jacques de Lessçps échoue Frantz-Reichel. Académie des sciences Le Fonds Bonaparte. Académie .de médeoine Intérim. Gazette des tribunaux Georges Claretie. Les Théâtres À la Porte-Saint-Martin La Massière » Francis Chf,vassu. Madame Margot » Emile Moreau. La saison de comédie à Monte-Carlo J. DarTHENA'X; '.̃ 1 UNE VISITE à I. Emile OlMer .M., Emile Ollivior, quif en parfaite en pleine" verve, achève son œuvre historique admirable, n'assistera pas demain il la réception académique. M. Jean Aicard a eu la jolie pensée de l'y associer par ce récit d'une visite .qtt;il lui a rendue naguère dans sa vi 1 1 a" de la Moutte. On connaît aujourd'hui, quatorzième volume de l'Empire liberal, quel f ht le fardeau d'injustice supporté en silence par M. Emile Ollivier, avec une. hautaine fierté, depuis la date fatale de 1870.; Nous savons comment, après avoir fait les plus grands efforts pour éviter une; guerre inévitable, il s'y résigna d'un cœur léger », précisément parce qu il-en subissait la nécessité sans l'avoir, provoquée un seul instant; nous voyons clairement que l'intelligence simpliste des uns et la haine des autres interprétèrent dans le sens de à la légère » un mot qui, de toute évidence, voulait dire avec une conscience sûre d'elle.»;– la tranquillité de laconscience n'empêche pas la désolation simultanée d'une àme nous avons appris comment les partisans do la guerre et du c^sarisme, qui étaient hostiles au premier ministre, conseillèrent et entrepriJSftiJ^sp&.îiisji, crimjirujentes. démarches diplomatiques enfin nous n'ignorons plus comment, dans cette heure critique, et en; dépit des manoeuvres secrètes dont se, sentait entouré M. Emile Ollivier, il lüi' parut nécessaire de ne pas donner une démission qui aurait eu à ses yeux figure de désertion' devant l'ennemi.. Ceux qui ont toujours vécu loin des passions de partis, en philosophes, ceux que leur tempérament ou leur âge conduisent a regarder avec une sympathie attristée le spectacle de la vie, n'ont pu en àucun'temps entendre prononcer le nom" d'Emile Ollivier sans être émus à l'idée de la grande douleur que représente ce nom historique. En 1868 et 69, après vingt-cinq ans d'empire autoritaire, les républicains sentaient se réveiller leurs espérances. Les jeunes gens, qui se passaient sous le manteau les Propos de Labiénus, savaient tous par cceur les Châtiments de Victor Hugo. L'étincelant Rochefort se permettait avec la Majesté impériale des libertés énormes, mais insaisissables. Polisson tu as pris la taille de ma femme Moi monsieur ? Fouillezmoi 1 » Et l'on s'arrachait la Lanterne, d où s'échappaient des pétillement dironié joyeuse. Le Paris-Gavroche riait, mais les esprits attentifs devinaient, sous le masque de ce Paris en état de gaieté froriHeuse, une face irritée. La Révolution, prête aux colères, se faisait irienàçan te. Alors un homme rêva d'empêcher le choc redoutable des deux forces en ptésence pouvoir absolu et liberté. Plier la. Révolution à n'être que l'évolution ôter aux sourdes colères leurs motifs essentiels de se dire légitimes; faire un tri parmi les revendications, pour apaiser d'abord les plus criantes réaliser progressivement les plus justes espérances des républicains sans se soumettre à celles de leurs exigences qui semblaient contraires à l'ordre essentiel; contraindre l'autorité et la liberté à se servir l'une l'autre; ce projet, insupportable aux impatiences révolutionnaires, ,avait été jadis le rêve de Mirabeau. Mirabeau, le premier,- s'était senti de taille a maîtriser et à diriger la Révolution '̃ grondante Pourquoi pas? Luimême, lui, l'indomptable; lui, le taureau- rhodanien, n'avait-il' pas été muselé, uîi jour, par l'autorité paternelle? Et encore n'avait-il pas vu comment on endigue le RMne et ses fureurs de débordements? Dirigées, les inondations ne peuvent-elles rester fécondes sans être destructives? Et le rêve héracléen de Mirabeau était devenu le projet d'E- mile Ollivièr. Qu'il réussit, et c'était la grande, la pure ̃gloire; Rien de pareil ne se serait vu quelles difficultés et quels risques 1 quelle folie! disaient les moins hostiles,– quoi vouloir unir les incompatibles {. En tout cas, dans une telle aventure, la condition primordiale, pour être jugé avec justice, était de durer. Pour parvenir à ce faite surélevé comme l'est, sur un navire, la passerelle où se tient debout, aux grandes heures critiques, l'amiralissime, il avait fallu d'abord concevoir avec audace 1 aventureuxprojet; ensuite le faire accepter de l'Empereur, malgré le mécontentement des impérialistes; puis, douloureusement, voir s'éloigner beaucoup d'anciennes amitiés qui étaient allées prendre vang parmi les irréconciliables ». .Et tout cela, c'est-à-dire le plus diffi- cil et le plus pénible, est a,cçoaajJi. Maintenant, le coin m mandement suprême est entre les mains du réformateur. On va donc voir ce que sait faire ce chef. Le voilà debout sur sa passerelle. Vers lui convergent tous les regards de la France et de l'Europe. Depuis quelques heuresseulementilapparaîtcomme responsable, bien qu'aucun des dispositifs pris jusqu'à ce jour ne soit son œu- vre. A ce moment précis une vague de fond soulève le navire qui, retombant sur un écueil, s'entrouvre et s'abîme. L'année terrible roule, comme une mer démontée, des épaves qui s'entre-choquent. L'amiral, vaincu par les éléments, n'est plus que le grand naufragé d'un naufrage que rien n'aurait pu conjurer. Quelle tragique destinée 1 *& J'ai eu l'honneur de rendre visite, il y a peu de temps, à M. Emile Ollivier dans sa soliiude de la Moutte. J'en ai rapporté une impression profonde. fin quittant Saint-Tropez, et en allant au sud,'vers le promontoire de Camarat, par un chemin public, on se trouve bientôt au milieu d un cirque de collines qui ondulent, comme flexibles, sur le fond très bleu du ciel méditerranéen. Ces mamelons, chargés de pinèdes verdoyantes, enserrent une petite plaine à laquelle le voisinage de la mer un moment invisible "donne ce je ne sais quoi de libre et d'infiniment spacieux qu'on sent de très loin et qu'on respire. Et voilà qu'au bout d'un champ de vignes, au sud-est, on aperçoit comme une oasis. Un large groupe de dattiers jette vers le ciel les bouquets de ses pal- mes retombantes et immobiles. Des ci- mes d'eucalyptus les dominent. La re- traité d'Emile Ollivier est cachée là, dans ces arbres. Vous ne la verrez qu'en heurtant le seuil. C'est une demeure d'autrefois, d'une très noble simplicité. Une cour ouverte, sablée, sépare l'habitation principale d'une aile qui la protège des vents du large. Au-dessus de la porte-maîtresse une inscription Certa virititer sustine patienter. C'est bien là ce qu'on atten- dait, la demeure d'un orateur des républiques d'autrefois, d'un lutteur de la vie politique, qui, après l'action conduite à la romaine, a pris ses quartiers de repos chez les philosophes, en Grèce, sustine patienter. Ces deux derniers mots de la devise liminaire, tout le jour, à chaque pas, sonneront dans l'esprit du visiteur. 'Le seuil est franchi. Autour duaIon règnent des biblîofJièqj^.bjês£s_^ujL couronne ne assemblée de bustes, ora- teurs, penseurs et poètes. On dirait que ces morts illustres tiennent conseil. Lamartine préside et Socrate le regarde. Tous se sentent chez eux, .C'est l'heure do combattra avec l'arme qui reste, C'est l'heure de monter au rostre ensanglanté Et de défeddre, au moins de la voix et du geste, Rome, les dieux, la liberté 1 .Le maître de céans arrive. Il parle. Je reconnais tout de suite le timbre séduisantde cette voix que j'avais entendue dans mon enfance. Elle vibre et elle caresse. On dirait des sonorités d'argent qui tintent, calmées par des draperies de velours. Un grand apaisement, voilà ,ce qu'elles expriment. Elles disent le passé qui fut un champ de bataille et qui s'est transformé en un champ fleuri d'asphodèles. Entre aujourd hui et ce hier» » lointain il n'y a eu que le travail, continu, lent, quotidien, inlassable. Et voici la table du travailleur. En face de sa place coutumière, un siège; un autre siège à sa droite, aujourd'hui ceux do Mme Emile Ollivier et de sa fille, secrétaires » attentifs. car l'écrivain no peut plus travailler de ses yeux. Tous les documents lui sont lus et relus. Sa mémoire les recueille et les garde, les contient tous; et, au moindre appel de l'historien, les se- crétaires » vite feuillettent, cherchent, retrouvent. Chaque jour, depuis quarante années, sans un moment de défaillance, il s'est assis là, réfléchissant, résumant, dictant, et attendant l'heure où le dernier des quinze ou des seize volumes de l'Empire libéral ferait la lumière décisive sur son attitude de ministre. Sustine patienter. L'heure invite à la promenade. Nous voici maintenant dans les sentiers rocailleux des douces collines. Nous allons vers la mer. Et, s'appuyant sur le bras de son compagnon, le maître ne cesse de parler, avec sa voix charmeresse. Il dit la poésie, il explique l'éloquence, il raconte l'action parmi les foules et le bienfait du long labeur dans la solitude. On s'arrête devant un pin-parasol très vieux et, posant sur l'arbre une main familière Voyez comme il est beau 1 quelle élégance 'dans le jet des branches » Sur ce pin et tout' autour de nous palpite, innombrable, le chant des cigales, le même frémissement sonore qu'écoutaient, il y a trois mille ans, les vieillards homériques, et celui-là même que les sages retrouveront sans doute aux Champs Elyséens. Que disent-elles, les cigales obstinées? J'entends bien. inlassablement elles répètent Patienter patienter! sustine patienter Les pentes douces s'abaissent lentement sous nos pas; nous ressortons du bois, et, devant nous, tout près, le sol doré plonge, expire dans 1 azur de la mer très tranquille. Nous voilà assis sur un banc de pierre, demi-circulaire, entouré de kermès rampants. Et ici l'on se taira longtemps pour écouter la vague qui susurre des choses indicibles aux sables de la grève, sans fin remués. Enfin, le maître de ces bois et de cette plage Renan, assis où nous sommes, a regardé longuement là-bas, dans l'Est, le rivage de Saint-Raphaël, les cimes de l'Estérel, et il disait C'est bien la Grèce c'est la Grèce boisée ». Quand il vint, ce fut par un jour semblable à celui qui nous enchante; la même paix dormait, bercée sur les vastes eaux. Et je lui dis Ne trouvez- vous pas, qu'il y a plus de grandeur et de puissance dans le spectacle de l'immense mer au repos que dans celui de ses tumultes et de ses colères Quand les hautes vagues luttent en désordre, avec des grondements, des crachats de haine, des bouillonnements de rage, certes la scène a de la beauté, mais on sent si bien que toute cette agitation forcenée sera vaine à la fin Vaincue fatalement d'avance, la mer qui se tourmente n'a pas la vraie grandeur de cette mer recueillie, unie, qui laisse deviner ses belles profondeurs et qui seulement parce qu'elle est calme oui, seulement cause de cela peut répéter tout l'azur des radieuses journées, toutes les constellations palpitantes des nuits. » Et tandis qu on regagnait la vieille maison par un autre chemin qui fait un détour et suit quelque temps la plage, le philosophe souriant me désigna du doigt une pointe de rocher, avancée sur leau bleue, comme la proue dorée d'un petit navire. La surface du rocher est aplanie de-main d'homme. Pour l'heure, cependant, rien n'indique au passant qu un jour, sur ce promontoire minuscule, nos enfants verront une tombe une simple dalle avec cette inscription digne d'être lue devant la mer des jours paisibles Magna quies in magna spe. Les jours de "tempête affreuse sont rares ici. Les vaines tourmentes passeront vite; et, le plus souvent, devant cette* tombe, s'étalera la mer sereine, unie, tranquille, celle qui, durant le jour, reflète l'azur; durant la nuit, toutes les étoiles mystérieuses. Et le grand naufragé sera là, entouré de sérénité, comme dans une île heureuse. Magna quies. Jean Aicard. v Échos La Température Hier, dans la banlieue de Paris, la température a fourni des minima de 40 au-dessous de zéro. Malgré ce froid, la journée qui était, aux termes du calendrier, la première de l'hiver, a été très belle, avec un ciel beaucoup moins brumeux, que pendant ces derniers jours. Le thermomètre marquait à Paris 30 audessous de zéro à sept heures du matin et 40 au-dessus à cinq heures du soir. La pression barométrique, après une faible hausse, accusait à midi elle a monté fortement sur. l'Europe centrale une dépression ̃^s'âïpipTïryie de l'Islande, une autre persiste ,3H_,s,U_d=ftù£ l'Irlande.• ©es pluies et -ées neiges sont tombées sur presque toute l'Europe; en France, elles ont été abondantes dans la moitié sud. Départements, le' matin. Au-dessus de \éro 10 à Cherbourg, à Nantes, au Mans et à Besançon 20 à Brest, à Lorient et à Lyon 30 à Ouessant et à Clermont; 40 à l'île d'Aix et à Limoges; 8° à Perpignan, 90 à Cette, io° à Bordeaux et à Marseille; 14° à Oran, 150 à Biarritz, 180 à Alger. Aurdessous de ^êro 1° à Boulogne, à Nancy et Belfort 2° à Dunkerque, 5° à Charleville et au pic du Midi. En France, quelques ondées sont encore probables dans l'Ouest; le temps va rester nuageux et froid dans le Nord et l'Est. La température du 21 décembre 190S était, à Paris 40 au-dessus de zéro le matin et 50 l'après-midi. Baromètre 770"1"1; ciel couvert. Monte-Carlo terrasse du Casino. Température dix heures du matin, 230 midi, 250. Temps printanier. y Nice. A midi, 150 à trois heures, 14". Du New York 'fferald A New-York Temps beau. Température maxima, 2°; minima, 6°. Vent ouest. A Londres Temps beau, froid. Température maxima, 20 minima, i°. Vent est; Baromètre 756"™. A Berlin, 'Temps beau. Température à midi 30. - .t~ PHRASES LAPIDAIRES M. Emile Combes, qui n'était pas contenta a prononcé l'autre soir un grand discours. Et tout d'abord il a tenté de dissiper les sophismes colorés de vertu d'une rhétorique nuageuse». Il est donc entendu que la rhétorique des adversaires de M. Emile Combes est nuageuse. Mais quelle épithète faut-il assigner à la rhétorique de M. Combes luimême ? Nos lecteurs en décideront lorsqu'ils auront lu ces quelques phrases, détachées du compte rendu officiel. L'alternance est pour les partis un élé ment de vitalité. » Ce mode électoral émasculerait la reprérsentation. » . Lo voilà le scrutin' d'arrondissement qui, par les bouches les plus autorisées, par des bouches ministérielles, annonce l'avènement prochain des monopoles d'Etat. » Et voici nn irïftrceau. d'une Mlle venue/ que nous nous reprocherions d'émasculer comme une représentation C'est, dit-on, à des mares stagnantes qua s'alimente notre scrutin uninominal. On omet de dire que de ces prétendues mares stagnantes il s'échappe autant de cours d'eau, auxquels manquent sans doute à l'origine l'aspect plus grandiose d'une rivière, mais qui, réunis des diverses parties de l'horizon, forment ensemble un fleuve superbe, où sont venues s'engloutir, depuis trente ans, où viennent s'engloutir encore chaque jour les balayures des régimes passés, tandis que ses eaux, périodiquement accrues par les eaux bienfaisantes des renouvellements législatifs, arrosent et fécondent t les terres nouvelles et de plus en plus émergeantes de la démocratie. » Récapitulons Des mares stagnantes s'échappent des cours d'eau. Ces cours d'eau n'ont pas tout d'abord le grandiose aspect d'une rivière. Mais ils se réunissent des diverses pariies de l'horizon, et alors, forment un fleuve superbe. On ne peut douter que ce fleuve ne soit superbe. En effet, chaque jour, depuis trente ans, c'est à dire depuis onze mille jours, des balayures viennent s'y engloutir. Aussi, ce fleuve féconde les terres de la démocratie. Il semble, ù lire cette description, que M.' Combes ait appris la politique dans les champs d'épandage. Nous ne citerons rien, après cette merveilleuse tirade. Vainement les amis de M. Combes ont tenté de dépasser sa singulière éloquence. M. Vallé a dit Le sujet traité par cette troupe a la contexture d'une œuvre étrangère, c'est pourquoi elle obtient un vif succès.» M. Dépasse, dont le nom était pourtant une promesse, a déclaré Les gouvernements de force sont tombés sur les autres, depuis la Révolution française, tantôt comme des châteaux de cartes, tantôt comme des colosses aux pieds-d'argile. » • Quant à M. Mascuraud, il était fort in*quiet. Il a dit Cette réminiscence m'assiège. Je vous demande si ce n'est pas l'analogie qui l'impose ». .Et l'on plaisante le style des rapports de gendarmerie 1 Louis Chevreuse Contre le Travail de Huit DES BOULANGERS Une allocution de Mgr. Amette Il paraît que lorsque l'Association caj, tholique de la jeunesse française eut choisi la grande salle de l'hôtel des Sociétés savantes pour y donner la réunion que l'archevêque de Paris a présidée hier soir, quelqu'un exprima à Sa Grandeur la crainte que cette grande salle ne fût, en effet, beaucoup trop vaste en l'occurrence. Il serait difficile de se mon-' trer plus mauvais prophète. La salle de l'hôtel des Sociétés savantes a été beaucoup trop petite pour l'auditoire qui s'y entassait dès huit heures, et surtout pour ceux qui, étant arrivés un peu tard, n'ont pu y pénétrer. La séance fut d'ailleurs triomphale et Mgr Amette Ion* guement acclamé. Sur l'estrade avaient pris place Le'comte Albert de Mun et Mme la vicom-. tesse de Vélard, vice-présidente de la Ligue patriotique des Françaises, à la droite et à la gauche de Sa Grandeur Mgr Baudrillart, Mgr Odelin, vicaire général, MM. le duc des Cars, chanoine Roland-Gosselin, de Lamarzelle, sénateur; M. et Mme Goyau, Duval-. Arnould, M° Cazeaux, comte de Calan, Paul Lerolle, de Las pases, sénateur César Caire, chanoine Deschamps, Cunéo d'Ornàno, de Gailhard-Bancel, Alpy, Olivier, député des Gôtes-du-Nord, M0 Reverdy, etc. Mgr Atnette ouvre la séance par la récitation du Pater et donne la parole à M. Gerlier. Le jeune président de l'Association ca* tholiquo de la jeunesse française a, un vrai tempérament d'orateur et son éloquence n'est pas moins ardente que châtiée. La précision et l'élégance du' geste sou» lignent sobrement les phrases dont il veut accuser le relief. L'intervention de l'archevêque de Toublio le devoir social* Ce 'devoir pour les catholiques découle, de'lvEyïingtie. C'est le Christ qui a dit que- âtms devons aimer notre prochain comme nous-mêmes' en ajoutant que tput 'homme est notre prochain,' tout homttloï otï-non pas seulement' ceux qui appartiennent à notre càslc,; ou' qui partagent, en ^matière religieuse, sociale, politique', 'nos- idées. Tout homme, y comppfè'.oeux'qûi nous^haïssent. Et-commen t doit se traduire cet amour ? Par des actes. Et le champ est immense qui sollicite notre Ainsi que l'écrivait Le' Play en 1857 à un de ses amis très., occupé 'de. reboisement 11 importe bien moins de refaire des forêts, que des' hommes et des familles. » Mme ddélard est d'ailleurs bien convaincue que l'auxiliaire de la loi est ici indispensable..Mais il faut. préparer. l'opinion. Et çlle -conclut i Soyez apôtres,»" » t ..[. v ̃ ï- • ,'̃̃•' •-> "'̃ Le trôisi-èmediseours est prononcé par M. Jay, Tcm-înerit professeur à la faculté de' droit. "M. Jay élargit singulièrement le débat en essayant' de montrer pourquoi la massé populaire s'obstino à voir aujourd'hui dans l'Eglise unccnne-miOiS'et>"à; donc comme une vraie lutte -sociale -lutte contre 1;E-"gl ise." G'opfcque W peupla s 'i- maginte-que l'Eglise, quand elle prêche les destinées sUpra-terrcstrcs, se constitue la complice du capital; C'est là la vraie cause, la cause unique-, de l'hostil Hé1 'dès ̃' lasses ouvrières contj'0 -1-E-' glisc. Or, M. Jay estime et il a le courage de dire que la responsabilité des catholiques est ici sérieusement engagée. Sans doule, ils aiment le peuple, mais ils n'ont pas su lui montrer assez qu'ils 1 aimaient. Du moins, ne le lui ont-ils pas montré sous les -formes où le peuple aurait le..mieux. saisi cet amour. Ils en sont rester .auxvieilles méthodes, dont le 'peuple-, ne veut plus. Ils n'ont pas compris. l'évolution morale et sociale à laquelle ,ils. assistaient. La charité individuelle- ne suffit plus, parce que le peuple rêve d'ascensions collectives,- d'ascensions -de .classes.. Alors les initiatives,, nécessaires, ont, été prises par d'autres. •̃ ̃ M.; J-ay prouve ensuite que les lois sociailesv-'coniraccellequi interdirait le ira- nuit dans la boulangerie.– .sont t encore plus libératrices pour les patrons que. les ouvriers,, parce qu'elles ..libèrent les premiers du pire des esclavages, .'Desejavage moral, ou la nécessité de-fairc/'le mal sciemment parce que les conditions, -de concurrence -vous- y obligefl-t. 11 raille ces catholiques timides, qui -eiïi peur qu'on ne les étiquette socialistes;d'Ktat, et' il en appelle* à -cette tidmirâble'eh-arte-du tra-vail jqu'est l'encyclique XIII, Rentm novarimi. ** EnlTh Mfr'Àme'tte prononce l'alloctĩtioirdeclùture. Il' se félicite d'avoir été noniiné, par -un journal qui voulait ou se jg'aUssei""de lui ou le flatter, il ne sait, f'arài dès -mitrons ». Il est l'ami de tous la Providence lui adonnés pour fils, mais plus spécialement de ceux qui soufl'rent. N'est-il pas le disciple de ceku'qui a dit Venile ad me omnés qui laborhtis et onerati eslis, et ego reficiam tw? "A ce moment une lueur de magnésium éclate, et le fond de la salle s'emplit de^fumée. 11 n'en faut pas tant pour occasionner un, commencement de panique", Ne -bougez pas, dit en riant l'archevêque-, il n'y a d'attentat que contre la modestie des personnes qui sont sur l'estrade. » Et il reprend son discours poûradresser tour a tour des remerciejnents'êt4es félicitations à la Jeunesse' catholique sociale parce que calholi- que -à laBigùe patriotique des Françaises et spéêial'e-mênt à Mme de. Vélard, Vaillante ;ch retienne qui s'inspire uniquçriîént dé l'Evangile »; à M. Jay, dont la parole de flamme est celle d'un convaincu et d'un apôtre à M. de Mun, ce grand ami de Dieu et du peuple . Mgr Amcttè affirme, en terminant, la rH'êôSsitér de' la réforme qu'il préconise sans ïfirmer d'ailleurs les veux aux difiicidtés qu'on lui a signalées. Mais, ajoutet-il, reprenant. un mot célèbre Si c'est possible^ c'est fait; si c'est impossible, çafse" , » Nous devons croire que Dieu, fa qui rien n'est impossible, assuirera'ë sùccèl'de nos efforts. a adopté^ par acclamatjoïs' fë "vœu 'que' les mesures 'nécessaijv?* soient prises pour arriver au plus tôt'.a 'la' "fùoprf'ssion du travail de nuit .dans là bouiangei'in '». jVler' A-mfitte a. été l'objet, à l'issue de la-s&nee, d'uiié enthousiaste, ovation. Julien 4s Narfon. he\onae'Ia~iIf0 SALONS -̃̃̃̃̃' A l'ambassade de France à Vienne, dîner intime en l'honneur de S. Exe. le prince Ouroussoff, ambassadeur de Russie. Parmi les invités de M; Crozier Prince Ouroussoff, LL. AA. le prince et la princesse Liechtenstein, S. Exe. M. Dnn>ba, comte •et comtesse Coudenhaye, comtesse, Marietta Coudenhove, M. et Mme Alcers Douglas, de'l'amJjassade d'Angleterre, capitaine, et Mme Levesque née Voisin, baron de Barante, etc., de vingt-quatre couverts, à là légation de Perse, en l'honneur des membres du bureau de l'Union franeo-persàne et dû; professeur Brown, de .Cambridge, Les invités de S. Exe. le ministre de Perse, étaient M. lMeulafojr, membre de l'Institut', présidont de l'Union franco-persane; M, Qout, souS-directeur au service politique du ministère, des affaires ftti-atig-èros-; le général Gérard, MM. RapUael- Ga'orjtus Lévy, Boyer, Taigny, Emile Gautier, Jean-Beinârd, Jean Hérbette, conte de G rame do, prince i^-irouz Mirza,Mô'ktador ol Molk, le consul général de Perse,. Sadigos Saltanoh, Adolplie Back de Surany, etc; -̃ Lady Pirbright -restera chez elle la soir du icr janvier igjo, do .neuf heures .et demie à minuit, après la .dîner diplomatique qu'elle donne tous les ans. en l'honneur de l'ambassadeur de la Grande-Bretagne, et de ladyFeodorowna Bcrtie. M. et MjTié dé Teffé* von -Hoonholtz ont donne dimanche, un élégant dîner; Parmi Les convives Baronne d'Hajuba, baronne Leonîno, née de Rothschild, Al. Vt Mnu> Bailly de Jean, M. et Mme lu-nè Nagçlmacliers, comte Alexis de Solms, M llawis Phelps, etc. Mme ArirraTid • Coûtant reprendra- en janvier -sps réceptions des deuxiéntes et%quatriémes samedis, de quatre ù sept hcuresi Aujourd'hui, diner chez M. André Sainte Hilaire, j • Mme André Wallut, née Lavoignat; a donne dimanche une riiatinéé' suivie de -cotillon, à laquelle étaient invitées. les amies de se, filles. ̃̃ 1 ]..o chftvalieret Mme Alfredo Barbirolli, les professeurs de chant si connus, ont donné, lundi dernier,' dans .leurs salons ,d •» On signale également •l'arrivée "du;- prince Othon de Windisch-Graetz, g$n1' dre de la princesse Stéphanie, etle"dt}e' deSchleswig-Holstein, frère de l'impératrice d'Allemagne, et sa femme, 'la princesse Dorothée de Saxe-Cobourg el. Gotha,- fille de la princesse Louise. La comtesse de Flandre s'est rendue ce matin au pavillon du Belvédère, à Laeken', poifr rendre visité à là~*p'r*n-̃̃ .a > tt» • 7 Cannes, 21' décembre. La princesse Cécile de MëcklembourgSchwerin, femme du prince héritier d'Allemagne, est arrivée ce matin, par train, de luxe, accompagnée d'un chambellan et d'une dame d'honneur. Elle a été reçue à la gare par le grand-duc Nicolas de Russie, le prince et la princesse de Saxe-Meiningen, la princesse Ourousoiï, le consul général d'Allemagne, le sous-préfet, le général Baranoff et les officiers de la maison militaire du ,grand-duc Michel ̃ Le. sons-préfet de Cannes a prononcé une bçève allocution, à laquelle la prinçessea répondu avec beaucoup de grâce el d'émotion.' ̃̃̃ Elle s'est ensuite rendue che2 sa mère, auprès de qui elle s'est installée à la villa Wenden. ̃; Le préfet^ des Alpes-Maritimes, M. de Joly,,arrivé de Paris, est allé présenter les hommages et les condoléances du gouvernement. Le grand-duc t Michel Michaïlovitch dont'bn attendait 'la venue pour arrêter l'es dispositions des funérailles est également arrivé dans la soirée, venant d'Augleierre. Une dépêche parvenue à la villa Alleripirl ce soir, adressée au grand-duc. Nicolas', l'informe que l'escadre russe arrivera a Toulon demain. Les funérailles auront lieu probablement jeudi. Vë ,'préfet ^d'ës Alpes-Mari tïmes repré gouvernement, et le président de; la République sera représenté par un officier de sa maison militaire. ̃ Pour tenir compte d'un voeu exprimé par le grand-duc défunt, un bataillon de chasseurs alpins, le 23e de Grasse sans doute; rendra les honneurs Les dispositions prises par là cour de Russie font croire que les funérailles' a Saint-Pétersbourg' auront lieu le'22décetabre 'calendrier russe. •,̃ PalUès. CHA^LgS LOUIS PHILIPPE Il vient de mourir hier, a Paris, un jeune écrivain qui n'avait point conquis -encore ce public nombreux qu'on appelle le igraiî'd public, mais qui était pourvu d'une;sprte de génie 11 avait §-ag^,é;a'vec peu de volumes,' la plus •lïali-fjè'^syme dès lettrés ;c,èux qui le cdaijiii^W'î^-i.^ffi'Sy^.l-^r^ t ̃^a'u, pi? à;. sôn,;Q3uyre, [, "tliip destinée magnifique.' "Une- fièvre typhoïde l'a tué. C'hàrles- Louis Philippe était né en 18t4;à"Génlly, petite ville de l'Allier, Son ;père, sabotier là-bas, eut l'aspect du vieux paysan voûté sur l'ouvrage. Dès.' sa naissance villageoise, CharlesLouis Philippe, avec son nom bifearrement royal, eut deux compagnes la maladie et. la pauvreté. La première ne ̃ le quitta pas beaucoup; et, si elle s'éloigna quelque temps, elle revint 'pour le mener tôt à la tombe. La seconde lui fut fidèle et jamais ne l'abandonna. Cela commença par un mal terrible et qu'il a raconté, avec un détail méticuleux et poignant, dans l'un de ses pre'ihiers ouvrages, dans ce journal de son 'enfantine souffrance, la Mère et l'Enfant. C'est un, petit, livre comme on n'en ^connaît pas. d'autre, si véridique et avec 'tant de simplicité surprenante que la •réalité y .semble divinisée • i Charles-Louis Philippe s'était d'abord imaginé d'être polytcchnirien! Mais la maladie le laissa malingre, tout petit et la Oguré trouée comme d'uiiboulet qu'il aurait reçu dans la joue. Il vint à Paris, mélancolique el occupé' du projet d'écrire, ll's'instaila dans l'île Saint-Louis ^et, désormais, habita un logement de pauvre. II était nn pauvre et il Tétait volontiers' J'e'suis sûr qu'il n'a jamais fait aucun effort pour attraper un peu d'aieance. Lorsqu'apparut son talent, on lui offrit ceci ou cela il refusait' obstiné'rïien-U li 'avait fondé, avec deux camarades, une petite revue, l'Enclos! Le résultat concret- fut de quelques1 dettes et, ensuite, la vente de ses beaux livres servit à ces payements. Tout de même, pour vivre au jour le jour, il devint employé à l'Hôtel de Ville. Maurice Barrés, qui l'admirait, l'y avait aidé gentiment. Et il fut piqueur municipal ou, en d'autres termes, vérificateur des On lui a^vaii assigné le septième arrondissement, ou il y a peu d'étalages,- de sorte que ses modes-'tes fonctions ne lui imposaient qu'un petit, nombre de promenades par tes rues, qu'il examinait pour. son art autant que pour deux cent .trente francs de sa mensualité.. >ll vivait ainsi, infiniment sensible et -susceptible même, naturel et fier, aimé à cause de ses jolis yeux, de sa drôlerie eît de la flamme qui se manifestait en lui. Il débuta, voici douze ans, avec Quatre histoires- -de pauvre amour. Et puis, ce ̃furent deux- nouvelles, la Donné Madeleine et la Pauvre Marie Ensuite, la Mère et l Enfant. Lamcrvejllc, c'est qu'il n'hésita point -et que, dès sa première page, on le trouve tel qu'il sera plus tard. Evidemment, il a bientôt élargi sa imaniôre les idées affluèrent et l'art s'affina. Mais il n'alla point à droite ni à gauche et il travailla où,- premièrement, il ;s 'était placé. L'étonnant Bubu de Montparnasse, le Père Perdrix, Marie Doiïadierv et Croquignole développèrent avec une pathétique et subtile abondance l'idée qu'il eut, tout enfant, de la vie. ̃ Quelquefois, ses amis le comparaient a Dickens, et ;encore à Dostoïevski. Je ne sais pas s'ils avaient tort. H possédait t une ext'morciinat!"î de-vive obsor^ J y&lion et un don prodigieux 'de compatir1 à-toutos tes doulrturi quotidiennes, leurs du cerps-et douleurs dé l'ame, les unes et les autres liées par le mystère de l'esprit. Et il était minutieux il n'omettait rien de nulle misère et, pour la raconter, il n'en épargnait rien non plus à son lecteur. Cette opiniâtreté du peintre aurait été cruelle si l'on n'eût t senti en même temps l'immense .pitié qui l'animait. C'est ainsi que ce réaliste forcené aboutissait à une sorte de lyrisme. Il y a quelque chose de musical dans la dolente histoire de. Marie. Donadieu. ̃•̃̃̃̃ Avec cela, un style très particulier, tout en images et qui ne se contente pas de noter l'apparence des objets" mais ^ui ` aussi veut, marquer, leur;signification profonde. L'apparence, les .mots justes»., et directs suffisent à l'indiquer; la signi- ..ficatiqn profonde, il faut qu'on la donne e à deviner et c'est à quoi invitent les images.. L'.art de Charles-Louis- Philippe est double, à eause de cela; .cette dualité le caractérise. Mais. il savait joindré les éléments, comme l'union du corps qu'on voit et de l'âme qu'on pressent compose la vie. Ses livres, évoqués tous à la fois, sont un hymne émouvant, fort et ingénieux, un hymne qu'on n'avait pas entendu encore, en l'honneur de la Maladie et, de la Pauvreté, les deux compagnes que; j'ai dit qui le suivaient et qu'il aimait.! Elles étaient à son chevet quand il est' mort, et aussi la maman malheureuse dont l'adorable visage est pieusement; tracé dans la Mère et -l Enfant, ef aussi les tendres amis qui avaient placé en Charles-Louis Philippe une splendide espérance, André Beaunier. ~~s ̃ -des- '̃ jouets à cinq sôus, quetous-les enfants,' riches ou pauvres, trouvent souvent, croyez-moi-, plus amusants que les plu/ beaux- ̃ ,̃. neuf a une Parisienne digne de ce nom, de lui dire que la Grande Maison de Dentelles est organisée d'une façon uni- que pour produire, sous la direction d'un homme comme M. Foussard-Senae, dont la compétence est consacrée dans le monde, les plus belles dentelles de France et aussi de l'étranger car la Grande Maison de Dentelles étend, ses ramifications dans toute l'Europe et pour leur donner par une présentation, un tour de main incomparable, leurs grandes lettres de naturalisation parisienne. N'hésitez pas, allez voir cette .exposition d'abord, vous éprouverez un plaisir très vif à contempler des choses dé- lioionses, et puis, quand vous en sorti- rez, vous aurez une grave préoccupation, de moins la question des étrennos sera résolue. ̃ ̃ e. d. A l'Etranger Nouveaux incidents en Grèce Je parlerai, madame, avec la liberté D'un soldat qui sait mal fardâr la vérité. C'est a,insi que vient de parler, à la Chambre des députés grecque, le colonel Lapathiotis, ministre de la guerre. Il s'est exprimé avec rudesse et sans ménagement; rarement vit-on un ministre parlementaire faire paraître un si prodigieux mépris des traditions et des prérogatives du Parlement. Le ministre présentait son fameux projet sur la réorganisation de l'armée. Mais il le présentait du ton d'un homme qui n'admet pas un seul instant qu'on le discute. Il attaqua avec la dernière violence l'ancien président du Conseil, M. Théotokis, l'accusant d'avoir ruiné les forces militaires du pays. Là-dessus, les partisans de M. Théotokis, qui forment, comme on sait,- la majorité de la Chambre, abandonnèrent la salle des séances. Un autre en eût été gêné; le colonel, lui, n'en eut cure Aussi longtemps, s'écria-t-il, que j'aurai l'approbation du public des tribunes, qui représente ie peuple, je me moque de l'opposition des politiciens ». Et les spectateurs des tribunes d'applaudir frénétiquement, comme on pense, cette déclaration qui les flattait. Je n'ai pas besoin de souligner tout ce qu'il yad'inconvenant, presque de scandaleux, au regard, des règles parlementaires, dans un pareil langage et une pareille attitude. Si le ministre de la, guerre a une telle opinion de la Chambre et cette opinion n'est que trop partagée par les officiers, ses collègues, on se demande,pourquoi donc il prend la peine d'y paraître et d'y exposer ses projets. Il était beaucoup plus simple et plus franc d'en décréter l'application, par un simple arrêt de la Ligue toute-puissante, sans les soumettre à ce semblant de discussion. L'idée dernière des officiers est que ce sont eux qui représentent vraiment le peuple, non les députés élus qui au fond ne, représentent rien. C'était là exactement l'opinion de Napoléon Ier et de Napoléon III. Mais ceux-là du moins ne déguisaient pas leur dictature. Il ne faut pas s'étonner que M. Rhallys, qui. est .homme de courage, se soit vivement ému de cet attentat à la souveraineté du Parlement, qu'il ait énergiquement protesté contre le langage du colonel Lapathiotis et contre les manifestations du public des tribunes. Sur sa demande,; la séance a dû être suspen-,due, Là majorité de la Chambre, fatiguée d'avaler des couleuvres, exige la démission du ministre de la. guerre. Voilà M. Mavromichalis dans le plus cruel embarras. Car ce ministre est, au sein du gouvernement, le délégué et le porteparole de la Ligue des officiers il est Yalter ego du colonel Tsorbas, le maître de Kheure. La Ligue va-t-elle accepter la mise en demeure des députés? Les officiers, qui détestent les politiciens, en qui ils voient, assez injustement d'ailleurs, les auteurs uniques des maux dont souffre la Grèce, ne saisiront-ils pas cette occasion de balayer les; parlementaires, et de prendre en main le Kous", On nous télégraphie, au dernier moment, que le ministre a offert sa démission. Mais on ne sait pas encore si la Ligue s'accommodera de cette solution. Quoi qu'il, en soit, l'incident est des plus fâcheux. Il est une preuve nouvelle de la désorganisation profonde dont souffre la Grèce. Jusqu'ici les officiers se contentaient de la réalité du pouvoir; ils laissaient subsister un semblant de liberté constitutionnelle. Maintenant ce semblant de liberté les Le jour n'est pas loin où ils ne trouveront plus de politiciens à l'échiné assez souple pour subir tyrannie. Raymond Becouly. P. S. La démission du ministre de la guerre n'est pas encore réalisée. La ligue militaire aurait intimé au colonel Lapathiotis de conserver ses fonctions. DERNIÈRES NOUVELLES L'emprunt marocain r V Agence Havas nous communique la note suivante Le ministre des affaires étrangères a fait connaître aux ambassadeurs marocains les points qui. étaient acceptables dans la réponse du sultan Moulay-Haiid. Il leur a remis une note précisant les décisions du gouvernement de la République et, vendredi prochain, les ambassadeurs marocains apporteront une réponse définitive sur tous les points visés dans la note française. Un attentat Bucarest, 21 décembre. Le premier ministre, M. Bratiano, a été victime d'un, attentat, dont les conséquences sont heureusement peu graves. Au moment où il descendait do voiture pour rentrer chez lui, un ouvrier a tiré sur lui trois coups de revolver et l'a légèrement blessé. • L'agresseur a été arrêté. Les médecins ont constaté que M. Bratiano avait été atteint par deux balles l'une a causé une blessure à l'omoplate gauche et aux reins l'autre a atteint la partie postérieure de la cage thoracique. Les deux blessures ne sont pas dangereuses. D'après le bulletin de ce soir, l'état est satisfaisant; il n'est pas survenu de complications. Le ministère Sonnino Rome, 21 décembre. Le ministère ne s'est pas encore prononce définitivement sur la cloture de la session, mais cette mesure paraît très probable. M. Sonnino veut déblayer le terrain de tous les anciens projets législatifs et se présenter devant la Chambre avec le prestige d'un. discours do la couronne exposant le programme qu'il préparera à loisir d'ici à la n de février ou au commencement de mars. Aujourd'hui, la Chambre a approuvé par 181 voix contre 94, après un discours* applaudi de l'amiral Bettolo, le projet d'unification des services maritimes au ministère de la marine; La Chambra s'est ajournée au 10 février 1910. ̃ La police de Casablanca décembre. ta presse de Madrid s'étant émue d'une information d'un journal parisien suivant laquelle le commissariat français de Casablanca était chargé exclusivement de la police de la ville à la suite d'attentats que ce journal attribuait à des sujets espagnols, le ministre d'Etat communique une note spéci- fiant que la décision prise par le corps est la conséquence de l'assassinat d'une dame européenne dont est soupçonné un indigène et que le commissaire français et l'inspecteur de police espagnol sont chargés conjointement d'adopter les mesures nécessaires, et les gendarmes français et les agents de police espagnols de les appliquer dans l'intérieur de la ville. Dans la banlieue la police sera faite par le corps indigène dirige par des instructeurs espagnols. Les droits et intérêts de l'Espagne sont donc entièrement sauvegardes. GcittEN. La crise hongroise Budapest, 21 décembre. Le Parlement a accepté ce matin démettre à l'ordre du jour une motion du député' Hollo,, du parti Justh, demandant d'adresser une requête au Roi le priant de ùe pas prolonger la crise et d'accepter la Banque indé- pendante. Depuis leur audience de samedi, M. ila Lukacs est en pourparlers avec le parti Justh, et le comte Khuen-Hedervary avec le gouvernement. hoPester Lloyd écrit ce soir qu'une combinaison Lukacs-Justh se baserait,' si elle devait aboutir, sur le programme de l'indépendance économique et financière de la Hongrie. André Duboscq. •̃• La crise portugaise Lisbonne, 21 décembre. Différents noms de chefs progressistes sont indiqués pour entrer dans le cabinet homogène sous la présidence de M. Beirao. La composition n'est pas encore définitive. Les journaux régénérateurs et alpoïinistcs attaquent déjà la formation d'un cabinet exclusivement progressiste. L'affaire Kwilecki ̃' Berlin, 21 décembre. Que va faire le comte Kwilecki ? C'est une question que se pose toute l'Allemagne. On le dit vieux, désabusé, indifférent. N'importe, s'il se croyait le père du petit Joseph, il ne le livrerait pas sans combattre à son atroce destin. Et lui, le pauvre enfant, qpe vatril devenir ? Représentez-vous sa situation. En 'vertu du dernier jugement de Posen. Il s'appelle Parca du nom de jeune fille de sa mère il a pour père un officier autrichien qui ne sait pas plus que le reste' du monde si l'enfant vendu par la tille Parca, aujourd'hui femme Cécile Meyer, est le môme que le jeune comte 'de Kwilecki il va entrer, de .par la loi dans une famille composée de cinq enfants légitimes,et dont le chef, Meyer, est employé de chemin de fer, et jamais il ne pourra savoir avec, certitude s'il est lo fils de Cécile Meyer ou s'il en est la victime.. Pendant douze ans, il fut choyé, caressé, adoré par une grande dame, qui se disait sa mère et dont il est le portrait; il a lu la déclaration écrite du comte 'Hector Kwilecki, son adversaire, s'excusant de l'erreur' qu'il avait commise en soupçonnant à tort sa cousine Kwilecka d'avoir simulé la naissance d'un enfant; il sait aussi que ses parents de Sikorski, lo considèrent encore comme un des leurs et le disent très haut dans les journaux de Berlin les feuilles de Posen quilui arrivent dans son pensionnat aristocratique do, Breslau lui prouvent que tout un peuple partage sa conviction personnelle et le proclame un vrai Kwilecki; et pourtant la loi le condamne à aller partager la misère do ces Meyer qu'il renie. Il n'est pas exagéré de dire avec le Bevliner Lokalanzeiger que Cécile Meyer vient de commettre un meurtre moral, et je ne connais rien de plus douloureux au monde que le sort de cet enfant de treize ans, pris dans, un brutal engrenage, et auquel on arrache' tout à la fois son nom, son passé, son amour lilial, sa fortune, ea conflanco dans la vie et d'ans les hommes Suivant une dépêche de Poseu au Berliner Lokalanzcbjcr, l'avocat Schmidt annonce que si le jeune comte Kwilecki est privé définitivement do son majorât, qui est de deux millions de marks, il lui sera du moins servi une pension de 1,500 marks jusqu'à dix-huit ans et de 1,800 marks- do dix-huit à viugtcinq ans. Le silence du comte Kwilocki s'explique par son absence; il a disparu et on ne sait où il se trouve. Il est probable que la question du majorat donnera lieu à un nouveau procès. BoxNISFOX. L'Union télégraphique internationale Berne, 21 décembre. L'Union télégraphique internationale a dé- cidé de faire ériger ici un monument, à l'instar de celui de l'Union postale, la belle œuvre de M. de Saint-Marccaux, pour perpétuer le souvenir de sa fondation, qui eut lieu eu 1865. L'inauguration se fera en 1915. C'est lo Conseil fédéral suisse qui a été chargé de l'exécution de cette mesure. 11 vient justement de publier la mise au concours pour ce monument. Les artistes du monde entier seront admis. Le projet comprendra deux idées au moins le monument proprement dit, rappelant l'origine de l'Union, et une fontaine. Le modèle sera dans la proportion de un à dix, avec un plan de situation, la place Helvètiu. à Berne, et une description de toutes ses parties. Les dessins et maquettes devront parvenir an Conseil fédéral, département des chemins de fer, division télégraphique, jusqu'au 15 août 1910,' avec une enveloppe fermée contenant le nom et le domicile des artistes, ainsi qu'une devise que portera chaque projet. Enfin, la somme affectée à cotte oçuvre no pourra pas dépasser 170,000 francs. Vingt mille autres francs sont affectés à des primes, dont la première peut aller jusqu'à 8,00Q, que fixera un jury composé de douze membres. Voilà du travail pour les Bculpteurs. Jcau Roll. COURTES DÉPÊCHES Le Sénat des Etats-Unis a confirmé la nomination de M.' Bacon comme ambassadeur à Paris, en remplacement de M. 'VVliite. La Diète de Prusse est convoquée pour le 11 janvier prochain. Lareino d'Espagne, qui faisait hier à Madrid des emplettes pour les fêtes da Noël, rencontra deux soldats revenant' do Melilla et les invita à entrer dans un bazar où elle leur acheta ce qu'ils, désiraient. Elle a été chaleureusement acclamée. La Chambre autrichienne a voté en première lecture le projet de loi autorisant le gouvernement à régler les relations commerciales avec les Etats balkaniques. Le grand-duché de Hesse s'associe au grand-duché de Bade et à la Saxe pour protester avec énergie contre les taxes fluviales que la Prusse se propose de lever. La Skoupchtina serbe a adopté en première lecture deux douzièmes provisoires. Les négociations pour lo traité de coiar merce hispano-cubain, qui se poursuivent à Madrid, sont sur le point d'aboutir. LeConseild'Etat de Turquie a approuvé les statuts du Crédit Foncier, ottoman, présentés par un groupe français. Djavid-bey, ministre des finances de Turquie, est parti hier pour Bucarest avec son quasi homonyme Djahid-effeudi, directeur du Tanine* L'Université de Geaèvc a décerné le diplôme de docteur honoris causa à M.'Einile Picot, de l'Institut de France.. Les ingénieurs français qui étudient le tracé du chemin de fer du Danube à l'Adriatiqw ont dû interrompre leurs travaux à Be» rana en raison de l'attitude hostile des Arnautes'ët retournent à Coastantinople. L'escadre française, composée des cui- rassés Victor-Hugo, Ernest-Renan et JulesFerry, est arrivée à Salonique, où elle doit rester quatre jours. Les journalistes parlementaires de Munich, menacés d'une séance de nuit à la Diète 'bavaroise, ont tout simplement éteint les lumières dans leur tribune et sont partis. Sur uoi la séance a été levée. Un ouvrier qui réparait les cabinets d'aisance d'une maison au numéro 68 de la ru3 Salva, à Barcelone, y a découvert dixneuf bombes vides de la grosseur d'une orange, et une autre également vide, de la grosseur d'un boulet de canon. La mère d'un anarchiste connu habité cette maison. La femme d'un marchand de chevaux et deux valets ont été assassinés dans une ferme, dans le canton de Lucerno. Le mari, M. Bisaug, a disparu. Un violent incendie a éclaté à la légation d'Italie à Lisbonne; le grand salon de réception est détruit. Les pertes sont importantes. Figaro à Londres LA CAMPAGNE ELECTORALE Londres, 21 décembre. M. Asquith, parlant cet après-midi à Liverpool, a déclaré que l'horizon politique était plein de présages heureux pour le succès de la cause libérale. Il a critiqué l'attitude des pairs qui parcourent le pays en répandant toutes sortes de légendes destinées à détourner du budget l'attention des électeurs. En ce qui concerne la marine notamment, il affirme à nouveau que la marine anglaise conserve sa suprématie. LA POUR ET LA VILLE La Gazette annonce officiellement ce soir que le roi Edouard a donné avec plaisir son approbation à la nomination de l'Hon. Herbert John Gladstone, secrétaire à l'intérieur, au poste de gouverneur général de l'Afrique du Sud. Le nombre des yiclimes officiellement cons- taté du terrible incendie, d'hier est de six, niais on est à peu près certain qu'il y a encore d'autres cadavres sous les décombres, cadavres d'employés ou d'acheteurs qui se trouvaient dans les magasins lorsque le feu a éclaté. M. John Burns, en sortant de l'incendie où il s'est si vaillamment conduit, s'est rendu à une réunion électorale où il était attendu. Il y est arrivé tout trempé.. La séance a été immédiatement levée. J. Couduiueh. LES PAPIERS DE COOK L'avi8 des experts La Journée d'hier a été mauvaise pour le docteur Cook; contrairement à son intention première, la commission de l'Université de Copenhague, qui s'était adjoint l'explorateur groenlandais, Kund Rassmurscn, a publié les premiers résultats de ses recherches, et ceux-ci sont en tout point défavorables au docteur. Les papiers que ce dernier avait com- mimiqués à l'Université de Copenhague comprenaient 1° Un rapport de M. Lonsdale, secrétaire de M. Cook, écrit à la machine, et comportant 61 feuilles, grahd'format ce rapport traite du voyage au Pôle Nord; 2° 16 feuilles d'écriture à la machine, représentant la copie par M. Lonsdale du carnet de notes de M. Cook; ces notes étant supposées écrites du 18 mars au 13 juin 1908, pendant le voyage entrepris de Svarteyaag au Pôle et pendant le retour jusqu'à un endroit de la mer de glace situe à l'ouest de l'Heibergsland. Ces papiers n'étaient accompagnés d'aucun autre document, ni même d'aucune lettre d'envoi. M. Lonsdale, annonça cependant quo les carnets de notes originaux avaient été envoyés en Europe, par précaution, par une autre voie, et qu'il devaient par venir à la commission sous peu de jours. Mais celle-ci pensa que la copie suffisait pour luipermettre son avis, puisque les papiers présentés contenaient exactement et complètement le contenu des carnets. Elle demanda à M. Lonsdale si elle pouvait être mise en' rapport avec le docteur Cook en personne. Mais le secrétaire répondit que lui-même ignorait son adresse, et il se contenta de remettre à la commission une lettre de l'explorateur,, qui ne portait ni la date, ni le lieu de l'envoi et dont l'enveloppe portait le timbre de Marseille du 14 décembre 1909. Cette lettre était annexée à une autre datée de New- York, du 27 septembre 1909, adressée à Mr. Torp, ancien recteur de l'Université Cook y signale que non seulement ses instruments, mais aussi la plupart de ses observations astronomiques sont restés à Etah. Une restait, dans ces conditions, à la commission qu'à formuler son avis. Tous ses membres examinèrent isolément les papiers, et ils se mirent d'accord sur les points suivants 1° Le rapport qui leur a été remis concorde essentiellement avec le rapport du voyage publié dans le New-York Herald 2S la copie des carnets de notes lie contient nullement des documents d'observations astronomiques, mais seulement des résultats d'observations; 3° il manque tout ce qui pourrait servir à éclaircir l'ait'aire et même à rendre vraisemblable le fait que des observations astronomiques ont réellement été faites; 4° le côté pratique de l'entreprise et notamment les circonstances du voyage en traîneau, sont expliques par des détails si insignifiants qu'ils ne peuvent être C'est sur ces constatations que la commission a émis l'opinion que les documents ne pouvaient en rien fournir la preuve que le docteur Cook avait atteint le pôle Nord. Et, se basant sur cette opinion, le Conseil de l'Université a donné la sienne qui est identique. Voilà qui est fort mauvais pour le docteur, et il serait temps que celui-ci sortît d'une réserve fâcheuse, non seulement pour lui, mais aussi pour ceux qui furent ses défenseurs do la première heure. iheure. E, Dupuy. P. S. On dit d'autre part que le docteur Cook aurait débarqué à Naples le 11 décembre, pour se rendre à Paris, où il se trouverait actuellement. La lettre datée de Marseille dont nous parlons plus haut semblerait donner quelque consistance à ce bruit, qu'il a été jusqu'ici impossible de vérifier» Les Étrennes C'est un grand. plaisir pour nous, dé constaterle succèsdu Guide des Etrennes, publié à cette place samedi dernier nos lecteurs ont mis tout de suite à profit ce véritable livre d'or du commerce de luxe parisien. A voir l'affluence qui est passée depuis trois jours dans toutes les maisons signalées par nous, nous avons quelque raison de croire que les Parisiens attendaient ce Guide pour fixer leur choix. C'est ainsi que la foule s'est pressée ces jours-ci chez Robert Linzeler, dont nous avions signalé la jolie exposition de porcelaines de Chine montées, de cristaux anciens, de cendriers, de cadres en émail, de passe-thé, de baguiers, de vases et de bonbonnières. Les pendules dont le cadran électrique s'éclaire de nuit, les mille objets ingénieux et nouveaux que cette maison bien connue du 9, rue d'Argenson, a créés, son luxueux salon de bijouterie et de joaillerie récemment ouvert ont obtenu un grand succès. Les remarquables faïences de Pelkington, réunies par Toy, en son élégant salon d'art du 10, rue de la Paix, ces faïences merveilleuses, précieux originaux d'artistes, qui s'affirment rivales des, plus belles faïences hipano-américaines ont été, elles aussi, très appréciées. Les services de table en faïence, en porcelaine, en cristal, pures reproductions de l'ancien, les faïences si réputées de Deck, aussi prestigieuses que les chefsd'œuvre de d'art céramique, ont attiré la convoitise des connaisseurs, des amateurs de cadeaux délicats et charmants. La file interminable des autos trépidantes stationne tout le jour, 374, rue Saint-Honoré, devant le somptueux hôtel dont Max-Auspitzafait le palais de lafour- rure. Artiste émérite autant qu'homme pratique, Max-Auspitz y a organisé cette exposition d'étrennes royales manteaux, étoles, manchons, renards, fichus de breitschwanlz, sa récente trouvaille, que vient admirer toute la haute société aristocratique et qui lui vaut les suffrages unanimes des arbitres de l'élégance féminine. Les éventails de Duvelleroy, ces ailes diaprées de papillons, ont pris leur vol et vont se poser innombrables entre les doigts fuselés des Parisiennes. Abandonnant le passage des Panoramas, ils s'étaient groupés dans le charmant magasin du il, boulevard de la Madeleine, et c'est de là qu'ils sont partis éventails anciens venus d'Italie, et découverts en quelque antique palais, éventojrs de plumes, modernes éventails signés des plus ̃célèbres peintres. Aussi précieux que ces aimables sacs-jumelles créés pour le théâtre par Duvelleroy, ils seront un prétexte aux gracieux gestes d'élégantes et connaîtront, mollement balancés, les plus jolis sourires. Les merveilles d'orfèvrerie qu'étale au centre du Paris élégant, 33, boulevard des Italiens, le Pavillon de Hanovre et qu'a consacrées la faveur de la plus haute aristocratie, s inscrivaient d'ellesmêmes parmi les plus luxueux cadeaux. Le couvert-serveur», cuiller et fourchette réunies permettant de se servir aussi aisément que le font les maîtres d'hôtel, aura désormais sa, place sur les tables les mieux dressées. Et quant au succès de la petite cafetière » Christofle, ce filtre à café individuel avec porteverre, ce n'est rien do dire qu'il 'égale celui de la Petite Chocolatière », sa spirituelle rivale. Les Parisiens ont également pris grand plaisir à leur visite chez Risler et Carré, au 16 du faubourg Saint-Honoré. Ils furent ravis de la médaille des aviateurs à l'effigie du prophète Elic, qui, comme chacun sait, fut enlevé dans les airs; des délicieuses épingles à chapeau, des épingles de cravates surmontées, de biplans en miniature, des petites boîtes d'orfèvrerie remplies de pétales de fleurs, odorautes et parfumées, d'une foule d'objets ingénieux et nouveaux. Et certes, il n'était point besoin à la maison Gustave-Roger Sandoz, 7, rue Royale, de sa vieille réputation, pour se recommander cette année à l'attention de tous Les merveilles d'orfèvrerie, de bijouterie, d'horlogerie, qui sont sa spécialité, joignent en effet à la facture impeccable de jadis tout le charme des ulus modernes, créations. Membre du Jury aux grandes exposilions de Paris 1889 et 1Q0O, grand prix à celles de SaintLouis, Liège, Milan. hors concours, membre du jury à l'Exposition de Lon1908, M. Gustave-Roger Sandoz est un favori du succès, ses étrennes sont favorites. Combien de cadeaux, cette année, porteront aussi cette marque, synonyme du goût artistique et du parisiasnisme les plus raffinés A la Paix ». M. Geo Rouard, le propriétaire de la célèbre maison du 34, avenue de l'Opéra, est en effet l'élu de la mode à l'heure présente, et ses porcelaines de la manufacture royale de Saxe. ses verreries rares des maîtres nancéiens Gallé et Daum, ses pièces uniques de Bing et Grondahl de Copenhague, ses reproductions des plus jolis modèles anciens, en faïence et en porcelaine, modèles de style en orfèvrerie Gallia », ont obtenu auprès des plus gros budgets comme des bourses les plus modestes, un véritable succès. L'affluence n'est pas moindre chez Deplanche, le graveur et éditeur d'art connudul8, Chaussée d'Antin Opéra. La très luxueuse estampe en couleurs, tirée du tableau de Millet, l Angélus qu'y publie en ce moment Benjamin Rabier, le maître humoriste, le dessinateur préféré de la jeunesse, est le cadeau que se disputeront les amateurs d'étrennes artistiques. A noter que V Angélus, cette œuvre nouvelle du puissant artiste, où éclatent sa cocasserie et sa fantaisie si spirituelle, n'a été tirée qu'à 100 épreuves d'amateurs numérotées et signées par l'auteur, du prix de 20 francs, est envoyée franco contre 21 francs. C'est un plaisir aussi de dire le rêve réalisé, en ces temps de fête, de réception^ et de dîners, par tant de jeunes gens transportés d'enthousiasme et de fierté à l'idée qu'ils vont arborer bientôt le premier smoking, le premier habit. Ils ont envahi les nouveaux services de vêtements sur commande et de confections de luxe spécialement installés pour eux A la Belle Jardinière et organisés de façon si puissante et si moderne qu'ils peuvent répondre à tous les besoins, même les plus immédiats, à toutes les recherches d'élégance même les plus raffinées. Et sous l'œil attentif des mamans, que tente la plus belle collection de fourrures, ils ont visité aussi ces de sport et de voyage où s'accumulent les cadeaux d'étrennes à là fois plaisants et utiles. L'art pur a, lui aussi, sa digne place dans ce triomphe, et ses fervents ne furent jamais si nombreux qu'à notre époque tant décriée d'esprit pratique. Ils se pressent ces jours-ci dans les salons où M. Pinedo, en véritable 137, rue Vieille-du-Temple, les précieuses reproductions des chefs-d'œuvre consacres de la statuaire contemporaine, finement coulés en bronze, dans un su, perbe bronze du nom de son inventeur, M. Pinedo lui-même. Et leurs yeux admiratifs contemplent, à côté d'une splendide collection de bibelots charmants, des œuvres magistrales des Checa, des Berthoud, des Carrier-Belleuse. Guillou-Kérédan, cependant, ce nom fameux dans les annales du luxe et de l'élégance, voit décupler la faveur des Parisiennes que tentent les étrennes coquettes et délicates. Et toutes, d'un accord secret, s'acheminent vers la maison réputée du 191, rue Saint-Honoré, où furent réunis ces aimables objets exquises lampes électriques, ceintures ravissantes, sacs de velours, de peau, nobles papiers à lettre, buvards, une foule de créations adorables dont l'exquise variété défie rénumération. Dirons-nous encore le succès de la friandise nouvelle, de l'étrenne savoureuse et parfumée entre toutes, de la Fraise cristallisée, cette divine gourmandise dont M. Bannier, 35, rue EtienneMarcel téléphone 169-37,est l'ingénieux inventeur? Les colis postaux de 2 kil. qu'il expédie en ce moment, au prix uniformément avantageux de 20 francs, ses boites de fraises cristallisées » et de marrons glacés a 3 fr. 50 s envolent aux quatre coins de Paris et de la France, porteurs de délices incomparables, Jusqu'aux minuscules divinités qui se mêlèrent à cette apothéose, elles ne furent point les moins choyées et l'Eau de Cologne des Fées » qu'elles présen- taient à nos Parisiennes fut adulée et fêtée. C'est qu'en vérité il fallait quelque pouvoir surnaturel pour composer cette Eau de Cologne merveilleuse que 1 on trouve 43, rue Richer, présentée en de ravissants flacons de pur cristal au prix litre. Il y a bien longtemps déjà, car cette marque célèbre existe depuis 43 ans, les bonnes fées qui l'imaginèrent en avaient fait don à la regrettée Sarah Félix, tout récemment disparue. La grande artiste, sœur de l'illustre Rachel, fut donc sa créatrice inspirée, et la foule des élégantes profita de sa première trouvaille. Ainsi s'établit la réputation de l'Eau de Cologne des Fées », ainsi grandit sa renommée. Et certes, il n'est pas étrenne plus aimable. Enfin, pour terminer ce bulletin de victoire, saluons le triomphe de ce cadeau savoureux et cordial. qui ralliait l'exquise diversité des goûts, du chatoyant et printanier Panier Cusenier », du Panier Cusenier » enrubanné et fleuri, où les flacons de succulentes liqueurs, de célèbres cognacs et flneschampagnes mettaient leurs reflets de pourpre et d'or. Et malgré la longueur de ce préambule, malgré la variété et le nombre des renseignements obtenus, le sujet n'est ̃pojnt. épuisé, puisque voici, pour l'édification de nos lecteurs, une nouvelle se-rie d'adresses' et d'indricaiions. ». SOCIETE FRANÇAISE DE SCULPTURE D'ART Galerie Félix CAVAROC 10, rue de la Paix. Ici règne l'étrenne artistique. Tcut le monde connaît l'heureuse initiative qui fut prise en igoi par M. Félix Cavaroc, lorsqu'il fondaja Société française de sculpture d'art qu'il plaça sous le régime de la mutualité dans le doublé but d'être utile à l'artiste producteur et de diminuer la dépense du public. Cette initiative fut couronnée d'un plein succès. Aujourd'hui définitivement établie, la Société française de sculpture d'art possède en plein centre du Paris élégant un musée permanent merveilleusement installé. 11 n'y a pas dans cette galerie d'œuvres contestables, car les règlements de la Société exigent que la partie artistique du marbre soit exécutée et signée par l'artiste même qui a créé l'œuvre aussi quelles merveilles que ces réductions exposées dans cette galerie, que ,de belles choses exécutées dans le plus pur marbre de Carrare avec une absolue perfection, œuvres de premier plan exposées au Salon des Artistes français, acquises par la Ville et l'Etat pour les musées nationaux, et à côté de ces œuvres modernes, la reproduction des plus beaux chefs-d'œuvre anciens des grands musées internationaux. Toutes ces œuvres sont vendues à des prix dont on ne pouvait autrefois se faire une idée, et elles constituent les plus beaux et les plus précieux des cadeaux d'étrennes par leur importance et par leur valeur artistique, cadeaux d'ailleurs tout à fait pratiques, car ces statues conviennent à merveille à l'ornementation des salons et des cheminées, complétées surtout par les brûle-parfums, les vases en bronze et marbre dont on trouve chez Cavaroc une riche collection elles sont également toutes désignées pour les cadeaux offerts en collectivité par les mutualités, les grandes corporations et les chambres, syndicales, pour les corbeilles de mariage, etc. Un catalogue extrêmement artistique de toutes ces belles choses a été édité par la galerie Félix Cavaroc et est offert aux visiteurs qui emportent à la fois un précieux souvenir et de très utiles indications.. Jules HAUTECŒUR 172, rue do Rivoli, et 2, rue de Rohan. C'est l'ancienne maison Martinet, connue et célèbre depuis un siècle, et dans laquelle les bonnes traditions do probité et de bon goût se sont perpétuées de génération en génération. C'est le temple de l'estampe sa dernière exposition l'a prouvé. Nulle part on ne saurait trouver plus beau choix de gravures en noir et en couleurs. Mais c'est aussi la maison de la maroquinerie où l'on trouve la nouveauté du jour. Pour les dames, cette année, Jules Hautecœur a créé les jolis sacs de ville et d'auto. Pour les messieurs, lés buvards, porte-billets et plus particulièrement un genre spécial dans l'article de bureau les sous-mains. Pour les jeunes gens, des albums pour cartes postales et des albums pour collection de photographie, qui sont une spécialité de la maison. Dans l'optique, tous les modèles de jumelles jumelles marines, jumelles de théâtre, etc. Le grand succès dé l'année,, c'est un petit calendrier-éphémérides, avec estampes en couleurs de Frendeberg, gravées par Dubouchet, une petite reconstitution du dix-huitième siècle, merveille d'art et de goût, vendue i fr. 90, Pour ceux qui ne peuvent pas se déranger, Jules Hautecœur tient à leur disposition son catalogue illustré d'objets divers, ainsi qu'un catalogue spécial d'estampes. REND ALI. ET C" 17, rue d ta, Paix. Rien que la devanture est un régal pour Ie9 yeux; cependant ce n'est rien encore à côté de ce que la maison ne dévoile qu'à sa clientèle. C'est cela qu'il faut demander à voir les articles de dames, des sacs en velours ou en moire, de toutes nuances, pour l'après-midi ou pour le soir; un sac de voyage pour auto* mobile création de Kendall à quatre battants, dont l'un est la glace dont la voyageuse peut avoir besoin en route et qu'elle n'a plus à tirer d'un étui. Des coffrets à bijoux, au couvercle garni d'une plaque de jade de Chine ancien, admirablement travaillée et soignée. Pour les messieurs, des étais à cigarettes pour habits, des boites à cigares aux incrustations de néphrite, la pierre à amulettes des Maoris que le roi Edouard a misera la mode, des boites à cigarettes, à allumettes, en bois spécial avec émaux –j'en ai vu avec chiffres royaux pour plusieurs cours des cannes Louis XVI, pur style, une mignonne brosse à bridge aveî la valeur des tricks, des honneurs et l'atout. en un mot tout ce qu'on peut désirer de nouveau et de bon goût. vwwm ÛUÈRIN-BOUTRON 29, boulevard Poissonnière, 28, rue Saint-Siripice, Le souverain consacré de cette ère de fêtes le bonbon triomphateur et roi sans lequel ne pourrait s'inaugurer dignement l'année nouvelle. Docile à tous les caprices de la mode, se prêtant avec douceur et complaisance aux plus diverses créations, il revêt toutes les'formes et toutes les parures et il apparaît éternellement jeune, aimable et galant. Célèbres entre tous, les bonbons Guérin-Boujtron ont su conquérir la faveur et conserver la prédilection des délicats, et ils sont, aux approchas du Jour de l'an, l'étrenne gourmande enviée de tous. Ce sont, friandises fameuses, les savoureux chocolats aux fruits, à l'eau-de-vie, les truffettes, les marrons glacés, les pralines grillées ou fondantes. Et ils prennent place en une infinie variété d'objets ravissants, ils remplissent les sacs luxueusement brodés, les boites brodées Louis XVI, les paniers de vannerie légère, les bourses de ."soie chatoyante, les corbeilles fleuries, les .cristaux brillants de Galle, les porcelaines fines de Hollande et de Saxe, ils s'enveloppent coquettement dans les costumes jolis d» Il s"agit' naturellement de telle ou telle réforme que .le député qui s'exprime ainsi juge réalisable et urgente. Je ne la perds pas de vue », répond invaria1blement le ministre. Appeler l'attention et né pas perdre de vue sont deux locu* lions connexes qui ont' Cris à laGhambre les deux tiers de sa matinée. Cependant, je détache de la séance trois discussions intéressantes la première soulevée par M. Joseph Reinach avec infiniment d'a-propos. Ne pourraiton consacrer un peu d argent à Une campagne énergique et, suivie contre les faiseuses d'anges? Un tiers des conceptions sont détruites par ces pratiques criminelles. L'orateur a été éloquent, le ministre s'est montré énergique On établira des textes imposant à l'homme complice les sanctions civiles et pénales necessaires, car il n"y a pas de crime plus abominable que d'abandonner une malheureuse après l'avoir rendue- mère. » Bravo! M. Dron a demandé et presque obtenu la création d'un service d'anthropologie criminelle à Paris. Le système des fiches anthropologiques a rendu de sérieux services; mais il faut le compléter. Enfin,- la question du juge unique, traitée à Un point de vue très personnel par le président Magnaud, a en pour résultat d'amener entre M. Magnaud et M. un petit colloque assez curieux M. Magnaud. J'ai conserve l'amour et l'admiration de la fonction que J'occupais cette fonction, je né l'ai quittée que sur les instances d'un gouvernement qui avait, hesoin de ma popularité, et sous la condition morale qu'elfe me serait. rendue, comme un dépôt, à l'expiration de mon mandat de député. Mouvements divers. Se trouvera-t-iî un successeur de d'-Aguesseau pour commettre à mon égard un abus de confiance? Mouvements divers.. , t M. le garde des sceaux. –Je suis surpris que M. Magnaud persiste à apporter ici des questions personnelles. Il a rappelé son passé judiciaire et. politique, et il a renouvelé une fois de plus les sollicitations impérieuses qu'il adresse au gouvernement. Eh bien je revendique inon absolue liberté. et mon entière indépendance. 11 semblerait à entendre M. Magnaud. qu'à un certain moment il y ait eu dans ce pays, d'un côté, un juge presque unique, idéal M. Magnaud Sourires. et de l'autre, l'ensemble de la magistrature, partiale, 'et tout' inibtie de l'esprit réactionnaire. Qu'il me permette de le lui dire d'un côté comme de l'autre, le tableau est singulièrement inexact. Très bien très bien ! M. Magnaud. Pourquoi, il y a quatre ans, le gouvernement est-il venu faire appel à moi? 11 n'aurait trouvé personne pour me remplacer. Mouvements divers. Eh bien, il ne faut peut-être pas trop accabler les hommes qui parlent d'euxmêmes avec cette franchise. Chacun en lirait bien autant mais on n'ose pas. séance DE l'après-midi La Légion d'honneur est un bon thème h discours; il y a toujours quelqu'un pour s'en emparer. M. Delpierro a demandé"la"s'unpreslsioii 'd U'~ grand' 'cMncelier. 11 ne l'a pas obtenue. En réalité, c'était, la Légion d'honneur qu'il visait; mais les petits serpents s'useront les dents longtemps encore sur cette lime. Ils l'ont mordue aujourd'hui avec rage. Quant aux dédaigneux qui ne veulent pas ctre décorés, leur vanité perce à travers leur boutonnière vide, comme. celle de Diogène à. travers les trous de son manteau. M. de Kerafuézec a invite le gouvernement à .créer 150 médailles militaires en faveur des officiers mariniers. Leur situation, comparée à celle des officiers terriens, est tout ù fait désavantageuse. La Chambre s'en est rendu compte et le garde des sceaux a promis de- s'entendre avec le. ministre de la guerre pour rétablir l'équilibre. • M..lourde, avec le bon esprit qui le caractérise, a présenté de très judicieu- ses observations sur cette médaille militaire. Créée à l'origine pour récompenser les petits et les humbles, on lui a donné pou à peu une extension abusive. AL Jourde voudrait qu'elle fût soustraite au régime des décrets des lois vaudraient mieux. Le ministre n'a pas dit non. On devait s'attendre ù'oe qu'un député demandât la suppression dos maisons d'éducation de la Légion d'honneur 'c'est encore un* sujet "de conversation annuelle. M. Rognon, du Rhône, craint que ces écoles ne fassent des déclassées et, par la même occasion, il se plaint qu'elles coûtent très cher. M. Cachet, député de l'Orne, e't le rapporteur, M. Constant Diilau. ont mis beaucoup de chaleur à les défendre. M. Charles Dumont en a. mis encore plus à les attaquer. Le rapporteur général Doumer a fait observer qu'il no fallait pas tout sacrifier -à l'uniformité do l'instruction à une sorte de caporalisme, universitaire. » M. Berteaux, président de la commission, s'est prononcé dans le même sens. admettant, que le régime et tes programmes appellent quelques modifient ions. Bref, les maisons de la Légion d'honneur sont maintenues, jusqu'à un nouvel assaut. A l'approche, des élections générales, il y a comme, un besoin de chicane et de chipotage sur tout et autre chose encore. Chaque député se dit Il faut pourtant que je parle » 11 jette son dévolu sur un chapitre^ quelconque du budget et s'y escrime a loisir. Voilà tout le secret de ces sempiternels rabâchages. Le budget de la Légion" d'honneur est voté. A demain l'Imprimerie nationale. Pas-Perdus. ̃ -K>vy-sy\x- LE SÉNAT LES RETRAITES OUVRIERES Dubosf, président du Sénat, a prononcé au début do ia séance l'éloge funèbre de M. Dévoile, sénateur de la Meuse, qui fut, ministre de l'agriculture ot des affaires étrangères. Dans un lanyage éloquent, M. Aiitoniu les vertus républicaines de son collègue, ta distinction de son esprit et ta. variété de ses connaissances et do son savoir. Et la discussion sur les retraites onvrières a repris son cou/.?, Le Sénat a écarté d'abord un amende- ment de M. Brager de La Ville-Moysan qui demandait à l'État de verser à "l'assujetti qui fait son service militaire et la cotisation patronale et la cotisation ouvrière.. Lé président. a fois êïistiite en diséûs* sion l'amendement de M. Monis au paragraphe 5 de l'article 2, uôt amendement spécifie que les versements sont calculés car journée de travail, dans les conditions déterminées par le règlement d'administration publique, qu'ils ne peuvent être inférieurs à 0 fr. 05 par jour, et que la contribution de l'employeur reste exclusivement à sa charge. M. CliVinot a critiqué' cet amendement que le ministre appuie. M, Fess,ard pense qu on peut faire l'économie du règlement d'administration publique et présente un texte où il est dit Pour les salariés dont le salaire n'est pas supputé au mois, les versements obligatoires sont calculés par journée de travail et liquidés par multiples de 5 centimes, sans pouvoir dépasser pour l'année en cours 9 francs pour les hommes, 6 francs pour les femmes, 4 fr. 50 pour les mineurs. On voit toute la différence. Après une discussion entre l'auteur de l'amendement, le .minisire du travail, M. Monis, le texte de M. Fessard est, adopté par 327 voix contre 48. M. Pau Hat présente ensuite une disposition additionnelle concernant les ouvriers aux pièces et à domicile qu'on ne peut laisser en dehors de la loi. M. Vivianl s'oppose a son adoption, mais le Sénat passe outre et vote la disposition. L'article 2 est ensuite adopté. Avec l'article 3 c'est la question du précompte, autrement dit du prélèvement de la cotisation sur le salaire, de l'ouvrier par le patron. Il est introduit dans le texte par un nouvel amendement de M. Monis. M. Lonrties s'y oppose. Il préfère le texte de la commission qui laisse le choix du mode de payement aux assujettis, et il donne de très bonnes raisons à l'appui de son opinion. Une des meilleures est. celle-ci il y a un intérêt évident à laisser le patron en dehors de la prévoyance de l'ouvrier. Cela est fort juste, car si l'ouvrier ne veut pas apprendre lui-même la prévoyance, a quoi bon faire une loi destinée à lui inculquer le souci de l'avenir? M'. Lourties n'a pu finir son discours. Il le continuera aujourd'hui. Auguste Avril. Autour de la politique Le Conseil des ministres Le Conseil des. ministres s'est réuni hier matin à l'Elysée sous la présidence de M. Falliôres. La clôture de la session. Le Conseil s'est occupé do l'état des travaux dans les deux Chambres, en vue de déterminer l'époque à laquelle la session pourra être close. D'après les prévisions on pense que cette clôture pourra être prononcée le 28. décembre prochain an soir, le Sénat ayant fixé à cette date la discussion des crédits du Maroc. La session ordinaire de 1910 s'ouvrira le mardi il janvier. •̃̃̃̃̃ Le Crédit maritime. Le Conseil s'est occupé des" uii^soitS'deeoMStit'Uorla dotation du Crédit maritime dont le Parlement a récemment décidé l'institution.. Parmi les moyens possibles, le président du Conseil a suggéré un prélèvement sur le produit des jeux dans les casinos des stations thermales. Lesnai'irrs déclassés. Le Conseil a dé-cidé la création d'une commission interministérielle chargée d'étudier les moyens propres à améliorer les conditions de vente des navires déclassés. Mouvement administratif. Le président du Conseil a fait signer un mouvement administratif ayant pour point de départ la vacance de la sous-préfecture de Montbrison dont le titnlaire, M. Louis David, est appelé à d'autres fonctions. Par ce décret, sont nommés Smis-préfels. Tr> Montimson 1" M. sous-pivfet de Saint-Claude'; do SaintClaude ?.' classe, M. Brossût,- sous-pivfY-l, de classe à Louhans de Louhans classé, M, Vigoureux, Rf> général de la Lozère i.'i" classe de Calvi 3* classe;, M. Vernin, pnbliciste; de Saint-Girons . classe'. M. Sibra, secrétaire général du Tarn classe de la Haule-Loire '2' classe1, M. Ortoli, sous-préfet de 3" classe u Calvi de l'Ain '̃!• classe M. Baudet -Va rennes, sous-préfet de classe,' ;i Saint-Girons du Tarn M* classe*, M. Parti", secrétaire général de l'Ain S' classe. M. Coinbcs ù la Chamlire M. Combes est venu cueillir hier des lauriers dans les couloirs. Depuis sa chute, c'est-à-dire depuis 190a, l'ancien président du Conseil n'avait pas reparu au Palais-Bourbon.. Il a été naturellement fort entouré. Et comme dans un corn de la salle des conférences il avait, engagé avec M. Jaurès une controverse, sur la R. P., il y eut iientôt de nombreux députés autour des deux interlo-èutpurs. Le débat se poursuivit assez longtemps. Très courtois, fort aimable, M. Jaurès s'efforçait de démontrer à son adversaire l'excellence de la réforme électorale. Un peu aigre, M. Combes se refusait a accepter ses raisons. Mais il distribuait des poignées de main, il avait le sourire engageant. Cette comédie cessa vers cinq heures. M. entouré de quelques amis traversa la salle des Pas-Perdus, peu animée à ce moment, et où sa présence ne produisit pas la sensation espérée. L'impôt sur Je revenu Quel sern, .demain, le sort des commerçants et des industriels si le principe de l'impôt personnel sitr le revenu se trouve consacré, par le Sénat? Les intéressés s'en rendent difficilement compte, tant est. touffu et com- pliqué dans le projet de loi actuellement pendant devant la haute assemblée? '? Peu de gens se doutent de l'immense bon- ] leversement qu'apporterait dans nos lois et J dans nos mœurs l'adoption du principe de l'impôt personnel sur le revenu, au. -lieu et place de l'impôt réel, c'est-à-dire portant sur s les choses mêmes du commerce et de l'in- dustrîe, tel qu'il existe aujourd'hui. S'ils veulent le savoir, qu'ils lisent la nou- voile brochure -de propagande, dédiée aux T l,8"iO,W patentés de France », que publie la t Fédération . la défense des con- c tribuables contre le, projet d'impôt sur le re- c venu. 63, rue de Provence!, présidée par M. f Jules Roche. j Sous une forme simple et familière, mais i claire et précise, cette brochure leur montrera les conséquences de la prétendue ré- t forme démocratique » qu'on leur présente. Ils seront indignés et épouvantés qu'une I assemblée parlementaire ait pu voter une lé- c gislation qui consacre aussi complètement la c mainmise de l'administration sur le contri- ç buablc. Club de France, donnait le départ à l'aviateur, tandis que la foule cinq à six cents personnes lui riait ses souhaits, l'acclamait et l'applaudissait, profondément impressionnée. Le départ fut parfait l'aéroplane s'enleva rapidement, s'éleva vivement à trente mètres de haut, traversa la vallée du Lucette et de la Chalouette, et disparut aux yeux des spectateurs, cependant que s'élançaient à sa poursuite plusieurs automobiles, dont une occupée par des mécaniciens de secours en cas d'atterrissage le prix du Voyage de l'Aéro-Club de France pouvait en effet être accompli avec escales/ Et comme Je temps passait, passait, avec joie, on croyait déjà à Etampes au succès de la tentative, quand, à onze heures, M. Jacques de Lesseps arrivait, rainent"' en automobile, et portant an nez une légère blessure. Au milieu de l'émo- lion générale, il conta son échoc, son at- terrissage dans un champ à six kitomè- Ires du départ, près de' Ville-Sauvage, son sau>t par-dessus utviakis et-im buis- *son, l'arrêt brusque, le bris du chariot *et celui de l'hélice, et, ayant ainsi rassura ses amis, il partit pour Paris en automobile. Je partis fort bien, me conte. M, Jacques de Lesseps, mais moins bien que d'habitude. Je sentis tout de suite' que mon moteur ne donnait pas tout ce qu'il pouvait; j'allais moins vite..Mais je m'étais envolé, mon appareil obéissait, il montait doucement et j'eus quand même l'espoir du succès. J'abordais ainsi la vallée d'Etampc's, assez profonde, .volant à une hauteur de "80 à 100 mètres peut-être, et j'arrivais' sur l'autre versant, lorsque j'eus l'impression que je descendais. Je crus d'alîord à une illusion d'optique due à la colline vers laquelle je me dirigeais, mais, quoique mon moteur n'eût aucun raté, il fallut bien me rendre à l'évidence je descendais, et descendais même très vite, si vite. qu'il me fallut arriver tout de suite à l'atterrissage. J'étais tout près du sol, et allais droit sur un talus. Je vis le danger je donnai un violent coup d'élévateur. en tirant à fond sur moi la cloche 1. Cette manoeuvre me réussit, et mon aéroplane sauta littéralement l'obstacle il le sauta comme un cheval qu'on enlève. De l'autre côté du talus, je butai assez rudement, mais sans aucun capolage; j'étais venu violemment à terre sur le chariot, qui se brisait dans le choc. Ce fut la forte émotion ? Non, la forte déception J'avais tant d'espoir! Je ne puis d'ailleurs m'expliquer la défaillance de mon moteur j'ai fait une enquête, et je me demande si cette défaillance ne serait pas diie à l'essence ? Ce n'est pas celle dont je me sers d'ordinaire. Je vais vérifier, la faire peser, alors tout s'expliquerait, et la prochaine fois je 'prendrai plus de précautions, car je ne suis nullement découragé, vous le pensez bien. Déçu,- naturellement, mais j'avais été si heureux jusqu'ici! Je me suis au surplus tiré à bon compte de l'incident, une écorchure banale au nez; j'ai à l'atterrissage cogné de la figure contre une traverse un rien. Aussitôt que mon appareil sera guéri, je recommencerai. » Dans le choc, le monoplan a été, en effet, quelque peu endommagé les roues d'avant, le chariot et l'hélice ont été b ri-; sés, ce qui demandera deux ou trois jours de réparations, pas plus. Avant la fin de la semaine, M. de L'es- seps renouvellera donc sa tentative. Frantz-Reichel. AFFAIRES MILITAIRES Promotions de généraux. Sont nom-» mes. • Généraux de division les généraux de bris-ada de Castelnau, Boëlle, cle Mas-Latrie, Roques- Généraux de brigade les colonels Réveillât, hellier, Jacquin, Bouchard, de Villaret, Gyves, verrier, Curé, Leleu, Cussac, .Rstève infanterie; Biidoux cavalerie; Grillo, Ducasse artillerie; Capiomont, Simoutre génie; Bataille infanterie coloniale; Au grade d'intendant militaire les sous-intendants de 1 de Polytechnique, il en sortit dans l'arme du génie. Brigadier en 1900, le général Roques était, depuis cette époque, directeur du génie au ministère de la guerre. LA JOURNÉE Parlement Au Sénat, séance publique, 2 h. 1/2 les retraites ouvrières. A la Chambre des députés, séances à 9 heures et à 2 heures suite de la discussion du budget. Anniversaires S. A. S. • la princesse Hélène de Waldeck-Pyrmont. Obsèques M. Joseph Pellat église SaintSulpiee midi. Commandant Moniils église Saint-Ferdinand des Ternes, 10 h. 1/^. M. Kdouard Brissaud église Saint-Germain-des-Prés, 9 h. 3/4ï. Cours et conférences Ecole des hautes études sociales M. Verrier les Pays Scandinaves » 16, rue de la Sorbohhe, 4 h. -J/4\ Collège libre des sciences sociales M. l'abbé Naudel l'Eglise catholique et la Renaissance » 2S, rue Serpente, 4 h. 1/3'. Union des Femmes de France M. le docteur Le Noir l'Air » 29, .Cnaussée-d'Antin, 4 heures. Infopçiations La vente des immeubles Osiris M. Osiris avait, on le sait, légué à l'Institut Pasteur, en même temps que sa fortune, les immeubles qu'il possédait rue La Bruyère. Ces immeubles, sis aux numéros d, 11, 15 et 17 de la dite rue, seront vendus le 19 janvier prochain, en l'audience des criées du Tribunal de la Seine, aux » requête, poursuite et diligence, dit » l'acte, de M. Denys Cochin, député de » Paris, agissant au nom et comme tré» sorier de l'Institut Pasteur ». M.' Denys Coehin avait été, en effet, nommé à cette fonction par délibération du conseil de l'Institut Pasteur. et il a ̃été autorise par décret du Président de la République, en date du 24 mai dernier, à ces fins. L'immeuble portant le numéro 9 de la rue ïia Bruyère n'est autre que l'ancien hôtel qu'habitait M. Osiris. Sa mise à prix est de 70,000 francs. Les trois autres immeubles sont mis à prix le numéro 11, soixante-dix mille -francs le numéro 15, trois cent cinquante mille francs et le numéro 17,. deux cent mille francs. Total des mises,- à prix pour les quatre immeubles 690 mille francs. -,• Juges consulaires Hier ont eu lieu les élections pô'trr le renouvellement du Tribunal de eoM- i. La cloche est, Je monoplan Blfrriot, loi-gant' qui connhahde à la fuis, par deux ïiiouv,-iii€-nts loi-t simples et aecoutilés, la haute"ur et PeuHibiv. ̃̃ merce de la Seine. Les électeurs se sont présentés en très petit nombre pour prendre part au scrutin, et dans certaines mairies la formation du bureau électoral a été^ faute d'électeurs particulièrement laborieuse. Les électrices consulaires, qui au début mettaient une certaine coquetterie à venir exercer leurs droits électoraux, ont montré la même indifférence que les électeurs et se sont pour la plupart abstenues. Ont-été' élus Onze juges titulaires pour deux ans MM. Petit, appareils pour la. marine; Douin, lithographie; Anthoine, poterie d'étâin; Cor- mier, grains et farines Maufroy, chemise- rie; Rosenbaum, chiffons en gros; Marlaud, travaux publics Gallin, papeterie-registres Carre, bijouterie-orfèvrerie Israël, couverture et plomberie Lecreux, marbrerie. Un juge suppléant pour un an M. Holzsehueh", industrie hôtelière. Dix juges suppléants pour deux ans MM. ̃"Vignaï, lithographie; Troullier, lingerie en gros; Ressiga, fumisterie Carpentier, banquier Jahan constructions mécaniques » Ménétrier, produits chimiques L. Chevreau, caoutchouc; G. Berger, négociant-commissionnaire E. Bert, agents de brevets d'invention E. Besson, laines en gros. Nominations Par arrêté ministériel M. Victor Mil,let, architecte diplômé, est nommé architecte de la maison centrale de Melun. Le duel Maurras-Canillo M. Gomez Cahillo, dans le Liberal, de Madrid, avait articulé que dans une précédente rencontre notre confrère, M. Charles Maurras, avait fait choix d'un adversaire, inférieur. ̃ Notre confrère de l'Action française, juger offensé par cette accusation, mais désireux de rétablir la vérité, opposa un démenti formel à cette allé- gation. M. Gomez Canillo, jugeant injurieux les termes du démenti, constitua comme témoins MM. d'Albuquerque et Marinftlli. Ceux de M.. Maurras, MM. Henry de Bruehard et Lucien Moreau, se refusérent a les atténuer. Une rencontre, jugée inévitable a eu lieu hier matin, à l'épée, à la Grande Roue.. ̃ Des amis de. M. Charles Maurras et des a,mis de M. Gomez Canillo assistaient au duel. M. Gomez Canillo est un escrimeur distingué. Dès l' allez messieurs,» prononcé par. notre distingué confrère, M. llouzier-Dorcières, directeur du combat, sa supériorité se manifesta. Maurras, beaucoup moins expérimenté, se montra fort courageux. A la deuxième reprise, après un engagement des plus vit's, il fut atteint au bras, après battement, par M. Gomez Canillo à deux centimètres environ de la hlessure qu'il reçut dans sa récente rencontre. Sur l'avis-des médecins, MM. les docteurs Vivier et Gottschalk, déclarant que M. Maurras se trouvait en état d'infériorité manifeste, les témoins mirent fin au combat. Pour le cheval > La Ligue de protection du cheval informe tous ses souscripteurs qu'elle tient à leur disposition des cartes de membres. Envoyer- les* noms' et adresses nécessaires à M. A. Falize, trésorier, 0, rue d'Antin. Exposition Aujourd'hui a eu lieu a la galerie Bernlieim Jeune l'inauguration de l'exposition de la Soc-iété coloniale des artistes français, par M. Dujardin-Beaumetz, sous-secrétaire d'Etat aux beauxarts. Ce dernier a été reçu par MM. Louis Dumoulin, Jean Béraùd, Léon Ruffe et Gaston Bernheim jeunè, trésorier de la Société. Ccl'.e jeune Société compte déjà cent ,quarante membres, et elle a été dotée d'un prix annuel de mille francs, par M. Merlaud-Ponty, gouverneur général de l'Afrique occidentale. Des dons ont été reçus, entre autres de M. le résident général de la Tunisie, et M. le gouverneur général de la Martinique. Parmi les artistes, on remarque une série d'œuvres des peintres A. Besnard, Chudant, Cormon, Rousseau, etc. Le Président de la République, qui devait inaugurer cette exposition, s'est fait excuser en raison de la mort du roi des ̃"Belges. ̃ La haine des arbres Il y a quelques jours il était question de déboiser la forêt de Saint-Germain. Ceux qui ont gardé le culte des bois s'en émurent. Leurs craintes eurent leurs échos jusqu'à la tribune de la Chambre. M. le ministre de l'agriculture apaisa toutes les. inquiétudes en déclarant qu'il ne serait pas touché à un seul des beaux arbres de cette- forêt. Aujourd'hui, plusieurs propriétaires songent il vendre une partie de la forêt de Montmorency. Déjà des hectares de terrain ont été déboisés et les effets ne se sont pas fait attendre. Partout, le génie militaire et l'administration des ponts et chaussées ont constaté que des éboulements s'étaient produits, transformant fâcheusement les plus beaux sites de la forêt. Aussi ont-ils décidé de s'opposer désormais à toute vente qui serait faite en vue du déboisement. Il est, en effet, désastreux que l'on abatte de vieux arbres séculaires. Le génie militaire invoque des raisons stratégiques qu'il nous soit permis d'invoquer des raisons d'esthétique et d'hygiène. A la Société de géographie commerciale La dixième assemblée générale de la Société de géographie commerciale a eu lieu ce soir, dans l'hôtel de la Société de géographie, sous la présidence de M. Charles Legrand, président de la Chambre de commerce, assisté de MM. Lahovary, ministre de Roumanie des généraux Dodds et Lasserre, du colonel Detrie, de MM. de Leymarie, Aspe-Keurimont, Tignole, etc. Au cours de dette réunion, M. Paul Labbé a fait une fort intéressante conférenée sur le développement économique de la Roumanie, où il vient de faire un voyage récemment. Jean de Paris. AVIS DIVEES Enlevez naturellement les points noirs de votre l'AXTI-BuLBOS de la. ParJ'umei' ie e xotif%-e,Q'ô,v. du 4~>Septembre, qui res- serre répiéeriaeetluÎEendblaneheuret netteté. LES COLONIES Dans l'Êxtrônhe-Sud ôrahâis Colomb-Béchar, 21 décembre. C'est à 68 kilomètres de Ghemiles, entre le Soudan, le Tafilalet et le Touat que s'engagea le 9 décembre le combat entre les méharistes du capitaine Cancel et un important rezzou, comprenant les gens des tribus nomades des OuladDjerir et des Ouibénia, qui se dirigeait vers Taoudenib, .où il devait opérer sa jonctionavec le marabout Si-Abidin. La rencontre fut acharnée et ne se termina qu'à la nuit close par la déroute du rezzou. Malheureusement on. confirme la mort d'un officier, le lieutenant Lapeyre, quia été tué après avoir vaillamment combattu. A L'HOTEL DE VILLE LES TRANSPORTS EN COMMUN Le Conseil municipal, réuni en comité de budget et présidé par M. Chassaigno-Goyon, a décidé hier que 1 exploitation des tramways municipaux rétrocédes par la Ville de Paris et celle des omnibus concédée par elle, devront être assurées par une seule et même société. La motion, après un brillant discours de M. Duval-Arnould, rapporteur, et de nombrenses interventions de conseillers, a été adoptée à là-presque unanimité des votants. La jonction est faite. Un nouveau concours va .avoir lieu, Janville. ^^vy^.jf– La Mort de Mme Goûin M. Albanel, juge d'instruction, a mande hier M. Bertillon et le docteur Balthazard. Il leur a remis, aux fins d'examen, le rideau arraché du compartiment où se trouvait Mme Goiiin, le chapeau et Je voile de la victime. Il est probable que les experts feront connaître dès aujourd'hui le résultat de leurs recherches. Mais déjà on affirme que le rideau porte la trace d'une large main sanglante. Il est sage d'attendre pendant vinet-quatre heures les précisions qu'apportera M. Berlillon. Disons toutefois que l'hypothèse du crime, qui semblait abandonnée, paraît réprise par les magistrats et les agents. M. Pailliet, chef de la brigade mobile, a conféré hier avec MM. Bertillon et Balthazard. Il va s'occuper de rechercher ceux des voyageurs qui, s'étant trouvés dans le wagon où était Mme Goiiin, ne se sont pasfait connaître. On raconte qu'à plusieurs reprises, Mme Goliin et sa fille, revenant de Fontainebleau oit elles allaient fréquemment, avaient remarqué des individus suspects, pénétrant dans le wagon à contre-voie. Gazette des Tribunaux COUR D'ASSISES DE LA SEINE Un assassinat en \vagon,_ Si jamais un assassin paraissait n'avoir aucune excuse, ne mériter aucune circonstance atténuante, aucune pitié, c'est bien Abel Leblanc qui semblait avoir longuement prémédité son abominable forfait. Les jurés lui ont pourtant accordé des circonstances atténuantes et ils ont déclaré qu'il avait agi sans préméditation. Son avocat, M" Gliâtenet, avait avec talent présenté pour lui une pathétique défense qui entraîna la pitié du jury, et ce n'était point facile. Il représenta son client comme une victime d'une éducation trop faible, comme un fils dévoué, assassinant et volant pour envoyer de l'argent àsa mère pauvre. C'était peutêtre un bon fils, mais c'était en tout cas un redoutable compagnon de voyage. La plaidoirie émut cependant le jury qui ne voulut pas prononcer la peine capitale. Et s'il faut en croire les bruits de couloirs, les jurés auraient même désiré ne prononcer qu'une condamnation assez légère. Trois fois ils firent appeler en Chambre du conseil le président, l'avocat général et le défenseur trois fois cela semble être aujourd'hui le nombre ordinaire de ces petites visites de magistrats que réclament les jurés. Ils auraient mûme demandé au président quel-moyen employer pour ne prononcer contre Leblanc qu'une peine de quelques années de réclusion. Ils auraient pu, pour cela, répondre non à la question aggravante de vol ayant suivi le crime; ils ne l'ont point fait cependant; c'eût été par trop paradoxal ils n'ont écarté que la préméditation et ils ont accordé des circonstances atté- nuantes. M°Châtenet nous apporte à l'audience un écho de ces hésitations des jurés; prenant la parole sur l'application de la peine, il demande à la Cour de ne pas prononcer de peine perpétuelle, le jury ayant semblé, dit-il, ne désirer qu'une peine temporaire. La Cour se retire pour délibérer. Abel Leblanc paraît tout heureux d'avoir échappé à la peine de mort. 11 sourit. Il s'entretient avec son défenseur, avec M. Desmoulins. Le public, les avocats s'approchent de lui, essayent d'écouter ses dernières paroles. Que dit-il ? Il parle de médecins légistes, dit à côté de moi un avocat en robe. 11 les juge et il les blâme. Et savez-vous même ce que j'ai entendu, c'est à peine crqyabl3? II parlait du docteur Roubinowitch qui l'avait déclaré responsable, et il disait de lui en souriant Cet homme-la est plus dangereux que moi » Leblanc ne se doute pas que le jury a été fort indulgent. La Cour rentre en séance et, comme on pouvait s'y attendre, condamne Leblanc aux travaux forcés à perpétuité. M° Willard, avocat de la partie civile, obtient la restitution des 7,000 francs dérobés qu'il réclamait au nom des héritiers de la victime.. ̃•̃•̃••;̃ COUR D'APPEL Chambre des appels correc- tionnels L'affaire Marix.' Hier ont continué, toute l'audience, les débats de l'affaire Marix devant la Cour. Autant le capitaine Marix était sombre. silencieux, déprimé devant le Tribunal, autant il était hier alerte, jovial nu-me. protestait de. son innocence. en roulant de grosses larmes dans ses yeux; maintenant, il crie, clame son innocence, émaillant sa défense pour lut 'i donner sans doute doute plus de vigueur de noms d'un chien » tout,à fait pittoresques. L'accusation lui reproche d'avoir, par l'intermédiaire d'un coureur cycliste, nommé Sérès, obtenu de-l'argent en faisant croire qu'il pouvait faire accorder des faveurs, grâces, remises de peine ou dispenses pour le service militaire. La défense de Marix est bien simple Sérès est un escroc peut-être, il a d'ailleurs été condamné et n'a point fait appel, mais jamais il n'a été le rabatteur » de Marix. Mais vous le voyiez souvent ? demande le président M. Courot. Certes, mais Sérès était' des plus inintelligents. Dire qu'il était mon racoleur c'est puéril. Moi, qui ai connu des escrocs de haute volée, j'aurais pu avoir des racoleurs splendidés. et je serais allé prendre cet individu au bas de l'échelle sociale, dans la boue, dans la fange. Sérès, on le sait, avait fait valoir auprès de M. Sierra de Luna les hautes relations du capitaine Marix, capables de faire obtenir la grâce de Mme de Luna et celles de bien d'autres personnes, Manœuvre d'escroquerie de la part de Sérès, répond Marix, auxquelles il serait, lui, resté tout à fait étranger. Avec Sérès un œuf devient un boeuf, et un bœuf une montagne. C'est ainsi qu'il a rencontré dans mon bureau mon ami, M. Tattegrain, chef du cabinet de la commission des grâces. Et le lendemain, Sérès disait Tissier » totit court. Moi, je n'ai jamais voulu voir, jamais connaître M. Tissier, président de la commission des grâces. Mon ami Fernand, fils de M. Gervais, sénateur, voulait me présenter à lui, j'ai toujours re- fus'1, car il était mon chef, et je ne voulais pas avoir de bonnes notes grâce à la protection de mes chefs. Et Marix s'anime, s'agite, gesticule, s'irrite, il lance au hasard des débats des noms d'hommes politiques Si j'avais voulu trafiquer, j'aurais corn1 meuce par me mettre en rapport avec M. Tissior. Si j'avais voulu obtenir des grâces, des faveurs, j'y serais arrivé. Je connaissais tant de gens, ai obligé tant de monde, connu tant d'hommes politiques. Et, connaissant tout cela, Sérès se serait servi du nom de Marix pour faire des dupes. La thèse du capitaine est fort simple le premier coupable aurait été M. Sierra de Luna qui, avec Sérès, aurait abusé de son nom, et lorsqu'il fut soupçonné, il accusa Marix. -Il fallait l'arrêter, l'enserrer dans les Mets s do la justice, et quand on est dans ses mailles, fait Marix avec un sourire, on y est bien, je vous assure, monsieur le président. M. de Luna, au contraire, prétend que, dans votre bureau, il vous a entendu lui demander de l'argent pour obtenir une grâce? Je ne sais même pas s'il est venu dans mon bureau. Il y venait un monde énorme, car j'appartiens'à dix ateliers maçonniques. Ce n'est pas mon bureau, nom d'un chien que j'aurais choisi pour tenir de pareils propos Et le débat devient très vif. Marix attaque avec la dernière violence le témoignage de M. Sierra de Luna, dont la .femme a été condamnée pour escroquerie au mariage. Accusé, président, -conseiller -rapporteur; ̃ avocat- général; défenseur, tout le monde parle en même temps. Intarissable, Marix continue toujours si on oppose a ses dires la déclaration écrite d'un témoin devant le juged'instruction, ila, lui, ancien conseiller rapporteur près le Conseil de guerre, cette réponse pittoresque '̃ Je suis juge d'instruction depuis huit ans, je sais très bien que ce qu'on écrit n'est pas ce qui se passe. Ce qui se passe n'est pas fixable. Et pour finir, il a un mot qui pour lui résume toute sa défense et qu'il adresse presque familièrement au président, eu souriant Vous m'écoutez bien, vous me suivez bien, n'est-ce pas, monsieur le président Si j'avais agi comme, on me le reproche, je serais un imbécile, et vous savez que je ne le suis pas précisément. La Cour avait fait citer des témoins. Leurs dépositions n'apportèrent pas grands éclaircissements aux débats, mais donnèrent lieu a quelques confronta- tions assez'orageuses. Tout d'abord une dame Bonne'fain, originaire de l'île Maurice, et qui fut un certain temps pensionnaire des époux Sierra de Luna, vient dire qu'elle fut leur victime. On l'avait attirée pour un mariage* Mais vous étiez déjà mariée, lui dit le président. Oh! religieusement; cela n'empêche pas le mariage civil. Et elle aurait remis des fonds aux époux de Luna, qui en auraient aussi soutiré à un certain de Fly pour lui faire obtenir une grâce. Immédiatement, Me de Moro-Giafferi se lève, et, au nom des époux Sierra de Luna, demande qu'on lui donne acte de la déposition de Mme Bonnefain. Puis M. Sierra de Luna s'avance à la barre. Il proteste contre la déposition du témoin avec une énergie que souligne encore son accent castillan Jamais je n'ai reçu d'argent de cette dame. Si ̃ -r- Non Jamais je n'ai reçu d'argent de de Fly. Si • Non A quelle date? En janvier, répond Mme Bonnefain. En janvier, je ne voyais pas de Fly. Quand on ment, il faut savoir mentir l M. Sierra de Luna s'anime, On m'attaque, je veux me disculper. Faites une enquête, une instruction; et si j'ai commis un faux témoignage, arrêtezmoi On n'arrêtera personne, on ne fera point d'enquête. Les confrontatiens en justice ne donnent d'ailleurs presque jamais de résultai. On s'attaque, on s'insulte, on se traite réciproquement de menteur, de faux témoins, et finalement chacun va s'asseoir. Vous n'êtes pas d'accord », disait jadis un président d'Assises à deux témoins qui s'étaient tous deux dit Vous mentez ». Après l'audition de Mlle Chauvet et de M. Roger qui viennent témoigner au sujet dés faits reprochés à l'agent d'affaires Grenier, Me de Monzie commence sa plaidoirie pour le capitaine Marix. Les débats continueront t huitaine. ">̃ ̃ Geôles Claratie. Nouve1les^JiveP8e& AU BA2AR DÉ L'HOTEL-bÈ-\ÏIXÉ Les manifestants commencent à se lasser. Ils se sont réunis et ont décidé qu'il fallait que l'agitation* prît fin, ou que de rigoureuses représailles soient organisées. Mais avant d'ouvrir les vraie$ hostilités, ils ont envoyé à M. Ruel la lettre suivante Monsieur, Nous vous informons qu'une délégation de notre syndicat se présentera aujourd'hui, à Votre bureau, 1">, rue la Verrerie, h trois heures de l'après-midi, pour vous entretenir du conflit qui existe entre vous et votre personnel. Il nous est apparu que, dans les circonstances présentes, il est nécessaire de tenter une suprême démarche pour vous demander d'accorder satisfaction aux desiderata qui vous ont été exposés antérieurement. Nous appelons votre attention sur ce fait, qu'un refus de votre part le nous entendre ne pourrait que faire assumer à la direction du bazar de l'Hôtel-de-Ville la responsabilité des événements qui pourront s'ensuivre. Veuillez agréer, monsieur, l'expression de nos sentiments distingues. Lcs secsvtavres Les secrétaires Bopkciion-, Gogumus, Renaudel. M. Ruel, obéissant en cela aux décisions du conseil d'administration, ne s'est pas laissé intimider et a refusé de recevoir la délégation. Dans les milieux syndicalistes, on annonce pour vendredi soir une grande manifesta- tion ». DU DOCTEUR M. BoUcard avait convoqué hier à son cabinet le docteur Ratel, contre qui Mlle Hélène B. a porté l'accusation qu'on connaît. Jl lui a communiqué le rapport des docteurs Ballot, Vallon et Brissand, déclarant que Mlle B. peut être très facilement hypnotisée. Le docteur Ratel a répondu en protestant de nouveau de son innocence. TENTATIVE DE SUICIDE DE GUBATA Le pseudo- comte de Gubàla, condamné récemment pour escroquerie, a tenté hier de' se suicider dans sa prison. 11 s'était pendu à l'aide de ses bretelles. On est intérvenu à temps et il est maintenant l'objet d'une surveillance spéciale. EXCAVATION BOULEVARD MONTMARTRE Un omnibus de la ligne Madeleine-Bastille avait accroché hier matin et culbuté un candélabre à gaz au coin du boulevard Montmartre. Dans l'après-midi la Compagnie du gaz, prévenue, envoya une équipe pour réparer le dégât. Mais, au premier coup de pioche, les ouvriers eurent la surprise de voir l'asphalte s'effondrer sur une surface de deux mètres et demi et se creuser un trou profond de trois mètres. Aucuns travaux de voirie ne se faisant dans le voisinage immédiat, on ne s'explique pas d'où provient cette brusque excavation autour de laquelle se sont arrêtés toute lajournée une foule de curieug. 300,000 -FRANCS DE PERLES VOLÉES Il v a quelque temps, Mme S. courtière en diamants, très connue et très estimée sur la place de Paris, montait dans le tramway Ouamp-de-Mars Place Pcreire. Près d'elle vint s'asseoir une dame en deuil, d'aspect sympathique, qui causa avec elle et descendit avant la station terminus, Peu après, Mme S. s'apercevait qu'on avait fendu sa robe et qu'on lui avait volé pour 300,00p francs de perles qu'elle portait dans une poche de dessous. Elle déposa une plainte, naturellement. Ces jours-ci plusieurs négociants furent étonnés de se voir offrir à des prix très minimes de fort belles perles qui valaient beaucoup plus. M. Hamard, chef de là Sûreté, informé ̃ do "eetto- particularité, ouvrit une enquête et sut que ces perles provenaient d'une veuve Germain, née Cécile Delaplace, âgée de cinquaute ans, demeurant à Neuilly. Une perquisition opérée cher cette femme a fait découvrir un stock do perles cachées dans un bréviaire, transformé en boite en creusant le milieu des pages. Arrêtée, elle a prétendu qu'elle était, la lille d'un président sud-américain et que ces perles lui avaient été offertes jadis par un prince indien, son fiancé, Elle a été envoyée au Dépôt. POUR NOËL ET LE NOUVEL AN Les personnes en qvuUo de cadeaux de Noël et de nouvel an trouveront aux Grands Magasins Dufayel le plus grand choix d'articles de bijouterie, joaillerie, orfèvrerie, horlogerie, bronzes, marbrés, petits meubles, tableaux, gravures, porcelaines et cristaux, maroquinerie, gainerie, éventails, sachets à mouchoirs, voitures d'enfants, chevaux mécaniques, jouets scientifiques, etc. Tous les jours, sauf les dimanches, concert, cinématographe et five o'clock tea. UNE PLAINTE Le comte Mattalchieh était en relations d'affaires avec un banquier parisien qu'il avait chargé de diverses spéculations. Hier, ce banquier était convoqué au cabinet de M. Ducasse, juge d'instruction, qui lui annonçait que M-'Sekendorf, se disant fondé de pouvoir du comte Mattatchich, avait déposé contre lui un plainte en abus de confiance. Le banquier a répliqué que toutes ses opérations avaient été faites régulièrement pt qu'au surplus, M. Sekendorf n'avait aucune qualité réelle pour agir an nom du comte. L'affaire en est la. Une enquête va être faite. ENCORE DES TABLEAUX TROUVÉS M. le docteur Pitois, rue Gay-Lussae, a trouvé hier soir, à six heures, dans une vespasienne du jardin des Tuileries, en face du pavillon de Marsan, un rouleau contenant deux petits tableaux et deux de 1 mètre sur 1H0, Les deux tableautins représentent des vaches à la mare », signé Martinet, et les Offrandes » signé Coureaumon. Les deux plus grands, une marine et une scène champêtre, sans signature. Ces deux tableaux semblent anciens. DÉPARTEMENTS î,' ATTESTAT DE Bourges. A la suite du coup de pistolet, chargé de chevrotines, tiré sur un groupe d'élèves de l'Ecole normale d'instituteurs, la police a arrêté un jeune ouvrier tailleur, âgé de dix-huit ans, nommé Marcel jusqu'ici les charges relevées contre lui ne semblent pas être très sérieuses. j. M! LE CRIME DE JUIXY Tonnerre. Aujourd'hui a eu lieu, à la mairie de Ravières, la remise solennelle des médailles d'honneur du jeune Imbert, le rescapé du massacre de Jully, et de M. Lechthaler, qui arrêta les assassins. La cérémonie a été présidée par le préfet de l'Yonne. On s'est, d'autre part, aperçu qu'après le crime le livre de comptabilité du fermier 'Verrières avait disparu. Or, sur ce livre était noté un prêt de deuxrhille francs fait par la victime. Plainte a été portée à ce sujet, par le tuteur des enfants Verrières. Au Parquet de Tonnerre qui a fait aujourd'hui une enquête à la ferme du château et à Jully, on croit que non seulement le livre mais encore des_ lettres ont été brûlés par une personne qui aurait pénétré dans la ferme après le crime. ARRESTATION DIFFICILE Evreux. Hier matin. les gendarmes se présentaient chez un nommé Georges Pottier, journalier aux. Minières, pour l'arrêter, à la suite de plusieurs vois Je. .tira sur eux un coii}*> de fusil, qui blessa grièvement à la cuisse le gendarme Leroux et atteignit également le brigadier Foucher et un autre gendarme. Aidés par des habitants de l'endroit, ils se jetèrent sur le forcené et s'en rendirent maîtres. Le gendarma Leroux sera proposé au ministre de la guerre pour une récompense. Argus. LES THÉÂTRES ̃Â la Por4e-Saint [ Quel duo. tendre et magnifique nous ̃jouoroiit ces doux admirables âî'tisfcs M. Jules Leitner fera valoir sa diction si pure, sa composition si nette, dans'le rôle de Merculio. M. Penoux ne peut "manquer d'être un Tybalt fougueux et superbe. Et M. sera un Frère Laurent très impressionnant. Les autres rôles seront tenus par MM Albert Lambert père, .Volny et Mme Jeanne Brin- deau. •'̃ ̃̃ Le drame de Shakespeare sera, pour la première fois », accompagné et, on ̃peut le dire, embelli par des fragments de la symphonie Roméo' et Juliette, d'Hector Berlioz le prologue et les entr'actes,' orchestre etchœurs, et c'est j là une très neuve, une très belle, une très grande tentative, où se trouveront unis, 'dans un fraternel élan de beauté, ces deux immenses génies, si souvent égaux, Shakespeare et Berlioz Pour clore cette belle série de spectacles d'art,. on montera. Patrie, le chefd'œuvre du regretté maître Victorien Sardou,' dont, il n'y a pas trois de Monte-Carlo a créé, avec un succès immense, Thêodora, musique de M. Xavier Leroux. Patrie est non seulement un drame puissant, le plus noble et le plus émouvant à côté de la [}aine de Victorien Sardou c'est aussi une reconstitution d'histoire qui-exige, à la fois, une mise en scène somptueuse et scrupuleusement documentée. Le prestigieux décorateur, M. Visconti, qui, d ailleurs, a brossé pour tous ces spectacles des décors nouveaux, s'est attaché avec 1 passion à interpréter Patrie le plus ma- l gnifiquement possible il s'y est surpassé. Les sept décors qu'il a imaginés sont sept merveilles, j'allais dire les sept merveilles du monde. Je ne crains guère do m'aventurer en affirmant, d ores et déjà, que Patrie n'a jamais, nulle part, rencontré des décors qui l'encadrent aussi exactement, aussi splendidement. Les principaux rôles seront tenus par MM. Albert Lambert fils, Paul Mounet, Jules Loitner, Jacques Fenoux, Ravet, Mmes Delvair, Géniat, et par MM. Albert Lambert père, 'Volny, et Mme Jeanne Brindeau. , ,Jf, Un tel programme n'a besoin de nul commentaire Par le choix des œuvres et des interprètes, par la beauté des décors et des costumes, tous réalisés spécialement pour ces représentations, et avec le plus artistique souci de reconstitutions fidèles et totales, par l'indiscutable perfection des exécutions symphoniques qui, sous la, direction de M. Léon Jehin, enlumineront la plupart de ces pièces, il est évident, d'avance, qu'il y a là une suite de soirées d'art les plus rares qu'on puisse souhaiter, non seulement pour le plaisir des spectateurs, mais aussi pour la plus parfaite traduction scénique des œuvres. Les artistes de la Comédie-Française ne s'absentent de Paris qu'avec des congés réguliers, et selon les exigences et la marche des spectacles de leur théâtre. Il est heureux que ces exigences leur permettent toutefois devenir augmenter de leur talent et de leur renommée la beauté des manifestations artistiques qui se préparent. Lorsqu'il s'agit, comme c'est ici le cas, de représentations les plus belles du monde, et comme le théâtre de Monte-Carlo a coutume d'en donner, l'éclat en rejaillit sur; l'illustre Maison de Molière qui perpétue -sa noble tradition de faire triompher les plus beaux cliefs-d'œuvre, son patrimoine sans égal. Elle sert leur gloire et sa gloire s'en accroît. J. Darthenay. COURRIER DES THÉÂTRES Aujourd'hui A la Renaissance, à- 4 h. 1/2 7e Matinée de' la Parisienne, Variations sur la Mode », causerie de Mme Marthe Régnier les derniers modèles de la Mode parisienne seront présentés par de jolies Parisiennes. Auditions de Mme Laute-Brun, do. l'Opéra; Mlle Maille, de la Comédie-Française M. Henri Albers, Mlle Lucy Vauthrïn, de FOpéra-Comique.; Mlles Félyne, Ariette Dorgère, Augusta Pouget, H. Grenct-Dancourt, M. Pierre Juvenet et la belle Isis dans ses danses antiques. Première représentation de la Robe, saynète de M. Auguste Germain, jouée par M. Baillet, de la Comédie-Française, et Mlle Mireille Corbé. -.•••• Prix des places 0 fr. 50 à 3 francs. Ce soir Au théâtre Réjane, à 8 h. 1/2, répétition générale de Madame Margot, pièce en cinq actes dont un prologue de MM. Emile Moreau et Charles Glairville. N. II. Vu. l'importance du spectacle, Mme Réjanrt prie vivement ses invités de vouloir bien être très exacts, car après le lever du rideau sur le prologue, les retardataires seront priés d'attendre l'êntr'acte dans le hall du théâtre. Au théâtre Femina, à 8 h. 3/4 Théâtre Shakespeare;. Premier spectacle de là saison ot représentation unique Causerie de M. Camille de Sainte-Croix sur la Jeunesse de Shakespeare » représentation unique de Conte d'hiver, comédie féerique eh cinq actes de W. Shakesp eare. Distribution MM. Gavarry Charpenel. Léonte A. Luitz ,Morat, Camille Roger Lévy, le Clovra Paul Baumé, Antigono René Rocher, Florizel Decaye, Autolycas Dhurtal, Polyxène; Vidal, Cléomèno Saint-Mars, Dion' Roubaud, lo Berr ger; Finaly, le Temps Martial, le Gardien. Mmes Olga DémidoiT, Hermione Yvontro Ducos, Perditâ Guyta Dauzon, Carmen Silvat, le Page; Roselli, Emilia; Rivonne, le Pâtre Capazz'a, Dorcas Jeanne; Mil. Mopsa Duhqn, Reinbaw, demoiselle d'hon-r neur; Sudroud, dame d'honneur Maurice, une Bergère. Musique de scène de Linley, Louis Heyzer, avec le quatuor Krettly; Yves ,Katt, à'i'orgue. Pastorale du 4"' acte réglée par Mlle Théodore, de l'Opéra.' Au théâtre des Arts, à 8 h.. 3/4 précises, Un Cœur d'homme, pièce en 4 actes, do Mme Sarah Distribution Nh£n° ̃ } Mmes Blanche Dufrène Sabine Kmmy Lynn • Muu; îe Gerfaut ̃ Jane Méa Berthp Laui'iao- Soylor. Mine Dubois d'Auge ville B. Boulanger Vauxionno Pascal La bohémienne Lysia Eléonore d'Onteuil Thomas Julietta H. Boulanger Paul Sarnoia MM. Henry Roussoll Jules Pigru J. Normand TimurLaurino Doneubourg De Gerfaut Bol ou Pierre Pourié Lagacho Prince Darnidoff Kirman; Toussaint 1 Bellucci L'imprésario américain' Piernet Le caricaturiste Catricns Un directeur do théâtre Moulin Mmes Clarcns, Mme Simpson; Angolo, vuiq Pierrette; Lugaud, uno Merveilleuse; Siivaire, nue marchande d'oranges; Géo Dielly, uiu 'chatte; Lacroix, une paysuVrnc petite 'Naulot, la petite Désirée; Lesseigno, une gouvernante; I. Offenbach, le propre petit-fils, du. grand compositeur, .a écrite spécialement pour les Matinées pour la Jeunesse du théâtre Femina. La Revue de Noël sera jouée en matinée pendant de longs mois,'les jeudis et dimanches et tous les jours pendant les fêtes du jeudi 23 décembre au lundi 3 janvier inclus. Le prix dos places est des plus modérés, malgré la somptuosité du spectacle. Tout-Paris va défiler pendant les fêtes au théâtre Femina pour y applaudir les petits prodiges de la Revue de Noël. al' A peine rentre de la tournée des Grands, où il tenait avec un très gros succès le le rôle de l'économe Bron, M. Champagne va repartir pour deux mois dans les départements, sous l'habile direction de M.' Charles Barot, avec Théodore et Cie, la pièce actuellement eu vogue aux Nouveautés. Le très amusant comédien y sera aussi applaudi que dans les Grands. A son retour, il entrera au Palais-Royal pour lequel il vient de signer un bel engagement. y De Berlin z A la Comédie-Royale, le succès de la Greva de Sudermann, très grand après le deuxième acte, s'est amoindri après le troisième, et il est demeuré indécis après le quatrième. Serge Basset. SPECTACÏÊUCONCERTS " Fivc o'clock artistique », au- ̃l'-1' ̃ étage du Cal'é Ainéricâiii, '1, boulevard des Capucines. Entrée par l'escalier do marbre. 'Ce soir Ala Gaité-Rocliochouart, première représentation de l'vl 7i. O. Chechouart, revue- en 15 tableaux de MM. Yalentin Tari-ault et Abadiç, musi[ue nouvelle arrangée par Ch. Bourgeois, costumes de Landolfï, dé- cors do Flcury, Prpyut. et.. Saint-Aubin, ate- lier Meuessicr. Mise en scène de Paul Fub- vre, chorégraphie dePaulo. Cliquito, le Chemiucau, le. Compère MM. Zaïque Fricandeau, Mariette, Aris- ̃ tide Serjius Georges, Policemau, I,éta- Ion, Gronouillot Boucot- La gosse, le Lapon, Ma- i-iana Mmes Marie ifak Le Passant, l'Aviatrice Heine' Aymnrd >, La Basquaise, ta Lapone Pompbnètte Miss Martinguall Lina Traversi Le Petit Sou, le Guide, la Giiscttc Suzan. Chevallier Madame Polichinelle la Commère sim. Valéry autres roies, par .Mansuciie, Fallières, César, lo Flic, .Homanos; Démanche, Rostand, Polyto, Doyen Delamane, l'Agent, Tristan, Louis XI, lo Cipal, Polletan; Carjol, Le Haridot, Anatolo, Coûtant, Favoritos; Bazin, Picquart, lo Navet. Tantinos.. Mmes Dhartigny, Lavallière, Estrellita; Mvriame, la Directrice, la Présidente, 'la grosso Mëlje, Courtisane; DoyS'riel, Promeneuse. B. Cerny, le Chovallier, Courtisane; Myalis, la Mère, la Tomate, Casque d'Or, Mme Grenoùillot; Odette, Pelotari, Mmo'.Delavouno, Tyrolien, Une'clieute Vialys, Jane Derval, la Pensionnaire, la Limieiiso Montcillc, Roporiorcsso, Cécile Sorel, Général, Américaine, Arthéniiso, don Juan Sini.. May, Promenedso, Simonne, Parisienne, Ligueuse, Prêtresse; Dcrblay, Reporleresse, Emilieniie, Général, Américaine, Spectatrice, Courtisane. Tableaux 1", Une revue à Guignol 2», La réception du prince do Cauibo 3e Le vrai Ch'anteclcr; -1° L'Académie des i'ommos; 5" Les héros de la route; 6", La route sous Louis "XI; 7% I,a route sous Louis XIII 8", La route sous Louis XV; 9', La route glorieuse, Bonaparte aux Pyramides 10% La route d'aujourd'hui, le départ des- joyeux.; 11% 'La route do 'dômaiu, les nations au" polo Nord; 12", L'a éro-pe sage de Port- Aviation 13% Le cabaret politique; ii", Maison de danses; 15\ Lo triomphe de don Juan l'Apothéose. Aux Folies-Bergère, la Revue des FoliesBergère, le clou de la saison », trente et un tableaux, de Fiers et Eugène Héros, 900 costumes de Landolif Miss Campton, Claudius, Maurel,Chc valier. Yma, Merville, etc., Jaxon troupe, Lôonette Roberty et ses danseurs, les Harwey Boys, les 16 Pomé Girls, etc. Pougaud ot Jana; Marnac. Chez la Grande Atelier des Grands Maîtres. Le Cirque.. A l'Olympia Sam Mac Voa, lo rHÎo- table boxeur nègre, et débuts de Pilara-a, troupo aragonaise, dans la Grand» Revm tts ÏOlympid, le plus grand spectacle do Paris Germaine Charley, Léoni, Morton, Girier, etc..– Le Triomphe do l'aviation, 150 person- nes en scène; Daphnis et Chloé; Théoda»\* Girard dans The Vampire danoo- » j l'Affaire sensasteinhelle », et la M$i~! son où l'on danse », tableau nouveau. ° -Ala Scala, Afgar, le plus joyeux soir, .donnera, ̃ à l'occasion des Mtes de, Noël, des matinées à 2 h. 1/2, aux dates suivantes. ̃ ̃ Samedi 2o., jour de Noël, dimanche 26, lundi 27, mardi 28, mercredi 29, jeudi 30, programme que .le,,sojr et son immense succès de Deux lions amis, pantomime Ji grand' spectacle, en quatre tableaux. La feuille de location pour la soirée du réveillon est déjà très" couverte.. Hâtez-vous d'aller retenir vos places pour cette brillante .soirée., > Lé grand succès de l'inauguration, de Bullier Nouveau et l'af iluence des visiteurs n'avaient pas permis p. tous les invités de profiter de leurs cartes. La direction, désireuse de ne faire aucun mécontent, informe le public que ces. cartes non utilisées .seront valable^ pour là grande fête de l'arbre de' ̃Noël de Bàlii'eï'cfui aura lieu' le" soir du réveillon. En cas de perteyjécrire au secrétaire général. Toutes mesures seront -prises-peur- éviter l'encombrement.. Prière de retenir des tables pour le souper. Téléphone. 829t10.'. ;̃, Inélégante ivresse;- Pour éprouver les fortes joies, la fièvre, l'élégante ivresse du patinage, le nouveau sport à la mode, il Ue faut pas employer des patins quelconques, peu sûrs, durs de roulement, et;qui chahutent dans les pieds il faut chausser les élégants patins Winslow, qui, par l'élasticité de leur métal, leur sûreté, la qualité de leur roulement, leur rapidité, ont valu au célèbre Winslow. le titre si en- Petites Annonces La Ligne. 6 francs Par Dix insertions ou Cinquante lignes 5 francs Les Annonces à 3 francs la ligns concernent i"LTndustriè et les Fonds de -ccinmercèt i'Les Oecàsîons, l'Enseignement, les Emplois et lés Gens ds maison; ̃̃̃̃• t" Lejs ̃Locations; 4° Les Pensions bourgeoises. .PLàlSIRS PARISIEHS Programme des Théâtres MATINÉES H ENAlSSANCE h. 1/2. 7' Vendredi de la Parisienne » Variations sur la Mode », causerie de Mme Marche Régnier. Auditions de Mme Laute^Brun. Mlle Maille, M. Henri Atbers, Mlles Lucy Vautlmn,.Pélyne, Ariette Dorgère, etc. La Robe M. Baillet, Mlle Mireille Corbé. ̃“̃ SOIREE OPERA Tel, 8 h. 1/4. Aida. U Demain; Relâche. ̃Vendredi- Faust. FRANÇAIS Tél. 8 h. 1/4. Les Plaideurs Les larmes de Racine Andfpmaque. Jeudi- Le Mariage de Figaro. Vendredi, samedi Sire. OPERà-COMIQUE Tél. 8 h. 0/0. U Chiquito ;Cavallerià rusticana. Jeudi, samedi Carmen. Vendredi M'adame Butterfly. Dimanche Manon. ̃ ̃ ODEON Tél. 811,42. 8 h. 1/2. Phèdre les Plaideurs A Port-Royal des Champs. Jeudi, vendredi, samedi et dimanche Comme les feuilles. 1HEATRE SARAH-BERNHARDT Tél. 274.?3. I 8 h. '1/2. Le Procès de Jeanne d'Arc, VAUDEVILLE Tél. 9 h. 0/0. Maison de danses. Ï7ARIETES {Tél. 8 h. 1/2 Une Affaire f est arrangée à' 9 h. 1/4, Un Ange. THEATRE REJANE Tél. 8 h. 1/2. Répétition générale de Madame Margot. RENAISSANCE 9 h. 0/0. r- La Petite chocolatière. NOUVEAUTES Tel. 8 h. 1/2. II Théodope et CiB-. IttlEATRE' LYRIQUE MUNICIPAL GAITE Tél. –7 h. 3/4. r- Quo vadjs ? flYMNASE'Téi. 8 h. i/2. Pierre et II Thérèse. V PORTE SAINT-MARTIN Tél. 8 h. 1/2. La Massîère. iTHENEE Tél. 8 h. 1/2. Sophie A o» le désirdô contenter r 9 S h. 10 Page blanche. nnHEATRB APOLLO Tél. '8 h. 1/2. Jl La \reuve joyeuse.. fTHEÀTRE. ANTOINE Tél. 8 h. 3/4. I Le Roi s'ennuie; à 9 h., 1/4 i Papillon, dit. Lyonnais le Juste. pALAIS-ROYAL –.8 h. 3 .'4. La Valse des PALA. ŒRo,rAL 1;1/.4. La Valse des I rosés là, Revanche d'Eve. vie de roi du patin ». L'Hippodrome n'emploie que les w inslow. La semaine prochaine, ouveytyre du rink Saint'Didier, avec les Winslow. Hippodrome! à 40 h. 1/2, à 3 heures mat. élégantes-familles et 8 h. 1/2, COURRIER MUSICAL "Concerts du Conservatoire, dimanche 26 décembre, à deux heures un- quart. Programme Symphonie en ré- mineur R. Schdmann cette Symphonie se joue sans interruption. L'Enfance du Christ, trilogie sacrée Hector Berlioz le récitant, M. Muratore, de l'Opéra sainte Marie, Mme Auguez de Montalant saint Joseph, M. Duclos, de l'Opéra Hérode, M. Journet, de l'Opéra; le Père de famille, \l. Narçon D'elniont; un Centurion, flûtes, -MM. Hennebains et Lafleurance -harpe,M. Martenot. I/e concert sera dirigé par "M. André Messager. r ̃ Soirées d'art 8,, rue d'Athènes, vendredi veille de Noël, à 9 heures très- précises du soiri festival Beethoven-Berlioz Trio à VÂrcldâuc, pour piano, violon et cello Beethoven, MM. A. Chevillon, Lederer et ,P. Salîiazeuilli Sonate n° en la majeur, op. 09 pour cello et piano Beethoven, MM. P. Sama- zeuilh, et A. Chevillon Ronjange en fa majeuï' pour violon -et piano Beethoven, MM. Ledorer .et A; Chevillon La Damnation, de Faust do H. Berlioz importants frap-ments Mlle Nobya Marguerite M. Fernand Latour Faiistj M. Fpurhets Méphistophelès au piano Mlle Marguerite Legras; cor anglais M. Andraud. Prix les places 8 fr., 6 fr. et 3 fr. Location chez Durand Grus agence des théâtres, 38, avenue de l'Opéra Steinway Salle des Concerts, 8, rue. d'Athènes Hamelle. Au moment des étrennes, l'éditeur de musique J. Armand, 3, rue du Havre, Paris, offre à sa nombreuse et élégante clientèle, au prix do 5 fr. 50 franco, la collection des cinq morceaux à succès qu'il a édités et dont nous rappelons les titres J'Implore, la valse triomphante de Lerichomme Au gré du rêve, valse acclamée cet été à Trouville Cfépusrcute, méditation pour piano et sans paroles. Pàcholo, habanera de Trousset. Frisson d'aurore, aubade de Trousset. Quatre des couvertures sont illustrées de pointes sèches du maîtreRapha. Alfred Delilja. LES GRANDES VENTES Aujourd'hui, à l'Hôtel Drouot Ventes .p. Salle 1. Objets'd'art et d'ameublement anciens et de style tableaux, meubles et sièges, ameublement de salon en tapisserie, armes, brpnzes, etc. Me Emm.. Ohigèt; MM. Duchesne etDuplan. Salle'2. Succession de M. B. Beau mobilier ancien et moderne tapis4' tableaux anciensjet modernes Mc F. LAïu-DuBREUiii MM- Paulme et Lasquin. Salle A. Bibliothèque de feu le marquis E. de Salvcrt-Bellenave Troisième partie troisième/vacation,' n?s 689-804, 330-357. W Axdkê DÉsvouqes M. A. Durel. Salle 9. Tableaux, aquarelles, pastels par'Delacroix, Fantin, Millet, Puvis de Chavannes', et quarante-six aquarelles et dessins très remarquables de Constantin Guys. Mc G. François M. G..Çamentron. • UVRES DE- BIBUOPHILES .o^ 1. .̃ Suite. La vente de la bibliothèque de feule marquis E. de Salvert-Bellenave_, dirigée par xMe Desvouges, s'est poursuivie hier avec un plein succès. Continuons la liste des prix importants Livres môdernesen èditionsde grand-luxe. N° 4T9, Balzac, La Femme de trente ans, 35 compositions par A. Robaudi, Paris, L. Carteret et Cic, suce., 1902 Mercier, suce, de ,Cuzin, 810 fr,; n° ^27, Théodore de Banville, Gringoire, compositions de J. Wagrez, L. Carteret et Cie, suce, 1899 M. Lortic, 300 fr.; n° i. NOUVEAU-CIRQUE. Vendredi 2i décembre, soirée de galaà l'occasion du réveillon de Noël. CIRQUE IÉDËMMbW^ At1ractIOBSnouvl. Mat. à 2'» 1/2, jeudis, dini. et fêtes. Attract~op~nourn~ WABAR1N BAL. Tél. Samedi pro1 chain Fête à Pliryné. MTT5TTï?r1 PT? \rTAT Palais cles Mii'5.'cs }o Tem- "kkkyJaCJ V UN PÀLÂIb Dfcj uLÀCej nage s'vmte g-lacè, T. tous tes, jours de2ilà7tletde9hàminuit. ORQUE DE PARIS feST^ J5ea'fcOîisa»!i6',g'. TATTD FTOUDT Saison d'hiver\ de midiàla IULJli rjlrr GlL nuit, jusqu'au 2» étage et par escalier seulem1. Bar au i" étage. Prix d'ent. 1 fr. JARDIN D'ACCLIMATATION. Ouvert t> les jours. r Porte D~aütot. Sr.~rtsc Riw. I TTAT k D k DT7" Porte Maillot. Skatixg Rixk. LUlNâ'r AKJi 3 séances t» les j" de 10M/2à à midi,2hl/2à0hl'2,8''l/2; ENGHIEN, U min. de Paris. 1S2. trains par jour. Etabjiss' thermal. Casino, Théâtre, Concerï. ABU^EinENTS A CÉDER ADT^T> h A 15 K Tf AT°5RK bjen située, UriJjKâ LOUER DAIvJIN lundi quinzaine, année 1910. S'adresser 12, rue Leroux, Mmo DU G. AVIS HONDMUS"" Déplacements et Villégiatures des Abonnés du k Figaro » EN FRANCE M. Antoine Aillet, à Sainte-Livrade. Mme Emilie Broisat, à Hyères. M. Louis Brertaueiy à 'Cannes. M. Cha-uva,.à Pau. M. de Castellan. à Jours. M. Roger de Cormenin, au château dePuy d'Auzon, par Cluis. Mme Charles Corbin, à Cannes. M. Em. Dietze, à Nice. Mme la baronne Double de Saint-Lambert, à Marseille. Mme Godde, à la Grisolette, à Bléré. Mme la comtesse de GallitTet, îi Pau. M. le comte Louis de Montesquiou, au château de la Breteschê, par Missillac. Mme la marquise ctu Vivier, au château de '̃̃̃ nés à l'or, 375 fr. n° 45, Bataille, emmargement d'or, arabesques et animaux, dos, ara» besques et animaux; dessinés à l'or, 320 fr. h° 46, Soène d'histoire naturelle, emmargement d'or, arabesques et animaux, dos, arabesques et animaux dessinés -à l'or, 300 fr. n° 47, Bataille, emmargement d'or, arabesques et animaux dos, arabesques et animaux dessines à l'or, 370 fr; n° 5r, La légende du feu, 300 fr.; n° 67, Portrait et page de garde, au dos double page de garde, fond' bleu, 720 fr.; n° 72, Çcénes d'histoire naturelle et de la vie des champs, 400 fr.; n 73, Scènes de chasse, 360 fr. n° 91, Grisaille, Nativité du Christ, 380 fr. n° 92, Grisaille, Derviches, 300 francs. Miniatures indo-persanes. NOlo,4, Prince recevant.. des présents emmargemént d'or dos semblable, 360 fr. no 96, La Collation, 450 fr. n° 97, Portrait d'un prince hindou, 26p., fr. n.° 100, Scène de chasse indoue, 35b francs. SUCCESSION DE M. B. A la sal^e 2, M° Lair-Dubreuil et MM. Paulme et Lasquin continuaient la vente B. Voici les quelques prix intéressants de la vacation d'aujourd'hui 1 tableau attribué à Terburg, 1,600 fr, Meuble de salon, couvert en ancienne tapisserie, commencement du dix-neuvième siècle, 18,220 fr. Meuble à deux corps, bois sculpté, fin du seizième siècle, 540 francs. La vacation a produit environ 33,000 francs. Valemont. lia Vie Sportive YACHTING La traversée de l'Atlantique Le Yacht-Club de Philadelphie et le YachtClub de la Havane organisent de concert, pour mai 1910, une course de 2,000 kilomètres à travers l'Atlantique. Le départ sera donné du quai Market street, à Philadelphie, le 21 mai à midi et demi. L'arrivée se fera entre les phares de Morro et de la Pounta, à l'entrée du port de la Havane. v La, course lest réservée aux yachts automobiles ne dépassant pas 30 mètres de long. Le seul passage difficile de l'épreuve sera la traversea entre les îles Bahamas et de la Floride, ou les concurrents auront à. lutter contre le courant du' Gulf-Stream. AUTOMOBILISME Pour nos poids lourds de ravitaillenant Silence, souplesse et régularité sont les trois grandes qualités requises en automobile. La prise directe est le grand facteur de ces trois avantages. Les Lorraine-Dietrich ayant deux vitesses 'en prise directe, la troisième et la quatrième, réalisent donc mieux que toutes autres le problème, et ce sont de ce fait les meilleures voitures de tourisme comme les plus agréables voitures de ville. ** Faudra-t-il renoncer à voir notre armée profiter des progrès qui sont dus au génie de nos inventeurs et de nos industriels! On n'a demandé que 500,000 francs, pour. l'aéronautique do guerre et l'on se contente de 300,000 francs pour être affectés en primes aux propriétaires d'automobiles poids lourds destinés au ravitaillement de nos armées en campagne Nous voulons dépenser 300,000 francs. bien mais l'Allemagne, en 1910, dépensera pour le même objet trois millions. ;• '̃' Nous rappelons que MM. Gomes et Cio, 63, boulevard Haussmann, ont ajouté à leur commerce d'aéroplanes la vente sur une grande échelle des cerfs-volants scientifiques et sportifs. En ce moment est ouverte à la maison Outhenin-Chalandrc-, 24, avenue de la GrandeArmée, une exposition des nouveaux moteurs et châssis sans soupapes» brevet Knight. C'est une révolution dans l'automobile, à en juger par le nombre des connaisseurs qui affirment, le succès définitif de ce nouveau moteur. Nous engageons tous A L'ÉTRANGER Mme Lucien De'roda, à M. le vicomte de Kontarce, à Armant. Mme Giovanelli, ù Milan. M. Herbert L. llunt, à Saanen. Mme la baronne de Heeckeren Molecaten, à Montreux. Mme L. Koenig Wuster, h Elberfeld. Mme la comtesse Lanza di Mazzarino, à Rome. Mme Lisi, à Bologne. Mme la marquise Lilla Maglioni Cambiaso, a Gênes. Mmo .Ormond, à San-Remo. Mme la. princesse Edmond de Polignac, à Paignton. M. Alfred R. Pick, à, Francfort-sur-Mein. M. Parembli, à Leipzig-. M. Rodi-ïguez Larreta. a M. le capitaine Algei-non Sartoris, il Serravezza. Mme la princesse D. à Vienne. M. le duc Leopoldo Torloni'a, à Rome. ARRIVEES .4 PARIS Lady "Avery, M. Edouard André. M. Georges Bousquet, Mme la comtesse de Bérulle, Mme Demaehy, M. le duc de Gramont, Mme L. Lozt-t, M. Lozouet, M. Isidore Leroy, M, Louis Melizet, Mme Kernand Mahler, Mme Mormon, Mme la comtesse de Pimodau, Mme Alfred Plocque, M. le général Rau, M. le baron Gustave de Rothschild, M. et Mme Thélem. SPORTS Divers •• 1 ITïP'lVTÏÏDl? PETITS CHIENS PAPILLON blanc A f CaNJJllli et orange,3 m. et 1 a. 27. COaiISSAIRES-PBISEURS A ces annonces est appliqué un Tarif dégressif, dont les A'J^ prix diminuent en raison de l'importance des ordres. Expositions et Ventes ARTtJTTR ET fifllti1 Altlll Uli nLUUlllli dir^deven'Mpubhq. 21, boulevard -Hausstnann, à Paris. Télép. ACHETE A L'AMIABLE pour collect. paHiculr. JOYAUX, QBJE£W TABLEAUX OFFICIERS MINISTÉRIELS A ces Annonces est apirtiquê AVIS vn Tarif dégressif, dont les A prias diminuent en raison de l'importance des ordres. ADJUDICATIONS Paris VENTE au Palais, le 29 décembre 1909, à 2 heures. PROPRIÉTÉ A MONTROUGE rue Perler, n' 29. Contenance 321 m. env. Mise à prix 73,000 francs. S'adresser 1° à Me Lestiboudois, avoué 2" à M' Houdart, notaire à Paris. VENTE au Palais, le 13 janvier 1910, en l lot, MAIi°fU RUE LAUaiER, W 34 Rev. brut env. 63,900 fr. M. à pr. 500,000 fr. 0'adr'sse['aM'MESsELET,deLaumois, S 'adresser à M*" Messelet, de Laumois, li Burkhan et Audouin, avoués. nos lecteurs à aller voir et essayer ces nou velles -sans soupapes. ». Les Reliability Trials ont confirmé Tendu?rance et la vitesse des Gregoire qui, toutes trois, ont parcouru les 3;wO kilomètres à plus de -45 de moyenne, ̃• Mine-Darblay, très satisfaite de l'éclairage électrique alimenté par la dynamo Phi » que la Société Blériot a posée sur la voiture de M. Darblay fils, vient de commandeï une installation semblable pour sa voiture Charron carrossée par Keilner. L'électricité, si luxueuse et si commode, est en effet devenue le complément indispensable de toute voiture confortable. Notice F spéciale. Société des établissements Blériot, 16, rue Duret. AÈRONAUTIQUE Une sortie du Zodlao-III » Le Zodiac-III parti hier de Saint-Cyr à trois heures moins un quart a encore fait sa promenade quotidienne au-dessus de Paris, piloté" par le le comte de La Vaulx accompagné du mécanicien Legall. Le dirigeable a remonté l'avenue du Bois et l'avenue des Champ-Elysées, montrant aux. milliers do Parisiens arrêtés pour regarder ses évolutions, ses remarquables qualités le vitesse et de maniabilité. On a pu le voir luttant victorieusement contre le vent, puis après, revenant avec le vent, filer à la vitesse de 70 kilomètres à l'heure. Le Zodiac-III a mis en effet a peine 15 minutes pour franchir les 20 kilomètres qui séparent à vol d'oiseau la place de la Concorde de l'aérodrome de Saint-Cyr. AVIATION A la Ligue nationale aérienne. Un 'nouvel aviateur. A Mourmelon Le comité militaire de la Ligue nationale aérienne s'est réuni hier sous la présidence de M. le général de Lacroix, ancien généralissime, et la vice-présidence de M. le général Langlois, sénateur. Au cours de cette séance, le comité a entendu M. H. Deutsch de la Meurthe, viceprésident de la Ligue, et M. Capazza, ingénieur aéronaute, qui lui ont apporté des renseignements précis sur les ressources dont la France pourra disposer, au printemps prochain, tant en ballons dirigeables qu'en hangars et matériel de toute sorte. Le comité a discuté les conditions'auxquelles devraient satisfaire les dirigeables pour rendre aux commandants d'ai'mée les s services qu'ils en attendent. En particulier, il a étudié quel devrait être leur rayon d'acfion et à quelle hauteur il leur faudrait s'élever pour échapper au projectiles ennemis des expériences fort intéressantes ont été faites à ce sujet en Allemagne elles ont donné des résultats tout à l'avantage des dirigeables. Sur un aérostat, près de 5,000 coups ont été tirés ramené à terre, l'aérostat- qui n'avait pas ni crevé portait 76 atteintes. Elles n'avaient eu aucun effet. Cela tient à la tension du gaz qui aux hautes altitudes transforme en un mur quasi invulnérable l'enveloppe du ballon. 11 a également cherché à déterminer les points stratégiques qui devraient servir de g~ 1 1, ^BnfF^^âm^n^p^éèle^ LE PARFUM de u DAME EN NOI R uWnI LlïïÔOERSANE Infaillible pour faire disparaître les rides du visage. En vente à Paris dans les g'ls magasins. LE PARFUM ÎDEAL-S^S^?^ VENTES ET LDCfeTIONS VENTES DE PROPRIÉTÉS Paris Affi A CT,0tiU m. Loy. l,000f. Prix à débattre. 1 iSCXJ PETITJEAN, 9, R. DES HALLES DISONS RECOBUUNDÉES Médecine, Pharmacie Le Meilleur tonique est le VIN COCA MARIANI Alimentation MENU Potage Fonlange Carpe à la Pompadour Poulets sautes Drouot Selle de sauce Cumbefland Salade de saison Choux-fleurs à la Polonaise Mousse rï l'orange Fruits Café Ayiselle Wynand Fockink d'Amsterdam "•••. VINS Saint-Marceoux sein -brut 1909 centre d'évolution à nos flottes aériennes. et ou; la création de hangars spéciaux est indispensable pour les abriter. Le champion cycliste américain Nat Butler se destine a l'aviation. Il travaille en ce moment-ci aux environs de Paris et de Vinçennes à la mise au point d'un aéroplane de son invention. Hier à Mourmelon, l'aviateur Mortimer Singer a effectué, sur biplan, un vol qui a duré 1 h. 1' 23" à une altitude moyenne de jJO mètres par un vent de 6 mètres. , Les constatations radiographiques faites sur l'aviateur Blériot. confirment le diagnostic des médecins l'état du malade a été jugé suffisamment grave pour motiver une consultation de deux médecins éminents avec le professeur Hochenegg. Blériot souffre beaucoup.. •* M. Crozier, ambassadeur de France, est venu rendre, à nouveau, visite ù l'aviateur aujourd'hui. ̃•̃ Le plus joli catalogue d'aéroplanes, comme aussi le plus complet, est assurément celui qu'a fait paraître la Compagnie aérienne, 15, rue de Presbourg, qui a le monopolè de vente des monoplans Antoinette et des biplans Voisin. La Compagnie aérienne se fera un plaisir d'envoyer ce catalogue franco à tous les sportsmen qui en feront la demande. Demander le catalogue F. BOXE Tom Thomas bat Chàrlie Wilson Au National Sporting-Club de Londres, le champion d'Angleterre poids moyen Tom. Thomas, défié pour le titre par Charlie Wilson, a mis celui-ci knock-out au second round d'un combat eh vingt reprises. 'La bourse était de 25,000 francs, et lord Lonsdalc avait, en outre, offert une ceinture d'or enrichie de diamants, dont Tom Thomas. devient le détenteur. Frantz-Reichel. BULLETIN COMMERCIAL -21- dèeembtre. VINS. Les affaires semblent se !-{ilentrir, aux vignobles. On n'y constate plus lu grande vité du mois dernier. Néanmoins les cours restent fermes et, en beaucoup d'endroits, conservent une tendance h la hausse. Dans le midi, oit ]es stocks sont maintenant assez réduits, les ordinaires rouges vont de 16 à 19 .francs l'hectolitre, les blancs font jusqu'à »3 francs. Dans le Bordelais, après l'effervescence des deux derniers mois, le stock est très réduit. Cependant l'activité persiste et les cours restent soutenus. En Bourgogne, c'est généralement sur les vins vieux que portent les demandes. Pourtant les trois quarts de la nouvelle récolte sont déjà partis. La fermeté des cours persiste. Les ordinaires font toujours de 50 à 55 francs. Les bons ordinaires sont à 80 francs. En. Algérie, la hausse persiste. A Paris, à l'entrepôt de Bercy, les affaires sont un peu moins intenses, mais gardent une bonne allure. ËRMII 1 ÎMC-I^OECCC nouveaux dentiers EmAILynlt UKCrrC résumant Jos plus grands progrès do l'Art dentaire. Succès consacré. 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L., New- York-Brème, de Cherbourg, 20 déc. LIGNES BÙ CENTRE AMÉRIQUE "̃ La-Champagne C. G. T., de Saint-Nazaire pour Vera-Cruz, 2i déc. Pérou C. G. T., de Colon pour Bordeaux, 20 déc. Caraïbe fi. G. T. de Bordeaux pour Guadeloupe, 2t déc, 11 h. matin. Versailles C. G. T., ven. Saint-Nazaire, à Pointe- à-Pitre, 20 déc;, 10 h. soir. INTI~ 'm~ mf~ .;1 Jattm ~!~ L~>jce.T. M,,- Marseille 23 décembre, pour les départs .qui auront le 24> pour Marseille, mettre les lettres le matin ̃Dà Marseille, par VilU-de-Barcelone G; G. T., pour'Bizerte, Tunis, Sfax et Sousse De -Marseille, par C. G. T, • pour Alger 'iBe1£. par Tijuca H., pour"MàdC'r • ̃ • ̃ p'àris,- 21 'dèeenibr'e.' /̃ "Nous sommes obligés de nous répéter et de Qonâtûter que les dispositions généralésdu marflbé né b-utaissenf pas, d'une seancc à l'autere, de cliangcment. appréciable. Les causes nui ont -entretenu la fermeté n'ont pas cessé L'exister, 'et les motifs invoqués par les acheteurs, pour expliquer leur attitude réservée, $'ont. les moines aujourd'hui qu'hier.' Il ''côñyient. d'observer toutefois que la physionojcjio' dé'notre 'Bourse paraît présenter' chaque 'joÙT-uh\peu plus d'animation". "Il que, maigre l'approche des fêtes, et malgré le. ralentissement que la perspective ,' sérié do chômages impose forcé- menj négociations, le public se montre f' is' disposé., à s'employer. La situation po- qùe extérieure est. actuellement telle, il est vrrfi, qu'il n'a .pas ù craindre- de lâcheuses surprises ;pendant les journées où la Bpurse; \ralot de çhamb.'frânçais;35 ans, pari, l'anglais et l'allemand, très- aai- cour, de-son servi, dem. pi. références, de Ie' ordre. –-Ecrire Figaro, S. I. 4. Ma!t. d' Si a., 1°'75, b ara'cnlier,' 6 a. réf. M ait. d' 34 a., 1»75, b. argentier,- 6 a. réf. verbales,1 désire place. Ecrire G. D. 24, Figaro, Femmes de chambre Mme èi¡3S a~ coût., Mng., d. Fme ch'3S a' sachlcoiff., coutl, liiig-, d. pi. Quitte c. déc. r. verb/Mlle N, V., 9, bd Malcsherbes. JBanfc of Egypt, 220; Banque centrale mexiàamè, ̃'¥!&. ̃•̃̃̃"̃̃ • ̃̃̃ ̃̃'̃ ̃̃-̃"̃ •̃' Le liio clôture à 1,909. après 1,970 au plus haut et contre 1,971 hier la_ Centrai -tyĩniny. efet ferme à. 425.. i i • Les valeurs industrielles indécises Briamk, 28^ Sb'snô'wïce-i,WQ Niphks de Bçilïou,. 818. Les chemins espagnols sont, aux environs, de leu r's cours"' d'h ier Saràijossç' '418"; A ndalous, 213 Nord 'de l'Espagne,. 863. Les obligations 5 0,0 du chemin de fer de Roscirïoà'Puerto-Biilgrano finissent à 492. Les obligations 5 0/0 du Chemin de fer de Goyaz terminent à 460. Bourses étrangères Londres, .si, décembre, 5 h. 15. Marché indécis/ Consolidés calmes. Sur ̃ les Chemins anglais, quelques achats, au comptant. Fonds étrangers calmes. Steel Common plus mou. Valeurs cuprifères sans grandes variations au reste, elles ont un marché très limité. Chemins américains lourds; on a offert l'Union Pacific, le Canadian Pacific, TAtchison, le Baltimore, le Louisville.. Berlin,' sr dêcembrel 3 h. 15. Bourse calme. Fonds allemands et prussiens ,peu traités. Fonds étrangers généralement-peu-demandés. Groupe américain offert, mais sans'affaires suivies. Valeurs de banqueè un peu; hésitantes quelques' offres en". Dîscorifo, en Drësdner et en Handéls.' Chemins ̃ lombards fermes, .mais' autrichiens 'm"6us. 'Valeurs de. charbonnages .irrégiiliéres on a demandé la Harpéner,ila offert la. Làura et'la-Bochumèr. ,»->̃̃ COMPAGNIE* DES mHWAYS,' ÉCLAIRAGE ET FORCE DE,8IODE-JANEIRO. Les-, roçette" c^el cëtte'Cpmpagnie, pour la 49" somdinode' seront élevées à,73"8,33'» -francs; .Contre • 69O;48O francs poufla période corr'pspon1dànte_de"'1908,' soit- une augmentation' dis"' 47,85ï 'f faiicsV Lès, recettes ̃ dgs i'aveur;'de cette •année *̃̃ CANISSE DES OÉPOTS ET CONSIGNATIÇHS.–i Opérations des caisses d'épargne ordinaires avec la' caisse des dépôts et consignations,. du 10 au 20 décembre 1!W •̃"̃ ̃̃̃̃• Dëpôts.'de tôrids C . 03 'Retraits de fonds. 3. 291 42 '-̃ Excédèrit"de dépôts. 064.^37 61~ ̃ EScédf-ht de dépôts du 1" jan vier, au 20 décembre 1909, 33, 16. Capitaux employés en achats" de rentes,, du 11 au 20 décembre 1W50 l°Pour le compte des ̃ déposants dés caisses d'épargne ordinaires, 297,430 .2" Pour placement des exc,édents;de'dé' en outre, des arrérages capitaux. encaisses sur -les .valeurs composant le portefeuille provenant des caisses d'épargne ordinaires, 5 mil- lions 570,657 23. ̃̃'• DETTE PUBUQUE-OTTfllUlAHE. D'après le rapport annuel de sir Adam Biock, réprësèntanî. des bondholders anglais et hollandais,, à l'administration de la dette. publique ottomane,a les,, recette, de l'administration pendant l'année fiscale 19081909 se. sont élevées à 4,191,689 livres coateje 3,919,002 pour l'exercice précèdent. Cette aug-'mentation est duo au produit des doiianes, la taxe supplémentaire- de 30/0 ayant fourni t9î8,'i37 livres turques contre 544,987 précédemment. Le fonds de réserve ayant atteint 1,868,618, livres turques, les affectations pour l'amortissement de l'édifice de .l'administratration centrale .,cesseraient et la sommeainsi économisée serait' dorénavant consacrée aux amortissenïents de la Dette unifiée et des iots turcs, ̃. x fme ch..3O a. 5 a* réf..v. habit..voj'.couch. app. désire place ou extra. Écrire J. À., 03, Figaro. Jne fi lie 22 a., débutante, sach. tr. bien coudre, J`dcin pl fme de clinnab. Eci G Mi,B, Figaro. dein. pi. fme de Ecr. G. M., 8, Figaro. 2 f7chI,"2Ô^a. dem, pl. r. v~lCi397â>vMalakoff. Ïjime de chamb., 25 a, pari, angl., un peu franc. 'bnes réf., dés. place. Ecrire B. V. S., Figaro., fme de ch., 45 a., cap. coi et repass, pl. i Paris ou campagne.. Ecrire- G. R., 2, Figaro. '• ̃ •; Ménages M énagesér.. 35 a.; et bne cuisinière, pi. François, 61, av. La Bourdonnais. Ménage, valetTinaître d'hôtel et cuisinière, dem. pi,, tr. bnos référ. L. H., 3, boulevard Çorthior. Ménage, 28-26,a.; dés. pl. valet- d!hôt. et femme cuisinière, bnes réf. A. G., 7, r. Brey. Ménage, valet 1 m. 75. et cuisinière, exe, référ. verb., dem. pl. Manson, 242 bis, bd St-Germain. Cours de cuisine Cours'de CUISINE ET PATISSERIE, au journal le' Cwdon-i?feîlt». §_ "BERGÉRETTES" BONBONS EXTRA-RICHES M EA Choooitt et fondants fourrés. Ltbtlll ^iQU ralICECTTCC Oriihê lltUrrCI ICO eu bsurnchocolttu A ta boit» i de 500 gr. 4'. AT • & Cabolta'da~250~q~ 1 MARRONS GLACES O très moêl!eax, AU MARRO.'IS extra-choisis. 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Esp11 de Crédite 201 •• TM ̃̃ +.2 18 p. Hyp d'Espagne'. "57 U5 » Paris-Pay-BasT'l7M 1701 ••I-2. 40 » Union Paris1..C' 'J-~> ̃• 931- ••̃• • 12 50 ̃̃ ' 2»p 281 •- +.1 25 2* desPa-^s 5i8 ,"SS ̃• U'sVtand Bank ot Egypt. = 221 220 ̃̃ .1 ̃• A-] 5i. Comp1" Algérienne i" 1!25 il 15 .• -^10* » », SB •̃ M. S0 »'Comptrnat' d'Escompte» 7!ii ïili K » Crédit Lyonnais î.'iîS .]37S- 15 .» Indust' & Com!v 7M 7W" '+'.2' » Mobilier Franc, l" li 015 •• 2, >. Foncier 777 ..j 776 •̃ 1 13 Association riiiniere..T 257 X93 "+"G 1C Central Mtnlnjr. ïii. 425 -f- 'i.. 505 50 DOS •• -f 50, 1- .¡.1& ., ~~tE9 /l~ -1.. 1;ii-, -•̃ ̃/2K0%' 475 l't' » • '280% .1^5.» 482 ̃ t 50 +.2'F,0 15 j "̃– ̃ aji.. l'JO.'i.» 50i 5P'8 •• +.2.. » 3%- 11100.» 25! HO OIJ9 50 » Bons âlots lQOfr. 1SS7.» co ;j fia 25 15 •» 582 .530 25'– .1 75 ACTIONS CHEMINS DE FER '•0 » sisi dit 30 +.1 ^! Midi.; 1174 11?5 .+ -U. 25 » .. jouissance.»j 584 50 585 .+• 50 72 "Nord .-11752. ,!?55-kj 53 •̃» ..Action . 59 Orléans »14i-i ijt » Action de 0S3 ̃ 38 50 Ouest; r.» -S0 ».rii 31 » Action de jouissance.» 515 5lS -l 2Î 75 Ouest-A gérienriàtiOOf» 605.. ISiil .1.. 58 » Paris-i-yon-Médlterr. T 1320 11 Andalous. » 211 211 , 211, 21,1 oo. Si » Autrichiens-Hongrois 80O 10 » Congo SUprâUïg*iac's.» 2;S 2S0 +.150 » » Sud-Autrich"Lomb»r-.» 12J Méridionaux d'Italie..» 6S 14 p. Nord de l'Espagne 1 SG5 » Portugais 3JÏ 372 –.3.. 17 p. Saràgosse 421.. 418 .3 OBLIGATIONS CHEMINS DE FER a; ~~n"nk. x n 15 » iép»rteitte'1taiPc 3 433. 20..JEStDi-ùirSù^r. •' BS3 50 Cil 50 15. > –'3?. » 4i'i 445 +.1 15 »l ?i% nouvelles = 4-*4 50 445 75 +125 12 50 '̃̃ ̃ .•! 41S 416 3 15 » Est-Algérien o' » m 50 43a + i AT, » MmU3> nouvelles -» 4W 4-ii. lïCO! t% » 3U675+..75' 13 n~0üest-AigéPi9Rd" J~,h .1 u +. 15 »Ouest-Aigérien3;j,» 1; 4î3 .– .3.. 15 » Daupaine^/i .» -446 50 445 .1 50 15 » 3%.» 416 50 447 30 +.1 15 » Sv .442 43 75 -j- I 75 ïi » 610 50 •'G>» 1 àQ" 1D-»iJ} 'i% » 445., 443 50 .î 50 i5 'Paris-Lyon3% 1Ï55..» 4il i .1 Ï5 54 ̃lï 10 B Vnffr-ff' 26lusru'&10h*u rsriii ioïr. ^k^awÊe^k^m^k^k^a^a^a^a^k^a^^k^a^k^k^k^k\^mmr ^a^HHi^HI^BV SHBHHBBEBHiBfl^B ^VHHmJVavDB B^BBflBUafivHBBl ^^bI^B^BBBBBB SbI^SSbW b^bSIIBBH It^BB^aHBHflfiB' Dern. DÉSIGNATION Cours de clôture f Disér. ven DES VALEURS l'wôTTST"!6»" OBLIGATIONS CHEMINS DE FER y 15 » Andaious 3%-lra Seri3.» Ui'J 50 .+.i0 m i~ Andatous3'l" »̃ 3% 2' » 332 Mil 50 » 15 » Asturiesl 'hypothèque. o 36rr.n-3Uij 50 –.1.. •15 » l!»nyp.». ̃ ,• i. 14 p Damas-Hamah » 3W 50 ."Ui- –.2 50 25 » Goyaz Brésil 5 ? i 1 400 ¡;Ú 2, Goyaz BresiH j ,} 110, 15 »[ iud-'Auti'.am» '2tlO' H6'J Ml 50 .15 »' ̃ nouY. 2SJ 50 285 50 15 »Madrid-Sàragi3%l"liyp.» 3Hi 3'JO +.2 li» » 3%2°liyp.» .3 50 fitl 50 15 iSaragosse-Cuenca^'a. » 387 50 38. 00 l,,» a 3~ Ïroù p..° 3sD ~Vl"O ,1 15 » Kord-Espag. 3% f"liyp..» iffO 3S1 +.1 15 » 3%2'ùyp..» 371.{71 50 +.. 50. 1~» 3 1. 2' l1yp. m.¡ i 1 50 +.. ¡-,o. 15 » Portugais 3 %pnv'.l'- ranj » & 3Ũ 482 M81 -t 2 20» 1S'J5..»\,i3 ..Lrfj. +.1 25 » Victoria à Minas 5 'i ..» -468 25 4ÛS .25 ACTIONS INDUSTRIELLES & DIVERSES Util UUJ –.O 50 » 1252 ..il2W +17 50. » deMicheville» 1JS5 j f>s i .l 75 » At.& Chant, de la Loire» I6i>5 = –10 à. » Cu.& 1014 .IlOH. 40 » Agence Havas » o!5 o!Hj .5' ». » Butoaux Parisiens » 2»S 208 2 u, Bnansk .I 2M5 2S4 –.2. 151*2 Canal de Suez » 4Si0- –13. 71 45 Part de fondat'O 22 10 2-ia ..i-10 J2iS2 Société civile..» 310 ..i-t-15 25 36 3ô 5". -> U83. 83. ;;5 » Comp' >!r, SIS ̃lî .-• " brd. 377.. 37» +'.2 1" » pr'iv.» 390, -3'JO ..I 115 Contin1" Edison G i;is8 .. -t- 4 16 50 In"" Téléphones» 3i5 i 3 12 50 .'i 50 20 » Docks de Marseille. H'J7 I 3W; 501- 50 HO Eaux trierai"- de Vichy» 22sS .I 40 • ttabiissem ' ii.'U ..I + .9 .> » DecaùVine l'ir. 115 ..I Î0 ̃» B.'ival. l.-0 131i .+. Figaroex-c-15,l 57; -5'73- "0 ~igar~e~. oet,,Q9> J ..î » EiViej-^ilie' » 745 71! -i- '̃'> 5. • Forgi& 1-lîc. v. 1150 5 ?."> » duif.& de l'Est» 'CJS ïo?S m 55 » F"&Çh'dBla'Méditerr.» U;i4 123 1 -14 15 » Grand-Hotei 2S5 1- .7 50 Cad Moulins de Cbrbeil» 152 2."i 5i , 73 S0 BJSenueider&C'Çreusot' 18'H'. r,0jls-i2 .4' ¡,' 15 »!&0C'. li\. il'S 50 '0 00 » Gaz-Central .̃ » 1520 .+.1' 0 » !.i%! 50 ii-TJ +.2 f-0 » i, m; 839.. 50 »]M^kta-el-Hadid500p..» ,,0 a M ~ 500 p. L,.S' » » Messageries. Marltim.» 18i..isi. -» » M 075 ..] 07o !+. 0- .¡SOClétéC ,deDyn",mlte, Ui" ¡.o "1+,1.. li" .» Jli2' 2lJ0 –.2 10 • ï-77, ..I 272 ,J– .5 12 50 Société du. CiaïdeParis 305.] '.{' D5 » Susuowioe.. 1 îrmr, 5 2; 50 Thomson-Housfon » "Cs; ,77i-i 4-. u 30 » Tramways* Français. GOû .v 45" » ciu Nord.. a 79M ?'jl - » iuoh aes'Oraz i"sèfii .» SS7 8S8 +.1 ̃ i0 J UJ. Argentin i% lb'jB Kesci.l' 1 us 60 i 4 » ̃– '4' '1300. » 85 4 » Brésil 4% ISSU §s"'8O S8 »5 ̃+. 15 25 » S o-Pàulo 5 ',l 517 5li 75 +.. 75 25- » BulBarie lSiM» M4 .3 tJ ", 5t~ ¡.t4.. 25 » â%lWit 512 i •> » Congo Bons à lots ̃ y;- 50 »7 75'+.. 25 15 » Doman"-Autrioneisso.» 50 4 » Emp. Chinois 4% Ub. .101 C0 101-55 05- 4 ..Egypte UJiaée. » lOi 103 4. +.. 40 00 -Privilégiée.» yu C0 lJ'J 75 + 15 4 ..Espagne Extérieure* %-ï -97-621- 97 55- or 25 » Ibspiritû-Santo O 507 75 505 ,-j .2 75 30" » HaltiB! lsito » 512 50 ïii +.1 50 » » Hellénique li>sl.= I 251 4. » Italien34i5i ̃••• 104 80 4 » Japonais 4% rJOâ.» -98-30 +'10' A » Koumain47. loy».. » 9205x92 95 5-'» Busse 5% If22 •» }17 117 4 "'Russe 51. I~~2. H7;, 5J ;O i~ `. °U 4 -> 4% 1S80 93. 93 30 +..30 4 » 4% lot>9 s 2 90 02 85 05 .4 » 1"&2"S".T t 95 ;o; UiaO' + .lfO 4 » i% lyyl » 91 f,i ! 40 35 3 » •̃= 3g ibyi-jbs* pr. ̃̃? so 20- suoû +.. 10 i,* '-̃ ÏJilWOf. » Tô-7âl ..19'+̃ '-2j Bonnes àtoiit faire ̃ Dame,32 a.;g'~f, Ch."t,cap" b..l'M, ,con, t, b. c~is. ,dem. Wdttnïcn Jeune chauffeur ay. permis pour tous -systèmes et J.. e,.un, e él1auffellr 3.'Y,' permispollr et certifie. de. mécanic. de/n. pi. mais..bourg-. Paris où prov. pas oxig.. Ec. L. Chaligny, 11,- Paris. Chauffeur 25' a;, tous systèmes, connaît b. Paris, ;dem. place. Réf. 1er ordre. Kc. V. H., 8, Figaro. /'haufleur, 30 ans, bonnes références-, demande %j place. Voyagerait.. Ecrire E. C., Figaro. ne homme 28 a., sortant écolo chauffeur, .désire place. Bonnes réfçrejaces. Ecr. Jt. B. M. Figaro. Mécanicien,31a., bnes 30 a., tous',syst.,dem. pi. ou Vi extra. Bonnes références.' Ecr. F. A. Valets de pied, Grooms Jne homme, 1 ans, demande place valet de J deYerneuil. GIGOTS de CHEVREUIL1 11 »̃ ta. c/C.D-wi I VI H Marinéi sur cûmmtrid». Uni autmtnttiton tit t,nx Km HUITRES MARENNESf I Arrivage journalier. I 111 ̃̃ tarfou.' lalU H PUABI Ifi PHcllIÈRE, oour t\ ~H unftDLU>ÈO/rtarèovei/iu»rs. H La 6oirearedlatAuftred. » La il B CHAMPAGNE ''P&éniX" O >, I La bouteille. 6',4'itUl ! H CHAMPAQNE'HabkPlt" a 1 CART£,VERTE, la bout. S Cil H CARTE BLEUE La bouteille, %M,QU H LIQUEURS SURFINES a 1 ANISETTE, CURAÇAO, CASSIS Y Cfl H Le litre UlDU M RHUM S' AUGUSTIN Â i Ditlil'àtion de canne» fraîche». Am. "7C H LetOUTEILLE 0 il PUNCH AU RHUM Ô ̃ BJ CaUVENTINE,,^S;.O 7, 1 uu LiqueurJeune 'J~ Ll bouteille B tr. U f l2'boueille- Lmt I O SE POUR ET ^V LES £$> '^>' oh^* c»^ se^9 Prix ctu Flacon *J s n I DÉSIGNATION Cour! dll OlttllTe [ OltKu ni 'Ù'È'S VÀ'LÈtJRS 7hiïrî~ïâ^[ constat. FONDS D'ÉTAT ÉTRANGERS RusSse'S&tflyji. T 87 ÛO 87-90+.. 10 i » -4x lnt?r' 89 00 SU 5i 5 »̃ ̃• 'T lOf'CO '103 65'- + i'Yi%' "•iJÎ%'1909.» 100"55 100 70'J- 15 i. ,» Serbie i% JS' -S7-17 ̃ 87'07 •*• 10 25 » ̃– -5X MOi-Monopol.» 50175. .'ï DO SUisse ;V, % 99 50 "J9 60+.. 10 4 » nette Turque 9175 9tSD+..ll> '0 n -î'i .'0 » Ottom. priorité i »! 450 20 ottom, , », 4~ ..1. ;'O .VOblig. Douanes i% » 50-i 50S. U up Uruguay S'A Y. IS'Jl C '75 M >. OBLIGATIONS DIVERSES • Panama Bons â lots, l,îs .. 137 +.1 » Suez » cl? 50; ° ~ V- » SiT> 50 1-75 .50 10 » Port du Hosai-io ̃̃> ,017 510. –.1 .'0 » C • des Métaux '.» DiiS 25 âofi +..75 11 » ̃ Ti' aOl 50 WJi 50 15 » Geaér11 des Eaux ̃> Hil.. 4;'j –.1 j0 ̃> i-y, 52; 525.. -i .5 20 » Fives-Lille 490 m 75 l S5 i 20 »Gtt2&Eau? » 501.. 500 50– Cû 20 » Français et Etrange 000.. 5uû ,.i -'9 '• CeatraU% 1, 20 5!2' .1 23 2* Lits militaires » 005 i'Ô5 17 50 Messageries Maritim'.» 407 00 407 00- ̃0» OmuibusiS ,000 00 00775 +.1 25 17 iiO Voitures .» a'Ji I 303. 17. 00 LdBanliofEgypteSJâ'i» 425 50' 425 50 20 • Wajons-I its 4 •; » 505 50 OOG 50 + 1 12 > ÏSi'J 00 ifi •. -3 50 q' MARCHÉ EN BANQUE 21 déc. I'. Hier lAujourdll lir Auioard Argentin i ;;Ti 92 27 1 .t [ uu.. wo Brésil»;; 1895! 100 50 100 47 jThàraS. i 15ii 150 00 -5 1 903 101-ïOr 101 15 ;Flain3. ,C .530 029 4r. ftesci 90 17. 90 1 42. ',3%. "36'27 "JG*42 Oia. Neosss.> "12?,5' 1258 Rouen. 5;03 ̃] lfll'SO lui ao OUOO ritçô LctsTurcs..T; 2i> î;> 218 75. lus. ios .Ce Beçrs ord "478 5O.'479\. Obi 4 » 3û9'j 309 Harosnep. 1017 ̃ 1030 41t.. 44S 505' • 5SB Tav. Pousse!. > 120.. J18- Harpener. Plaq,Lumièro!¡¡.. !¡4S. Huanchaca.» 78 78 Zitnrnsr. > 11! liauriiimgrso M 25! 05 75 Soie 283.. ïS2. S'LorCietricS -279-l-2î9-l- ̃ parts» C'.1.. 60 Bien que les échanges soient demeures restreints,, la. tendance "du. marché. -en banque est ..demeurée' satisfaisante. darfs-l-Vrisémblè. Dans le groupe des Fends d'Etat, c'est la- Rente intérieure espagnole 4 0/0-qui a'été 'demandée aujoiird'hui. ̃ ̃ ̃ Xa De- Beers ordinaire est. ;V 479 eon'lre -57/8 "0. \&préfèi;e;.iec, en recul ;"de..2"fr..50..à par cpfitre, la Jagersfontein ordinaire, en avance de i'fr.'f>O-;V2O9'-francs- Le Cape ̃̃Copper;Mphit-âe 1 franc, et la Tharsis finit à 155- contre ISO. ̃ ̃Les valeurs-métallurgiques- russes sont mieux la. AfaJtso/' regagne 11. francs, \aJIaut-Voiçi_a, 2 'françs'la llârlhïânn,' 1 franc cependant la Toula est hésitante à 841- contre 3ii 50. • •' La1 Balia-Keraïdin,- qui-restaithier à-'i06, pas?e à iÈ? Plathia, 526,. contre 525; Harpèneï, en'm6,ins-valûe -de '3 francs; ïiuanchàca, 78 au -̃̃• v MINES D!ÔR A PARIS 21 déc. ..Brakpan ..75. > ,[[Modiièrfont- 6. 09-75 -70 CSartsred. 1150 'iHlliB mmmmmmtmiusmmmBim] a. i» ̃̃MilmUUUaHBaBi [tins gtéatle et 1» ptacflieacs des Laistifi. 11m. de S fl doses fi. SAGE-FfîlWI1WIIDiscpétian,42. R. CADET Imprimeur-Gérant QUINTARD. Paris. Imprimerie du Figaro, 25, riiô Dfoùot. doit 425 0/0 do soft capital la Mè. Charlton. 875,308 liv. -st. 21 millions fr.,' ou 9*i5 0 O do son. capital la Now Kleinfontfin, liv. st. 21 millions"403,125 fr. soit 122 1/2 0/0 de son capital la Van Rvri, ' liv v st. 22 millions 37o,000 ft, . 1/2 0,0 d. son capital, etc., etc. Aprfrs de tels .chiffres ie n'est pas besoin d'appuyer sur la"îkKessa dul sous-sol dû Rand. • ̃ '• Bourses étrangères -ONDRES, 21 déc. H'w I H'W 1 HHrii-1. ConsoNdès. 82 7'8 77 7/8 Ext r. Esp. 05 3/4 Tûariis. C-l.'S li 1/8 Italiens1;. lO.'i i/2 101! 1/2 C&ani;s Pr ̃ 2542 'l'2 25 !••' 1/2 Portugais. fii 1/S GC> 4 157 ii 3-78 Russ 3 Jo s 10 ~.f Cil~n 1. t 2H21!2 2 ¡Zli2 Pa 9~ C. *,1 i 1.~ GC~ i îsc. rgont 1. Ba 11. '1..~5/ 1,' li ~21 l, -7 16 8 Russs4%J U3 7,'S. . Arjont m'jl. 2t'l!l 2 i 1*- 10 BtKLIN, 21 ÇICC. Allemand 3%. i S5 85 ..] DresJn 31- Biak 151 iO 10123 Prussien. 3%. 80 85. 191150 l'jii 10 Extérieure Deutsoia aank 2iii 20 2i. iû RusseOJHsi% 90 50 90 70 Berlin Hanj.. ist 50 lst 00 Uon;rpJs !5 20 U5 25 251 7i 22 10 Italien A1, lût 11 !0t lu Laura. M;i;70 lsi-l 5i Turcilnine. 91- 0.. Rail .vays. elsj. L» >• lij'j •. LotsCgnja. U0 75. 91 50] Parisien éleatri 292 201 1 VIENNE, 2idéc. uiricaien oc • ii?-so 117 50 L»ndcroani.. i 506" '> 505 20 Gouron 95 20 95 15. Alpines i 7i> ->-j Hoajrois Or.. 11,'i 75 lli 70 TaoDcs Ottcim. i 3-JJ .̃ ."lia i Couron 92 45 ̃ 92 45 Çlie.' Tili'.j 715"^J B* 17? Lomoards. Zii 1" Crédit' AUtribft 072 70 072 70 Lots Turc; 222 •>•'̃̃ CrJ\ ' 0, 0 tfits TurC]", 222 22~ lliS- 11W Il Change s Paris 95 70 95 o MADRÏD, 21 doc. neiiieiidi a;, wj ou ivj tu içierjeurs 4-; ovb^ bu 45 35i. 7175 7175 9. BanqKatfonals 'lSjrr. l!S5 Amortisse V. H'I'0TT35' "100" 70 fi'Jii ii» 50 . 4lifl- 13. 408-50-407 I Oéd Sypota t I Cn".t,IJQlterran. 40~ ..0 100 J 1 Ced hYPJtJ 11. J C SJ Gaannèsl'Paris; 100 52 100 Sîi ChanwsïParisr -G'SO e S0 1 ̃•̃. NEW- YORK,. 21 déc ..̃̃̃ icaison Top. 122 121 fi/8 !»a*-T-Bntar. 49 l'i J0 l;S Baltim.& Oùio 118 1/S 117 -US IPûnsylvanie H5 • 7-8- ijj 1;2 Canada Pacific 179 14 179 jUnion Pacific. 202 7 8 202 5/8 CiioagoS Pdul 157-4'! 7712 77 1/4 52 51 5/8 lArjent-aétâil. 52 ",l 4 -52.;/8 trié '31' 7 'S tii lAiiïà'gâm. Cop. S7 'i'i't 88 l'i 70 7/8 7ed.. 1 9rlii 1 -9,li Modderf. B. 2 i'4 2 ll'io CindereLO..2. 3/S- .2 'S/S 'NcwGoch. 1 15 16 1.' lô/ÏC City an J Su J 2 2MG NiwPriniros' 2 lit- 2 St/i OeBoers D. W-iiVIG 1S lù/lli New Steyn. T I'25fa2 -1- 25/1O CityaolOuJ 2 1 ,2 1 `t N,wPI~imros' 2 Ii >1' 2 ;J¡ DurnanDp. j 2 ,1/lii S 1S ourse Mine i 1S- t 3/10 Dura'.Rjod. ;i 1/S ;i 1/S Rand Collier 1 '3'SI 1 .3/8 Et-st Ràni.. 5,7/16 RjndMines. .' ï?î0 i 'a 1/4 Ferreira, 1! ,1/2 10, ;'4 Rouinson D. ,s li/10 ferreira D. 5 .'i /'S D'3/8 8 M R S 3 '4 • î i/4,"Geduld. 2 15/32 215/33 i 4 13 '10 Geldsnh. Dp •!̃ 4 Simm&Jack 1 îrifi l,U/lft -2 '3/16 2 '3/10 Trans. 2 7/8- 2 ?;S Gen.'lI\inf; .2l1G '2' 3 ,2 7 S Goerz 2 1/S 2-3-32 1 3,8 1 i;S s 7 1/2 -7 9/1G 2 31/32 2 Hi'.12 Goldfîelds.. 5 3/4 5 27/32 ̃ Treasury.. t H/3 H/S Jagersfont. 8 5/16 8 5/16 Van Dyk I 1 7;8, 1 7'8 Joiiilee 2 • 2 Van Ryn. 4 13/1G iî,.S Jumpers. 1 11/ If 1 Uiït, .Village 4-R 4 1/2 t 12 2 Kleinfontein 2 U/1G 2 H/16 1 1/4 1 1/4 Knight's. 3 13/10 3 7/8 jWitwatDeep 5 3/1C 5 316 1night's 2 111,IG¡ 2 ° rb [ 1 11,411 t'4 2-Ï/8 2 7/8 Woliuter. 4 1/8' 4 l<8 frooiiaine -ré^aa tlH'pfims 22 dis. R3,]i?i}2î Jii Londres, 21 décembre, 5 h. 20 soir. Le; compartiment sud-africain est reste très ferme,' mais sans entrain. 11' semble que la réponse -des primes de demain soit déjà faite à l'heuro- actuelle. La Premier Diamond, ordinaire finit à 8 15/i6* DERNIERS COURS ÉTRANGERS • met i AQjoara. 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Pour la première fois, Philippe Etchebest va partir en mission pour aider le gérant d'un hôtel en difficulté. Sa tâche sera particulièrement difficile.... Qu'il s'agisse de l'accueil, du ménage, des services ou des prestations, les problèmes ne vont pas manquer. C'est à Aix-les-Bains, ville thermale, qu'un hôtel 3 étoiles a fait appel à Philippe Etchebest. Cette bâtisse historique et vieillissante, gérée par un patron âgé, cumule les problèmes... © STUDIO 89Vous aimerez aussi...Ma famille d'abord14 épisodesMichael et Janet sont des parents comblés, ou presque ! Car entre un fils turbulent qui cherche sa voie, une fille en pleine crise d'adolescence et une autre prête à toutes les espiègleries, ils se doivent d'être sur tous les fronts... Une chose est sûre chez les Kyle, on ne s'ennuie jamais ! © WALT DISNEY COMPANY THELes rois de la piscine8 documentairesKelly Caviness et sa famille bâtissent des piscines dans l'Oklahoma. Quand Mike et Lisa ont décidé de remettre leur jardin à neuf, ils ont tout de suite pensé à Kelly. Son défi va être de remettre à neuf la piscine démodée, pour qu'elle soit en accord avec le reste de la maison et qu'elle s'intègre naturellement au paysage. En parallèle de cette réalisation, Kelly travaille sur une gigantesque piscine sur le thème des pirates, un projet en cours depuis près d'un an… © SCRIPPS INTERNATIONAL MEDIA HOLDINGS, LLCChasseurs d'appart'21 émissionsStéphane Plaza présente une compétition d'un nouveau genre où 3 chasseurs d'appart' s'affrontent pour trouver le meilleur bien immobilier ! © STUDIO 89Scènes de ménages602 épisodesVotre couple vous désole ? Vous vous lamentez de vivre seul. Scènes de ménages va vous aider à relativiser ! Avec Valérie Karsenti Liliane, Frédéric Bouraly José, Marion Game Huguette, Gérard Hernandez Raymond, Anne-Élisabeth Blateau Emma, David Mora Fabien, Amélie Etasse Camille, Grégoire Bonnet Philippe, Claire Chust Leslie, Vinnie Dargaud Léo, Claudia MONGUMU Louise, Ryad BAXX Jalil © M6 Studio - NoonDéco ou négo34 émissionsDans Déco ou négo », des couples doivent décider s'ils préfèrent améliorer leur maison actuelle ou en changer pour celle de leur rêve. © BEYOND ENTERTAINMENT LIMITEDJayce et les conquérants de la lumière10 épisodesPour exterminer les Mostroplantes, êtres hybrides maléfiques créés par erreur par son père, Jayce doit réunir deux artefacts l'un en sa possession, l'autre détenu par son biologiste de père. © DHX WORLDWIDE LIMITEDLe 12457 JTRetrouvez toute l'actualité de la mi-journée. © M6Le Hit W92 émissions Le Hit W9 », la nouvelle émission musicale pour découvrir les cinquante chansons les plus écoutées sur le net chaque semaine. © STUDIO 89Caméra café35 épisodesLa machine à café d'une petite entreprise est le théâtre de discussions entre employés. Vie privée, vie professionnelle, ragots, moqueries, ... tout y passe ! Retrouvez Bruno Solo, Jean-Pierre Devillers, Yvan Le Bolloc'h, Jeanne Savary, Jeanne Decobert, Alexandre Pesle, Armelle, Sylvie Loeillet, Gérard Chaillou dans les aventures de Caméra Café ! © CALT PRODUCTIONTrès très bon28 émissionsPrésenté par François Régis Gaudry. Avec Elvira Masson, Mina Soundiram, Valentine Oudard, Philippine Darblay et Gwilherm de Cerval. Tables bistronomiques, restos chics, adresses traditionnelles et autres comptoirs secrets, la fourchette de François-Régis Gaudry pique de tous les côtés. Toujours en bonne compagnie, l'expert teste et a le bon goût de partager. Bonnes adresses, plats malins, associations inspirées, ça donne des envies et des idées. TV Only Paris Première
Regardezimmédiatement en replay Cauchemar à l'hôtel, diffusée le 31-01-21 03:01 Cauchemar à l'hôtel m6 Cauchemar à l'hôtel : retrouvez grâce à Télé 7 Replay toutes les vidéos disponibles gratuitement de Cauchemar à l'hôtel en replay et en streaming. Aix-les-Bains le 03/12 2015 à 20:55 . Philippe se rend à Bellegarde, une petite ville dans laquelle Hélène et Guy se sont

Regarder maintenant StreamingM'avertir Cauchemar à l'hôtel n'est pas disponible en streaming. Laissez-nous vous avertir quand vous pourrez le regarder. 1 épisodes S2 E1 - L'hôtel-restaurant de l'Agriculture à Bellegarde LoiretNote Casting Regarder Cauchemar à l'hôtel saison 2 en streamingNous ajoutons régulièrement de nouveaux services de VOD et SVOD mais nous n`avons pas trouvé d`offre pour "Cauchemar à l'hôtel - Saison 2" en streaming. Veuillez revenir plus tard pour voir si une offre a été ajoutée.. Ca pourrait aussi vous intéresser Prochaines séries populaires Prochaines séries de Reality TV Série

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Cauchemarà l'hôtel - Bellegarde - 15 06 16. Télé 7 Jours. Suivre. il y a 5 mois. Cauchemar à l'hôtel - Bellegarde - 15 06 16. Signaler. Vidéos à découvrir. Vidéos à découvrir. À suivre. 1:03. Le cauchemar de cette femme qui voit ses seins grossir tous les jours. Gentside. 3:44-Un cauchemar- - Kiefer Sutherland se confie sur sa rupture avec Julia Roberts trois jours
Originele uitgave 3 June 2014 Vorige aflevering S01E01 - Le Manoir Aix-les-Bains Aantal S01E02 Geslacht Reality TV Bellegarde 202 leden Cette semaine, Cauchemar à l'hôtel est de retour. Philippe se rend à Bellegarde, une petite ville dans laquelle Hélène et Guy se sont lancés dans l'hôtellerie par passion. Cela fait 10 ans qu'ils ont acquis un établissement mais leur rêve s'est vite transformé en cauchemar des prix trop élevés, un manque de visibilité et trop peu de contact avec les gens du coin leur ont petit à petit fait perdre toute motivation. Aujourd'hui, Hélène, la gérante, a baissé les bras elle vit quasiment cachée dans son hôtel et ne sait plus quoi faire pour ramener des clients. Une ambiance pesante que Philippe va découvrir. Et la personnalité d'Helene ne va pas lui simplifier la tâche...Heureusement une jeune équipe est en place pour que les choses changent et, ensemble, ils donneront tout pour ramener du monde dans l'établissement. Alleen voor leden inhoud Als je een fan bent van tv-programma's, weet je hoe moeilijk het is om op de hoogte te blijven door alleen maar naar de afleveringen te kijken. Tussen de weken van de vakantie en de serie die zonder waarschuwing opnieuw begint, is het soms de hel. Dankzij BetaSeries kunt u eindelijk uw serie van A tot Z beheren van het beheren van uw schema en uw films tot het ontdekken van nieuwe series... Dit alles omringd door de BetaSeries-gemeenschap en uw vrienden, direct op de website!
Cauchemarà l'hôtel : retrouvez grâce à Télé 7 Replay toutes les vidéos disponibles gratuitement de Cauchemar à l'hôtel en replay et en streaming. Cauchemar à l'hôtel m6 Philippe se rend à Bellegarde, une petite ville dans laquelle Hélène et Guy se sont lancés dans l'hôtellerie par passion. InfosDiffusionsCastingRésuméPhilippe Etchebest se rend à Bellegarde, une ville dans laquelle Hélène et Guy se sont lancés dans l'hôtellerie par passion. Voilà dix ans qu'ils ont acquis un établissement, mais leur rêve s'est vite transformé en cauchemar des prix trop élevés, un manque de visibilité et trop peu de contact avec les gens de la région ont contribué à faire péricliter leur affaire. Hélène vit quasiment cachée dans son hôtel et ne sait plus quoi faire pour ramener des clients. Et la personnalité d'Hélène ne va pas simplifier la tâche de Philippe... Heureusement, une jeune équipe est en place pour que les choses changent et, ensemble, ils feront tout pour ramener du monde dans l'établissementGenreTéléréalitéAnnée de sortie2014AvecPhilippe EtchebestInfos supplémentaires—Avis des internautes 1Vous avez aimé ce programme ?
ILva terminer la patronne de l'hôtel! Revoir Cauchemar à l'hôtel sur Paris Première en replay et en streaming, Revoir un programme tv en replay et en streaming, Autres programmes : Pour exercer vos droits, collega bedanken samenwerking CMI Digital à l'adresse tele7jours cmimedia. Miss congeniality streaming.
Abonnez-vous Mercredi 15 juin 2016, M6 rediffusait le premier numéro de Cauchemar à l’hôtel, dans lequel Philippe Etchebest tentait de redresser l’affaire d’Hélène, une gérante qui a baissé les bras. Une mission délicate pour le chef étoilé qui doit composer avec le très mauvais caractère de cette dernière. © capture écran Hier soir les téléspectateurs de M6 avaient rendez-vous avec Philippe Etchebest dans Cauchemar à l’hôtel. Un numéro déjà diffusé en 2014 mais dont on ne se lasse pas. Le chef étoilé s’est rendu sur la route de Bellegarde, petite ville du Loiret afin d’aider Hélène une gérante d'hôtel au caractère bien trempé, mais totalement au comportement glacial, a baissé les bras et vit désormais cachée dans son hôtel et dès le premier jour elle fait comprendre à Philippe Etchebest que sa présence l’importune. Le chef débute son coaching en demandant le planning, mais visiblement "pas du matin" la gérante lui répond sèchement "Oh mon Dieu ! Non mais foutez-moi la paix 5 minutes quoi, putain ! Casse-couilles dès le matin" Le ton est donné…Philippe Etchebest très agacé tente de rester zen "Vous voulez qu’on arrête Hélène ? Moi je fais ça pour vous c’est pas pour moi ". Toujours sur la défensive Hélène lui répond "J’ai passez l’âge de me faire engueuler comme un gamin de 2 ans ". Pour conclure cet "agréable" échange matinal, Philippe Etchebest rétorque "Vous savez dès fois un bon coup de pied au cul ça fait du bien, surtout quand on est dans la merde".Des personnes qui ont osé parler sur ce ton à Philippe Etchebest, on doit pouvoir les compter sur les doigts d'une main...Voir le replay de Cauchemar à l'hôtelSarah Ibri Résumé Philippe se rend à Bellegarde, une petite ville dans laquelle Hélène et Guy se sont lancés dans l'hôtellerie par passion.Cela fait 10 ans qu'ils ont acquis un établissement mais leur rêve s'est vite transformé en cauchemar : des prix trop élevés, un manque de visibilité et trop peu de contact avec les gens du coin leur ont Money Drop le en replay 5 Juin 2014 Publié dans Emissions Synopsis Laurence Boccolini accueille huit nouvelles personnalités sur son plateau Roselyne Bachelot, Arnaud Tsamere, Flora Coquerel, Laurent Mariotte, Issa Doumbia, Jean-Baptiste Shelmerdine, Anne Roumanoff et Jean-Marc Généreux. Répartis en quatre... Qui veut épouser mon fils ? - Episode 7 le 5 Juin 2014 Publié dans Emissions Synopsis Cette semaine,Thierry, Florian, Steven et Jacky poursuivent leur séjour à l'étranger. Alors que chaque candidat passe 24 heures en tête à tête avec l'une de ses deux dernières prétendantes, la seconde célibataire reste avec sa maman. Que ce... Replay Les people passent le bac le 3 Juin 2014 30 Mai 2014 Publié dans Emissions µ Synopsis Ce soir, sept personnalités - Damien Sargue, Olympe, Caroline Receveur, Fauve Hautot, Jean-Marie Bigard, Lola Marois et Valérie Bègue - tentent de passer ou de repasser le baccalauréat. Au programme du français, des mathématiques, de la... Replay Cauchemar à l'hôtel le 3 Juin 2014 30 Mai 2014 Publié dans Emissions Le chef étoilé se rend à Bellegarde, dans le Gard, pour venir en aide à Hélène et Guy qui rencontrent de grandes difficultés avec leur établissement. Il y a dix ans, le couple s'est lancé dans l'hôtellerie avec des rêves pleins la tête. Mais la réalité... Les Marseillais à Rio du 3 Juin 2014 W9 en Replay 30 Mai 2014 Publié dans Emissions Revoir Les Marseillais à Rio 3/6/2014 en streaming informations Voici l'une des émissions francaise les plus regarder et partagé sur les reseaux sociaux,c'est pourquoi notre site vos offre l'occasion de faire le replay en ligne de la derniére sortie... Les Marseillais à Rio du 2 Juin 2014 W9 en Replay 28 Mai 2014 Publié dans Emissions Revoir Les Marseillais à Rio 2/6/2014 en streaming informations Voici l'une des émissions francaise les plus regarder et partagé sur les reseaux sociaux,c'est pourquoi notre site vos offre l'occasion de faire le replay en ligne de la derniére sortie... mFCpx.
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