Vus La Commission européenne, Vu le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, Vu le règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce (1), et notamment son article 19, paragraphes 3, 4 et 5, (1) JO L 61 du 3.3.1997, p. 1.FIGAROVOX/ANALYSE - Le 1er novembre est la journée mondiale du véganisme. Ce combat militant devenu très médiatique interpelle par la radicalité de ses positions. Mais derrière la violence caricaturale du mouvement, lantispécisme est une doctrine bien plus inquiétante et cohérente qu'il n'y Sugy est journaliste au FigaroVox.Jeudi 1er novembre 2018, les passants flânant près de la place du Palais-Royal tomberont nez à nez avec une scène sanglante, organisée par notre association à l'occasion de la Journée mondiale végan» prévient l'association Vegan Impact dans un appel au rassemblement envoyé à ses militants. Et en matière de mises en scène sanglantes, les végans ne sont en effet pas en renouveau militant?L'activisme en faveur des droits des animaux semble faire de plus en plus appel à la violence en France, calquant les mouvements créés aux États-Unis où cette violence n'est pas neuve l'Animal Liberation Front ALF par exemple, fondé en 1976, s'était immédiatement fait connaître pour ses actions illégales dont la plus célèbre fut l'opération Bite Black, en 1991, une série de raids incendiaires visant à détruire les élevages destinés à produire de la de ce côté-ci de l'Atlantique, c'est récemment que la montée en puissance d'une tendance abolitionniste, plus violente, a donné au mouvement une visibilité médiatique accrue. Jusqu'ici, les végans s'étaient concentrés sur des actions essentiellement à visée symbolique, destinées à éveiller les consciences production de documentaires ou d'affichages choc». À présent, les happenings publics se multiplient, au cours desquels des militants miment des animaux conduits à l'abattoir, à grand renfort de mises en scènes ensanglantées allant parfois jusqu'au marquage au fer rouge. L'assimilation de la production de la viande à la Shoah fait d'abord partie d'une stratégie de communication bien huilée. L'association 269 Libération animale appartient à ce renouveau militant, avec le mouvement Vegan Impact ou encore Boucherie Abolition. Ces organes de lutte ne dissimulent pas leurs divergences avec l'association historique, L214, créée en France en 2008. On ne travaille plus ensemble parce qu'on n'est pas sur les mêmes axes politiques», confie à La Dépêche une militante de Boucherie Abolition».Ainsi, et c'est la nouveauté, parmi les actions menées désormais par ces associations, de nombreuses dégradations commises sur des boucheries ont eu lieu depuis cet été, au point d'inquiéter le président de la Confédération française de la boucherie Jean-François Guihard qui a alerté à ce sujet le ministère de l'Intérieur pour demander une protection comparaison avec la ShoahCette radicalisation est aussi sémantique. Dans Les Terriens du samedi 6 octobre sur le plateau de Thierry Ardisson, Solveig Halloin, la porte-parole du collectif Boucherie Abolition, compare la consommation de viande à l'Holocauste - et même un nolocauste» un génocide programmé dès la naissance. Sur sa page Facebook, les textes écrits par la militante sont d'une violence comparable, sinon pire militants végans sont assurément de bons clients pour les talk-shows télévisés, car ce sont des spécialistes du buzz. L'assimilation de la production de la viande à un crime de masse comme la Shoah fait d'abord partie d'une stratégie de communication bien huilée visant à coloniser le débat public par un renouvellement sémantique. Plus l'image choque, plus elle interpelle et plus elle offre une visibilité à celui qui l'emploie. Et ça marche! D'après un sondage IFOP de mars 2017, 80 % des Français considèrent la cause animale comme importante» ou très importante».Par ailleurs, cette radicalité lexicale justifie la violence des actions militantes menées par les défenseurs des droits des animaux. Qui pourrait nier en effet la légitimité d'une mobilisation, même violente, qui dénonce ou combat un crime de masse? Personne aujourd'hui ne songerait à reprocher aux auteurs de l'opération Walkyrie d'avoir utilisé les armes pour attenter à la vie d'Adolf une doctrine redoutablement cohérenteLa vraie question n'est donc pas de savoir si le mode d'action utilisé est légitime ou non, mais si l'idéologie qui le nourrit est juste. Si elle l'est, la violence des végans est sans doute largement au fait, de quelle idéologie parle-t-on? L'antispécisme est un courant de pensée, apparu aux États-Unis sous la plume de Peter Singer La Libération animale, 1975, qui refuse de considérer l'espèce auquel appartient un animal comme un critère déterminant pour justifier des différences de traitement, moral ou juridique, à son endroit. Cette radicalité lexicale justifie la violence des actions militantes menées par les défenseurs des droits des animaux. Les grands principes de cette doctrine sont bien plus cohérents qu'il n'y paraît - et du reste, les positions caricaturales des militants animalistes masquent souvent le sérieux de ce courant de pensée, qui regroupe beaucoup d'intellectuels et d'universitaires s'agit en réalité d'une déclinaison possible de la philosophie utilitariste, qui prescrit comme unique critère moral la maximisation du bien-être collectif. Une action n'est morale que si ses conséquences sont les moins nocives possible, et non plus comme dans le vieux monde kantien si le principe qui préside à son accomplissement est lui-même moralement s'appuie alors sur un argument extrêmement solide la sentience», ou la capacité, pour un animal, à ressentir une douleur physique ou un affect psychique. Celle-ci s'observe, de manière plus ou moins développée selon les espèces, par la biologie en particulier, un animal qui peut ressentir de la douleur est souvent aussi capable de modifier son comportement pour l'éviter, comme une vache évite de s'approcher trop près de la clôture pour ne pas subir de décharge critère de la sentience permet ensuite de classer les espèces vivantes en fonction de leur intérêt» un animal sentient a pour intérêt d'éviter, autant que faire se peut, la douleur... contrairement à une graine de quinoa, pour qui toute souffrance est insignifiante puisque cet être vivant est incapable de la peut donc manger du quinoa, pas de la vache. Les antispécistes considèrent en effet que seule cette hiérarchie est recevable sur le plan moral, car en réalité les différences entre espèces ne sont pas essentielles en clair, rien ne permet, biologiquement, de déterminer un critère fondamental qui serait le propre de l'homme». Ils s'appuient notamment pour l'affirmer sur les avancées récentes de l'éthologie, la science qui étudie le comportement animal. Ainsi donc, qu'aurait l'homme en propre qu'on n'observerait chez aucun autre animal? Le langage articulé? Certains oiseaux en disposent aussi. Le comportement politique? Les chimpanzés en ont des similaires. Des scientifiques avancent même que les chats ont développé une forme de sens de l'humour...Qu'on se rassure les philosophes antispécistes ont bien conscience que l'homme est autrement plus intelligent que le reste du règne animal. Seulement ils n'y voient qu'une différence de degré, pas de nature. Les implications d'un tel raisonnement semblent donc imparables puisque notre capacité à souffrir est rigoureusement identique à celle de toutes les bêtes que nous mangeons, il est strictement immoral de perpétuer ce zoophagisme». Il ne s'agit pas de donner aux animaux des droits rigoureusement identiques aux nôtres, mais de faire respecter ceux qui leur échoient par nature, du fait de leurs capacités à être affectés par la douleur, en premier lieu desquels le droit de ne pas être torturés pour les besoins alimentaires de qui que ce où ça coinceIl n'est pas simple bien sûr de résumer en quelques lignes un courant de pensée qui s'appuie sur des bibliothèques entières de publications, d'essais et de revues, et dont les tenants ne sont d'ailleurs pas tous d'accord entre eux. Néanmoins à ce stade, deux observations peuvent être faites, qui suffisent à mettre en péril tout l'édifice intellectuel sur lequel repose l'antispécisme. Les bêtes sauvages se dévorent entre elles à longueur de journée, et nous n'y pouvons d'ailleurs absolument rien. Comment se satisfaire d'une telle injustice ? On pourrait commencer en pensant par l'absurde pousser jusqu'au bout les conséquences logiques du raisonnement. Si donc l'homme est un animal comme les autres», et qu'en conséquence de quoi il doit s'abstenir de manger d'autres animaux innocents ou de leur infliger quelque souffrance que ce soit, il n'existe après tout aucune bonne raison de penser qu'il doive être le seul animal à s'en tenir à de pareils principes. Or il n'a échappé à personne que l'homme est loin d'être le seul animal carnivore les bêtes sauvages se dévorent entre elles à longueur de journée, et nous n'y pouvons d'ailleurs absolument rien. Comment se satisfaire d'une telle injustice?Mais voilà il existe des penseurs de l'antispécisme pour défendre, le plus sérieusement du monde, l'idée que l'on doive aussi empêcher les lions de manger les gazelles. David Olivier est de ceux-là, et tente de trouver, pour y parvenir, d'autres méthodes que de tuer tous les lions Le lion doit recevoir des antibiotiques si c'est ce dont il a besoin pour survivre. Mais le droit à la vie d'un lion lui permet-il d'exiger d'une gazelle qu'elle lui cède ses organes - de fait, son corps entier? Je ne vois pas comment cela pourrait se justifier.» À vrai dire, cet argument par l'absurde n'est pas le plus pertinent le fait qu'il soit grotesque ne présage en rien de sa validité. Ce n'est pas parce que nous ne savons pas par quels moyens poursuivre un but que celui-ci est moins moral pour autant. Après tout, les sociétés humaines ont toujours tâché d'empêcher le meurtre et aucune d'elle n'y est parvenue...Bien plus intéressante en revanche est la question philosophique que pose l'antispécisme. Cette doctrine repose sur une option discutable, et discutée depuis des siècles en philosophie morale, l'utilitarisme n'est en effet pas la seule manière de raisonner. Il existe au contraire une morale fondée non sur l'utilité mais sur des principes d'action ce n'est plus la conséquence d'une action qui détermine de sa moralité, mais la maxime qui la c'est là le point aveugle de l'antispécisme. Car cette doctrine se fonde sur une approche exclusivement centrée autour de la biologie et des connaissances que cette science du vivant nous donne du monde animal. Mais s'il est bien un domaine où la biologie se révèle inapte, c'est précisément pour penser la conscience qu'a l'homme de lui-même, et la réflexion qu'il mène sur les principes de sa propre action. Cette connaissance nous vient de l'ensemble des sciences humaines l'homme se connaît lui-même par la psychologie, la sociologie, les sciences politiques, la philosophie ou même la littérature... Nos principes moraux et juridiques ont été élaborés, au fil des siècles, grâce à la somme de toutes ces connaissances. Les sciences humaines réussissent donc ce dont la biologie seule est incapable isoler l'homme de toutes les autres espèces animales, comme étant un être réflexif, capable de penser sur sa propre pensée. Beaucoup de sciences ont eu tendance à se considérer comme les seules légitimes à poser un discours sur un objet donné. Dénonçant ainsi le pari naturaliste» des antispécistes, le philosophe Étienne Bimbenet ajoute lorsque vous considérez l'être humain en biologiste, vous ne le regardez qu'en tant qu'animal il est donc normal de conclure que l'homme est un animal. Il est vrai par exemple que l'homme partage 98,6 % de ses gènes avec le chimpanzé ; mais conclure à partir de là que l'homme est un troisième chimpanzé», c'est juste oublier que la génétique n'est pas tout elle ne représente qu'un point de vue très restreint sur ce que je fais chaque jour comme être humain, les rites de politesse, les paroles échangées, les convictions morales ou politiques, les curiosités scientifiques ou artistiques…»Pour conclure le constructivisme» en questionLes pistes de réflexion évoquées ici sont en réalité fondamentales, non seulement pour percer à jour l'imposture des antispécistes, mais aussi pour comprendre de manière plus générale comment la lutte contre les inégalités ou les discriminations a pu tendre vers une déconstruction perverse de pratiquement tous les acquis de notre qu'en réalité, beaucoup de sciences ont eu tendance à se considérer comme les seules légitimes à poser un discours sur un objet donné. Ainsi, comme certains naturalistes ont pu ne considérer l'homme que sous le prisme de l'animal, les sociologues avant eux ont procédé de la même manière avec de nombreux objets des sciences sociales, comme le genre. Oubliant ainsi que si une partie de l'identité sexuée des individus est effectivement une construction sociale, on ne saurait réduire la différence sexuelle à cela - et du reste, sa première manifestation reste avant tout défenseurs des droits des animaux nous promettent probablement aujourd'hui un chamboulement au moins comparable à celui opéré par les intellectuels partisans des gender theories» du siècle passé. Or l'histoire a montré que ces derniers ont gagné sur tous les plans l'écriture inclusive ou la mention autre» pour renseigner le sexe à l'état-civil en sont témoins... Eneffet, je tombe régulièrement sur des chroniques qui présentent des histoires qui se veulent étonnantes et rares lorsque deux espèces d'animaux, par un hasard de la vie, se mettent à cohabiter ensemble. Je me suis donc dit, vu que je viens vous présenter l'un de ces récits aujourd'hui que ce serait intéressant d'en faire une
Toujours à vous poser cette question je suis parti ou partie ? Parti et partie sont des homonymes et plus particulièrement des homophones. Ce sont des noms qui se prononcent de la même façon, mais avec un sens différent. Attention Ne mélangez pas avec le verbe partir qui, lui, se conjugue ! Quelle est l’orthographe juste de parti » ? Je suis parti ou je suis partie ? », il y a un e » ou pas ? Alors, vous vous retrouvez sur un moteur de recherche en tapant ces expressions communes comme faire parti ou faire partie », pour en avoir le cœur net. Je vous propose de décortiquer ensemble cette erreur récurrente, ce doute que nous pouvons avoir sur cette terminaison muette » et ces règles d’orthographe. ===== > En bas de page, vous trouverez également un petit mémo simplifié. Vous pouvez télécharger l’image si vous le souhaitez, dans le cas d’une faute régulière ou d’un doute tenace, il pourrait vous rendre service. Distinguer le sens de ces homophones. Définition de "parti " Parti est masculin un parti Au pluriel des partis 1. Il s'agit d'un groupement/d'une association de personnes réunies par des intérêts communs. Exemples Un parti politique. Des partis politiques Si vous deviez trouver un autre terme pour remplacer parti », vous pourriez utiliser les synonymes suivants regroupement, mouvement, rassemblement, union. Attention Dans le cas où vous évoquez un parti politique, parti » prend une majuscule, à savoir le Parti républicain, le Parti socialiste, le Parti démocrate, etc. 2. Dans un sens plus vieux, il s'agit d'un futur conjoint Exemple Cet homme est un bon parti 3. C'est aussi un choix, une décision Exemple Hésiter entre deux partis Définition de "partie" Partie est féminin une partie Au pluriel des parties Définition simplifiée 1. Il s'agit d'un élément, d'une portion, d'un morceau... dans un tout. On pourrait dire une petite partie dans un gros quelque chose Exemple Il fait partie d'un groupe de musiciens Elle fait partie d'un parti politique Mes frères font partie d'un club de sports Attention à l’accord de votre verbe dans la suite de votre phrase. Lorsque vous utilisez une partie des », vous pouvez au choix utiliser le singulier ou le pluriel. Exemples Une partie des touristes prend des photos ou Une partie des touristes prennent des photos. Ce choix est personnel souhaitez-vous appuyer et donner du sens à une partie » ou sur les touristes » ? Attention Avec l’expression une grande partie de », pas de choix possible, le verbe s’accorde au singulier. Exemple Il est surpris de constater que la plus grande partie des forêts de ce pays a disparu. 2. Il s’agit d’un groupe de personnes qui participent à des échanges, des discussions. Exemple Les différentes parties présentes se mettront d’accord prochainement 3. On parle également de rassemblement autour d’une même thématique. Exemple Je vais faire une partie de pétanque Constatez dans les cas 2 et 3 que le mot partie » est toujours précédé de termes féminins les différentes, et une Quelques expressions à retenir avec "parti" et "partie" *Veillez à bien conjuguer le verbe si nécessaire ! Parti prendre parti tirer parti parti pris prendre son parti Partie prendre à partie faire partie juge et partie en partie tout ou partie en majeure partie partie de plaisir être partie prenante la plus grande partie de partie remise Petite pause et nous continuons ? Parti et partie sont également homonymes avec le verbe conjugué du verbe partir. Il est possible de retrouver ce genre d’homonymie avec d’autres termes, par exemple voir et voire », erreur que l’on retrouve souvent, l’article est ICI, si le sujet vous intéresse. Partir est un verbe intransitif qui signifie quitter un lieu, indique un mouvement. Il peut également définir l’action de mourir ou encore désigner un point de départ/de commencement. Le verbe partir conjugué peut se noter ainsi, partis, partit, partît, avec une lettre finale muette. Il est donc important de les différencier. Posez-vous ces questions Dans quel contexte, j’utilise le mot parti » ? S’agit-il du verbe de ma phrase ou non ? Si non, alors vous vous situez dans la première partie de cet article. S’il s’agit du verbe, alors à vous de voir à quel temps il se conjugue. Pas de miracle, soit vous connaissez votre conjugaison, soit il vous faut vérifier la terminaison à l’aide d’un autre outil, exemple du site le conjugueur, rapide et facile d’utilisation. Cependant, vous pouvez trouver les temps de conjugaison concerné dans le mémo en bas de page. L’article est long et peut-être qu’il vous semble compliqué de tout retenir Synthétisons 1. Parti est soit un nom masculin, féminin ou un verbe Si c’est un verbe, réfléchissez au temps. Si c’est un nom, distinguez s’il est masculin ou féminin, pouvez-vous le précéder de un » ou une » ? 2. Vérifiez qu’il ne s’agit pas d’une expression, car dans ce cas parti » ou partie » sera invariable. Si vous rencontrez des difficultés avec la conjugaison, je vous invite à glisser dans votre tiroir de bureau ou dans votre sac ce petit livre, à un prix tout à fait abordable. Il est très utile si vous souhaitez réviser vos temps, ou bien si vous n'avez pas toujours envie de chercher la réponse sur internet. L'avantage est qu'il se transporte partout et vous permet de le lire de temps en temps. C'est un bon entraînement et vous ferez des progrès de façon régulière. Anti-fautes de conjugaison Vous souhaitez vous entraîner ? Voici un court texte à corriger. La réponse se trouve sous le mémo. Je fais parti d’un groupe de musiciens. Nous sommes parti en tournée, il y a de cela un an. Cependant, je vous le dis, je ne suis pas musicienne, je ne joue d’aucun instrument. Je suis une groupie, mais c’est plus classe de dire que je fais parti d’un groupe de musiciens. Tout est parti d’une soirée, la veille de mes 19 ans. Mes amies m’ont invitée à un concert en ville. À l’entracte, elles sont parti chercher des boissons. Moi, je suis restée là, à l’observer, il était beau ! À la fin de la soirée, j’ai dit au revoir à mes amies et j’ai décidé de le suivre. Aujourd’hui, je le regrette quand je les vois toutes le regarder comme moi il y a un an. J’en prends mon parti. C’est ainsi. Être une groupie, croyez-moi, ce n’est pas une parti de plaisir ! En majeure parti, je porte des affaires d’un point A à un point B. Les membres du groupe se disputent souvent, je prends toujours le parti de mon beau brun. Lui, il ne me sourit plus, il s’énerve. Une fois, je pense même qu’il serait bien parti un soir, sans moi. Je reste encore, je me dis que je peux tirer parti de cette situation. Cela fait deux mois que je me conforte ainsi. Cela fait parti de ma vie maintenant. Cliquez sur l'image pour l'agrandir Correction du texte Je fais partie d’un groupe de musiciens. Nous sommes partis en tournée, il y a de cela un an. Cependant, je vous le dis, je ne suis pas musicienne, je ne joue d’aucun instrument. Je suis une groupie, mais c’est plus classe de dire que je fais partie d’un groupe de musiciens. Tout est parti d’une soirée, la veille de mes 19 ans. Mes amies m’ont invitée à un concert en ville. À l’entracte, elles sont parties chercher des boissons. Moi, je suis restée là, à l’observer, il était beau ! À la fin de la soirée, j’ai dit au revoir à mes amies et j’ai décidé de le suivre. Aujourd’hui, je le regrette quand je les vois toutes le regarder comme moi il y a un an. J’en prends mon parti. C’est ainsi. Être une groupie, croyez-moi, ce n’est pas une partie de plaisir ! En majeure partie, je porte des affaires d’un point A à un point B. Les membres du groupe se disputent souvent, je prends toujours le parti de mon beau brun. Lui, il ne me sourit plus, il s’énerve. Une fois, je pense même qu’il serait bien parti un soir, sans moi. Je reste encore, je me dis que je peux tirer parti de cette situation. Cela fait deux mois que je me conforte ainsi. Cela fait partie de ma vie maintenant. Recevez en exclusivité l'infographie des 10 astuces pour éviter les fautes courantes à l'écrit ! C'est juste ICI
EnsembleD'espèces Dont Fait Partie La Gazelle; Divan Dépliable Sur Lequel On Peut Dormir; Se Dit Des Arbres Donnant Les Poires Ou Les Prunes; En Sport Préparer En Vue D'une Compétition; Extrêmement Surpris Et Étonné; Essai Test Pour Arriver À Un Résultat; Rendre Redonner Rapporter; Il Mesure La Tension Électrique
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I.3 Statut de conservation et choix de l'espèce. Elle fait partie des espèces menacées d'extinction au niveau mondial. Un statut inquiétant qui nécessite que des mesures de protection urgentes soient prises. Ainsi donc plusieurs grandes zones protégées, potentiellement capables d'abriter d'importantes populations d'antilopesEn 2015, il ne restait que trois gazelles des montagnes à Jérusalem. Pour y remédier, les défenseurs de la faune ont fait un pari insolite créer un parc en pleine ville pour reconstituer la harde de ce mammifère menacé. Silhouette gracile, port de tête élégant, petites cornes ciselées, la gazelle des montagnes est une espèce menacée de disparition au Moyen-Orient, selon l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature UICN. A Jérusalem, ces quadrupèdes ont été décimés par la construction d’une nouvelle route qui les a confinés dans le creux d’une vallée à la merci des prédateurs, les empêchant de rejoindre d’autres espaces verts. Créé conjointement il y a six ans par la mairie de Jérusalem et la Société de protection de la Nature SPN, le parc de la vallée des gazelles » n’a pas cherché à éloigner ces animaux de la ville pour mieux les protéger. Au contraire, il se situe dans l’ouest de Jérusalem, au milieu d’une zone à l’urbanisation forte. Le parc, gratuit, est bordé à l’est par les travaux de terrassement d’une future ligne de tramway, au pied de barres d’immeubles vieillissantes et dominé à l’ouest par les tours de Holyland, un vaste complexe immobilier qui surplombe la partie méridionale de la ville. Aujourd’hui, il est le seul d’Israël où les gazelles vivent protégées, en liberté. La SPN a d’abord réintroduit une dizaine d’animaux car le troupeau d’origine avait été presque complètement décimé. Il ne restait plus que trois gazelles lorsque nous avons commencé à clôturer les 250 dunams du parc 25 hectares », dit à l’AFP Yael Hammerman-Solar, la directrice du parc. Il compte aujourd’hui, avec les naissances, plus de 80 gazelles. La construction du périphérique a bloqué le corridor qui permettait aux gazelles de rejoindre d’autres espaces ouverts en dehors de Jérusalem. Les animaux, coincés dans la vallée, ont été décimés par les chiens errants et les chacals ou ont été écrasés par les voitures sur le périphérique », explique-t-elle. Rein urbain Environ gazelles des montagnes subsistent dans diverses régions d’Israël, selon une étude de deux chercheurs israéliens, Yoram Yom-Tov et Uri Roll, publiée en 2020 dans la revue académique Oryx-The International Journal of Conservation. Selon l’étude, la fragmentation de l’habitat, la progression de la présence humaine dans des zones jusque-là inhabitées, les collisions avec les voitures, la prolifération des chiens errants et la chasse –même si cette dernière est interdite en Israël–, sont les principales causes de la raréfaction des gazelles. Les animaux, qui se nourrissent de la végétation du parc, s’aventurent rarement dans l’espace réservé au public et détalent à l’approche des visiteurs. Nous plaçons les gazelles dans un environnement aussi naturel que possible afin de ne pas les rendre dépendantes de l’homme et de pouvoir en relâcher à l’avenir un certain nombre dans la nature », explique Mme Hammerman-Solar. Au-delà de la protection des gazelles, souligne Amir Balaban, responsable de la faune et de la flore urbaine à la SPN, les parcs urbains comme celui de la vallée des gazelles », dont environ deux tiers de la surface ont été laissés à l’état naturel, sont primordiaux dans les zones de développement urbain massif. Le parc agit comme un rein urbain en régulant la température, en produisant de l’oxygène … et en proposant aux habitants un endroit où se connecter à la nature », dit-il, à l’heure où le trafic et le développement immobilier ne cesse de croître dans la Ville sainte. Source sciencesetavenir