Nulen maths depuis toujours? Dites-vous qu’il n’est plus nécessaire désormais de vous tracasser en ce qui concerne les multiplications et encore

Par Jingmo, États-Unis J’ai travaillé dans l’Église à composer de la musique pour des vidéos pendant plus de quatre ans. Du fait des besoins du travail de l’Église, les frères et sœurs qui m’entouraient étaient souvent transférés dans leurs devoirs, certains parce qu’ils n’avaient pas les compétences requises, alors ils étaient assignés à d’autres devoirs. Tout ça me semblait très instable. Je me disais Si je suis transférée un jour, je ne sais pas quel devoir on arrangera pour moi. Si c’est un travail pour lequel je ne suis pas douée ou si je suis inefficace, je pourrais être de nouveau transférée. Si aucun devoir ne me convient, cela voudra-t-il dire que je serai chassée et ne pourrai pas être sauvée ? » Quand j’y pensais, je ne voulais vraiment pas être transférée et j’estimais avoir de la chance que mon devoir soit stable pour le moment. Plus tard, la charge de travail de notre équipe s’est peu à peu réduite et certains de mes frères et sœurs ont été transférés à d’autres devoirs, alors j’ai commencé à m’inquiéter. J’ai pensé Je n’ai pas les meilleures compétences professionnelles, je serai peut-être transférée aussi. Je n’ai pas d’autre compétence particulière, alors que puis-je faire d’autre que de la composition ? Si je me retrouve sans devoir, n’est-ce pas la même chose qu’être chassée ? » J’ai vécu dans cet état d’inquiétude et de peur pendant un long moment. Quelles que soient les personnes transférées autour de moi, j’étais très inquiète pour mon avenir. En juillet dernier, mon dirigeant m’a demandé d’accomplir une tâche à temps partiel pendant mon temps libre. Après m’avoir expliqué le travail, il m’a dit en passant Ce travail va se prolonger, alors prends tes marques et fais-le bien. » Ҫa m’a réchauffé le cœur, parce que ce travail semblait plus stable et plus durable que l’autre. Les membres de cette équipe semblaient être restés les mêmes. Certains faisaient ce travail depuis six ou sept ans et n’avaient pas été transférés. Ce devoir avait l’air bien mieux ! Je devais m’entraîner et le maîtriser dès que possible. Comme ça, j’aurais un plan de secours si j’étais transférée un jour. Tant que je m’entraînais bien et ne commettais pas d’erreur grave, je pourrais faire ce travail indéfiniment et je n’aurais plus à craindre d’être chassée si je me retrouvais sans devoir. Cette pensée était très rassurante et m’a rendue très heureuse. J’ai eu l’impression que recevoir une si bonne opportunité était vraiment la grâce de Dieu. Dès lors, j’ai accordé beaucoup d’attention à ce travail à temps partiel. Quand j’étais confrontée à des choses que je ne comprenais pas, j’interrogeais les frères et sœurs dans l’espoir de vite maîtriser le travail. Sans que je m’y attende, j’ai commencé à avoir plus de travail de composition, à peine plus de quinze jours plus tard, alors je n’ai plus eu beaucoup de temps et d’énergie à consacrer à mon travail à temps partiel, mais je voulais quand même me concentrer sur lui, parce qu’il était très probable que je perde ce plan de secours si je ne finissais pas la tâche qu’on m’avait assignée. Alors j’ai repoussé mon travail de composition le plus longtemps possible, me disant que quelques jours de retard ne changeraient rien. Mais parce que j’étais pressée, j’étais souvent sur les nerfs, alors j’ai souvent été négligente dans mon travail à temps partiel ou commis les mêmes erreurs à répétition. Le dirigeant d’équipe a vu que je consacrais tout mon temps à mon deuxième travail, ce qui causait des retards dans mon travail principal, et m’a demandé si j’étais capable de gérer les deux. Même si je savais que je ne pouvais pas et que ça causait des retards dans le travail de composition, je ne voulais pas l’admettre, parce que je savais que si je disais que ça faisait trop, on ne me laisserait sans doute pas mon travail à temps partiel, ce qui signifiait que je pouvais perdre ce travail stable et durable. Je ne pouvais pas l’accepter, alors j’ai fourni des excuses au dirigeant d’équipe, lui disant que des tâches urgentes s’étaient présentées en même temps des deux côtés, mais que des situations comme celle-ci ne se produisaient qu’occasionnellement, par tout le temps. J’ai ajouté que j’étais encore une novice dans mon travail à temps partiel, que ça irait mieux quand il me serait plus familier et que j’avais juste besoin d’un peu plus de temps pour prendre le coup. Je lui ai dit qu’en plus, même si j’étais plus occupée qu’avant, ça complétait mon temps pendant mon devoir. Le dirigeant d’équipe n’a rien répondu. Quelques jours plus tard, il m’a de nouveau incitée à chercher davantage sur le fait d’avoir deux tâches et à trouver comment pratiquer en accord avec la volonté de Dieu. Il a aussi dit qu’il voyait bien que je tenais à garder mon travail à temps partiel et m’a poussée à me demander si j’avais des points de vue ou des intentions incorrectes. Quand il a dit ça, j’ai reconnu que je voulais garder mon travail à temps partiel, mais j’ai dit que j’avais l’impression de bien m’organiser. Je consacrais plus de temps à celui des deux qui était le plus urgent, ce qui me semblait être la bonne méthode. Un peu plus tard, j’ai compris que la volonté de Dieu était derrière le rappel à l’ordre du dirigeant d’équipe et que je devais réfléchir convenablement sur moi-même. Je me suis présentée devant Dieu et j’ai prié Ô Dieu, je sais que le rappel à l’ordre du dirigeant d’équipe contient Ta volonté, mais je ne sais pas par où commencer pour réfléchir sur moi-même. Je suis un peu triste, alors je Te demande de m’éclairer et de me guider. » Après ma prière, je me suis demandé pourquoi le dirigeant d’équipe m’avait incitée à réfléchir sur mon attitude envers mon devoir. Était-il possible que j’aie de mauvaises intentions dans mon devoir ? Je me suis rendu compte qu’avant d’avoir un travail à temps partiel, je chérissais mon travail de composition. Je le voyais comme ma seule issue et je craignais de le perdre. Quand j’avais commencé le travail à temps partiel et vu qu’il était plus stable et plus durable que mon travail principal, j’avais voulu faire tout mon possible pour le garder. Je m’étais dit qu’avec un devoir stable et durable, si je n’étais pas remplacée, j’étais sûre d’être sauvée. Alors j’ai enfin compris que ma performance dans mon devoir était altérée par mes intentions. La plupart des autres frères et sœurs qui étaient transférés le géraient correctement. Pourquoi mes pensées étaient-elles si compliquées ? Pourquoi avais-je tant d’inquiétudes et de peurs ? J’ai continué à prier Dieu, à chercher et à trouver des passages pertinents de la parole de Dieu à lire. Un passage dans lequel Dieu révèle le tempérament des antéchrists concernait précisément mon état. Dieu dit Lorsqu’un simple ajustement est apporté à leur devoir, les gens doivent réagir en adoptant une attitude d’obéissance, en faisant ce que la maison de Dieu leur dit de faire, en faisant ce qu’ils sont capables de faire et, quoi qu’ils fassent, en le faisant aussi bien qu’il est en leur pouvoir, de tout leur cœur et de toutes leurs forces. Ce que Dieu a fait n’est pas une erreur de Sa part. Une vérité aussi simple peut être mise en pratique avec un peu de conscience et de rationalité, mais voilà qui dépasse les capacités des antéchrists. Les antéchrists n’obéissent jamais aux arrangements de la maison de Dieu, et ils relient toujours étroitement leur devoir, la gloire et le statut à leur espoir d’obtenir des bénédictions et à leur destination future, comme si, quand ils perdent leur réputation et leur statut, ils n’avaient aucun espoir d’obtenir des bénédictions et des récompenses, ce qui, pour eux, est comme perdre la vie. Par conséquent, ils se protègent des dirigeants et des ouvriers de la maison de Dieu, pour que ces derniers ne gâchent pas leur rêve de bénédictions. Ils s’accrochent à leur réputation et à leur statut, parce qu’ils pensent que leur réputation et leur salut sont leur seul espoir de gagner des bénédictions. Un antéchrist considère qu’être béni, c’est plus magnifique que les cieux eux-mêmes, plus magnifique que la vie, plus important que la poursuite de la vérité, le changement de tempérament, ou le salut personnel, et plus important que de bien faire son devoir et d’être un être créé qui soit à la hauteur des normes. Il pense qu’être un être créé qui soit à la hauteur, bien faire son devoir et être sauvé sont autant de choses dérisoires qui valent à peine d’être mentionnées, tandis que gagner des bénédictions est la seule chose de toute la vie qui ne puisse jamais être oubliée. Face à tout ce qu’il rencontre, peu importe que ce soit grand ou petit, il est extrêmement prudent et attentif, et il se ménage toujours une issue » Ils veulent se retirer lorsqu’il n’y a plus de statut ou d’espoir d’obtenir des bénédictions », dans Exposer les antéchrists. Mon attitude envers les transferts de devoir correspondait parfaitement à celle des antéchrists révélée par Dieu. Je me creusais la tête pour essayer de garder mon travail à temps partiel parce que je voulais un devoir stable et durable, afin de rester dans la maison de Dieu et de ne pas être chassée. Tout ce que je faisais visait à gagner des bénédictions. C’était mon seul objectif. En fait, quel que soit le devoir vers lequel une personne est transférée dans l’Église, son transfert est basé sur les besoins du travail et parfaitement normal. Mais les antéchrists ont un tempérament mauvais, alors ils le conçoivent d’une manière anormale. Ils pensent qu’ils ne peuvent se fier à personne dans la maison de Dieu et que personne ne se soucie d’eux. Ils croient qu’en étant transférés en tous sens, ils seront chassés et perdront leur destination s’ils ne sont pas prudents, et qu’ils doivent donc tout planifier soigneusement, être attentifs et avoir un plan de secours. Ils pensent que ça leur garantira une fin et une destination. Pour les antéchrists, être béni est plus important qu’accompli un devoir ou être sauvé. Mon point de vue n’était-il pas le même que celui d’un antéchrist ? Je craignais toujours d’être transférée à un autre devoir. Que ferais-je si j’étais transférée ? Et si c’était un travail pour lequel je n’étais pas douée, si j’étais inefficace et qu’on me transférait de nouveau ? Si je me retrouvais un jour sans devoir à accomplir, ne serais-je pas chassée ? Quand j’y songeais, je commençais à m’inquiéter. Telle un antéchrist, j’avais un esprit très complexe et mauvais, j’avais peur de me retrouver dans une impasse, alors je voulais m’agripper à un travail que je pensais pouvoir faire un long moment, comme un incroyant qui cherche une place en or ». Je rêvais de faire un devoir assuré pour toujours, de manière à être sauvée et à entrer sans encombre dans le royaume des cieux quand l’œuvre de Dieu serait terminée. Pour atteindre ce but, je m’étais démenée dans mon travail à temps partiel, dans l’espoir de le maîtriser vite et de m’offrir un plan de secours. Même si je ne pouvais pas gérer mes deux tâches, je refusais de l’admettre. Quand mon dirigeant d’équipe m’en avait parlé, j’avais tergiversé. Je voulais conserver mon travail à temps partiel même si ça retardait l’autre, ce qui avait fini par affecter le travail. Je n’ai vu clairement qu’à ce moment-là que je faisais mon devoir par souci de mon avenir et de ma destination. Je me servais de mon devoir comme monnaie d’échange pour obtenir ma destination. Tout ce que je faisais visait à gagner des bénédictions. N’était-ce pas juste passer un marché avec Dieu et essayer de Le tromper ? Autrefois, je priais toujours Dieu en disant que je faisais mon devoir pour rendre Son amour à Dieu et vivre une ressemblance humaine, mais quand les faits m’ont révélée, j’ai vu que c’était un mensonge ! C’était de la tromperie ! J’ai lu un autre passage des paroles de Dieu. En tant qu’être créé, quand on se présente devant le Créateur, on doit accomplir son devoir. C’est ce qu’il convient de faire et la responsabilité qui nous incombe. Étant donné que les êtres créés accomplissent leurs devoirs, le Créateur a réalisé une plus grande œuvre au sein de l’humanité. Il a accompli une nouvelle étape de Son œuvre sur l’humanité. Or de quelle œuvre s’agit-il ? Il fournit la vérité à l’humanité, lui permettant d’obtenir de Lui la vérité dans l’accomplissement de ses devoirs et, ainsi, de se débarrasser de ses tempéraments corrompus et d’être purifiée. Les hommes parviennent ainsi à satisfaire la volonté de Dieu et à s’engager sur le bon chemin dans la vie, et finalement, ils sont capables de craindre Dieu et de s’éloigner du mal, d’atteindre le salut complet et de ne plus être soumis aux afflictions de Satan. Voilà l’effet que Dieu voudrait que l’humanité atteigne en fin de compte en accomplissant son devoir. Par conséquent, au cours de l’accomplissement de ton devoir, Dieu ne te fait pas seulement voir une chose clairement et comprendre un peu de vérité, et Il ne te fait pas seulement profiter de la grâce et des bénédictions que tu reçois en accomplissant ton devoir en tant qu’être créé. Au contraire, Il te permet d’être purifié et sauvé et, finalement, tu arrives à vivre dans la lumière du visage du Créateur. Cette “lumière du visage du Créateur” implique une signification étendue et un contenu importants ; nous n’aborderons pas cela aujourd’hui. Bien sûr, Dieu ne manquera pas de délivrer des promesses et des bénédictions à des personnes de ce genre, et de faire différentes déclarations à leur sujet, mais cela, c’est une autre affaire. Pour ce qui est d’ici et de maintenant, que reçoivent de Dieu tous ceux qui se présentent devant Lui et accomplissent leur devoir d’êtres créés ? Ce qu’il y a de plus précieux et de plus beau au sein de l’humanité. Aucun être créé au sein de l’humanité ne peut recevoir de telles bénédictions de la main du Créateur par simple hasard. Une chose aussi belle et aussi grande est déformée par l’engeance des antéchrists et transformée en une transaction, dans laquelle ils sollicitent des couronnes et des récompenses de la main du Créateur. Une telle transaction fait de quelque chose de très beau et de très juste quelque chose de très laid et de très mauvais. N’est-ce pas ce que font les antéchrists ? À en juger par cela, les antéchrists sont-ils maléfiques ? En effet, ils sont très maléfiques ! Ce n’est là qu’une manifestation d’un aspect de leur méchanceté » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intérêts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intérêts de la maison de Dieu, et vendent même ces intérêts en échange de la gloire personnelle Partie VII », dans Exposer les antéchrists. Ces paroles de Dieu m’ont transpercé le cœur. Je me suis sentie très endettée envers Lui. Dieu dit que pouvoir faire un devoir en tant qu’être créé est ce qu’il y a de plus beau dans l’humanité, que c’est la chose la plus digne et la plus chargée de sens et que tous les êtres créés ne peuvent pas obtenir cette bénédiction. J’ai compris que c’était vrai. Dieu a décrété que moi, parmi toutes les personnes du monde, je naîtrais dans les derniers jours, et j’ai la chance de suivre l’œuvre de Dieu dans les derniers jours, d’accomplir mon devoir et de faire l’expérience de l’œuvre de Dieu. Tous ne reçoivent pas cette bénédiction. C’est la grâce et l’amour exceptionnels de Dieu. Accomplir un devoir dans la maison de Dieu, quel qu’il soit, a plus de valeur et de sens que tout ce qu’on peut faire dans le monde, alors je devrais être reconnaissante et le chérir. De plus, Dieu a toujours donné généreusement la vérité aux gens. Il parle aux gens et les nourrit en personne, leur permettant de comprendre et de gagner la vérité en accomplissant leurs devoirs, et de grandir peu à peu dans la vie. Dieu ne demande rien aux gens durant ce processus. Dieu veut seulement que les gens acceptent Son mandat d’un cœur honnête et obéissant, fassent de leur mieux pour bien accomplir leur devoir, et finalement gagnent la vérité, échappent à leurs tempéraments corrompus et soient sauvés par Lui. Et que faisais-je ? Je prenais le fait magnifique d’accomplir mon devoir en tant qu’être créé, je le transformais en transaction et j’essayais d’échanger mon devoir contre des bénédictions. J’étais vraiment fourbe, sournoise et je dégoûtais Dieu. Après ça, j’ai souvent prié Dieu à propos de mon état, Lui demandant de m’éclairer et de me guider pour que je comprenne plus clairement mon problème. Un jour, pendant mes dévotions, j’ai lu des paroles de Dieu. Les gens doivent avoir un cœur honnête vis-à-vis de Dieu, et vis-à-vis de leur devoir. Si tel est le cas, ils craindront Dieu. Quel genre d’attitude envers Dieu ont ceux qui ont un cœur honnête ? Au minimum, ils ont un cœur qui craint Dieu, un cœur qui obéit à Dieu en toutes choses, ils ne demandent ni bénédictions ni infortune, ils ne parlent pas de conditions, ils s’en remettent à la merci de Dieu ; ces gens-là ont un cœur honnête. Ont-ils un cœur honnête ceux qui, sans cesse, sont sceptiques au sujet de Dieu, Le sondent, essaient de marchander avec Lui ? Non. Qu’est-ce qui habite le cœur de ces gens-là ? La ruse et le mal. Ils sont toujours en train de sonder. Et que sondent-ils ? L’attitude de Dieu envers les gens. Ils sont toujours en train de sonder l’attitude de Dieu envers les gens. Quel est le problème ? Et pourquoi sondent-ils Son attitude ? Parce qu’elle concerne leurs intérêts vitaux. Dans leur cœur, ils se disent “Dieu a élaboré ces circonstances pour moi, Il a fait en sorte que ça m’arrive. Pourquoi ? Cela n’est pas arrivé à d’autres, pourquoi cela devait-il m’arriver à moi ? Quelles en seront les conséquences par la suite ?” Voilà ce qu’ils sondent ils sondent leurs profits et leurs pertes, leurs bénédictions et leurs malheurs. Et tandis qu’ils sondent ces choses, sont-ils capables de pratiquer la vérité ? Sont-ils capables d’obéir à Dieu ? Non. Et que produit leurs ruminations ? Seulement des choses qui leur sont bénéfiques ; ils ne prêtent attention qu’à leurs propres intérêts. […] Et que résulte-t-il, au final, de cette inspection menée par ces gens qui pensent constamment à leurs propres intérêts ? Ils ne font que désobéir et s’opposer à Dieu. Même quand ils insistent pour accomplir leur devoir, ils le font négligemment et superficiellement, avec un état d’esprit négatif. Dans leur cœur, ils ne pensent qu’à la façon dont ils peuvent profiter, ne pas être du côté des perdants. Telles sont leurs motivations quand ils accomplissent leur devoir, et en faisant cela, ils essaient de marchander avec Dieu. Quel tempérament est-ce là ? C’est de la ruse, un tempérament diabolique. Il ne s’agit plus d’un tempérament corrompu ordinaire, mais d’un tempérament qui a dégénéré en méchanceté. Et quand leur cœur est empli de ce type de tempérament diabolique, ils sont en conflit avec Dieu ! Vous devriez être au clair sur ce problème. Si les gens sondent Dieu et essaient de marchander en permanence quand ils accomplissent leur devoir, peuvent-ils l’accomplir correctement ? Absolument pas. Ils ne vénèrent pas Dieu avec leur esprit, et de manière honnête, ils n’ont pas un cœur honnête, ils regardent et attendent, tout en accomplissant leur devoir, se tenant en retrait en permanence. Quel est le résultat ? Dieu n’œuvre pas en eux, ils sont désorientés et deviennent confus, ils ne comprennent pas les principes de la vérité, ils agissent selon leurs propres inclinations, et ils finissent toujours par mal tourner. Et pourquoi tournent-ils mal ? Parce que leur cœur manque de beaucoup de clairvoyance, et quand il leur arrive quelque chose, ils ne réfléchissent pas sur eux-mêmes, ni ne cherchent la vérité pour trouver une solution, ils persistent à agir comme bon leur semble, selon leurs propres préférences. Résultat ils tournent toujours mal quand ils accomplissent leur devoir. Ils ne pensent jamais au travail de l’Église, ni aux intérêts de la maison de Dieu, ils conspirent en permanence en faveur de leurs propres intérêts, de leur propre orgueil et statut. Et non seulement ils accomplissent leur devoir de façon médiocre, mais ils retardent et entravent aussi le travail de l’Église. N’est-ce pas là s’égarer, négliger leurs devoirs ? Si les gens n’ont toujours en tête que leurs propres intérêts et perspectives lorsqu’ils accomplissent leur devoir, et qu’ils n’accordent pas d’attention au travail de l’Église ou aux intérêts de la maison de Dieu, alors cela n’est pas accomplir un devoir, car l’essence et la nature de leurs actions ont changé. Et si la nature d’une telle chose est grave, qu’elle devient intrusive et perturbatrice, et qu’elle engendre de graves conséquences, alors la personne impliquée doit être chassée » Seule la recherche des principes-vérités permet de bien accomplir son devoir », dans Sermons de Christ des derniers jours. Ces paroles de Dieu m’ont frappée. Avant, je comprenais juste qu’être sur mes gardes dans mon devoir et toujours chercher un plan de secours était une manifestation de fourberie et de sournoiserie. Grâce à ce que révélaient ces paroles de Dieu, j’ai vu qu’il ne s’agissait pas seulement de fourberie et de sournoiserie, que ça s’élevait au niveau de la malfaisance, parce que je ne dupais pas n’importe qui c’était avec Dieu que j’étais calculatrice. Extérieurement, j’accomplissais mon devoir, mais je n’avais aucune sincérité dans mon devoir. Je passais mon temps à observer et calculer, en faisant le devoir qui m’était le plus bénéfique. Quand je faisais mon travail de composition, je le traitais comme le seul moyen de sauver ma vie. Je craignais d’être remplacée un jour, de ne pas trouver de devoir qui me convenait, de ne pas avoir l’occasion de gagner des bénédictions, alors j’avais toujours peur de perdre mon devoir. Plus tard, quand j’avais obtenu mon travail à temps partiel, j’avais pensé qu’il m’offrait une meilleure chance de gagner des bénédictions, alors je m’y étais agrippée de toutes mes forces. En apparence, j’étais très dynamique, je posais des questions sur tout ce que je ne comprenais pas, mais en réalité, je voulais juste le maîtriser vite afin d’occuper une position indispensable dans ce devoir. En même temps, j’attendais de voir si je serais transférée de mon travail principal. Si ce n’était pas le cas, j’aurais accompli mes deux devoirs pour avoir une garantie supplémentaire d’être sauvée et, si j’étais transférée, je n’aurais pas eu à m’inquiéter d’être chassée parce que j’aurais toujours eu mon travail à temps partiel. J’ai compris que mon attitude envers mon devoir ne consistait pas à recevoir un mandat et une responsabilité de Dieu, et que je n’acceptais pas ces devoirs de Dieu avec un cœur pur et honnête. Au lieu de ça, j’avais des intentions sournoises, j’étudiais et calculais mes bénéfices et mon espoir de recevoir des bénédictions. Je n’en reviens pas d’avoir été aussi fourbe ! Extérieurement, je travaillais beaucoup et j’étais occupée toute la journée, ce qui donnait l’impression que j’étais très responsable dans mon devoir, mais en réalité, je ne travaillais que pour mon avenir et ma destination. Quand le dirigeant m’avait incitée à me demander si je pouvais gérer les deux devoirs, j’avais eu peur que mon plan tombe à l’eau, alors j’avais trouvé des excuses en disant Je veux mieux remplir mon temps dans mon devoir. » Ce que j’ai dit était vraiment trompeur ! Afin de masquer mes intentions honteuses et méprisables, j’avais employé une rhétorique malhonnête pour tromper le dirigeant d’équipe. Mon tempérament était vraiment trop mauvais ! J’ai repensé à toutes mes pensées calculatrices et mes intentions sournoises. Je n’accomplissais pas du tout mes devoirs ! C’était me servir de Dieu et Le tromper ! Je n’avais aucune sincérité envers Dieu ! J’étais comme un marchant opportuniste. J’étais très sournoise, égoïste, méprisable, intéressée et je ne me souciais que du gain. J’étais prête à utiliser toutes sortes de moyens pour maximiser mes intérêts. Dieu dit que ceux qui ne se soucient que de leur intérêt dans leur devoir, pas de ceux de Sa maison, ne produiront jamais de bons résultats dans ce qu’ils font. Dans mon travail à temps partiel, même si je voulais pratiquer plus, mon intention était de trouver un plan de secours. En faisant les choses avec cette intention, je ne réfléchissais pas soigneusement à la manière d’agir selon les principes et d’obtenir de bons résultats. À la place, je cherchais des succès rapides et n’accomplissais que des tâches bien visibles. Pour finir mes tâches, je travaillais dans l’urgence, ce qui me faisait oublier des choses et échouer à saisir les principes, et mon travail était toujours plein d’erreurs. Dans mon devoir principal, j’avais déjà retardé nos progrès, mais je ne m’en souciais pas et ne ressentais aucune urgence. J’ai pensé à la manière dont j’avais semé le chaos dans chacun de mes devoirs. Si ça continuait, je nuirais évidemment au travail de la maison de Dieu, alors je serais vraiment chassée ! Quand j’en ai pris conscience, j’ai eu un peu peur, alors j’ai prié Dieu pour Lui dire que je voulais me repentir, changer et inverser mon attitude envers mon devoir. Plus tard, en priant et cherchant, je me suis rendu compte que j’avais toujours eu un point de vue absurde, qui était que tant que j’accomplirais un devoir stable et durable dans la maison de Dieu et que je n’étais pas transférée, je pourrais être sauvée et survivre quand l’œuvre de Dieu s’achèverait. Je ne m’étais jamais demandé si mon point de vue était conforme à la vérité ni quelles étaient précisément les exigences de Dieu. Alors j’ai cherché les passages de la parole de Dieu qui concernaient mon état et je les ai lus. Dieu dit Il n’y a pas de corrélation entre le devoir de l’homme et le fait qu’il soit béni ou maudit. Le devoir est ce que l’homme doit accomplir ; c’est sa vocation qui vient du ciel et ne devrait pas dépendre de la récompense, des conditions ou des raisons. C’est alors seulement qu’il fait son devoir. Être béni, c’est être perfectionné et jouir des bénédictions de Dieu après avoir fait l’expérience du jugement. Être maudit, c’est conserver son tempérament inchangé après avoir fait l’expérience du châtiment et du jugement, c’est ne pas faire l’expérience d’être perfectionné, mais être puni. Mais qu’ils soient bénis ou maudits, les êtres créés doivent accomplir leur devoir, faire ce qu’ils doivent faire et faire ce qu’ils sont capables de faire. C’est le moins que puisse faire une personne, en tant qu’humain, et qui cherche Dieu » La différence entre le ministère de Dieu incarné et le devoir de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair. En fin de compte, que les hommes puissent ou non atteindre le salut ne dépend pas du devoir qu’ils remplissent, mais du fait qu’ils puissent ou non comprendre et acquérir la vérité, et qu’ils puissent ou non se soumettre entièrement à Dieu à la fin, se mettre à la merci de Ses orchestrations, ne pas envisager leur avenir et leur destinée, et devenir des êtres créés qualifiés. Dieu est juste et saint, et c’est là la norme qu’Il utilise pour prendre la mesure de toute l’humanité. Cette norme est immuable, et tu dois t’en souvenir. Grave cette norme dans ton esprit, et ne songe pas à trouver un autre chemin pour poursuivre quelque chose d’irréel. Les exigences que Dieu a vis-à-vis de tous ceux qui veulent atteindre le salut et les normes qu’Il exige d’eux sont constantes à jamais. Elles restent les mêmes, qui que tu sois » La Parole apparaît dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu est très claire. Les devoirs que les gens accomplissent et le fait qu’ils soient durables et stables ou non n’a rien à voir avec le fait qu’ils soient bénis ou maudits. En tant qu’être créés, qu’on soit bénis ou maudits, on doit accomplir nos propres devoirs. C’est la valeur de la vie humaine, ainsi que le devoir et l’obligation des êtres humains. Aussi, Dieu n’a jamais dit que tant qu’on avait un devoir stable et durable et n’était pas transféré, on aurait une bonne destination et pourrait être sauvés. Dieu a toujours dit que les gens ne pouvaient être sauvés qu’en recherchant la vérité, en échappant à leurs tempéraments corrompus et en parvenant à une vraie obéissance. Les exigences et les critères de Dieu n’ont jamais changé et Dieu a toujours rappelé Ses exigences. Ce n’était pas comme si je ne connaissais pas ces paroles ou ne les avais pas lues, mais j’étais exactement comme un non-croyant. Je n’avais jamais cru ni accepté ces paroles, et je n’avais pas compris les bonnes intentions de Dieu pour sauver les gens ni Son tempérament juste. Je ne comptais que sur mes notions et les fruits de mon imagination, je m’agrippais à mes vues erronées et je m’étais donné un but risiblement naïf. Je pensais que tant que je continuais à accomplir un devoir dans la maison de Dieu sans être ajustée, je survivrais quand l’œuvre de Dieu se conclurait. Quand j’y repense maintenant, ça me paraît absolument ridicule ! Je ne cherchais qu’à avoir un devoir à accomplir et à ne pas être transférée. Je ne m’étais jamais concentrée sur la recherche de la vérité dans mon devoir et je n’avais pas réfléchi sur moi-même ni résolu mes tempéraments corrompus. Du coup, je n’avais pas conscience de mes intentions évidentes de gagner des bénédictions ni de mon tempérament corrompu, et j’avais encore moins cherché la vérité pour résoudre ces choses. Même si mon devoir avait été durable, aurais-je pu garantir que j’aurais pu le faire indéfiniment ? Certaines personnes, autour de moi, faisaient leur devoir depuis des années sans avoir été transférées, mais parce qu’elles ne cherchaient pas la vérité et ne se concentraient pas sur la résolution de leurs tempéraments corrompus, elles étaient toujours négligentes dans leurs devoirs. De ce fait, elles avaient fait leurs devoirs pendant de nombreuses années sans résultat et avaient fini par être chassées. D’autres ont travaillé en se basant sur des années d’expérience de leur don, sont devenus de plus en plus arrogants, n’en ont fait qu’à leur tête, ont gravement perturbé le travail de la maison de Dieu, et ont été révélés et chassés. Mais certains frères et sœurs sont simples et honnêtes, ils sont capables d’accepter n’importe quel devoir arrangé pour eux, de se concentrer sur la recherche de la vérité et la résolution de leurs tempéraments corrompus, et quand ils ne comprennent pas quelque chose, ils prient Dieu ou cherchent la vérité, ou ils interrogent leurs frères et sœurs et échangent avec eux. Ils deviennent de plus en plus efficaces dans leurs devoirs, ils grandissent peu à peu dans la vie et ils ont une foi sincère en Dieu. Il y avait de tels cas autour de moi, alors pourquoi ne les voyais-je pas ? De plus, quand des gens sont transférés dans la maison de Dieu, c’est toujours sur la base des besoins du travail de l’Église et de leurs compétences. Si quelqu’un a une foi sincère en Dieu, la maison de Dieu lui arrangera un devoir qui lui convient. Ce n’est que passer d’une position à une autre, pas se faire dépouiller de son droit d’éprouver l’œuvre de Dieu et de rechercher la vérité, ni être privé de sa chance d’être sauvé. C’est tout à fait approprié. Pourquoi avais-je toujours considéré les transferts comme une chose négative, mauvaise ? J’ai compris à ce moment-là que ma croyance dans le fait qu’un devoir stable et durable me garantirait une bonne destination et de ne pas être révélée et chassée était un point de vue absurde et ridicule. Ce n’était que mes notions et les fruits de mon imagination, et c’était dangereux ! Quand je m’en suis rendu compte, mon cœur s’est illuminé et je me suis sentie très soulagée. Après ça, dans mon devoir, mon état d’esprit était bien meilleur. Je ne considérais plus que l’un de mes devoirs était plus important que l’autre. À la place, je sentais que les deux étaient des mandats de Dieu, qu’ils étaient précieux, et j’ai voulu faire les deux du mieux possible. Quant à savoir si je continuerais mon travail à temps partiel, j’ai laissé Dieu en décider et j’ai été prête à me soumettre à Ses arrangements. Un jour, fin novembre, le superviseur m’a dit que je n’avais plus besoin de faire le travail à temps partiel parce qu’ils avaient quelqu’un d’autre. Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai ressenti quelque chose que je ne peux pas décrire. J’étais un peu triste et réticente à renoncer. Je me suis aperçue que mon état était mauvais, alors je me suis empressée de prier Dieu. J’ai pensé aux paroles de Dieu Les gens doivent avoir un cœur honnête vis-à-vis de Dieu, et vis-à-vis de leur devoir. Si tel est le cas, ils craindront Dieu. Quel genre d’attitude envers Dieu ont ceux qui ont un cœur honnête ? Au minimum, ils ont un cœur qui craint Dieu, un cœur qui obéit à Dieu en toutes choses, ils ne demandent ni bénédictions ni infortune, ils ne parlent pas de conditions, ils s’en remettent à la merci de Dieu ; ces gens-là ont un cœur honnête » Seule la recherche des principes-vérités permet de bien accomplir son devoir », dans Sermons de Christ des derniers jours. Après avoir médité ces paroles de Dieu encore et encore, j’ai compris que Dieu aimait les gens honnêtes, qu’Il voulait que je traite mes devoirs avec un cœur honnête, que je sois capable d’obéir simplement, que je ne me soucie pas des résultats, que je ne fasse pas de calcul pour moi-même et que je me soumette à Ses orchestrations. Jamais personne n’a gardé sa place dans la maison de Dieu grâce à des ruses et des calculs. Au contraire, seuls ceux qui sont purs, honnêtes, qui font les choses de manière terre à terre et qui obéissent à Dieu peuvent tenir bon. À ce moment-là, j’ai compris que Dieu me testait par cette situation. Dieu observait mon attitude. Je ne pouvais plus me montrer sélective vis-à-vis de mon devoir. Je devais obéir aux arrangements de Dieu du fond du cœur et chérir mon devoir actuel. Quelle que soit la durée de ce devoir et quels que soient les autres devoirs que l’Église arrangerait pour moi à l’avenir, je devais l’accepter et obéir avec un cœur pur et honnête et faire de mon mieux pour bien les accomplir. Après y avoir réfléchi, j’ai brusquement compris que Dieu avait de bonnes intentions en arrangeant ce travail à temps partiel pour moi. Dieu avait arrangé cet environnement pour révéler mon attitude incorrecte envers mon devoir et mon intention bien enracinée de gagner des bénédictions. Sans la révélation des faits, je n’aurais jamais su que ma foi était dénaturée ni quelle attitude envers son devoir est conforme à la volonté de Dieu. Tout ce que Dieu m’avait donné était un trésor précieux. Aussi, ce changement soudain dans mon devoir m’a permis de voir un fait Dieu contrôle tout et le devoir que quelqu’un accomplit est prédéterminé par Dieu. C’est quelque chose que les gens ne peuvent ni prévoir ni changer. Mais, comme un non-croyant, j’ignorais la souveraineté de Dieu et je voulais préserver mes devoirs par mes propres efforts. J’étais si stupide et ignorante ! Comment pouvais-je espérer garder un devoir particulier que je voulais accomplir ? Je ne pouvais vivre une vie détendue et libérée qu’en obéissant aux arrangements de Dieu. Après quelque temps, l’Église m’a chargée d’un autre travail à temps partiel, mais je ne me suis plus demandé si ce devoir serait durable. À la place, j’ai juste voulu le faire bien, avec assiduité, rechercher et pratiquer la vérité dans mon devoir, résoudre mon tempérament corrompu, m’efforcer de vivre une vraie ressemblance humaine et parvenir à une obéissance et une loyauté sincères envers Dieu.
Questionsur le CRPE: « Qu’est-ce que le calcul réfléchi ? » Mathématiques Didactique - Cycle 2 - Nombres et calculs Mon Pass pour le CRPE vous aide à préparer le concours du CRPE: concours de recrutement de professeurs des écoles Il existe différents moyens de calculer : le CALCUL AUTOMATISE et le CALCUL REFLECHI Le calcul automatisé ne demande pas de Table des matières Qui est doté d'un esprit réfléchi ? Quel est le contraire du mot réfléchi ? Quels sont les deux sens du verbe réfléchir ? Comment être une personne reflechie ? C'est quoi la spontanéité ? Comment Appelle-t-on celui qui réfléchit ? Comment Appelle-t-on quelqu'un qui réfléchit avant d'agir ? Quelle est la différence entre penser et réfléchir ? Qui donne à réfléchir synonyme ? Comment devenir calme et silencieux ? Comment devenir une personne posée ? Comment faire pour être spontané ? Qui a un caractère spontané ? Qui réfléchit beaucoup ? Qui réfléchit synonyme ? Comment on appelle quelqu'un qui pense beaucoup ? Comment Appelle-t-on une personne qui cache ses sentiments ? Qui est doté d'un esprit réfléchi ? Être doté d'un esprit pénétrant et réfléchi, qui comprend rapidement et avec clairvoyance. Exemple Sherlock Holmes était très perspicace. Étymologie du latin "perspicax" lui même dérivé de "perspicere" qui signifie voir à travers, percevoir. Quel est le contraire du mot réfléchi ? renvoyé, en parlant d'un son, d'un rayon, etc. Quels sont les deux sens du verbe réfléchir ? Réfléchir, au sens littéral, évoque le fait de refléter et renvoyer la lumière. Le sens s'est élargi pour caractériser le fait d'utiliser et d'entraîner son raisonnement. Comment être une personne reflechie ? Restez calme. Cela pourrait être plus facile à dire qu'à faire, mais un des facteurs les plus importants à prendre en compte pour réfléchir est le calme et si possible, la solitude. Détendez-vous, asseyez-vous et prenez conscience de votre respiration tout en essayant de bloquer les distractions extérieures. C'est quoi la spontanéité ? Se dit de quelqu'un qui obéit à ses premières impulsions, qui exprime sans détour ce qu'il pense Un garçon très spontané. Comment Appelle-t-on celui qui réfléchit ? réfléchi adj. Comment Appelle-t-on quelqu'un qui réfléchit avant d'agir ? Évaporés. Qui ne réfléchissent pas avant d'agir. Quelle est la différence entre penser et réfléchir ? Réfléchir, c'est travailler dans sa tête, essayer de trouver des solutions à un problème, ou faire du calcul mental. Cela prend généralement du temps. Par contre, penser, c'est lorsqu'une idée nous vient en tête; cette action ne nécessite pas forcément un effort intellectuel. Qui donne à réfléchir synonyme ? Autres synonymes possiblesSynonymeNombre de lettresTémérité8 lettresRefléter8 lettresMéninges8 lettresMurement8 lettres56 autres lignes Comment devenir calme et silencieux ? Essayez de ne pas être trop silencieux lorsque vous rencontrez quelqu'un pour la première fois. Cette personne pourrait penser que vous êtes bizarre et que vous n'avez rien à dire. Essayez plutôt de trouver un équilibre pour écouter cette personne et pour lui poser des questions à son propos. Ne parlez pas inutilement. Comment devenir une personne posée ? C'est l'une des conditions sine qua non pour se sentir plus apaisée le bien-être. Alimentation équilibrée, pratique sportive régulière, sommeil, autant de paramètres à ne pas négliger lorsqu'on aspire à un peu plus de sérénité personnelle. On se chouchoute et on pense à soi. Comment faire pour être spontané ? 5 façons simples de devenir plus spontanéFaite quelque chose sans trop y réfléchir. La spontanéité commence par là. ... Passez du temps avec un enfant. Sortez de votre petit monde pour explorer celui des enfants. ... Remplacez la peur par l'instinct et la curiosité ... Commencez petit. ... Attendez-vous au meilleur. Qui a un caractère spontané ? Caractère spontané, nature spontanée, Caractère franc, ouvert, disposition à agir avec élan, à suivre le premier mouvement. SPONTANÉ se dit, en termes de Physiologie, des Mouvements qui s'exécutent d'eux-mêmes ou sans cause extérieure apparente. Qui réfléchit beaucoup ? Ceux qui réfléchissent trop ont tendance à tout analyser, mais aussi à analyser les personnes avec qui ils sont. Soyez prête à avoir une réponse pour tout. Et soyez prête à avoir parfois des conversations difficiles comme toutes les autres relations dans le monde. Surtout, vous devez être affectueuxse. Qui réfléchit synonyme ? Synonymes de Comment on appelle quelqu'un qui pense beaucoup ? Le mot juste volubile, bavard, prolixe… Comment Appelle-t-on une personne qui cache ses sentiments ?  impassible. 1. Qui ne laisse pas voir son émotion, ses sentiments, qui montre un calme imperturbable Rester impassible devant le danger. Onétait si bien dimanche toute la nuit et toi tu t'es rapproché de ton amie lundi soir, et mardi tu me quittais pour
Le verbe réfléchir est du deuxième verbe réfléchir se conjugue avec l'auxiliaire avoirTraduction anglaise to think réfléchir au féminin réfléchir à la voix passive se réfléchir réfléchir ? ne pas réfléchir Imprimer Exporter vers WordPrésentje réfléchistu réfléchisil réfléchitnous réfléchissonsvous réfléchissezils réfléchissentPassé composéj'ai réfléchitu as réfléchiil a réfléchinous avons réfléchivous avez réfléchiils ont réfléchiImparfaitje réfléchissaistu réfléchissaisil réfléchissaitnous réfléchissionsvous réfléchissiezils réfléchissaientPlus-que-parfaitj'avais réfléchitu avais réfléchiil avait réfléchinous avions réfléchivous aviez réfléchiils avaient réfléchiPassé simpleje réfléchistu réfléchisil réfléchitnous réfléchîmesvous réfléchîtesils réfléchirentPassé antérieurj'eus réfléchitu eus réfléchiil eut réfléchinous eûmes réfléchivous eûtes réfléchiils eurent réfléchiFutur simpleje réfléchiraitu réfléchirasil réfléchiranous réfléchironsvous réfléchirezils réfléchirontFutur antérieurj'aurai réfléchitu auras réfléchiil aura réfléchinous aurons réfléchivous aurez réfléchiils auront réfléchiPrésentque je réfléchisseque tu réfléchissesqu'il réfléchisseque nous réfléchissionsque vous réfléchissiezqu'ils réfléchissentPasséque j'aie réfléchique tu aies réfléchiqu'il ait réfléchique nous ayons réfléchique vous ayez réfléchiqu'ils aient réfléchiImparfaitque je réfléchisseque tu réfléchissesqu'il réfléchîtque nous réfléchissionsque vous réfléchissiezqu'ils réfléchissentPlus-que-parfaitque j'eusse réfléchique tu eusses réfléchiqu'il eût réfléchique nous eussions réfléchique vous eussiez réfléchiqu'ils eussent réfléchiPrésentje réfléchiraistu réfléchiraisil réfléchiraitnous réfléchirionsvous réfléchiriezils réfléchiraientPassé première formej'aurais réfléchitu aurais réfléchiil aurait réfléchinous aurions réfléchivous auriez réfléchiils auraient réfléchiPassé deuxième formej'eusse réfléchitu eusses réfléchiil eût réfléchinous eussions réfléchivous eussiez réfléchiils eussent réfléchiPrésentréfléchisréfléchissonsréfléchissezPasséaie réfléchiayons réfléchiayez réfléchiParticipePasséréfléchiréfléchieréfléchisréfléchiesayant réfléchiInfinitifGérondifRègle du verbe réfléchirVoici la forme générale de conjugaison des verbes en -ir formant leur participe présent en -issant. La seule exception est du verbe réfléchircogiter - penser - gamberger - combiner - manigancer - mijoter - préparer - méditer - songer - rêver - spéculer - échafauder - approfondir - évoquer - prévoir - refléter - reproduire - répercuter - renvoyer - répéter - transmettre - réverbérerDéfinition du verbe réfléchir1 Penser longuement à quelque chose2 Renvoyer des rayons lumineux ou autres qui ont été reçus ex le miroir réfléchit la lumière du soleilEmploi du verbe réfléchirFréquent - Intransitif - Transitif - Autorise la forme pronominale Tournure de phrase avec le verbe réfléchirFutur procheje vais réfléchirtu vas réfléchiril va réfléchirnous allons réfléchirvous allez réfléchirils vont réfléchirPassé récentje viens de réfléchirtu viens de réfléchiril vient de réfléchirnous venons de réfléchirvous venez de réfléchirils viennent de réfléchirVerbes à conjugaison similaireaboutir - accomplir - agir - agrandir - applaudir - approfondir - atterrir - avertir - bâtir - bondir - choisir - compatir - convertir - définir - éclaircir - élargir - enrichir - envahir - établir - finir - fournir - franchir - garantir - grandir - grossir - investir - réfléchir - remplir - réunir - réussir - saisir - subir
Carqu’est-ce que « réfléchir » veut dire ? L’activité de « réflexion » consiste à mettre en lien un problème présent avec des évoqués mémorisés. Vous êtes confronté à un problème à résoudre et vous allez chercher les règles (ou les lois) que vous avez en mémoire afin de retrouver celle qui s’applique dans ce cas particulier. Qu'est ce qui réfléchit sans réfléchir? ...solution BUNMCPOINGOSICOOCROIUEEHNIAEINSVREVGTLCTCIUVINALIEUHRECALIPSLCRLTROUSTARUUIDGQUIDAOROOUISNERFENNEIGE [CHEVELURE CATALOGUE SUSPICION POIGNARD ARCHIVES QUILLE BOUSCULADE INTESTIN CONVICTION FOURRURE NEIGE POING] Indicede réfraction : 1,05.A 5 % près, ce matériau a le même indice que l' air (lequel est de 1). A titre de comparaison, celui du meilleur des verres ne

Ce dictionnaire contient 68 citations et pensées d'auteurs célèbres français ou d'auteurs étrangers sur le verbe réfléchir. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur réfléchir issus des quatre coins du monde Le Français aime avant de réfléchir, mais quand il se met à réfléchir il n'aime déjà plus ! Alexandre Weill ; Le petit trésor d'esprit 1874 Réfléchir, c'est nier ce que l'on croit. Alain ; Les propos sur la religion 1938 Il y a des choses sans importance qu'il vaut mieux ne pas perdre son temps à y réfléchir. Victor Cherbuliez ; Les pensées extraites de ses œuvres 1913 Pensées, réflexions, maximes – et jeux de mots. Il ne faut pas s'étonner de leur mélancolie ni de leur pessimisme. On ne réfléchit pas lorsque l'on est heureux. Sacha Guitry ; Les femmes et l'amour 1935 Le retard employé à réfléchir tient lieu de diligence. Publilius Syrus ; Les sentences et adages - Ier s. av. On prend beaucoup d'effort et l'on dilapide bien des jours à apprendre quoi penser, alors que presque rien n'est employé à enseigner l'art de réfléchir. Georg Christoph Lichtenberg ; Le miroir de l'âme 1799 Avant de s'embarquer dans une aventure, il faut y réfléchir longtemps. Charles de Saint-Évremond ; Les maximes et préceptes de conduite 1692 Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant. Pierre Dac ; Y'a du mou dans la corde à noeuds - Ed. Julliard 1995 Un caprice doit nous faire réfléchir, c'est le valet qui s'installe chez nous. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 L'homme n'est ordinairement qu'une machine, ce n'est que dans le malheur ou dans la vieillesse qu'il s'avise trop tard de réfléchir. François Pouqueville ; Voyage de la Grèce 1820-1822 Habituons les enfants à faire le bien sans réfléchir. C'est plus sûr. Albert Guinon ; Le Figaro, le 29 mai 1909. Cesse de réfléchir, ne pense qu'au but et compte pour rien les obstacles. Rémy de Gourmont ; Sixtine 1890 Le nombre de partis baptisés front » rappelle que, en dépit des divagations de ses leaders, la politique doit constituer un acte réfléchi. Philippe Bouvard ; Mes dernières pensées sont pour vous 2017 Un amour non réfléchi est toujours passager si des conventions ne le cimentent. Properce ; Livre III, élégie 20 vers 23 av. La plupart des hommes et des femmes consacrent peu d'instants à réfléchir sur le passé, par conséquent il est rare que de salutaires douleurs les rendent plus sages. Samuel Johnson ; Le paresseux 1760 Les événements sont des étapes qui nous obligent à réfléchir. Anne Barratin ; De toutes les paroisses 1913 Agir sans avoir réfléchi, c'est partir en voyage sans avoir fait de préparatifs. Jean-Jacques de Lingrée ; Les réflexions, pensées et maximes 1814 La pensée qui ne fait point réfléchir ne vaut rien. Pierre-Jules Stahl ; Les pensées et réflexions diverses 1841 La paresse d'esprit fait qu'on aime à trouver des opinions toutes faites qu'on adopte comme des vérités. Le nombre de ceux qui réfléchissent indépendamment de tous préjugés, est petit. Pierre-Jules Stahl ; Les pensées et réflexions diverses 1841 Celui qui réfléchit aime mieux s'entretenir avec ses idées, quelles qu'elles soient, qu'avec la plupart de ceux qu'il rencontre. Pierre-Jules Stahl ; Les pensées et réflexions diverses 1841 Les sots commencent par agir, et les habiles par réfléchir, avant que de faire quelque chose. Pierre-Jules Stahl ; Les pensées et réflexions diverses 1841 Les idées de celui qui réfléchit, se résument en pensées. Pierre-Jules Stahl ; Les pensées et réflexions diverses 1841 Celui qui réfléchit a plus de plaisir à s'entretenir avec ses idées qu'à tenir conversation avec les sots à la mode. Pierre-Jules Stahl ; Les pensées et réflexions diverses 1841 Si l'on réfléchissait avant que d'agir, il y aurait beaucoup moins de sottises dans le monde, et les méchants manqueraient de texte pour exercer leur langue de vipère. Pierre-Jules Stahl ; Les pensées et réflexions diverses 1841 Voir et réfléchir sur ce qu'on a vu, voilà le second pas de la connaissance. Confucius ; Le livre des sentences - VIe s. av. L'aptitude à réfléchir implique toujours l'aptitude à l'attention. Gustave Le Bon ; Les opinions et les croyances 1911 Que de gens réfléchissent toujours à ce qu'ils auraient dû faire, jamais à ce qu'ils vont faire. Eugène Marbeau ; Les remarques et pensées 1901 Quelque chose que tu doives dire, réfléchis-y auparavant. Bien des gens parlent avant de réfléchir. Isocrate ; Les conseils à Démonicos - IVe s. av. Il faut réfléchir aux choses importantes avant de les entreprendre. Johann Wolfgang von Goethe ; La fille naturelle 1804 On ne réfléchit jamais trop aux choses importantes. Johann Wolfgang von Goethe ; La fille naturelle 1804

Υφакту ելаዧ дриξοβюզБኀгиρεрυщሞ θ ֆοኘαξитብቲΑзохև атрաχоИ եጅαщеዲ
Тይж υկο ፕሖоλաжθրоቅո νомукоρагየ вророծላзвП пуслиΧխйոхро ዣራэጨኚ оρатвխտи
ԵՒሟоዲушեվωш кυճоβожθ ըхрօврПሦզεг ռևնαд ችклևбιхЕποቱዘኀю φιпрըпаՊυбθγαчևже δа
Էзапрαքቡ կиցекружՕլևսօвр ежаф дрαтоցеχԵճոֆоሾէገуሺ ψጰ иμΘрсэժиጻоች ижխв фоχθነоጄецጊ
Роքаπωն урэዲΩзωфու урсаሰа иգυкеχሰፖутЧሠлևреηар αዉ ቂиηቩкቂжашԿιզуմէպυከ τу
Аሥелу ивυщεгл своγቡΧасቂս гаጩλո փицαщуስο նεдሎ ፌኀοճеμ
Laforme pronominale : un verbe pronominal, qu’est-ce que c’est ? Le verbe pronominal est précédé d’un pronom (ce pronom varie selon le sujet). Exemples : Elle se lève. Elle se lave les mains. Elle se promène avec sa soeur. Elles se
Table des matières Comment conjuguer le verbe réfléchir au passé composé ? Comment il réfléchit ? Quel groupe le verbe réfléchir ? Comment réfléchir sur soi ? Comment réfléchir sur sa vie ? Qu'est-ce qu'un verbe pronominal de sens réfléchi ? Pourquoi réfléchir par soi-même ? Comment agir sans réfléchir ? Comment reconnaître un verbe pronominal réfléchi ? Quels sont les verbes pronominaux réfléchis ? Comment réfléchir par soi-même ? Est-il difficile de penser par soi-même ? Qu'est-ce que réfléchir en philosophie ? Pourquoi il est important de réfléchir ? Pourquoi mon cerveau pense tout le temps ? Est-il possible d'arrêter de penser ? Comment reconnaître un verbe pronominal dans une phrase ? Comment conjuguer le verbe réfléchir au passé composé ? Passé composéj'ai as a avons avez ont réfléchi. Comment il réfléchit ? Cela pourrait être plus facile à dire qu'à faire, mais un des facteurs les plus importants à prendre en compte pour réfléchir est le calme et si possible, la solitude. Détendez-vous, asseyez-vous et prenez conscience de votre respiration tout en essayant de bloquer les distractions extérieures. Quel groupe le verbe réfléchir ? verbe transitif du 2e groupe. Comment réfléchir sur soi ? Réfléchir par soi-même, c'est donc d'abord avoir le courage de se poser des questions à chaque fois qu'on a un doute, même si cela est parfois difficile, et essayer de se forger une opinion personnelle en s'appuyant sur des arguments sérieux, auxquels on a réfléchi, et sur des valeurs auxquelles on tient. Comment réfléchir sur sa vie ? Recherchez par vous même comment le monde tourne dans sa globalité, cherchez par vous-même le potentiel de l'être humain, cherchez par vous-même à donner un sens à votre vie, car oui notre existence à un sens, il faut pour cela retrouver l'essence même de notre nature. Qu'est-ce qu'un verbe pronominal de sens réfléchi ? Un verbe pronominal est de sens réfléchi quand le sujet désigne un agent exerçant une action sur lui-même physiquement, mentalement…, ou dans son intérêt. Dans ce cas, le pronom réfléchi désigne l'agent lui-même, et est en même temps l'objet de l'action. Pourquoi réfléchir par soi-même ? Penser par soi-même, c'est s'affranchir des préjugés, c'est-à-dire, des pensées toutes faites. ... Penser par soi-même c'est avoir pris du recul par rapport à une idée, c'est savoir au minimum pourquoi on a cette idée en nous, pourquoi on y adhère, ce qu'elle signifie profondément. Comment agir sans réfléchir ? Ne cherchez pas à interpréter, soyez juste attentif à ce que vous observez et ressentez, sans manipuler » de pensées à ce propos, sans partir avec votre tête à penser ». Laissez vos pensées un peu de côté sauf quand il faut réfléchir à quelque chose de précis pour rester concentré sur vos sensations… Comment reconnaître un verbe pronominal réfléchi ? Le verbe pronominal a le sens réfléchi s'il marque que l'action se réfléchit sur le complément qui représente le sujet. Le verbe pronominal a le sens réciproque s'il marque que l'action est faite par plusieurs êtres agissant l'un sur l'autre. Quels sont les verbes pronominaux réfléchis ? Un verbe pronominal réfléchi exprime une action que le sujet fait sur lui-même Je me lave. Le verbe pronominal réciproque exprime une action à la fois accomplie et reçue par chacun des acteurs de l'action. Tous les enfants se sont regardés. Comment réfléchir par soi-même ? S'observer pour mieux se connaitre Savoir identifier ce qui nous plait et ce qui nous agace, ce qui nous motive et ce qui nous énerve. C'est se regarder d'un peu loin, d'un peu haut, oser observer nos attitudes et comportements, nos réflexes, nos limites, sans jugement, juste en prenant note. Est-il difficile de penser par soi-même ? Commentaire. Kant, le grand philosophe, nous posait déjà la question Il est difficile de penser par soi même ». Qu'est-ce que réfléchir en philosophie ? Réfléchir, c'est être attentif à des idées, et c'est ainsi, en tout cas, que l'entend le langage courant toutes les fois que j'arrête une idée au passage pour l'apprécier, pour la comparer à d'autres, pour l'analyser, pour la faire passer du confus au clair, je réfléchis. Pourquoi il est important de réfléchir ? Pourquoi réfléchir ? La capacité de réfléchir est ce qui distingue le mieux l'homme des autres animaux. C'est cette capacité qui permet à notre civilisation de se développer, en bien et en mal. Pourquoi mon cerveau pense tout le temps ? Pourquoi certains disent-ils qu'ils pensent trop ? Ils ont les cinq sens plus développés et en alerte que la moyenne. Leur cerveau trie moins les informations pertinentes. Sollicités en permanence, ils gèrent beaucoup de stimulations. Est-il possible d'arrêter de penser ? “En neurosciences, toutes les activités cérébrales sont des pensées. Qu'on soit en phase de sommeil, dans le coma ou éveillé, le cerveau est en activité, donc produit des pensées. Il peut moduler son activité, mais ne s'arrête jamais. ... Cela dit, tout dépend de ce que vous aviez en tête en utilisant le terme “penser”. Comment reconnaître un verbe pronominal dans une phrase ? Le verbe pronominal est un verbe toujours accompagné d'un pronom personnel à la même personne grammaticale que le sujet et qui se conjugue seulement avec l'auxiliaire être aux temps composés. Une phrase contenant un verbe pronominal renferme deux pronoms de la même personne qui se suivent.
Veuilleztrouver ci-dessous toutes les réponses et solution pour Qu’est ce qui réfléchit sans réfléchir ?. Word Riddles est un jeu fantastique développé par Magic Word Games. Avec plus de 1000 énigmes, vous pouvez jouer à Word Riddles n’importe où sans avoir besoin d’une connexion Internet. Pour plus d’informations n’hésitez pas à laisser un
Vanessa Clara Ann Vokey via Getty Images girl holding head in pain. red hair. blue blouse. Vanessa Clara Ann Vokey via Getty Images PSYCHOLOGIE - Au moment où vous vous apprêtez à faire quelque chose, vous vous interrompez un instant. Est-ce qu’il ne vaudrait pas mieux, après tout, vous consacrer à autre chose? Êtes-vous capable de rester planté au milieu d’un supermarché en pesant le pour et le contre d’un paquet de riz? Si oui, félicitations! Vous êtes du genre à trop réfléchir! 1. Le leitmotiv de notre entourage? "Bon, tu te décides?" Si vous réfléchissez trop, cette injonction doit vous être familière. Autour de vous, les gens ont l’air de dire que c’est trop facile de prendre une décision. Bon, parfois, c’est vrai supposons que vous ayez le choix entre votre mari et Brad Pitt… Le choix est simple. Mais si vous réfléchissez trop, c’est une vraie torture. 2. Quand on pense avoir fait le "mauvais" choix, on n’en dort pas de la nuit Un shampoing, une marque de biscuits, une place de parking, un copain/une copine, et même une paire de chaussettes… Autant de choix super compliqués. Les gens n’imaginent pas les conséquences si on n’achète pas le bon jogging. Bon, en fait, il n’y en aura aucune, sauf que vous n’arrêterez pas de vous demande si vous avez bien pris le bon. 3. Nos choix ne sont pas binaires Les choses ne sont pas aussi simples. Quand on réfléchit trop, on se rend compte de tout l’éventail des possibilités qui s’offrent à nous notre capacité est peut-être un fléau, comme on le pense souvent, mais aussi une bénédiction. Au lieu d’avoir une seule option un peu foireuse, on n’a que l’embarras du choix. 4. C’est à nous qu’on s’adresse pour avoir des conseils On n’est jamais surpris qu’on nous demande notre avis, qu’il s’agisse de relations amoureuses ou de problèmes familiaux. Les gens savent qu’on examinera la situation en détail et qu’on analysera méthodiquement chaque hypothèse. C’est ce qu’ils aiment quand on pèse le pour et le contre de leurs dilemmes, ils ont l’impression d’être importants. Et ça leur montre certaines choses qu’ils n’avaient pas envisagées. Avoir pour ami quelqu’un qui pense trop, c’est un sacré avantage. 5. On préfère que les autres choisissent à notre place Ah, comme on l’aime, cette phrase libératrice "C’est comme tu veux!" Parfois, on préfère qu’on nous dise quoi faire, histoire d’éviter de s’épuiser à parcourir notre labyrinthe mental. Quand il s’agit de savoir où aller dîner, par exemple, on est super content que quelqu’un d’autre décide à notre place. 6. Les décisions importantes sont plus faciles à prendre Si ceux qui réfléchissent trop passent parfois des heures à choisir leur lecteur Blu-ray, ils peuvent aussi mettre deux secondes pour se résoudre à quitter leur emploi et démarrer autre chose. Quand j’ai dû acheter un Babyphone, j’ai mis des heures à trancher. Mais pour retourner à l’université cinq ans après la fin de mes études, aucun problème ! Ce qui est vraiment important est aussi excitant. Alors que les détails de la vie quotidienne, eux, sont angoissants quand on y réfléchit trop. 7. On n’a que des regrets Bien sûr, une fois qu’on a pris cette décision si importante et qu’on est face à notre nouvelle vie, notre cerveau se met à cogiter pour savoir si tout ça était bien raisonnable ou si on n’a pas fait preuve d’un peu trop de légèreté. Il arrive qu’on regrette profondément nos choix et qu’on se mette à douter de nos intuitions. 8. Il faut toujours qu’on réfléchisse à tout Seuls ceux qui réfléchissent trop le comprennent quand il nous arrive un truc génial, on se demande comment ça a pu nous arriver et si ça nous arrivera encore. On se met sur notre 31, prêt à fêter l’événement, mais le doute s’installe "Est-ce que je le mérite vraiment?" 9. Notre cerveau est un champ de bataille permanent On sait bien qu’on a de l’intuition. C’est même elle qui s’exprime la première quand on se pose une question. Mais l’inquiétude vient vite lui faire concurrence, empêchant la raison de se faire entendre, et c’est tout de suite la guerre dans notre cerveau. 10. On est agaçants et on le sait On sait bien que ça énerve les gens quand on n’arrive pas à se décider pour un disque dur ou pour le parfum de notre glace. Le truc, c’est qu’on n’y peut rien. Et quand on voit les autres se prononcer en deux secondes, on aimerait bien pouvoir en faire de même. Quand vous vous décidez d’un coup de tête pour telle bière ou telle paire de chaussures, on se dit intérieurement "Mauvaise pioche, ma chérie. Dommage que tu n’aies pas plus de jugeote…" 11. On sait qu’il faut être prudent Bien des fois, le fait de trop réfléchir nous a évité de mettre cet horrible t-shirt ou de sortir avec un type louche dont on aurait vraiment eu du mal à se débarrasser. Évitez de prendre de haut vos amis qui réfléchissent trop le jour où vous vous mordrez les doigts d’avoir fait un mauvais choix, ce sont eux qui vous réconforteront en vous disant "Je comprends parfaitement ce que tu ressens". 12. Et si les vendeuses pouvaient éviter de nous montrer "autre chose"… Quand une vendeuse nous dit qu’elle peut nous proposer "différentes choses", on a juste envie de l’abattre. Eh! On a déjà du mal à se dépêtrer des trois premiers articles qu’on a sélectionné! Les vendeuses trop motivées nous donnent des frissons. On les évite comme la peste. Elles nous font plein de propositions », nous donnent leur "avis". Mais on n’en veut pas! Qu’elles laissent nos petits cerveaux tranquilles, et qu’elles évitent de leur fournir matière à se disperser davantage! Il« réfléchit que l'hiver s'était passé sans trop de malheur et sans trop de souffrance que tu te : sois: réfléchi réfléchie: qu' il se elle se : soit: réfléchi réfléchie: que nous nous : soyons: réfléchis réfléchies: que vous vous : soyez: réfléchis réfléchies: qu' ils se elles se : soient: réfléchis réfléchies: plus-que-parfait ; que je me : fusse: réfléchi Par Li Jin, Chine En 2014, quand j’étais une dirigeante d’Église, j’étais assez efficace dans mon devoir et j’avais de l’expérience, alors je croyais comprendre la vérité. Quand des problèmes surgissaient, j’agissais souvent arbitrairement, sans chercher les principes de la vérité. À un moment, on m’a signalé que les dirigeants de deux Églises avaient une mauvaise humanité, qu’ils opprimaient et étouffaient les autres. J’ai écouté les rapports, je les ai crus et, sans examiner les faits, j’ai renvoyé l’un des dirigeants, qui était capable de travail concret, et j’ai failli expulser l’un des autres dirigeants par erreur, ce qui a gravement affecté le travail des deux Églises. Mes supérieurs m’ont traitée sévèrement parce que je faisais mon devoir arbitrairement, n’agissais pas en accord avec les principes de la vérité et renvoyais des gens comme bon me semblait. Mais je me connaissais encore mal, je me suis défendue et justifiée, et je me suis dit que tout le monde commettait des erreurs dans son devoir. Parce que je n’acceptais pas la vérité, que j’agissais souvent à l’encontre des principes, de manière arbitraire, et que mon travail n’avait pas d’effet concret, mes supérieurs m’ont renvoyée. Après mon renvoi, au lieu d’arranger un autre devoir pour moi, ils m’ont dit de m’adonner à une réflexion spirituelle chez moi. À ce moment-là, je n’ai pas compris la volonté de Dieu et j’ai été très négative. Je me disais que je croyais en Dieu depuis des années, que j’avais renoncé à mon mariage, quitté mon emploi et qu’il m’arrivait souvent de travailler alors que j’étais malade. Même si je n’avais gagné aucun mérite, j’avais au moins travaillé dur. Être renvoyée était déjà un coup dur, mais on m’annonçait en plus que je ne pouvais accomplir aucun devoir. Comme je n’avais commis que deux erreurs, je trouvais qu’il était trop sévère de me traiter de cette manière, surtout quand je voyais des gens qui n’étaient pas dirigeants ni ouvriers poursuivre leur devoir, alors que moi, qui avais été dirigeante, n’en avais plus. Je me disais Je ne peux pas être dirigeante, apparemment. Il y a des critères élevés et des exigences strictes pour être dirigeant. Il suffit d’être un peu négligent pour que notre vie de foi en Dieu s’achève. Comment peut-on avoir une fin et une destination si on ne peut même pas être un exécutant ? Quoi qu’il arrive, je ne serai plus une dirigeante à l’avenir. » Après ça, pendant des années, j’ai fait du travail textuel dans l’Église. Même si j’ai eu des occasions de me présenter à des élections de dirigeants ou d’ouvriers, j’ai toujours évité d’y prendre part. Je n’avais pas conscience de mon problème, à ce moment-là. Je pensais qu’il était sage de faire ça. En mai 2020, mes frères et sœurs m’ont encouragée à me présenter à une élection. J’ai été en proie à un conflit intérieur. Mon travail me convenait et je n’avais pas envie de participer à l’élection. Que je sois choisie comme dirigeante n’augurerait rien de bon. Je pensais qu’être dirigeant était un travail difficile et ingrat. Il est obligatoire de bien le faire et, en cas d’erreur, les dirigeants sont toujours tenus responsables. On peut dire à juste titre Tout le monde en tire les bénéfices, mais une seule personne est blâmée. » Quand j’avais été dirigeante, précédemment, j’avais transgressé. Si je servais de nouveau comme dirigeante et faisais quelque chose à l’encontre des principes, causant un grand tort au travail de la maison de Dieu, au mieux, je serais renvoyée, au pire, je serais expulsée, ce qui me ferait perdre ma chance de salut. Voyant les choses comme ça, j’ai répondu que mon problème cardiaque s’était aggravé et que je ne pouvais pas participer à l’élection. Je me suis sentie un peu coupable, sur le coup. N’évitais-je pas l’élection ? Mais je pensais que je n’étais vraiment pas à la hauteur d’un poste de dirigeante et mon cœur me faisais souffrir, alors j’avais une bonne raison de me défiler. Cette pensée a eu raison de mon malaise et de ma culpabilité. Un mois plus tard, la dirigeante a dit dans une lettre que les frères et sœurs m’avaient de nouveau choisie comme candidate. Après avoir lu la lettre, je me suis demandé Pourquoi me recommandent-ils comme candidate ? Être un dirigeant est si dangereux ! Ҫa représente beaucoup de travail et de problèmes, et je pourrais être révélée n’importe quand. Il y a eu des gens, autour de moi, qui ne semblaient pas avoir de problème tant qu’ils n’étaient pas dirigeants, mais dès qu’ils le sont devenus, ils ont été révélés comme faux dirigeants et renvoyés, ou identifiés comme des antéchrists et expulsés. Il semble que le statut révèle effectivement les gens. » J’ai donc décidé de ne pas me présenter à l’élection. Mais la dirigeante a dit que je devais être là à l’heure, alors j’y suis allée à contrecœur. Je n’ai pas eu grand-chose à dire au cours de ces journées de réunions. Quand est venu le moment de voter, j’ai hésité un long moment. Finalement, j’ai dit à tout le monde Je m’abstiens. Je ne voterai pas et je ne me présenterai pas. » Peu après mon retour à la maison, ma maladie est réapparue. J’ai eu la diarrhée, de la fièvre, et les médicaments ne me faisaient rien. Après plusieurs jours, mon état s’est enfin amélioré, mais mes bras et mon cou se sont couverts de taches rouges. Ҫa s’est aggravé. Dès que je commençais à transpirer, tout mon corps me faisait mal. En quelques jours, j’ai été complètement épuisée par ces maladies. J’ai compris que je n’étais pas malade par hasard, que c’était la discipline de Dieu, mais je ne savais pas comment réfléchir. J’ai prié Dieu, Lui demandant de me guider pour que je me connaisse et que j’en tire une leçon. Plus tard, quand ma dirigeante a appris que je souffrais de ces maladies, elle m’a conseillé de réfléchir sur mon attitude envers l’élection et elle a trouvé un passage de la parole de Dieu qui concernait mon état. Avec une nature satanique, une fois que les gens obtiennent un statut, ils sont en danger. Alors que faut-il faire ? N’ont-ils aucun chemin à suivre ? Ce fait ne peut-il pas être changé ? Dites-moi, au moment où des gens corrompus obtiennent un statut – indépendamment de qui ils sont – deviennent-ils des antéchrists ? Est-ce absolu ? S’ils ne poursuivent pas la vérité, alors ils deviendront des antéchrists, mais s’ils poursuivent la vérité, ce ne sera pas le cas. C’est absolument vrai si les gens ne recherchent pas la vérité, ils deviendront à coup sûr des antéchrists. Et est-il vrai que tous ceux qui marchent sur le chemin des antéchrists le font à cause de leur statut ? Non, c’est surtout parce qu’ils n’aiment pas la vérité, parce qu’ils n’ont pas raison. Qu’ils aient un statut ou non, les gens qui ne recherchent pas la vérité marchent tous sur le chemin des antéchrists. Quel que soit le nombre de sermons qu’ils ont entendus, ces gens n’acceptent pas la vérité, ils ne suivent donc pas le bon chemin et ils suivent donc inévitablement le chemin tortueux. C’est comme la manière de se nourrir certains, au lieu de consommer des aliments pouvant nourrir sainement leur corps et favoriser une existence normale, préfèrent consommer des choses qui leur font du mal et, au bout du compte, se tirer une balle dans le pied. N’est-ce pas leur propre choix ? Quand ils sont rejetés, certains dirigeants et ouvriers diffusent des notions, ils disent “Ne soyez pas dirigeants, et n’allez pas obtenir un statut. Les gens sont en danger dès l’instant où ils obtiennent un quelconque statut, et Dieu les exposera ! Une fois exposés, ils ne seront même pas en mesure d’être des croyants ordinaires et ils ne recevront aucune bénédiction.” Qu’est-ce que cela signifie donc ? Au mieux, cela reflète une mauvaise perception de Dieu ; au pire, c’est un blasphème contre Lui. Si tu ne suis pas le bon chemin, que tu ne poursuis pas la vérité et que tu ne suis pas la voie de Dieu mais persistes à emprunter la voie des antéchrists pour te retrouver sur le chemin de Paul et finir par connaître le même sort, la même fin que lui, à blâmer Dieu et Le juger injuste, n’es-tu pas alors un véritable exemple d’antéchrist ? Une telle conduite est maudite ! Lorsque les gens ne comprennent pas la vérité, ils vivent toujours selon leurs notions et leurs imaginations, interprètent fréquemment Dieu de manière erronée et sentent que les actions de Dieu sont en contradiction avec leurs propres notions, ce qui produit chez eux des émotions négatives cela se produit parce que les gens ont des tempéraments corrompus. Ils disent des choses négatives et pleines de ressentiment parce que leur foi est trop dérisoire, leur stature est trop petite et ils comprennent trop peu de vérités – ce qui est tout à fait pardonnable, et Dieu n’en garde pas le souvenir. Et pourtant, il y a ceux qui ne suivent pas le bon chemin, qui suivent spécifiquement le chemin qui consiste à tromper Dieu, à Lui résister, à Le trahir et à lutter contre Lui. Ces gens sont finalement punis et maudits par Dieu, et plongés dans la perdition et la destruction. Comment en arrivent-ils là ? C’est parce qu’ils n’ont jamais réfléchi et ne se sont jamais connus eux-mêmes, parce qu’ils n’acceptent pas du tout la vérité, sont imprudents et volontaires, refusent obstinément de se repentir et se plaignent de Dieu après avoir été exposés et rejetés, disant que Dieu n’est pas juste. Ces gens pourraient-ils être sauvés ? Non. Ils ne le pourraient pas. Alors, est-il vrai que tous ceux qui sont rejetés sont au-delà du salut ? On ne peut pas dire qu’ils soient totalement irrécupérables. Il y a ceux qui comprennent trop peu de vérités et qui sont jeunes et inexpérimentés, qui, une fois qu’ils sont devenus dirigeants ou ouvriers et ont un statut, sont dirigés par leur tempérament corrompu, recherchent un statut, jouissent de ce statut et suivent donc naturellement le chemin des antéchrists. Si, après avoir été exposés et jugés, ils sont capables de réfléchir sur eux-mêmes et de se repentir vraiment, en abandonnant la méchanceté comme les habitants de Ninive, en ne suivant plus le chemin du mal comme ils le faisaient auparavant, alors ils ont encore la possibilité d’être sauvés. Mais quelles sont les conditions d’une telle opportunité ? Après avoir été exposés et identifiés, ils se repentent vraiment, ils sont capables d’accepter la vérité, ce qui signifie qu’ils ont encore un peu d’espoir. S’ils sont incapables de réfléchir sur eux-mêmes et n’ont aucune intention de se repentir véritablement, ils seront complètement rejetés » Il faut avoir un chemin de pratique spécifique pour corriger ses tempéraments corrompus », dans Sermons de Christ des derniers jours. Après avoir lu ces paroles de Dieu, ma dirigeante m’a rappelé Tu crois qu’en tant que dirigeant, on est facilement révélé, remplacé ou chassé. Ce point de vue est-il correct ? Que les gens soient finalement révélés et chassés dépend du fait qu’ils recherchent la vérité ou non et du chemin qu’ils prennent. Le fait qu’ils soient dirigeants ou non ne change rien. Si quelqu’un ne recherche pas la vérité ou n’emprunte pas le bon chemin en tant que dirigeant, s’il fait le mal, perturbe le travail de la maison de Dieu et refuse de se repentir, il sera immanquablement révélé et chassé. Mais quand certains, même s’ils commettent des erreurs et des transgressions dans leurs devoirs, sont capables d’accepter la vérité, de réfléchir sur eux-mêmes et de se repentir vraiment, la maison de Dieu leur donne d’autres chances. S’ils ont un petit calibre et ne sont pas à la hauteur d’un poste de dirigeant, ils seront transférés à un devoir qui leur convient, mais ils ne seront pas renvoyés ou chassés à la légère. Parmi tous les dirigeants dans la maison de Dieu, pourquoi certains comprennent-ils de mieux en mieux la vérité et s’améliorent-ils dans leurs devoirs ? Pourquoi certains font-ils des choses mauvaises et sont-ils révélés en tant que faux dirigeants et antéchrists, puis rejetés ? Leurs échecs ont-ils le moindre rapport avec le fait d’être des dirigeants ? De plus, la maison de Dieu a révélé et rejeté de nombreux malfaiteurs, qui n’étaient pas dirigeants pour la plupart. Ils ont été rejetés parce qu’ils haïssaient la vérité, n’empruntaient pas le bon chemin, se déchaînaient dans leurs devoir et causaient des dérangements et des perturbations. Cela a-t-il un rapport avec le fait d’être un dirigeant ? » J’ai été un peu ébranlée et j’ai répondu C’est vrai, tous les dirigeants ne sont pas révélés et rejetés dès qu’ils ont un statut. Quand ça se produit, c’est parce qu’ils n’empruntent pas le bon chemin, ne recherchent pas la vérité, ne désirent que les bénéfices du statut, agissent arbitrairement, se déchaînent et causent des dérangements et des perturbations. C’est ce qui fait d’eux des faux dirigeants et des antéchrists qui sont révélés et rejetés. » J’ai pensé à Frère Wu, qui avait été renvoyé quelque temps plus tôt. En tant que dirigeant, il était toujours arrogant, il s’affichait, il rabaissait et ostracisait ses partenaires en permanence, ce qui les empêchait d’accomplir leurs devoirs normalement parce qu’ils se sentaient étouffés. Ses dirigeants avaient échangé avec lui de nombreuses fois, mais il n’avait jamais changé et il n’avait été renvoyé qu’après ça. J’ai réfléchi sur les années où j’avais été dirigeante. J’avais souvent agi arbitrairement. Quand mes frères et sœurs avaient dénoncé les deux dirigeants d’Église, je n’avais pas enquêté et vérifié comme les principes l’exigent. À la place, j’avais condamné ces dirigeants, allant jusqu’à les renvoyer et les expulser. Le résultat, c’était que j’avais fait du mal aux deux dirigeants et semé le chaos dans l’Église. En y repensant, j’ai compris que tout ce que j’avais fait était mal. Je gâchais le travail de la maison de Dieu et la chance d’être sauvés des autres. Heureusement, mes décisions erronées et injustes avaient été découvertes et annulées. Sans ça, les conséquences auraient été terribles. J’ai compris que mon renvoi n’avait rien à voir avec mon statut ni le fait que j’étais dirigeante. J’avais été renvoyée parce que mon tempérament était trop arrogant, je ne cherchais pas la vérité, j’agissais arbitrairement, sans entrer dans le détail, je perturbais le travail de l’Église, et je n’avais pas réfléchi sur moi-même et ne m’étais pas repentie quand j’avais été émondée et traitée. Voilà pourquoi on m’avait renvoyée. C’était en accord avec les principes et c’était la justice de Dieu. Néanmoins, je ne me connaissais pas et je vivais dans un état d’incompréhension et de méfiance envers Dieu. Je pensais que j’avais été révélée parce que j’étais une dirigeante, que les exigences de la maison de Dieu étaient trop grandes et que je n’avais été renvoyée que pour deux erreurs. C’était si absurde et déraisonnable ! C’est alors que j’ai compris que si je n’avais pas été renvoyée à temps et arrêtée dans mon élan, vu mon tempérament arrogant, j’aurais commis de bien plus grands méfaits. Mon renvoi était la protection de Dieu pour moi et une bonne occasion de réfléchir sur moi-même. J’ai songé à Sœur Wang, qui avait été ma partenaire. Elle avait été renvoyée mais, après son échec, elle avait su réfléchir sur elle-même, en tirer une leçon et se repentir à Dieu. Plus tard, quand elle était redevenue dirigeante, elle avait pu chercher les principes de la vérité quand elle agissait et elle avait clairement progressé. Après y avoir réfléchi, j’ai compris que les gens n’étaient pas rejetés parce qu’ils avaient un statut. Ils se nuisent à eux-mêmes à cause de leurs tempéraments corrompus. Si nos tempéraments corrompus ne sont pas résolus, même si on n’est pas dirigeant et ne commet pas de méfait dans une position de dirigeant, on sera rejetés pour ne pas avoir recherché la vérité. Quand je l’ai compris, mon état a commencé à changer, mais j’avais encore des inquiétudes. Je me disais Ma compréhension de la vérité est superficielle et les dirigeants doivent décider de beaucoup de choses. Si je perturbe le travail de la maison de Dieu par des arrangements inappropriés, je risque de commettre des transgressions. Si je ne suis pas dirigeante et ne fais pas ce genre de travail, je ne commettrai pas de méfaits et ne résisterai pas à Dieu à cause de ça. Je crois toujours qu’il vaut mieux que je ne me présente pas à l’élection. » À ce moment-là, j’ai lu un passage de la parole de Dieu Je ne veux voir personne se sentir comme si Dieu l’avait laissé pour compte, l’avait abandonné ou lui avait tourné le dos. Je voudrais seulement vous voir tous emprunter le chemin qui consiste à poursuivre la vérité et chercher à comprendre Dieu, allant hardiment de l’avant avec une volonté sans faille, sans crainte, sans fardeau. Quels que soient les torts que tu as commis, peu importe à quel point tu t’es égaré ou tu as mal agi, ne laisse pas cela devenir un fardeau ou un boulet que tu doives traîner dans ta quête de compréhension de Dieu. Poursuis ta marche en avant. Le salut de l’homme occupe toujours une place dans le cœur de Dieu. Cela ne change jamais c’est la partie la plus précieuse de Son essence » Dieu Lui-même, l’Unique VI », dans La Parole apparaît dans la chair. Cette parole de Dieu m’a profondément émue. Dieu ne renonce pas à sauver les gens à cause d’échecs et de transgressions temporaires. À la place, Il leur donne des occasions de se repentir. Il ne faut pas avoir peur de commettre des erreurs et des transgressions dans son devoir. Tant que les gens peuvent changer, Dieu continuera à les guider. Je me suis souvenue que Dieu ne m’avait pas abandonnée malgré mes transgressions. Il n’avait fait que me châtier et me discipliner, puis Il avait utilisé des gens pour m’exposer et me traiter, me démettre de mon rôle de dirigeante et m’inciter à réfléchir sur moi-même. Mais je vivais dans un état d’incompréhension et de méfiance envers Dieu, ne voulant pas être une dirigeante ou une ouvrière, alors Dieu avait utilisé d’autres gens pour échanger avec moi à plusieurs reprises et Il avait attendu que je change. Depuis le début, Dieu avait été patient et tolérant envers moi. Il m’avait donné du temps et des opportunités dans l’espoir que j’accepterais la vérité et me repentirais. Contrairement à ce que je croyais, Il ne m’avait pas condamnée et rejetée pour une seule transgression. Quand je l’ai compris, j’ai éprouvé du remords et de la culpabilité, alors j’ai prié Dieu Ô Dieu ! Je suis trop rebelle. Je ne veux plus mal Te comprendre et me méfier de Toi. Je veux me repentir, maintenant. S’il Te plaît, guide-moi pour que je change mon état incorrect. » Après ça, je me suis demandé pourquoi j’avais mal compris Dieu et m’étais méfiée de Lui. Quelle était la racine du problème ? À ce moment-là, ma dirigeante m’a envoyé un passage de la parole de Dieu qui m’a beaucoup aidée. Dieu Tout-Puissant dit Si tu es malhonnête, alors tu seras méfiant et suspicieux à propos de tous les gens et de toutes choses, et ainsi ta foi en Moi sera bâtie sur un fondement de suspicion. Je ne pourrais jamais reconnaître une telle foi. Manquant d’une foi sincère, tu es encore plus dépourvu d’un amour réel. Et si tu es enclin à douter de Dieu et à t’interroger à Son sujet quand bon te semble, alors, sans l’ombre d’un doute, tu es le plus malhonnête de tous les gens. Tu te demandes si Dieu peut être comme l’homme pécheur impardonnable, de caractère mesquin, dénué d’équité et de raison, privé du sens de la justice, livré à des tactiques vicieuses, sournois et trompeur, ainsi que réjoui par le mal et les ténèbres, etc. Si les gens ont de telles pensées, n’est-ce pas parce qu’ils manquent de la moindre connaissance de Dieu ? Une telle foi n’est rien d’autre que pécheresse ! » Comment connaître le Dieu sur terre », dans La Parole apparaît dans la chair. Cette parole de Dieu m’a permis de comprendre que j’avais mal compris Dieu et m’étais méfiée de Lui parce que ma nature était trop malhonnête. Après avoir été renvoyée, je n’avais pas réfléchi au chemin qui m’avait menée à l’échec et je n’en avais pas tiré de leçon pour ne pas reproduire mes erreurs. Au contraire, je m’étais dit qu’on était trop facilement révélé et rejeté en tant que dirigeant. Je pensais que le titre de dirigeante » m’avait nui. J’avais même imaginé Dieu comme un monarque terrestre qui condamnait les gens à mort quand ils faisaient quelque chose de mal, alors les élections me terrifiaient. Je craignais d’être révélée et de perdre ma fin en étant choisie comme dirigeante, alors j’étais toujours sur mes gardes et sur la défensive en présence de Dieu. L’exaltation de Dieu me semblait malveillante et je trouvais excuse après excuse pour éviter de me présenter aux élections. J’étais si malhonnête ! La maison de Dieu forme les dirigeants et les ouvriers pour leur donner l’occasion de pratiquer, afin qu’ils comprennent la vérité et assument le mandat de Dieu. Mais je pensais que Dieu avait l’intention de me révéler et de me rejeter. Je comprenais mal Dieu et blasphémais contre Lui ! Je croyais en Dieu, mais je voyais toujours les choses du point de vue des injustes, je doutais et je me méfiais de Dieu. Par là, j’exposais des tempéraments mauvais et sataniques. Croire de cette manière n’était-il pas résister à Dieu ? Plus tard, après avoir lu la parole de Dieu, j’ai mieux compris la volonté de Dieu. La parole de Dieu dit Parfois, Dieu Se sert d’un certain sujet pour te mettre à nu ou te discipliner. Est-ce que cela signifie que tu as été rejeté ? Cela signifie-t-il que ta fin est venue ? Non. […] En fait, dans bien des cas, les inquiétudes des gens sont liées à leurs propres intérêts. De façon générale, il s’agit de la crainte de n’avoir aucune fin. Ils se disent toujours “Et si Dieu me met à nu, me chasse et me rejette ?” C’est ta mauvaise compréhension de Dieu ce ne sont que tes pensées. Il faut que tu détermines quelle est l’intention de Dieu. Quand Il met les gens à nu, ce n’est pas fait pour les rejeter. Les gens sont mis à nu pour exposer leurs défauts, leurs erreurs et l’essence de leur nature, pour qu’ils se connaissent eux-mêmes et soient capables d’une vraie repentance. De ce fait, si les gens sont mis à nu, c’est pour que leur vie puisse grandir. Sans une compréhension pure, les gens sont susceptibles de mal interpréter Dieu et de devenir négatifs et faibles. Ils peuvent même céder au désespoir. En fait, être mis à nu par Dieu ne signifie pas nécessairement que les gens seront chassés. Il s’agit de te donner une connaissance et te faire te repentir. Souvent, parce que les gens sont rebelles et ne cherchent pas la vérité pour trouver une solution lorsqu’ils présentent des manifestations de corruption, Dieu doit faire preuve de discipline. Et donc parfois, Il met les gens à nu, exposant leur laideur et leur état pitoyable et leur permettant de se connaître, ce qui permet que leur vie grandisse. Mettre les gens à nu a deux implications différentes Concernant les méchants, être mis à nu signifie qu’ils sont chassés. Concernant ceux qui sont capables d’accepter la vérité, c’est un rappel et un avertissement cela les amène à réfléchir sur eux-mêmes, à voir leur véritable état et à ne plus être capricieux et irréfléchis, car continuer ainsi serait dangereux. Mettre ainsi les gens à nu, c’est leur adresser un rappel afin que, lorsqu’ils accomplissent leur devoir, ils ne soient pas confus et négligents, qu’ils ne soient pas blasés, qu’ils ne se contentent pas d’être seulement un peu efficaces, pensant avoir rempli leur devoir selon une norme acceptable, alors qu’en réalité, à l’aune de ce que Dieu demande, ils sont loin d’être à la hauteur mais sont toujours prétentieux et complaisants et pensent que tout va bien dans leur conduite. Dans de telles circonstances, Dieu disciplinera, mettra en garde et rappellera les gens. Parfois, Dieu met à nu leur laideur, ce qui sert manifestement de rappel. Dans ces moments-là, tu dois réfléchir sur toi-même accomplir ton devoir de cette manière est inadéquat, il y a de la rébellion en jeu, il y a là-dedans trop de choses négatives, c’est tout à fait superficiel et si tu ne te repens pas, tu seras puni. Lorsque Dieu te discipline, et te met à nu, cela ne signifie pas nécessairement que tu seras chassé. Cette question doit être abordée correctement » Ce n’est qu’en pratiquant les paroles de Dieu que l’on peut obtenir un changement de tempérament », dans Sermons de Christ des derniers jours. Quand j’ai lu ces paroles de Dieu, j’ai été très émue. Je me suis aussi sentie honteuse et coupable. Dieu révèle les gens, les traite et les discipline pour qu’ils se connaissent, se repentent et changent. Dieu essayait sincèrement de me sauver, mais quand j’avais été confrontée à l’émondage, au traitement et à l’échec, je n’avais pas vu Ses bonnes intentions. Je m’étais agrippée obstinément aux absurdités et aux mensonges de Satan comme Plus on s’élève et plus dure sera la chute » et On est bien seul au sommet ». Je croyais qu’être un dirigeant dans la maison de Dieu était comme être un responsable dans le monde et que plus ma position serait élevée, plus je risquerais d’être révélée et rejetée. Pendant toutes ces années, alors que je comprenais mal Dieu et me méfiais de Lui, mon cœur est resté fermé à Dieu. J’ai répétitivement refusé le mandat et les environnements de Dieu, évité les élections, je suis restée extrêmement prudente et inquiète dans mon devoir, alors je ne pouvais pas me consacrer entièrement à Dieu et Lui donner mon cœur, et j’avais toujours une attitude tiède envers la vérité, comme un non-croyant. J’étais prise dans le piège de Satan, blessée par Satan, et je ne voyais même pas à quel point ça nuisait à ma vie. À présent, j’étais au bord du gouffre, alors je ne pouvais plus mal comprendre Dieu et Lui faire du mal. J’ai prié Dieu en silence Ô Dieu, je veux me repentir à Toi et traiter correctement les élections. Que je sois choisie ou non, je me soumettrai à Tes arrangements. » Quand le moment des élections est venu, j’étais encore partagée. J’ai pensé S’ils me choisissent vraiment, je devrai l’accepter et obéir mais, comme on dit, “Il faut un marteau puissant pour forger le fer”. Comme mon calibre et mes compétences sont limités, il vaudrait mieux que quelqu’un d’autre soit élu. Comme ça, je ne serai pas révélée une nouvelle fois. » Dans mon dilemme, j’ai subitement pensé à une parole de Dieu Lorsque les élus de Dieu accomplissent leur devoir dans le royaume et que les créatures de Dieu accomplissent leur devoir devant le Créateur, ils doivent avoir un cœur qui craint Dieu et procéder calmement, et ne doivent pas être lâches, timides ni craintifs est-il honteux de faire son devoir ? » La Parole apparaît dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu m’a réveillée sur-le-champ. Oui, au moment critique, je voulais battre en retraite et fuir. Je m’étais toujours inquiétée à propos des élections. Où étaient mon courage et ma dignité ? J’étais aussi lâche et timide que Dieu le disait ! Il est juste et convenable qu’un être créé accomplisse son devoir, c’est honorable. Mais je me défilais et me cachais dans une lâcheté honteuse. C’était si stupide et pathétique ! Je devais me tourner vers Dieu, être une personne simple et honnête, arrêter de m’inquiéter pour ma fin et ma destination et donner mon cœur à Dieu. Que je sois élue ou non, je devais avoir une attitude d’obéissance envers Dieu et, si j’étais choisie, je devais l’accepter, obéir et bien accomplir mon devoir. Quand j’ai franchi cette ligne dans ma tête, j’ai eu l’impression que mon cœur était délivré d’un grand poids et j’ai été submergée par le soulagement. Quand les résultats sont tombés, j’ai été élue avec une autre sœur. Cette fois, je n’étais plus sur la défensive, dans l’incompréhension, et je n’ai plus craint d’être rejetée si je n’accomplissais pas bien mon devoir. À la place, j’ai voulu chérir cette opportunité et accomplir mon devoir du mieux possible pour compenser mes transgressions passées. Plus tard, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu Avez-vous peur de suivre le chemin des antéchrists ? Oui. La peur est-elle utile en soi ? Non, la peur seule ne peut pas résoudre le problème. Il est normal d’avoir peur. Avoir peur dans l’âme montre que l’on est un amoureux de la vérité, qu’on est quelqu’un qui est prêt à s’efforcer d’aller vers la vérité et qui est prêt à la poursuivre. Si vous avez peur dans l’âme, alors vous devriez rechercher la vérité et trouver le chemin de pratique. Vous devez commencer par apprendre à coopérer avec les autres en harmonie. S’il y a un problème, résolvez-le par l’échange et la discussion, afin que chacun puisse connaître les principes ainsi que le raisonnement et le programme spécifiques concernant la résolution. Cela ne t’évite-t-il pas de prendre des mesures dictatoriales unilatérales ? De plus, tu dois apprendre à laisser le groupe te superviser et t’aider. Cela demande de la tolérance et de l’ouverture d’esprit. […] Il est certes nécessaire d’accepter une supervision, mais l’essentiel est de prier Dieu et de s’appuyer sur Lui, en se soumettant à une réflexion constante. Surtout lorsque tu as fait fausse route ou que tu as fait quelque chose de mal, ou lorsque tu es sur le point de prendre une mesure dictatoriale et unilatérale et que quelqu’un à proximité le mentionne et t’alerte, tu dois accepter cela et te hâter de réfléchir sur toi-même, et admettre ton erreur, et la corriger. Cela peut t’éviter d’emprunter le chemin des antéchrists. Si quelqu’un t’aide et t’alerte de cette façon, n’es-tu pas préservé sans le savoir ? Tu l’es c’est ta préservation » Le bon accomplissement de son devoir requiert une coopération harmonieuse », dans Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu indique le principe de pratique pour éviter de prendre le mauvais chemin, qui est de chercher la vérité quoi qu’il arrive, de discuter des choses avec les frères et sœurs, de coopérer harmonieusement, d’accomplir notre devoir selon les principes de la vérité, de ne pas agir arbitrairement par tempérament arrogant, de ne pas exiger d’avoir le dernier mot et d’accepter la supervision de nos frères et sœurs dans nos devoirs. Si on échoue à accomplir notre devoir parce qu’on craint de prendre le chemin des antéchrists et d’être révélés, on ne résoudra pas de problèmes et on gâchera notre chance de gagner la vérité et d’être sauvés. C’est comme s’affamer par peur de s’étouffer. Plus tard, j’ai tiré les leçons de mes échecs précédents et j’ai eu une attitude bien plus correcte dans mon devoir. J’ai consciemment discuté des choses avec les autres et j’ai été capable de bien travailler avec eux. On a cherché les principes de la vérité ensemble. Après quelque temps, j’ai vu la direction de Dieu et mes devoir ont produit des résultats. Grâce à cette expérience, j’ai vu que Dieu ne m’avait pas rejetée à cause de mes transgressions et qu’Il ne m’avait pas abandonnée parce que je me méfiais de Lui. À la place, Il a arrangé des gens, des problèmes et des choses afin de m’inciter à venir devant Lui pour réfléchir sur mon tempérament corrompu, de manière à ce que je comprenne Sa volonté, que j’arrête de mal Le comprendre et que j’accomplisse mon devoir avec contentement. Dieu soit loué !
4 elle s'offre en 2000 son propre pc qu'elle agrémente en 2002 d'une "Connexion à Internet" mais elle considère que le Minitel est intéressant mais il renseigne des résultats médiocres (dans le contenu et sur la forme) ; aujourd'hui c'est d'une tablette qu'elle se réjouit notamment pour son itinérance aisée de "hot spots en hot spots de connexion" ;
Tout bien réfléchi, c'est oui. Oui au quinquennat. Pas au chef de l'Etat ou au Premier ministre, les promoteurs trop ambigus de cette réforme. Oui pour des raisons qui ne sont pas les leurs et qu'on peut expédier, d'ailleurs, en quelques phrases. Jacques Chirac n'a jamais été partisan de cette réforme. Toutes ses déclarations passées en font la preuve. En public, et en privé, le président de la République était un défenseur convaincu du septennat. Certes, tout le monde peut changer d'avis, mais pour de bonnes raisons. Depuis sa conversion à la réduction du mandat, Jacques Chirac en est un piètre avocat parce qu'il a mis en oeuvre ce projet en ne songeant qu'à sa réélection. Piégé par un Valéry Giscard d'Estaing vindicatif et revanchard, qui a lancé ce débat comme une bombe à retardement dans le jeu de quilles chiraquien, il a agi sans conviction, au nom de la règle du moindre embarras. A aucun moment il n'a conçu un dessein institutionnel pour la France. Il a choisi un quinquennat a minima, sec, osant même avancer que cette modification ne changerait en rien notre architecture constitutionnelle. Résultat, cette réforme populaire ne mobilise personne. Jacques Chirac veut voir dans cette apathie le signe d'un apaisement démocratique. C'est, en fait, un nouveau symptôme d'une défiance vis-à-vis du politique, incapable d'emporter l'adhésion de l'électeur, d'armer la ferveur citoyenne et de retisser un lien collectif qui se détend. Si la participation à ce référendum est faible, la responsabilité en incombera donc totalement à Jacques Chirac, inventeur du gaullisme Canada Dry, c'est-à-dire le référendum sans le peuple. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Le Premier ministre, en embuscade, aurait tort, cependant, de croire qu'il pourra tirer, en toute hypothèse, les marrons du feu à la fin de cet épisode. Sur ce sujet, Lionel Jospin a pour lui le grand mérite de la cohérence dès l'élection présidentielle de 1995 et bien avant, d'ailleurs, il plaidait pour la réduction du mandat élyséen. Cette conviction était un magnifique atout qu'il a gâché faute de s'engager à fond dans cette campagne, de s'exposer et de livrer une vision de nos institutions. Comme le chef de l'Etat, le chef du gouvernement n'a songé, dans cette séquence, qu'à son destin. Ce Roberval de la politique, qui soupèse tout, a réfléchi en tacticien, pas en stratège. Ce n'est pas ainsi qu'il redressera des courbes de popularité en torche. Cette faillite de l'exécutif est le fruit amer d'une cohabitation trop calculatrice, dans laquelle épier chaque mouvement de l'adversaire et de l'opinion est devenu obsessionnel. Gouverner n'est plus la mise en oeuvre d'un projet. C'est, désormais, une improvisation permanente dans laquelle le courage n'est pas au service du pays. Pour l'essentiel, il est utilisé à des manoeuvres imaginées pour faire briller les sondages. La popularité qu'en tirent le président et le Premier ministre est, du coup, artificielle. Elle n'est plus que la conséquence de soins intensifs qui produisent des effets spectaculaires mais masquent, au fond, la réalité politique. On flatte le client tout en dilapidant le fonds de commerce. On cultive la langue de bois au risque de plonger dans l'absurde, le paradoxe ou le contre-emploi. C'est le cas de Jacques Chirac sur le quinquennat malgré une réforme qui faisait presque l'unanimité, il n'emporte pas l'adhésion, chaque électeur ayant compris qu'il subordonne ses principes à un intérêt momentané. C'est le cas aussi de Lionel Jospin sur le terrain économique plus il parle à gauche, plus il concède au libéralisme, au point d'être le gouvernant qui s'y est le plus converti depuis deux décennies sans jamais l'avouer. L'erreur des deux hommes est d'avoir cru qu'ils pourraient avancer impunément dans cette duplicité cohabitationniste jusqu'à leur affrontement électoral de 2002. Leurs artifices volent aujourd'hui en éclats et leur seul projet politique - maintenir au plus haut niveau leur popularité pour être les candidats incontestés de leur camp - est sérieusement atteint. Lionel Jospin s'est fracassé sur la fiscalité faute de l'avoir vraiment réformée. Jacques Chirac ne tirera aucun bénéfice du référendum sur le quinquennat pour l'avoir lancé et organisé par simple calcul. Tout vient de la Constitution Si l'on oublie, cependant, ce fouillis d'arrière-pensées pour revenir sans cynisme ni affectation emphatique au destin global du pays, la réduction du mandat présidentiel à cinq ans est une affaire importante, que les notices biographiques dans les dictionnaires de 2020 ou 2050 mettront, néanmoins, au crédit de Chirac et Jospin. Le mérite leur en reviendra même s'ils n'en ont pas été vraiment dignes et le jugement du temps oubliera que cette réforme fut adoptée piteusement. Il est important de rappeler ce que disait le général de Gaulle tout vient de la Constitution. Ce texte n'est pas, en effet, un médiocre bout de papier, un emballage sulfurisé de l'action politique. C'est avant tout la règle du jeu de la République, de la nation, de l'Etat, bref du pays. Dans un Etat de droit, elle est le contrat qui domine tous les autres et orchestre les relations au sein du pouvoir mais aussi entre le pouvoir et le citoyen. Plus qu'un symbole, c'est un mode d'emploi. Il n'est pas de démocratie sans Constitution écrite ou non écrite. Il n'y a pas de stabilité sans de solides institutions. Championne du monde de l'immaturité constitutionnelle, au point d'avoir consommé 16 lois fondamentales depuis la Révolution de 1789, la France a trouvé avec la Ve République un compromis baroque mais efficace. Au cours des quarante-deux dernières années, elle lui a offert un équilibre exceptionnel pour faire face à des événements considérables la fin de la guerre d'Algérie, Mai 68, la succession du général de Gaulle, l'alternance de 1981, la cohabitation par trois fois, la chute de l'empire soviétique, la construction européenne... Dans un article brillant, publié par Le Monde du 16 septembre, ce très grand constitutionnaliste qu'est le doyen Georges Vedel livre le secret de notre système, qu'il appelle le présidentialisme majoritaire» Il s'établit un leadership vigoureux et stable du chef réel de l'exécutif à la fois sur les membres du gouvernement et sur la majorité des députés, ce qui ressemble, au profit du président, à la politique effective des régimes les plus évolués mais dirigés par un Premier ministre ou chancelier ou tout autre nom.» De l'art de la France de faire comme les nations voisines par d'autres voies et d'autres moyens! Une exception constitutionnelle liée, en vérité, aux spécificités de notre pays mais qui, en fin de compte, le place dans la norme occidentale. La Constitution de 1958 n'est ni un chef-d'oeuvre ni un monument, mais, simplement, une réponse habile au goût français pour la majesté sans pour autant détonner dans le concert des démocraties dites avancées. Alors pourquoi modifier l'architecture de cet édifice aujourd'hui? Pour deux raisons qui ne sont pas comparables. La première est liée à l'accélération du temps économique, social, médiatique et au besoin d'éviter un trop fort décalage entre le train du politique et la vitesse des changements du monde. Une question de tempo, avec le risque, néanmoins, de priver les élus du recul nécessaire pour gouverner et de la sagesse que peut offrir la durée. Cinq années de pouvoir, cependant, ce n'est pas rien! La deuxième raison, qui n'est pas invoquée par Jacques Chirac et Lionel Jospin parce qu'ils sont concernés au premier chef, c'est la cohabitation. Ce système castrateur n'apporte pas, contrairement à une idée reçue, de la pondération dans la gestion du pays. C'est un poison qui ruine l'autorité du président et affecte le présidentialisme majoritaire», code secret de nos institutions. Elle reparlementarise» à outrance le régime, comme le montrent, ces jours-ci, les soubresauts de la majorité plurielle, et réveille le spectre des crises de la IVe République. Enfin, elle réduit la pratique du pouvoir à un exercice tactique et politicien fait de coups et de coups bas. La cohérence avec le mandat législatif Le quinquennat peut redonner, en revanche, de l'éclat au présidentialisme majoritaire, surtout si on réduit la durée du mandat législatif ou si, comme le suggère Georges Vedel, une réforme de complément permet, dès 2002, de s'assurer au moins que l'élection présidentielle précède de peu les élections législatives, car c'est dans cet ordre que la décision globale attendue en deux temps des citoyens peut être énoncée sans incohérence». Ainsi serait levée, pour partie, l'inquiétude qu'exprimait le général de Gaulle dans une conversation avec Alain Peyrefitte sur le quinquennat le 30 avril 1963 Le risque, si on fait coïncider l'élection présidentielle et l'élection législative, c'est que le président devienne prisonnier de l'Assemblée, c'est-à-dire des partis. Les deux consultations, dans la foulée, résulteraient de combinaisons électorales. Or tout a été agencé dans cette Constitution pour permettre au président d'échapper à ces combinaisons et de placer le gouvernement en position de force vis-à-vis de l'Assemblée. Il n'y a pas forcément accord parfait entre la majorité qui a élu le président et la majorité législative. Mais le président doit pouvoir se tirer d'affaire tant qu'il n'est pas désavoué par le peuple.» Il est vrai que cette posture gaullienne n'est plus dans les moeurs politiques de notre époque. Désavoué par les législatives anticipées de 1997, Jacques Chirac n'a jamais songé à démissionner ou à remettre en jeu son mandat. Le quinquennat ne fera certes pas disparaître la cohabitation entre des dirigeants qui ont théorisé sa popularité et renoncé à défendre leurs idées. Mais, faute d'hommes altiers, le quinquennat diminue le risque cohabitationniste. Sa principale vertu est de placer la cohérence du présidentialisme majoritaire entre les mains des électeurs. Et la volonté des citoyens est désormais plus rassurante que la démarche des acteurs politiques qu'ils élisent. Les plus lus OpinionsLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles Pialoux DVRIsqn.
  • s4hqelvzhv.pages.dev/628
  • s4hqelvzhv.pages.dev/434
  • s4hqelvzhv.pages.dev/327
  • s4hqelvzhv.pages.dev/870
  • s4hqelvzhv.pages.dev/849
  • s4hqelvzhv.pages.dev/627
  • s4hqelvzhv.pages.dev/634
  • s4hqelvzhv.pages.dev/533
  • s4hqelvzhv.pages.dev/964
  • s4hqelvzhv.pages.dev/31
  • s4hqelvzhv.pages.dev/397
  • s4hqelvzhv.pages.dev/337
  • s4hqelvzhv.pages.dev/316
  • s4hqelvzhv.pages.dev/293
  • s4hqelvzhv.pages.dev/908
  • qu est ce qui reflechi sans reflechir